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  • [Lyon] cercle du 13 mai 2014 : "Vladimir Bonaparte Poutine"

    Le prochain cercle de l’AF lyon aura lieu le 13 mai 2014. Yannick Jaffré nous présentera son livre, "Vladimir Bonaparte Poutine", le mardi 13 mai, à 18h30, au Cercle Charles Péguy, 15 rue Sala.

    Renseignements au 06 82 83 92 00

    lyon@actionfrancaise.net

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  • Je construis ma maison moi-même

  • Le « droit de cuissage », un mensonge républicain grossier

    « Forgé de toutes pièces par les Républicains, le mythe du droit de cuissage, poncif régulièrement invoqué par les pourfendeurs d’un Ancien Régime y trouvant ainsi un moyen aisé de le discréditer, est encore dans toutes les têtes.
    Mis en lumière par nombre d’historiens du XVIIIe siècle, le prétendu droit que s’arrogeait le seigneur de passer la première nuit avec la nouvelle mariée, offrit aux Révolutionnaires un argument de poids pour stigmatiser le régime féodal, et fit l’objet d’une virulente polémique au XIXe siècle : d’amalgames en approximations naquit une croyance tenace.

    Appelé droit du seigneur, de jambage, de prélibation, de markette ou de culage, le droit de cuissage fut présenté comme ayant existé par certains auteurs du XVIIIe siècle. Voltaire écrivait ainsi qu’au XIIIe siècle, les usages les plus ridicules et les plus barbares étaient alors établis, et que les seigneurs avaient imaginé le droit de cuissage consistant à coucher la première nuit avec les nouvelles mariées leurs vassales roturières…

     

    Le droit de cuissage n’est qu’un mythe, colporté par les philosophes des lumières, puis complaisamment repris par les auteurs républicains du XIX° siècle, à qui nous devons déjà plusieurs fariboles célèbres, telles que « nos ancêtres les Gaulois », « au Moyen Age les gens ne se lavaient pas », etc…
    Cette étrange coutume fut dénoncée pour la première fois au cours du XVIIIè siècle par les philosophes des lumières. Voltaire, dans le Dictionnaire philosophique, à l’article « Cuissage ou Cullage », révéla que certains seigneurs du Moyen âge n’auraient pas hésité à avoir des relations sexuelles avec les épouses de leurs sujets. Toutefois, Voltaire indiquait lui même que cette pratique tyrannique ne fut jamais approuvée par la loi…

    Ce n’est qu’au cours du XIX° siècle que le droit de cuissage apparut sous un nouveau jour, sous la plume de certains auteurs. Ainsi, ces derniers, sans même se baser sur des sources d’époque, fustigèrent sans retenue cette soi-disant coutume moyenâgeuse. Mais rappelons qu’à cette date, l’objectif de ces auteurs républicains était de « noircir » l’époque médiévale et d’encenser la République, afin que les jeunes générations ne souhaitent pas retrouver une France d’avant la Révolution. »

    Pierre Monteil – Les Mensonges de l’Histoire (2012)

    Source : Bibliothèque de combat

  • Le festival d'intox de Robert Namias

    Robert Namias est un sérieux candidat aux bobards d'or. Il enfile les intox comme rarement :

    • Namias affirme que les profanations en France sont majoritairement celles des juifs et des musulmans
    • Namias reproche à Hollande de souhaiter joyeux Noël et joyeuses Pâques aux Français
    • Namias pense qu'il est faux d'affirmer que les cathos sont plus souventmoqués que les autres
    • Namias botte en touche sur Peillon l'anticatho prétendant ne rien savoirde sont livre-programme.


    La France a-t-elle un problème avec les... par Le_Salon_Beige

    Michel Janva

  • MONSANTO CONTRE LES PEUPLES Un peu de clarté dans le marécage

    On se souviendra de la sentence d’Henry Kissinger : « Contrôlez le pétrole et vous contrôlerez les nations, contrôlez la nourriture et vous contrôlerez le peuple, contrôlez la monnaie et vous contrôlerez le monde. ». En contrôlant la nourriture, Monsanto veut contrôler les peuples. Le Chili comme le Mexique s’y sont opposés. Certes, quelques hirondelles ne font pas le printemps, mais une résistance commence à germer en Amérique Latine.

    Monsanto, bloqué au Chili 

    Le gouvernement chilien a l’habitude de s’aligner sur les Etats-Unis. Derrière le coup d’Etat de Pinochet, la trahison de l’Argentine dans son conflit avec la Grande Bretagne pour les îles malouines, et l’Alliance du Pacifique, on trouve toujours la tour noire étatsunienne. La Présidente Bachelet vient cependant, sur Monsanto, de changer d’attitude (1). Le 17 mars de cette année, le gouvernement chilien a annoncé le retrait du projet connu sous la dénomination de « loi Monsanto » sur la privatisation des semences paysannes et la non adhésion à la Convention UPOV 91 sur la protection de l’obtention des végétaux.

    Ce projet de loi avait été déposé au parlement en 2009 par la présidente elle-même au cours de sa précédente administration. Le mouvement Via Campesina (2) qui a éveillé la population aux dangers des OGM a permis à de nombreux hommes politiques de comprendre enfin les méfaits du pillage de la nature et le « racket » des populations à partir de droits de reproduction forgés de toutes pièces, sans aucune légitimité.

    Au Mexique, Monsanto veut liquider le juge qui lui déplaît 

    La multinationale Monsanto, veut détruire les catégories de maïs qui poussent au Mexique, en répandant ses OGM stérilisateurs partout, de sorte qu’entre le hasard et la malveillance, tous les types de maïs soient finalement pollués, ce qui serait le pactole pour l’entreprise. Action Collective, composée de savants et de paysans, a obtenu que Monsanto ne puisse continuer la culture des grains génétiquement modifiés. La décision des juges est honorable et juste: il y a un « risque de préjudices importants pour l’environnement ». 

    La réaction des « monsantistes » a été de mettre en cause le juge (3). On reconnaît là une des méthodes d’un pouvoir totalitaire. Si un magistrat est indocile, on le le salit et on le remplace. C’est la situation que vient de connaître Mexico, où le juge Zaleta qui a confirmé l’interdiction des produits stérilisants Monsanto, est agressé par la firme qui a demandé, avec son impudence habituelle, de démettre le juge. Il se vérifie une fois de plus que l’investissement dans l’homme est ce qu’il y a de plus noble. le juge Jaime Manuel Marroquin Zaleta est un héros des temps modernes.

    Au Vénézuela, le peuple vit mieux

    Dernier exemple de rayon de soleil, le cas du Vénézuela ou l’influence de Monsanto fonctionne encore à plein rendement. Le Président Madero se flatte que, maintenant, 64% de la richesse produite soit distribuée au peuple. Il estime que depuis 1999, l’oligarchie alors en place n’a pu volé des sommes qui se chiffrent en billions et qui sont aujourd’hui distribuées au peuple Vénézuélien.

    La finance mondialiste ne supporte plus que des pays réussissent leur développement en suivant une autre voie que la sienne. Pour cela aussi, la Russie est attaquée, et demain viendra le tour de la Chine si elle continue à progresser. L’Europe couchée est par contre applaudie. L’empire de la servitude est en même temps l’empire du néant. Là où passe ce pouvoir totalitaire, la stérilité s’installe…

    Auran Derien

    Source :http://metamag.fr/metamag-1996-MONSANTO-CONTRE-LES-PEUPLES.html

    (1) http://www.brujitafr.fr/article-le-chili-torpille-la-loi-monsanto-grace-aux-activistes-indigenes-et-associations-paysannes-locales-123311057.html

    (2) http://viacampesina.org/fr/

    (3) http://www.shiftfrequency.com/christina-sarich-monsanto-demands-removal-of-mexican-judge-over-gm-maize-ban/

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EFAlyyZVpyIlNVYfYR.shtml

  • Grèce : Les malades non assurés ne sont plus pris en charge

    Le gouvernement grec n’a pas fourni de traitements aux patients atteints d’hépatite, ce qui met en péril la santé publique nationale. Huit patients non assurés atteints de l’hépatite B et C risquent de voir leur état se dégrader fortement, car ils ne peuvent plus se permettre d’acheter leurs médicaments, met en garde l’hôpital communautaire à Elliniko en Grèce.

    « Malheureusement, notre hôpital ne peut plus fournir sans interruption à ces patients les traitements extrêmement coûteux dont ils ont besoin. Ces personnes sont donc confrontées à de graves complications et risquent aussi de transmettre leurs maladies à d’autres. Cette situation problématique affecte sérieusement la santé publique », indique l’hôpital dans le journal Enet..

    La clinique a accusé le ministère grec de la Santé de s’être engagé dans une « politique irresponsable et stupéfiante » responsable de ruptures de stocks des traitements d’urgence aux patients atteints de maladies contagieuses graves, comme l’hépatite.

    Il y a un mois, la clinique a envoyé une lettre au ministère de la Santé et au secrétariat général du gouvernement pour les alerter quant à la situation critique des huit patients. Elle attend toujours une réponse des autorités.

    « De nouveau, nous demandons au ministère de la Santé de prendre les mesures qui devraient s’imposer, et publiquement cette fois-ci. Ces personnes doivent immédiatement recevoir une attention médicale redoublée et le ministère devrait s’engager à ce que le système de santé publique couvre d’autres cas semblables.Si ce n’est pas le cas, notre société court un grave danger.

    L’attitude du ministère montre non seulement qu’il est dénué d’empathie, mais elle révèle également une politique irresponsable et stupéfiante. On ne peut ignorer les patients atteints de maladies graves et contagieuses », a déclaré l’hôpital.

    L’hôpital d’Elliniko, fondé en décembre 2011, a accueilli des milliers de patients qui se sont vus refuser l’accès à des soins de santé publique gratuit dans d’autres établissements, par exemple, des chômeurs de longue durée et des personnes démunies. L’hôpital refuse les dons en espèce et le soutien d’entreprises, mais accepte cependant des dons de médicaments.

    Le mois dernier, le gouvernement grec et la troïka ont fait l’objet de critiques, car ils niaient l’ampleur des conséquences engendrées par les coupes sans précédent opérées dans les budgets en matière de santé.

    Selon un rapport publié par The Lancet, des professeurs de l’université d’Oxford, de Cambridge et de la London School of Hygiene and Tropical Medicine ont indiqué que le gouvernement grec se fourvoyait quand il a déclaré que la réduction des dépenses publiques n’avaient aucun impact négatif sur la santé publique.

    EuroActiv

    http://fortune.fdesouche.com/337095-grece-les-malades-non-assures-ne-sont-plus-pris-en-charge#more-337095

  • Droite et gauche, un théâtre soumis aux caprices des Saoudiens ?

    Le ministre Renaud Donnedieu de Vabres a décidé le 27 avril 2007 de donner au théâtre impérial le nom de son mécène.   

    Vestige du Second Empire, le théâtre impérial Napoléon III (théâtre du château de Fontainebleau), petit bijou architectural construit entre 1854 et 1857 à la demande de Napoléon III, est en cours de restauration ; l’ouverture est prévue pour 2015.

    En revanche – il faudra s’y habituer –, il changera de nom pour devenir le théâtre Cheikh Khalifa ben Zayed Al Nahyane, car ce sont les Émirats arabes unis qui ont sorti le chéquier pour sa restauration. On nous a bien aidés, alors il faut leur rendre la monnaie de leur pièce…

    D’ailleurs, personne ne s’en cache, c’est écrit noir sur blanc sur le site officiel :  : « Dans le cadre d’un accord passé entre le gouvernement français et celui de l’émirat d’Abou Dabi, parallèle à celui créant le musée universel du Louvre Abou Dabi, une enveloppe de 5 millions d’euros reconductible a été allouée par Son Altesse le Cheikh Khalifa ben Zayed al Nahyane au financement de la restauration du théâtre impérial du château de Fontainebleau. En reconnaissance de cette action, le ministre de la Culture et de la Communication, Renaud Donnedieu de Vabres, a décidé le 27 avril 2007, en présence de l’autorité de la Culture et du Patrimoine d’Abou Dabi, Son Altesse Cheikh Sultan ben Tannoun al Nahyane, de donner au théâtre impérial le nom de son mécène. »

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  • Illuminati…

    Les Illuminatis ? Cette secte née en Bavière au dix-huitième siècle continue d’intriguer.

    Un nouveau livre y est consacré. En voici quelques extraits afin de commencer à aborder le sujet.

    [EXTRAITS] Leur symbole

    « Lorsqu’ils (les novices) accèdent enfin au premier grade de l’Ordre, ils prennent le nom de Minervaux, autrement dit de disciples de Minerve, déesse romaine de la guerre mais aussi de la sagesse. L’animal symbolique qui l’accompagne est le hibou ou la chouette, réputé voir dans l’obscurité. C’est traditionnellement l’animal totémique des philosophes (ou « amis de la sagesse ») et les Illuminati l’adoptent pour emblème, symbole de la lumière balayant les ténèbres, que l’on trouve représenté sur nombre de bijoux de l’Ordre. »

    Nom de guerre : Spartacus

    « Dans l’esprit de cet homme de vingt-huit ans, le recrutement des membres devra obéir à des critères d’une grande exigence, tandis que leurs travaux devront atteindre des sommets de rigueur en matière philosophique et scientifique. Enfin, la société visera à améliorer concrètement le sort de l’humanité, fût-ce au prix d’une lenteur titanesque. [...] Weishaupt recrute, pour commencer, ses étudiants les plus doués et les plus ouverts aux idées nouvelles. Le 1er mai 1776, les fondateurs se réunissent, à l’instigation de Weis-haupt… dans sa propre chambre. Ils sont cinq en tout et pour tout : lui-même et quatre de ses étudiants. Ils adoptent l’appellation d’Illuminatenorden ou Ordre des Illuminés, soit, en latin, Illuminati. La lumière (Licht) [...] évoque également l’Aufklärung, l’éclaircissement, mot d’ordre du mouvement d’idées qui, à l’époque, commence à remuer les consciences les plus éveillées. L’Europe des Lumières se lève, et Weishaupt [...] se situe résolument dans ce courant d’avant-garde, auquel le clergé local, sentant son pouvoir mis en danger, va s’opposer de toutes ses forces et par tous les moyens, à commencer par la censure intellectuelle. C’est également la raison pour laquelle Weishaupt souhaite recruter les membres de son Ordre avec la plus grande prudence : la moindre indiscrétion mettrait en danger non seulement la société qu’il vient de créer, mais aussi sa propre carrière d’enseignant en droit canonique, déjà en butte à différentes vexations parce qu’il n’appartient pas au parti dominant et que son enseignement est jugé subversif. Ce climat particulier explique également en partie la raison pour laquelle les cinq membres fondateurs s’attribuent, comme le feront les affiliés à venir, un « nom de guerre ». Weishaupt, dans la société des Illuminés, s’appelle désormais Spartacus. Un patronyme qui en dit long, puisqu’il est emprunté au chef de la révolte des esclaves qui, entre 73 et 71 avant Jésus-Christ, fit trembler Rome.

    Très vite, l’Ordre tente de s’agréger des jeunes gens au profil intéressant, susceptibles d’occuper des fonctions officielles dans un proche avenir, ou des rejetons de la noblesse disposant de moyens importants, utiles au développement de l’organisation. Cependant, en 1778, deux ans après sa fondation, la société ne compte encore que dix-neuf membres. Ceci est probablement dû, en grande partie, à la longue période d’observation, ou de surveillance, à laquelle sont astreints les « novices » avant d’être effectivement intégrés dans l’Ordre… Ajoutons que le procédé doit sans doute également beaucoup à une dérive un peu paranoïaque de l’esprit de Weishaupt, régulièrement obsédé par l’espionnite. [...] Mais le développement de l’Ordre patine. »

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