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  • Municipales 2014 : contrairement à ce qu’elle affirme l’UMP recule par rapport à 2008

    Municipales 2014 : contrairement à ce qu’elle affirme l’UMP recule par rapport à 2008 La réalité s’impose bien plus que les éléments de l’engage distillés par l’UMP. En effet, la comparaison des résultats entre les élections municipales de 2008 et 2014 montre que l’UMP regresse en passant de 26,45% à 21,02%, seuls les DVD (sans affiliation à un parti) et le FN-RBM augmentent.


    l’Ump regresse en passant de 26,45% à 21,02% :
    Chateau

    Source : Fninfo : http://fninfos.fr/?p=27175

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EFAyVpkkVpuhEjzwkQ.shtml

  • Marine Le Pen en vidéo au meeting Vlaams Belang sur la Grand’Place de Bruxelles

    La soirée d’hier a été animée dans le centre de Bruxelles !

    Le bourgmestre – socialiste et franc-maçon – Yvan Mayeur avait interdit le meeting organisé par Vérités Bruxelloises, antenne francophone du Vlaams Belang, meeting auquel étaient annoncés Marine Le Pen et Aymeric Chauprade.

    Le Vlaams Belang ne s’était pas laissé démonter et avait introduit un recours en extrême urgence. Et le Conseil d’État a infligé hier en fin de journée un camouflet à Yvan Mayeur en  décidant de suspendre l’interdiction de meeting.

    Mais l’affaire ne s’arrête pas ici. Hier soir, la galerie de la Reine – dans laquelle se trouve la salle qui devait accueillir le meeting – était en état de siège. Des nervis « antifascistes » cagoulés et décidés à en découdre faisaient face à des militants nationalistes résolus à ne pas reculer.

    La direction du Vlaams Belang a estimé que les conditions n’étaient plus réunies pour permette au public d’accéder en toute sécurité au théâtre du Vaudeville. A raison car de violentes bagarres ont éclaté. Pourquoi la police a-t-elle attendu des affrontements avant d’intervenir, alors qu’elle était présente en nombre aux abords ? Faut-il y voir des consignes d’Yvan Mayeur d’attendre que la situation se dégrade avant de rétablir l’ordre ? Une façon bien classique de tenter de prouver qu’il y avait bien des risques de troubles à l’ordre public qui entouraient ce meeting… Alors qu’aucun incident n’aurait été à déplorer si la police s’était d’emblée positionnée entre les parties en permettant un accès correct et sécurisé à la galerie et à la salle.
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  • Monot (FN) : «Valls se heurtera rapidement aux obstacles économiques»

    Conseiller économique de Marine Le Pen et tête de liste du Front national aux élections européennes (région Centre), Bernard Monot estime que le nouveau premier ministre est dans une impasse.
    LE FIGARO. - Vous estimez que le nouveau gouvernement de Manuel Valls se trouve dans une impasse économique. Pourquoi ?
    Bernard MONOT. - Le premier problème est celui de la compétitivité de la France, mais aussi celle de l'Europe. Aujourd'hui, le monde entier est en situation de dévaluation compétitive - que ce soit au niveau du dollar, du yen ou de la livre sterling - et seuls les pays de la zone euro ne peuvent pas agir sur le taux de leur monnaie. Tous les gains de compétitivité que nous pourrions imaginer via les sacrifices des Français (réductions de prestations et hausses d'impôts) permettront au mieux de gagner 4%, mais cela ne vaudra jamais une dévaluation interne de la monnaie, qui permettrait de gagner immédiatement 20% de gains de compétitivité. C'est cela qui pourrait entraîner une reprise économique et un retour à l'emploi.
    Vous vous interrogez également sur la possibilité pour ce gouvernement de désendetter la France. Pourquoi ?
    Comment vont-ils pouvoir désendetter le pays ? La dette ne cesse de croître depuis quarante ans. Quant aux déficits, cela fait trente ans que la France n'a pas de budget en excédent. Malgré tous les efforts, et même si l'on atteignait un déficit zéro, nous n'avons pas encore commencé à rembourser un seul euro du stock de dette. Je rappelle que nous allons atteindre 2000 milliards d'euros !
    Que pensez-vous du pacte de responsabilité ?
    C'est la tenue de camouflage de l'austérité. Il faudra bien trouver les 50 milliards d'euros quelque part. En 2012, nous avions modélisé l'irrémédiable évolution de la dette publique et prévu sa croissance suivant cette politique ultra-libérale.
    Que répondez-vous à ceux qui observent pourtant des signes de reprise en Europe, comme en Espagne par exemple ?
    Peut-on appeler cela une reprise, dans ce pays, quand le système bancaire européen privé est au bord du gouffre ? On a oublié aussi l'ensemble des pertes non résorbées depuis la crise de 2008 et qui sont passées hors bilan. Si les banques ne se prêtent pas entre elles aujourd'hui, c'est bien qu'il existe un risque majeur de défaut. On met en place l'union bancaire de toute urgence parce qu'on sent que certaines banques risquent de basculer.
    Quels sont les principaux défis pour Manuel Valls ?
    D'abord l'emploi. Avec une inflation aussi basse, le chômage ne peut qu'exploser. C'est l'analyse faite par le FN en posant la problématique de l'euro. En taux réel, cette inflation n'a jamais été aussi basse depuis très longtemps. Actuellement, la zone euro est à 0,5% d'inflation. Nous ne sommes donc pas loin de passer en déflation, synonyme de catastrophes sociales. Le deuxième défi sera celui du pouvoir d'achat des Français qui va diminuer. Dans le prolongement, on peut imaginer les problèmes de sécurité apparaissant dans un pays qui s'appauvrit.
    Comment analysez-vous cette nomination à Matignon ?
    J'ai l'impression de voir un gouvernement de cohabitation entre un président social-démocrate et un Manuel Valls qui pourraient très bien faire partie du personnel de l'UMP. La politique macroéconomique de cette coalition UMPS sera la feuille de route d'une Union européenne inféodée aux marchés financiers.
    Selon vous, quelles actions prioritaires la France devrait-elle lancer sans attendre ?
    Ouvrir un sommet de la zone euro avec les dix-huit pays membres. Il faut mettre sur la table le problème de la monnaie surévaluée qui obère la croissance économique et provoque la désindustrialisation, à l'exception de l'Allemagne qui fait de la dévaluation compétitive territoriale. Ce sommet permettrait de passer aux monnaies nationales, dans la douceur et pas dans la douleur, tout en gardant un euro monnaie commune. Il faut absolument avoir la possibilité d'agir, au niveau national, sur la politique monétaire et sur la politique de change.
    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Paris (France) 03-04-2014 Manifestation contre Christiane Taubira Place Vendôme

  • APPEL SOLENNEL DE FARIDA BELGHOUL À LUDIVINE DE LA ROCHÈRE ET À OLIVIER VIAL

    C’EST LE CERCLE DE FLORE QUE, CE MERCREDI 2 AVRIL 2014, FARIDA BELGHOUL, PRÉSIDENTE DE LA LA JOURNÉE DE RETRAIT DE L’ÉCOLE, A CHOISI POUR LANCER, DEVANT UN AUDITOIRE NOMBREUX, UN APPEL SOLENNEL À L’UNITÉ D’ACTION À LUDIVINE DE LA ROCHÈRE, PRÉSIDENTE DE LA MANIF POUR TOUS ET À OLIVIER VIAL, PRÉSIDENT DE L’OBSERVATOIRE DE LA THÉORIE DU GENRE.

    Farida Belghoul lance son appel solennel

    ”Les classes populaires seront-elles seules à lutter contre l’introduction de la théorie du genre à l’école ? Les classes moyennes s’illustreront-elles par leur tiédeur ?"

    " Parce qu’il s’agit de prendre nos responsabilités pour continuer de regarder nos enfants dans les yeux..."

    Ceux qui n’ont pas eu la chance de pouvoir s’asseoir...

    Un appel auquel le Cercle de Flore et l’Action française se joignent avec détermination, parce qu’il ne saurait y avoir ni tiédeur ni division dans la lutte à mort que le pays réel mène contre les agressions d’Etat subies par nos enfants et la destruction de la société.

    UNITÉ D’ACTION ! LES ADVERSAIRES DE LA FAMILLE ET LES AGRESSEURS DE NOS ENFANTS N’ATTENDENT QUE NOS DIVISIONS ! DÉTROMPONS-LES ! PRENONS NOS RESPONSABILITÉS DEVANT L’HISTOIRE !

    La vidéo sera bientôt mise en ligne

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?APPEL-SOLENNEL-DE-FARIDA-BELGHOUL

  • Le Mississippi, 13e Etat américain à interdire d'avorter après 20 semaines

    Lu sur Gènéthique :

    "Les deux chambres du Mississipi ont définitivement voté mardi dernier un projet de loi interdisant l’avortement à partir de la 20e semaine (d’aménorrhée), soit 18 semaines de grossesse, sans exception en cas de viol ou d’inceste. Ce projet de loi autorise deux dérogations: en cas de mise en danger de la vie de la mère ou lorsque qu’il a été déterminé que le fœtus n’a aucune chance de survie."

    Louise Tudy