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  • Loi famille : mensonge d'Erwann Binet

    Un collectif d'associations dont La Manif pour Tous dénonce les dispositions de la loi famille :

    "Depuis quelques jours, le député Erwann Binet, s'exprimant comme co-auteur de la proposition de loi «relative à l'autorité parentale et à l'intérêt de l'enfant» (APIE), déclare à qui veut l'entendre que l'ensemble des associations familiales est d'accord sur ce texte.Nous sommes un certain nombre de représentants d'associations à nous étonner de cette affirmation puisque, en réalité, nous avons fait part, notamment à Laurence Rossignol, secrétaire d'Etat à la famille, de réserves importantes sur ce texte. Certes, il est indiqué dans l'exposé des motifs que «l'intérêt de l'enfant est la pierre angulaire» de cette proposition de loi, ce qui bien-sûr nous réjouit. Hélas, après cette encourageante introduction, la suite du texte est décevante: les mesures proposées sont, dans le meilleur des cas, inutiles et, pour les plus importantes, contraires à l'intérêt supérieur de l'enfant. [...]

    Nous tous, représentants d'associations et mouvements divers, nous appelons les responsables politiques à se montrer enfin véritablement ambitieux. Cette proposition de loi APIE évoque, à juste titre en l'occurrence, «l'augmentation du nombre des divorces et des séparations». Nous savons le très lourd tribut que payent les enfants, les adultes et la collectivité dans son ensemble. Plutôt que d'en prendre acte pour en tirer des mesures inutiles ou nocives, il est grand temps de réfléchir à de véritables mesures d'aide comme à une politique de prévention des difficultés familiales: sensibilisation des jeunes à la responsabilité de parents, préparation au mariage civil, accompagnement des tous jeunes parents, maisons d'accueil des familles… autant d'idées et de pistes, pas forcément coûteuses d'ailleurs, qu'il faut promouvoir et mettre en œuvre urgemment, ou généraliser quand elles existent ici où là. Donnons réellement la priorité à l'intérêt supérieur de l'enfant, si totalement dépendants de nous, adultes !"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/05/loi-famille-mensonge-derwann-binet.html

  • 1124 : Naissance du sentiment national

    Cette année-là, la seizième de son règne, Louis VI le Gros, quarante-trois ans, avait déjà bien nettoyé le royaume des turbulences féodales. Nous l'avons vu à l'oeuvre tandis qu'ayant rétabli la sûreté dans les campagnes et les villes, il favorisait l'éclosion de ces remparts des libertés françaises qu'allaient être pour toujours les communes. Retrouvons-le aujourd'hui en 1124 dans son rôle tout aussi éminemment capétien de défenseur de l'intégrité française.

    Les Capétiens commençaient à peine d'affermir leur souveraineté quand en 1066, au temps d'Henri Ier, Guillaume de Normandie avait conquis l'Angleterre. Toujours vassal du roi de France, celui-ci ne s'était quand même guère gêné pour donner les pires soucis au roi Philippe Ier, lequel avait tout entrepris pour affaiblir la Normandie et la pousser à se détacher de l'Angleterre. On eût pu croire la chose faite quand à la mort de Guillaume le Conquérant (1087), la Normandie revint à l'aîné, le flasque Robert Courte-Heuse (court de cuisses) et l'Angleterre au cadet Guillaume le Roux. Sur ces entrefaites les deux frères s'étaient plus ou moins réconciliés pour partir ensemble à la première Croisade, laissant respirer Philippe Ier. Mais pas pour longtemps ! Guillaume le Roux mourant en 1100 avait alors laissé le champ libre à son autre frère Henri Beauclerc qui s'était proclamé roi d'Angleterre et n'avait fait en 1106 qu'une bouchée de la Normandie si mal tenue par Robert Courte-Heuse.

    En 1124, il y avait déjà dix ans que Louis VI le Gros s'acharnait sans succès à couper en deux le monstre anglo-normand. En 1113, au traité de Gisors, il avait dû reconnaître la souveraineté d'Henri Ier Beauclerc même sur la Bretagne. En 1119, nouvelle déroute, et le roi français avait dû de ne pas perdre la face au seul fait que le roi anglais, se souvenant qu'il était duc de Normandie, donc vassal du roi de France, n'avait pas trop poussé son avantage. En 1120, Henri Beauclerc avait perdu ses deux fils dans un naufrage. Il ne lui restait plus qu'une fille, Mathilde, laquelle avait épousé l'empereur germanique Henri V. L'alliance entre gendre et beaupère prenait ainsi la France comme dans une tenaille... Louis VI allaitil se laisser impressionner ?

    Les premières provocations

    vinrent de l'Empereur en 1124, mais dans cette "doulce France" où le sentiment national perçait déjà autour du Capétien, et où l'on savourait des écrits éveillant l'idée de patrie, comme la Chanson de Roland, il se produisit l'extraordinaire : la mobilisation spontanée de toutes les forces vives ! Louis VI se rendit à Saint-Denis pour y prendre l'oriflamme rouge et or, tandis que l'abbé Suger s'émerveillait de « cette armée pareille à une nuée de sauterelles ». Les troupes de chevaliers, le comte de Blois, le duc de Bourgogne, le comte de Nevers, le comte de Vermandois et les bourgeois de Saint-Quentin, de Pontoise, d'Amiens, de Beauvais et d'ailleurs arrivaient en effet de toutes parts.

    Devant un peuple aussi décidé, l'Empereur n'osa même pas dépasser Metz et rebroussa chemin sous prétexte d'aller réprimer une insurrection à Worms (où il trouva la mort). Quant au roi d'Angleterre il n'avait même pas eu le temps de bouger, tandis que Louis VI revenait à Paris sous les acclamations ; il avait, dit Suger, « fait briller l'éclat qui appartient à la puissance du royaume lorsque tous ses membres sont réunis ». Ce fut la première grande manifestation de cette cohésion populaire qui, devant un grand danger, allait désormais permettre plus d'une fois le "miracle capétien". On devine que de tels sursauts allaient être souvent nécessaires quand on sait qu'en mourant onze ans plus tard (1135), Henri Beauclerc donnait tout espoir de devenir roi d'Angleterre à son gendre, Geoffroy Plantagenêt, dont la lignée allait faire longtemps parler d'elle...

    Une autre leçon de l'événement de 1124 a été tirée par Jacques Bainville : « Allemagne, Angleterre : entre ces deux forces, il faudra nous défendre, trouver notre indépendance et notre équilibre. C'est encore la loi de notre vie nationale. » Les Capétiens allaient avoir la sagesse de toujours s'en souvenir.

    MICHEL FROMENTOUX L’Action Française 2000 du 19 juin au 2 juillet 2008

  • Djihadistes aujourd’hui en Syrie. Et terroristes demain en France ? (vidéo)

    19/05/2014 – PARIS (NOVOpress) - Dans le cadre de sa dernière campagne politique, réclamant la déchéance de la nationalité pour les djihadistes partis en Syrie, le Bloc identitaire vient de publier sa dernière vidéo, « Aujourd’hui djihadistes en Syrie, demain terroristes en France ». Le Bloc identitaire insiste sur la menace terroriste élevée que font peser les combattants musulmans de retour de Syrie, évoquant au passage Mohamed Merah ou le gang de Roubaix. Cette campagne a été reprise à l’Assemblée nationale par le député Jacques Bompardqui a déposé le 14 mai une proposition de loi visant à élargir la déchéance de la nationalité française :

    « Des individus ayant une double nationalité partent désormais faire la guerre au profit de groupes terroristes. La menace est grande que ces combattants perpètrent à leur retour des attentats sur le sol français. Les articles 25 et 25-1 du code civil permettent la déchéance de nationalité d’un individu. L’article 25 du code civil doit être modifié pour permettre d’inscrire clairement la possibilité de déchoir de la nationalité française un individu ayant la double nationalité et ayant agi au sein d’un groupe terroriste. Cette modification est indispensable car le cadre légal actuel est trop strict. À l’instar du Royaume-Uni, la France doit protéger l’ordre public en permettant la déchéance de nationalité pour toute participation à une action terroriste. »

    http://fr.novopress.info/166901/djihadistes-aujourdhui-terroristes-demain-video/

  • L'utopie d'une Europe sans peuples ni nations

    L'Europe de Bruxelles est-elle le laboratoire du nouveau totalitarisme qui se met en place avec une évidence croissante à l'échelle du monde entier ? À considérer l'évolution du projet supranational européen et la manière dont les « États membres » et les peuples sont toujours davantage dépouillés de leur souveraineté (avec la complicité des gouvernements), on peut malheureusement le penser.

    À cet égard, le traité de Maastricht, signé en 1992, a représenté une étape décisive. Jamais encore on n'avait vu, dans les pays de l'Union européenne, un tel déferlement de propagande. En France, le président de la République lui-même, François Mitterrand, n'épargna rien pour faire gagner le camp du « oui » lors du référendum, misant sur les sentiments de compassion et de solidarité des Français en rendant publique la maladie dont il était atteint, et engageant le prestige présidentiel lors d'un débat qui l'opposa à Philippe Seguin, alors chef de file des « nonistes » - qui ne devait pas tarder à retourner sa veste. En dépit de ces efforts et de ce qu'il faut bien appeler un bourrage, de crâne massif, le « oui », en France, l'emporta de très peu.

    La « revotation », ou « bon » vote

    Mais au Danemark, c'est le « non » qui gagna. L'on y appliqua alors une recette qui devait faire florès ailleurs au cours des années suivantes : la revotation. Le principe en est simple : lorsqu'un peuple, à l'occasion d'un référendum, se prononce à rebours du sens de l'histoire concocté par les européistes, il est invité à retourner aux urnes quelque temps plus tard, après quelques aménagements du traité qui fait l'objet du vote. C'est ce procédé qui a été utilisé en Irlande après le rejet par le peuple irlandais du traité de Lisbonne, en 2008. Lors du deuxième référendum danois, il n'en alla pas aussi simplement : une partie de ceux qui avaient voté « non » au premier tour, s'estimant joués - ajuste titre -, manifestèrent leur colère dans la rue, la police tira, il y eut deux morts dont on parle très peu dans les médias français.

    Une autre stratégie a été utilisée, en France, pour effacer les conséquences du rejet par le peuple français du projet de Constitution européenne concocté par l'ancien président Valéry Giscard d'Estaing : Nicolas Sarkozy fit adopter le traité de Lisbonne, qui en reprenait l'essentiel, par le Parlement réuni en Congrès. La méthode a mis en évidence le fossé qui sépare les élus - censés représenter le peuple, mais qui représentent essentiellement les intérêts des partis qui leur délivrent l'investiture nécessaire à leur réélection - et le peuple lui-même. Les grands médias, très favorables au projet européiste, évitèrent de le souligner.

    Une Commission européenne frappée d'autisme

    Les traités de Maastricht, d'Amsterdam (signé en 1997), de Lisbonne, ont représenté autant d'étapes sur le chemin qui mène au fédéralisme et à l'instauration d'un gouvernement européen, qui couronnerait en quelque sorte une Europe supranationale. La création de la zone euro, la banque de Francfort, les pactes de stabilité et budgétaires, qui dépouillent les gouvernements nationaux de leur souveraineté en matière financière, la Cour européenne de justice qui juge et sanctionne les États « coupables » de n'avoir pas appliqué les traités ou le droit européens, les bureaux bruxellois depuis lesquels des fonctionnaires inconnus (combien de citoyens français connaissent-ils seulement les noms des commissaires européens ?) édictent des réglementations qui priment sur les lois votées par des assemblées paraît-il démocratiquement élues : tout cela va dans le même sens. Depuis la présidence de Valéry Giscard d'Estaing, les gouvernements français se sont prêtés à ce jeu, multipliant sans vergogne les abandons de souveraineté.

    Certes, les peuples rechignent, échaudés par l'augmentation du coût de la vie consécutive à l'adoption et à la mise en circulation de l'euro, dont on leur avait promis monts et merveilles, ainsi que par l'accumulation de règlements et de normes qui compliquent la vie des citoyens et entravent l'activité industrielle et économique, aggravant ainsi le chômage. Mais comme le remarque Paul-Marie Couteaux, la machine eurocratique n'a pas besoin de l'enthousiasme des peuples pour fonctionner. La Commission européenne paraît d'ailleurs frappée d'autisme lorsque, malgré ce désamour et ce désabusement des peuples à l'égard de l'eurocratisme qu'elle incarne, et tandis que le fossé se creuse entre les « pigs » du sud et les riches du nord, elle n'a de cesse que de rêver à de nouveaux élargissements de cette Union aux pieds fragiles et de tenter d'attirer l'Ukraine dans son sillage, au prix d'une querelle avec la Russie qui ne bénéficiera qu'au maître américain.

    Ne serait-il pas temps d'en revenir à l'Europe des nations ?

    Eric Letty Monde & Vie 

  • Le "processus paisible et tolérant"

    Emission révisionniste :

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 25 mai, masse critique ?

    Si seulement le Parlement européen  était peuplé que de gens bien nés, de  députés européistes,  de droite, de gauche, d’extrême gauche,  du centre, peu importe, mais d’élus ne remettant pas en cause la sacro sainte  doctrine cosmopolite  libérale-libertaire ! Tel est  le fond de la pensée des membres de la caste mondialiste, qui l’avouent plus ou moins implicitement. UMP, Front de Gauche, UDI-Modem, PS, EELV…: les partis du Système  utilisent toujours peu ou prou  les mêmes arguments ces derniers mois contre le FN, à savoir le procès en incompétence, en illégitimité,  et en inutilité fait aux députés frontistes.  Le député européen EELV  José Bové, samedi dernier en déplacement à Bordeaux, y a été de son petit couplet contre les « populistes », les élus FN qui,  a-t-il martelé faussement, seraient  « absents sur les votes cruciaux », les accusant de n’avoir « rien foutu» au Parlement européen. Une saillie visant peut être à se faire pardonner sa nouvelle récente  déclaration contre la procréation médicalement assistée (PMA) qui a déclenché la fureur de ses amis progressistes. «Que ce soit pour les couples homosexuels ou hétérosexuels, que ce soit sur le végétal, l’animal et a fortiori sur l’humain, je suis contre toute manipulation sur le vivant» a déclaré le député écolo.

     Certes, la cohérence intellectuelle n’étouffe pas José Bové  puisqu’il  reste  membre del’inter-groupe LGBT et qu’il  n’ignore pas ( ?) le combat  mené, entre beaucoup d’autres,  parBruno Gollnisch au Parlement européen pour le respect du vivant

     Jean-Marie Cavada,  député sortant et  vice-président de l’UDI affirmait lui aussi   hier, comme ses amis  de l’UMPS,  lors de l’émission politique France Bleue-Metronews, que les élus patriotes, nationaux, souverainistes n’ont rien à faire dans l’hémicycle. « Pourquoi se faire élire au Parlement européen quand on prône la destruction des institutions européennes ? (…) J’avais déjà posé cette question à Marine Le Pen en 2004. (…) Si c’est pour démolir l’Europe, vous le feriez aussi bien de dehors. À moins que ce ne soit pour être salarié, ce qui est mon sentiment ».

     Attaque bien bête, bien primaire qui évite de parler des  idées portées par le FN et qui révèleun vrai  mépris des Français, pris de nouveau  pour des imbéciles. N’en déplaise à M. Cavada, nos compatriotes savent qu’il n’y a pas de véritable  démocratie  sans élus d’opposition. Et que les  députés du FN ne sont pas, ne seront pas  ceux de  l’UE mais les  élus des citoyens français. A ceux qui affirment, faute d’arguments, que voter FN ne sert à rien, Bruno Gollnisch rappelle  que si les députés patriotes, nationaux, populistes sont nombreux à faire leur entrée au Parlement, ils pourront former un groupe parlementaire.Celui-ci   aura davantage des prérogatives politiques que les députés FN siégeant pour l’instant au nombre des  non inscrits, groupe  qui pourra alors   peser sur les décisions du Parlement Européen.

     Cette  mauvaise foi de MM. Bové et Cavada, mais teintée  d’une hargne antinationale toujours très virulente, nous la retrouvons dans l’entretien publié hier sur le  site du Nouvel Obs  de  Vincent Peillon,  la tête de liste PS-PRG dans la circonscription Sud-Est.   Il  ne s’est pas  contenté d’expliquer, avec un comique assez involontaire, que « le vrai débat, l’enjeu du vote du 25 mai, c’est le choix entre une Europe de droite, celle de Jean-Claude Junker et deJosé Manuel Barroso (…)  où une Europe de gauche, avec Martin Schulz.

     Non, l’ex désastreux ministre de l’Education,  fidèle à sa posture d’idéologue extrémiste desLumières, a tenté de dédouaner le PS de ses échecs en   ressortant  ses formules à l’emporte-pièce.  « Il faut toujours craindre que l’histoire se répète. Nous assistons à une forme de somnambulisme propice à la montée du Front National. La recette de ce parti est toujours la même depuis que l’extrême-droite existe : il s’agit d’attiser les peurs, de désigner des boucs émissaires, de propager la haine de l’autre ».

     « Il n’y a pas de nouveau FN. Ce sont Jean-Marie Le Pen et Bruno Gollnisch qui sont candidats dans ma région, bref, le très vieux Front National (sic). Et Marine Le Pen reprend leurs thèmes, avec cette obsession de l’immigration, de l’étranger, qui a toujours été le fond de commerce des racistes ».« Mais ce qui est terrible, c’est la complaisance des uns et des autres à ces thèmes. Alors qu’ils ne feront que 20% au plus au plan européen, ce qui est déjà beaucoup trop, qu’ils n’ont aucune chance – et tant mieux – de diriger l’Europe, qu’ils ne proposent aucune solution aux défis de l’avenir.»

     C’est à se demander alors pourquoi, mais ne c’est pas  la moindre  de leur incohérence,  M. Peillon,  ses amis et leurs alliés de revers de la droite bruxelloise,  tiennent un langage trahissant une telle panique si la dynamique nationale n’a aucune chance d’arriver au pouvoir ?

     Dans les faits,  ils savent pertinemment que le FN peut atteindre dimanche prochain   la  masse électorale  critique  démultipliant son pouvoir d’attraction, le  rendant incontournable, lui  permettant d’éliminer du premier tour de la présidentielle  qui le candidat du PS, qui celui de l’UMP, ouvrant ainsi le champ des possibles…

    http://gollnisch.com/2014/05/20/25-mai-masse-critique/

  • Jean-Claude Martinez : "La finalité de la politique : la vie"

  • Désinformation du Monde sur les jeunes « happés par la guerre »

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "Le Monde publie un article sur les sept jihadistes « strasbourgeois » qui viennent d’être arrêtés et mis en examen. Sous le titre :

    A la Meinau, sur les traces des jeunes Strasbourgeois happés par la guerre en Syrie

    On élimine les mots "musulmans" et "jihad". Exit l’islam, qu’il faut dédouaner à tout prix. Il ne reste que des « jeunes happés par la guerre ». Malgré eux… Le Monde leur dénie leur libre arbitre.

    Et on commence par verser une larme : « Deux membres de l'équipée, les frères Yacine et Mourad B., y ont perdu la vie, laissant derrière eux une mère veuve et un petit frère. »"

    Michel Janva