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  • Italie : La bibliothèque municipale n’a pas le Coran, le Sénégalais la détruit

     

     C’est arrivé – vraiment arrivé – à Busalla, une petite ville de 5 700 habitants, dans la province de Gênes en Ligurie. Jeudi après-midi, un immigré Sénégalais de 24 ans est arrivé à la bibliothèque municipale. Il y a cherché en vain le Coran et « des livres de culture islamique ». Furieux, il a passé à tabac, à coups de poing et de pied, les deux responsables présents : une femme de 43 ans, bibliothécaire bénévole, et un homme de 64 ans, animateur de l’association « Pro loco » (l’association culturelle locale). Puis il a mis la bibliothèque à sac, renversant les étagères et jetant les livres par terre, avant de les déverser dehors, sur le trottoir. Le tout en hurlant « Allah akbar! »

     

    Alertés, les carabiniers et les vigiles de la Police municipale ont eu la plus grande peine à maîtriser ce musulman convaincu. « Après une lutte brève mais violente, il a été arrêté et inculpé de dommages aggravés, de résistance à la force publique et de coups et blessures sur les forces de l’ordre ». Il a ensuite été emmené à la prison de Marassi. L’un des policiers municipaux a 7 jours d’ITT.

    Examiné samedi, sur ordre du procureur, par les spécialistes du Centre d’hygiène mentale de Gênes, le Sénégalais a été « jugé parfaitement lucide et en état de comprendre et de vouloir ». Il comparaîtra lundi devant le juge d’instruction. « Les carabiniers travaillent actuellement à vérifier que le geste était isolé et qu’il n’y avait pas de commanditaires, ou de compatriotes qui auraient poussé l’individu à agir de la sorte ».

    Relayé par toute la presse locale, l’épisode a fait l’objet d’une brève dépêche de l’agence ANSA. Une première réaction politique est arrivée,celle de Francesco Bruzzone, président du groupe de la Ligue du Nord au Conseil régional : « Le moins que je puisse dire est que je suis déconcerté en apprenant des épisodes de ce genre. Mais il fallait un peu s’y attendre. Ce sont des exemples clairs de gens qui arrivent chez nous et qui veulent être les maîtres. Je souhaite que la justice suive son cours et que cet individu ne soit pas remis en liberté après quelques jours ». Francesco Bruzzone a également exprimé sa solidarité aux personnes agressées. « Je suis saisi d’horreur, a-t-il conclu, et j’espère que des nouvelles de ce genre réveilleront le cerveau des gens »

    http://fr.novopress.info/166886/italie-bibliotheque-municipale-na-pas-coran-senegalais-detruit/#more-166886

     

  • Commissaire politique stalinien du Viêt Minh, BOUDAREL, le monstre français du camp 113

    « Dès le déclenchement de la deuxième guerre mondiale l’Indochine fut envahie par l’armée japonaise qui occupait déjà la Chine et qui avait proclamé en 1938 sa volonté d’éradiquer toute présence d’homme blanc en Extrême-Orient allant jusqu’à introniser, à son départ, le 2 septembre 1945, le gouvernement communiste Hô Chi Minh.

    Lors des hostilités avec la France, le Viêt Minh effectua de nombreuses prises d’otages, incluant des civils. Beaucoup de prisonniers militaires français passèrent dans des camps d’internement situés dans les régions sous contrôle indépendantiste et furent soumis à une tentative de « rééducation marxisante » par des commissaires politiques au nombre desquels des communistes étrangers et Français faisaient montre d’un zèle excessif… Ainsi le PCF, par la voix de ses responsables, Maurice Thorez, Jacques Duclos, le couple Joliot-Curie… joua un rôle essentiel, non seulement dans la conception, mais aussi dans l’exécution du lavage de cerveau.

    Le sort des prisonniers dans ces camps de rééducation fut longtemps méconnu du grand public. L’affaire Georges Boudarel contribua à la rappeler à l’opinion dans les années 1990.

    Militant du parti communiste français, chrétien progressiste et marxiste, Georges Boudarel naquit en 1926. En avril 1948, il s’embarqua pour l’Indochine comme professeur de philosophie et anima l’antenne indochinoise du PCF, le groupe culturel marxiste auquel Jean Chesneaux, l’historien communiste, appartient.

    Le 17 décembre 1950, refusant d’être incorporé dans l’armée française et considéré comme « insoumis » puis déserteur, il rejoignit le Việt Minh et se rendit après une longue marche au Tonkin où, en 1953, il fut nommé commissaire politique dans un camp de rééducation de prisonniers, le camp 113.

    Situé près du village de Nam Nahm, à 25 km à l’ouest du kilomètre 32 de la RC2 (60 kms au sud de la frontière de Chine et 30kms au sud-ouest de Bac.Giang), ce camp, insalubre, connut très vite une intense activité mortuaire… Son cimetière débordait de cadavres que les grosses pluies d’automne déterraient. Les rats pullulaient et s’attaquaient aux mourants à l’infirmerie. Dès lors, la situation sanitaire devint telle qu’il fallut évacuer ce camp et le reconstruire 30 kilomètres plus à l’est, au nord de VINT-THUY, non loin de la RC2, près de LANG-KIEU.

    Quelque 320 prisonniers, survivants d’un triste bétail pensant, abandonnés à leurs délires, à leurs rêves et à leur rancœur, tous d’origine européenne, officiers, sous-officiers et soldats, croupissaient dans ce camp dans des conditions infâmes d’alimentation, d’hygiène et de prophylaxie. A l’infirmerie, véritable antichambre de la mort, des squelettes vivants agonisaient, vaincus par la faim, la maladie et rongés par la vermine, sous un essaim de grosses mouches vertes. Ils étaient, en effet, vidés par la dysenterie, minés par le paludisme, l’avitaminose, les ascaris, la peau rongée par les champignons de la dartre annamite, de la bourbouille et du hong-kong-foot. Parmi ceux qui n’avaient plus aucune réaction et qui allaient mourir le soir même ou dans la nuit, certains avaient les lobes d’oreilles et la base des narines entamés par les rats. C’était un spectacle affreux. Tous ceux qui étaient admis à l’infirmerie mouraient. Les agonisants attendaient la mort, les épuisés prenaient la place des agonisants, les sans-espoirs succédaient aux épuisés, les nouveaux arrivés comblaient les vides entretenant ainsi le cycle. Dans un endroit retiré, des latrines avaient été creusées où grouillaient des millions d’asticots qui donnaient naissance à des multitudes de mouches vecteurs de toutes les maladies, véritable « pont aérien entre ce lieu et les cuisines » selon le mot même de Boudarel. Le taux de mortalité variait entre 25 et 40 décès par mois, et même plus, selon les saisons.

    C’est en ce lieu sinistre que Boudarel, surnommé « Dai Dông », mit au point ses sévices chaque jour plus raffinés et excella dans le lavage de cerveau imprégné des doctrines du marxisme-léninisme et de l’internationalisme prolétarien.
    Dans ce « mouroir », sa spécialité : « La mise à mort sans toucher » consistait :

    - à abreuver de cours de « rééducation politique » des hommes blessés, malades, éreintés, affamés
    - à obliger les moribonds à se lever pour assister à ces séances, qui contribuaient à les achever
    - à exploiter la pratique clé la « critique et de l’autocritique » pour créer un détestable climat de méfiance, de discorde et de délation
    - à remettre au Vietminh des médicaments parachutés par la Croix Rouge Française et en les refusant aux malades abandonnés sans soins
    - à réserver aux évadés repris un sort qui menait à une fin quasi certaine
    - à établir lui-même la liste des « libérables », c’est-à-dire en s’attribuant le droit de vie et de mort
    - à pousser la cruauté jusqu’à renvoyer au camp des prisonniers déjà sur le chemin de la libération : Certains en mourront de désespoir
    - à détenir un record de mortalité, avec 1 à 8 décès par jour.

    Boudarel étant devenu le « conseiller technique » pour l’action psychologique, les chefs des 130 camps Việt Minh appliquaient avec zèle, sur ses indications, les séances de tribunal populaire destinés à juger ceux qui étaient considérés comme « fautifs ». Les prisonniers subissaient des traumatismes importants dus au viol psychologique de l’endoctrinement, des séances d’autocritique et d’encouragement à la délation.

    Ils furent, ainsi, victimes « d’agressions psychologiques découlant d’une doctrine monstrueuse, appliquée par un État pratiquant une politique d’hégémonie idéologique et d’intolérance active ». Tous les éléments du génocide constituant le crime contre l’humanité furent réunis, tel que le définit la Convention des Nations Unies du 9 décembre 1948 : « Atteintes graves à l’intégrité physique et mentale du groupe ; soumission intentionnelle de celui-ci à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle ».

    Par ailleurs, en dépit de leur extrême faiblesse, tous ceux qui pouvaient tenir debout participaient aux corvées et aux activités du camp. « Si pas travailler, pas manger ! » Telle était la devise du surveillant général.

    « Notre estomac est un chien enragé qui glapit, s’élance et se déchaîne, déchire les entrailles de ses dents »…

    Pour preuve de son implacable inhumanité et de la jouissance dont il devait probablement se repaître, Boudarel fit condamner à mort Jean CHAMINADAS qui commandait la 7ème Compagnie du 5ème Régiment Etranger d’Infanterie au motif d’avoir tenté trois évasions et tué une sentinelle lors de la dernière. Mais là ne s’arrêta pas son abjection… Il demanda au frère du condamné, Max CHAMINADAS, également prisonnier, de commander, en personne, le peloton d’exécution… ce que Max refusa, évidemment. Qu’à cela ne tienne : Jean fut exécuté, pour l’exemple, sous les yeux de ses camarades d’infortune. Aujourd’hui, sa dépouille (ou ce qu’il en reste) repose au mémorial dédié aux « Morts pour la France » implanté à Fréjus.

    Parmi les punitions – identiques à tous les camps- l’une des plus terribles était le séjour prolongé dans la sinistre « cage à buffles » sous une maison sur pilotis où le prisonnier, attaché à un poteau dans une eau putride sans pouvoir se protéger des piqûres d’insectes, était supplicié jusqu‘à la folie et la mort.

    Durant l’année de son activité au camp 113, Boudarel reconnut lui-même un taux de mortalité atteignant les 70 %. Sur les 320 prisonniers Français, 278 moururent de mauvais traitements et de torture physique et psychologique. Lorsqu’ils débarquèrent à Marseille, les survivants, squelettes ambulants ou morts-vivants portés sur civière, furent la cible des jets de boulons, de crachats et d’injures par des dockers communistes de la CGT.

    Inculpé de trahison Georges Boudarel fut condamné à mort par contumace en juin 1953. Après les accords de Genève, ce tortionnaire, bénéficiant de la loi d’amnistie gaulliste du 18 juin 1966, revint en France et fut aussitôt coopté au CNRS par ses amis communistes pour y préparer une thèse de troisième cycle d’histoire à l’université Paris VII Jussieu. Il devint maître de conférences à Jussieu et ces mêmes communistes et syndicalistes feront ensuite valider ses années « d’expérience » en Indochine pour favoriser sa carrière…

    Durant ces années, il fréquente assidument les milieux trotskistes, en particulier la ligue d’Alain Krivine et comptera parmi ses amis et « protecteurs » Gisèle Halimi, Suzan Sontag, Marianne Schaub, Laurent Schwartz, Marcel Kahn, Madeleine Rebérioux… tout le gratin de la gauche intellectuelle qui sera à l’origine de la création de la « Ligue Contre Révolutionnaire ».

    Le 13 février 1991, lors d’un colloque au Sénat sur le Vietnam auquel Boudarel participait, il fut reconnu et apostrophé par Jean-Jacques Beucler, ancien secrétaire d’État aux anciens combattants ayant lui-même participé à la guerre d’Indochine durant laquelle il avait été prisonnier pendant 4 ans dans le camp 113.

    « Vous avez du sang sur les mains. Votre présence à cette tribune est indécente ! » vitupéra Beucler.

    L’affaire fit grand bruit, d’autant plus que Boudarel adopta une attitude provocatrice, affirmant ne rien regretter et allant jusqu’à se moquer publiquement de ses anciennes victimes. D’autres témoignages furent déposés ensuite contre Boudarel qui fit l’objet en 1991 d’une plainte pour crimes contre l’humanité déposée par d’anciens prisonniers français du camp 113. Contre toute attente, articles et pétitions en faveur de Boudarel ne manquèrent pas dans le camp « progressiste » (Jean Lacouture, Pierre Vidal-Naquet…) et la justice rejeta l‘accusation de crime contre l’humanité portée par une association d’anciens combattants, au motif que les faits étaient couverts par la loi d’amnistie de 1966.

    Suprême dérision : Soutenu par l’ensemble de la gauche intellectuelle, il échappa également à toute sanction dans le cadre universitaire.

    A 65 ans, l’ancien commissaire politique du camp 113 put en toute légalité faire valoir ses droits à la retraite. Il mourra paisiblement dans son lit le 26 décembre 2003 à l’âge de 77 ans.

    « Et ton nom paraîtra dans la race future, aux plus cruels tyrans, une cruelle injure ! » (Racine)

    José CASTANO

    http://www.contre-info.com/commissaire-politique-stalinien-du-viet-minh-boudarel-le-monstre-francais-du-camp-113#more-32722

  • « Qu’est-ce qui se passe dans ce pays ? »

    Marine Le Pen tenait hier à Paris une grande réunion publique au cours de  laquelle elle a de nouveau exhorté nos compatriotes à se rendre aux urnes pour les élections européennes. Les Français doivent voter a-t-elle précisé afin notamment  que l’abstention élevée ne soit pas prétexte pour les partis du Système et leurs relais à minorer la nouvelle poussée du FN qui se dessine dimanche prochain. Dans l’enquête  d’opinion quotidienne réalisée pour Le Monde, le Cevipof, Terra Nova et publiée vendredi, les listes FN restent créditées d’une moyenne de 24 %  des suffrages, devant l’UMP (21,5%), le PS (17 %), Europe Ecologie-Les Verts ( 8,5 %), l’attelage UDI-MoDem (8 %) et le Front de gauche (7 %).

     Cette poussée patriotique  réactive une frousse mêlée de haine chez les adversaires de l’opposition nationale. Sans aller jusqu’à parler de «fantasme antisémite», comme le font Anne Sinclair et certains médias au sujet du film Welcome to New York d’Abel Ferrara avec Gérard Depardieu, inspiré du volet new yorkais de l’affaire DSK, notons que l’article paru surMediapart hier dénonçant les «thématiques  FNisantes » «d’Alain Finkielkraut », «Elisabeth Lévy» et « Eric Zemmour » pratique un curieux amalgame.

     Amalgame et mensonges qui sont les deux axes de communication de Martin Schulz, président du parlement européen, incarnation de l’aile gauche du parti eurobruxellois dont il est le candidat à la présidence de la Commission européenne. Interrogé par Metronews, il a réitéré ses affirmations grotesques, systématiquement contredites par les faits : le FNn’a pas de programme, ses élus sont des feignants, la philosophie  ultra libre échangiste de l’UE permet de défendre les Français dans la mondialisation, de lutter contre  le chômage et  la spéculation

     Actuellement en campagne en France contre le Front National, M. Schulz avait décidé avec ses amis socialistes français vendredi la tenue d’un Grand meeting de mobilisation àForbach (Moselle) contre le « populisme » et «pour l’Europe », en présence de Catherine Trautmann, numéro deux sur la liste PS dans le Grand Est et d’autres figures du parti. Cette réunion a été un  flop calamiteux et selon Le Figaro a réuni péniblement 150 personnes !

     Maigre motif de consolation pour ce dernier et ses amis, le meeting commun anti FN à Marseille, qui a réuni également vendredi l’idéologue sectaire  Vincent Peillon, tête de liste PS-PRG dans le Sud-Est et Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti Socialiste, s’est déroulé dans la même morne atmosphère et n’a pas non plus attiré les foules militantes.

     Un « étonnement planétaire » selon M.  Cambadélis, dimanche sur France 5. « Aux yeux du monde un signal terrifiant » selon le conducator du Front de Gauche,  Jean-Luc Mélenchon dans Direct matin ce lundi. Les deux hommes n’évoquent pas ici l’Académie de Nantes invitant la semaine dernière les garçons scolarisés à porter une jupe pour lutter contre le sexisme, mais la probabilité d’un FN en tête le 25 mai. 

      Sur France 5, Jean-Christophe Cambadélis a ajouté que dans cette hypothèse, «La patrie des droits de l’Homme sera d’un seul coup devenue la patrie de ceux qui veulent exclure les autres». Il a repris quasiment mot pour mot les éléments de langage de l’UMP,notamment de la tête de liste francilienne du parti de M. Copé,  le  fédéraliste EuropéisteAlain Lamassoure.  «A partir du moment où l’on voit le Front National en tête a-t-il dit, les investisseurs, les hommes et les femmes qui, à l’échelle mondiale, font de la France leur référence, les dispositifs économiques, tout le monde s’inquiète en se disant qu’est-ce qui se passe dans ce pays? » (sic).

     Ce qui se passe est très simple à comprendre : les Français entendent reprendre en main le contrôle de leur destin, les  fantasmes malsains agités pendant des années pour les dissuader de voter FN ne fonctionnent plus avec la même efficacité qu’avant.  La propagande du Système s’est fracassée sur le mur du réel. Ce qui menace la France disent nos compatriotes chaque jour plus nombreux,  ce n’est pas le programme du Front National, les défenseurs de l’Europe des patries,  mais la  doctrine euromondialiste portée par ses adversaires,  qui détruit nos identités, nos libertés, nos  forces vives

     L’ «insurrection démocratique et républicaine» à laquelle appelait M.  Peillon vendredi se fera, qu’il n’en doute pas. Mais certainement pas dans le sens  qu’il espérait  prédit Bruno Gollnisch.

    http://gollnisch.com/2014/05/19/quest-ce-se-passe-ce-pays/

  • Pamphlet à Pierre Bergé

    « Cher monsieur,

    Vous méritez le nom que vos parents vous donnent :
    Berger, oui, des moutons malheureux et sans âme
    Qui suivent, chiens aveugles, votre voix qui sonne
    Comme un clairon d’airain aux mélodies infâmes.

    La France d’aujourd’hui, aux mains de vos crapules
    Vous a fait commandeur, officier, chevalier
    Des arts et du mérite, un honneur ridicule,
    Qui n’est plus désormais qu’un vulgaire papier.

    Cet amour de ma France attise votre haine,
    Et chaque tradition aux trop pieuses racines
    Fait vivre le passé des mémoires chrétiennes,
    Empoisonnant le sang de votre âme assassine.

     

    Mais voyez-vous, monsieur, il faudra plus qu’un nom
    Plus qu’un goût prononcé pour les amours barbares
    Bien plus que vos journaux ou vos allocutions
    Bien plus que vos menaces pour changer l’Histoire.

    Je suis un fils de France, et quoi qu’il vous en coûte
    Je chanterai l’honneur, la foi de mon pays,
    Sous vos balcons, un jour, si jamais sur ma route,
    Je croisais vos pénates et votre mépris.

    Je vous laisse monsieur, au bras de votre amant,
    En espérant avoir diverti vos lectures,
    Je me console enfin que jamais un enfant
    Ne vous sera donné par la mère nature ! »

    Alauna

    http://www.contre-info.com/

  • L'école St Dominique au Pecq, premier établissement hors-contrat de France

    L'école St Dominique au Pecq est le premier établissement privé hors-contrat de France par la taille. Fondé par une équipe de parents en 1992 avec 35 enfants, il compte aujourd’hui 747 élèves, répartis en 28 classes, de la maternelle à la terminale. Et devra s’agrandir encore avec l’ouverture du lycée féminin, à la rentrée 2014, grâce à la construction d’un troisième bâtiment. Frédérique Borne, directrice du primaire, répond à Présent :

    "Nous accueillons actuellement 320 élèves répartis en 13 classes toutes mixtes. Pour répondre à une importante demande en cours moyen, nous ouvrirons à la rentrée une nouvelle classe de CM1/CM2 à effectif volontairement réduit. [...]

    Nous recrutons nos enseignants par le bouche à oreille et avec l’aide précieuse de la Fondation pour l’Ecole, qui nous envoie aussi des stagiaires. La formation dispensée à l’Institut libre de formation des maîtres [l’ILFM, fondé par Anne Coffinier] est d’excellente qualité, elle demande à ses étudiants un bon niveau académique doublé d’un dynamisme et d’une forte motivation, indispensables à la pratique du métier d’instituteur. [...]

    Quelle est, pour vous, la qualité première d’une institutrice ?

    La capacité de transmettre des connaissances dans la bonne humeur et la douceur, et celle de susciter l’émerveillement et l’enthousiasme.

    Question inévitable : sans aide aucune de l’Etat et avec votre succès, comment réussissez-vous à faire fonctionner le financement de l’école? J’imagine que c’est par l’engagement des parents, des familles ? Parlez-nous un peu de ce fantastique réseau d’entraide générale.

    A Saint-Dominique, toutes les dépenses sont très rigoureusement étudiées à tous les niveaux, mais 15 % sont couvertes par les dons que nous recevons grâce à nos manifestations comme la vente de Noël, le premier week-end de l’Avent, la kermesse, les 14 et 15 juin cette année, le théâtre de la Troupe Hélène et Tatiana formée de professeurs et de parents de l’école, mais aussi grâce au dynamisme des membres du conseil d’administration et de tous les amis de l’école, qui participent à la vie de Saint-Dominique, soit financièrement, soit en apportant leur aide ponctuelle ou régulière. Nous recevons aussi le soutien de la Fondation pour l’Ecole. [...]

    L’école entretient d’excellentes relations avec la mairie du Pecq et nous y avons été bien accueillis dès le début. En effet, dès notre installation dans cette commune, le sénateur maire de l’époque, Alain Gournac, a accordé sa confiance à notre directeur général, M. Michel Valadier, et à nos projets pédagogiques et éducatifs : sens du travail bien fait, courage, courtoisie, sens des autres… Nous participons aux activités scolaires, comme l’annuel et traditionnel « cross des écoles de la ville du Pecq », nous sommes conviés à toutes les cérémonies et événements organisés par la ville."

    Michel Janva

  • [Marseille] cercle Honoré d’Etienne d’Orves le 30 mai 2014

    Le prochain cercle Honoré d’Etienne d’Orves de l’AFE Marseille aura lieu le vendredi 30 mai 2014 à 18h15 à l’Olympic bar en face de la préfecture et aura pour thème, "Les positions du militant d’AF face aux pertes de souveraineté européennes et au au traité de libre échange" 

  • La désétatisation de la sécurité

    Si la défaillance stato-nationale ne se décline pas dans les mêmes termes, l’Etat se vide néanmoins de sa substance (selon une dialectique empire/république). De nos jours en effet, les armées occidentales, plutôt anorexiques, sont désormais entièrement tournées vers les opérations extérieures – le maintien de la paix de type néolocolonial – tandis que la sécurité intérieure des sociétés européennes est confiée à des forces de police de plus en plus militarisées, dotées de moyens importants. En ce sens, la défaillance stato-nationale est devenue une réalité « proche » (au sens heideggerien) qui nous contraint aujourd’hui à raisonner également sur le monde de la suppléance et de la substitution. 

         En Occident à cet égard, on observe que les formes d’organisation se substituant peu à peu ou agissant en suppléance des armées régulières ressortent du secteur privé (SMP, SSP). Or au-delà du cliché des sociétés américaines véhiculé par les médias (Blackwater, Dyncorps, etc.) et de l’image du mercenariat entrepreneurial, la notion de secteur privé recèle une autre réalité souvent méconnue et beaucoup plus en adéquation avec une conception civique de la citoyenneté : c’est la notion de sécurité conçue comme un bien appartenant en commun à ces copropriétaires que sont les citoyens. Cette idée de « copropriété » n’est pas nouvelle et se trouve appliquée depuis le milieu du 19ème siècle dans les grandes villes comme San Francisco. Dès 1847, les commerçants de la ville s’organisent entre eux pour créer un corps de police privée afin de se protéger des hors-la-loi des bas quartiers. Depuis lors, les habitants d’une rue, en accord avec la police municipale, peuvent se constituer en une sorte de coopérative pour financer, recruter et entretenir une petite force de police locale chargée de garantir la sécurité de leur quartier : on appelle ces unités les Patriot Special Police. Le modèle a été repris plus récemment avec succès dans certaines favelas au Brésil pour éradiquer les narco-trafiquants terrorisant la population. L’Europe a également connu des expériences similaires. Ainsi dans les dernières années de la guerre froide, le Portugal a mis en place un système de défense territorial basé sur les communautés locales : un ou plusieurs villages étaient chargés d’organiser un contingent de garde local encadré et entraîné ensuite par des membres des forces spéciales de l’armée portugaise. 

         On le voit, cette conception « privée » de la sécurité se révèle d’une grande flexibilité : d’une part, elle redonne au citoyen la responsabilité de veiller à sa propre sécurité et, d’autre part, elle permet de répondre au changement d’échelle de l’équilibre de la terreur. Ce dernier en effet, à l’instar de la guerre et des autres formes de violence, s’insinue désormais à l’intérieur même du corps social : ce sont donc les individus eux-mêmes, et non plus les Etats, qui doivent pouvoir disposer des moyens de « dissuasion » nécessaires à assurer leur défense. De même, ce changement d’échelle de l’équilibre de la terreur et les conséquences qu’il entraîne, vient rendre à la légitime défense sa signification première, c’est-à-dire le droit fondamental de l’individu de garantir sa vie, ses biens et sa propriété en cas défaillance de l’Etat.     

         Par conséquent, et compte tenu des transformations macro-historiques évoquées, la réponse à notre question (gagner la guerre) pourrait bien se situer dans une telle optique – désétatisation de la sécurité, privatisation et re-légitimation de la défense en en confiant la responsabilité aux citoyens eux-mêmes. 

         C’est ce que nous dénommons en l’occurrence le concept « Swissbollah » visant la recherche d’une nouvelle légitimité pour agir et, de là, une opportunité de reconstruire l’action stratégique. Car, l’Etat moderne n’a plus la capacité de « faire la guerre » précisément parce qu’on ne lui en reconnaît plus la légitimité : aujourd’hui, par définition, « l’Etat a tort ! ». Ce concept recouvre ainsi une triple dimension – un projet collectif, un discours et un système d’arme. 

    Bernard Wicht, Europe MadMax ? Retour à la défense citoyenne

    http://www.oragesdacier.info/2014/05/la-desetatisation-de-la-securite.html

  • 07, 08 et 09 juin 2014 : Pèlerinage Paris-Chartres.

    Notre-Dame de Chrétienté

    Inscriptions au pèlerinage 2014 N’attendez pas pour vous inscrire !

    A toux ceux qui veulent partager trois jours de prière entre militants et sympathisants d’Action française, rejoignez lechapitre Sainte Jeanne de France..Ce chapitre est historiquement le chapitre d’Action Française, ce qui signifie qu’il est ouvert à tous ceux qui voient dans l’engagement royaliste un prolongement du devoir de charité, mais aussi à tous les sympathisants d’hier et d’aujourd’hui qui souhaitent simplement vivre trois journées édifiantes, sur les traces de Charles Péguy.

    Chef de chapitre : Louis-Charles Bonnaves / lcbonnaves@yahoo.fr / 06.60.75.49.12 Nom du chapitre : Sainte Jehanne de France

    Pour connaître les tarifs en fonction de votre lieu de résidence principale et du nombre de personnes que vous inscrivez, reportez-vous au bulletin d’inscription

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?07-08-et-09-juin-2014-Pelerinage,7492

  • Sans-papiers : à plusieurs, c’est mieux !

    400 sans-papiers, sous la houlette du collectif éponyme de Paris, ont fait irruption, le 17 mai, dans les locaux de la mairie du VIIe arrondissement.   

    Si, un jour, vous avez eu à solliciter le maire de votre commune, la secrétaire de mairie vous aura donné un rendez-vous en bonne et due forme, tel jour, telle heure. Cela ne se passe pas toujours ainsi.

    Environ 400 sans-papiers, sous la houlette du collectif éponyme de Paris, ont fait irruption, le 17 mai, dans les locaux de la mairie du VIIe arrondissement, pour demander la régularisation de 1.100 personnes. Brigitte Kuster, maire UMP en opération de tractage à l’extérieur, est revenue séance tenante à l’hôtel de ville : pas question de faire poireauter dans ses locaux 400 personnes venues sans rendez-vous ; on ne sait jamais ce qu’il pourrait arriver.

    « Ce n’est pas parce qu’il y a pression qu’il y a régularisation massive », leur a-t-elle expliqué. C’est bien dit. Mais, sans doute, ces 400 clandestins au grand jour ont-ils toujours dans les oreilles le discours du candidat Hollande excluant toute « régularisation de masse », et n’ont-ils pas eu vent de la circulaire du 28 novembre 2012 du ministre de l’Intérieur, assouplissant les conditions de régularisation ? Si vous vivez dans la clandestinité depuis cinq ans et que vos enfants sont scolarisés depuis trois ans, si vous êtes salarié clandestin mais que vous êtes en mesure de fournir des fiches de paie – ce qui est, il faut bien l’admettre, un peu compliqué aussi –, vous aurez droit à des papiers.

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  • Face au gender, l'unidualité du couple

    L'abbé Guillaume de Tanoüarn, directeur du Centre Saint-Paul, a publié en janvier dernier une Histoire du mal. Il a été interrogé dans L'Action Française 2000. Extrait :

    "Critiquant les deux voies du féminisme, que sont l'enfermement dans le genre ou, au contraire, la volonté de détruire les genres, vous rejoignez l'actualité brûlante en évoquant « l'unidualité du couple » : « le masculin et le féminin » n'ont de sens que dans la perspective « du couple et de la famille »...

    HL'enfermement dans le genre, c'est bien le programme de Julius Evola, qui va jusqu'à penser une nature masculine et une nature féminine. Je trouve à ce monsieur bien peu d'expérience de la biodiversité humaine. Depuis des années, je répète en préparation au mariage qu'il y a des couples modèles mais qu'il n'y a pas de modèle de couple. Chaque couple est une histoire, avec deux tempéraments qui ont trouvé une modulation sur laquelle ils s'entendent et se répondent. Chacun a ses qualités et ses défauts et, contrairement à une idée trop répandue, les époux se choisissent autant sur leurs défauts que sur leurs qualités. L'unidualité de "l'une seule chair", c'est cela : chacun accepte non seulement les défauts de l'autre, mais les siens propres, dans un jeu de compensation où l'amour devra avoir toujours le dernier mot. Et dans cette harmonie duelle, pourquoi faudrait-il que les rôles soient fixés à l'avance, que l'homme fasse les comptes et la femme la cuisine ? C'est absurde. Il y a sans doute un mystère de la femme, c'est celui de sa maternité. Mais il y a aussi un mystère du couple, mystère inaccessible à la raison et qui défie toutes les prévisions. De ce point de vue, je dirais volontiers qu'il y a deux sortes de divorce, le divorce qui n'est qu'un constat d'immaturité persistante et le divorce qui exprime un refus de ce mystère du couple, de cette alchimie du couple, une volonté de tout rationaliser qui se transforme en instinct de destruction et d'autodestruction…"

    Michel Janva