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  • Haute trahison : le summum par le TTIP ou TAFTA

    Votre blog préféré s'est déjà fait l'écho d'excellentes présentations relatives au Partenariat transatlantique de commerce et d’investissements, en globish "Trans-Atlantic Free Trade Agreement (aussi connu sous le nom de TTIP,Transatlantic Trade and Investment Partnership). Notamment ici, et .

    Il est indispensable de prendre toute la mesure de l'effet absolument dévastateur de ce projet qui avance secrètement et à grands pas. Contrairement à ce que les medias aux ordres diffusent, ce n'est pas quelque chose qui attendra longtemps avant de se concrétiser, car les échéances principales concernent 2015!

    En brisant définitivement les quelques barrières qui protègent ce qu'il reste de souveraineté et d'identité à chacun de nos vieux pays européens, cette trahison pure, simple et définitive de nos pays déchainera un tsunami qui balaiera tous les facteurs de vie qui subsistent dans ces pays.

    Il nous parait donc essentiel, au sens fort du terme, que tous les combattants de la vie qui se sont levés l'an passé pour défendre le mariage, pour défendre les enfants, prennent conscience que leur combat sur ce sujet central s'inscrit dans ce combat plus  large pour la vie de nos sociétés sous tous les aspects de celle-ci, et que si la félonie de ces traités triomphe, nos positions sur le sujet central, chrétien et antrohpologique, seront balayées, car il sagit du même combat contre le péché libéral-libertaire et la culture de mort, le règne sans frein de Mamon.

    Pour comprendre l'ampleur de ce crime politique, la profondeur de la trahison de nos "élites de mort", nous invitons nos lecteurs à lire cette analyse d'Alain de Benoit, qui s'il n'est pas au service des mêmes convictions que nous, n'en énonce pas moins ici des vérités que nous devons absolument, et dans l'urgence, diffuser au plus grand nombre. Son article est ici.

    Paula Corbulon

  • Des « bébés parloir » pour écourter les peines de prison ?

    Quelles sont, aujourd'hui, les conditions de vie en prison pour une mère et son enfant ?   

    Depuis 2010, le contrôleur général des lieux de privation de liberté, Jean-Marie Delarue, se bat pour assouplir le régime carcéral des mères vivant avec leur enfant au nom de « l’intérêt supérieur de l’enfant » : « L‘enfant n’a pas choisi de naître et de grandir en prison (…), pour son intérêt, le statut de mère doit primer sur le statut de détenue. »

    Eh bien, sur une proposition des radicaux de gauche, l’Assemblée nationale vient de voter l’impossibilité de placer ou de maintenir en détention les femmes enceintes de plus de 12 semaines, ainsi que la suspension des peines de prison pour les détenues dans la même situation. Hors les cas de crimes et délits commis contre les mineurs. Quand même…

    Le but, nous dit Alain Touret, qui a porté l’amendement est de protéger les enfants et non pas de faire des victimes de plus. Il rejoint donc la position de JM Delarue pour qui l’enfant de mère emprisonnée est « la seule personne à subir les conditions de détention sans être écroué. »

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  • Radio Courtoisie : « Guerre économique et traité transatlantique » (Audio)

    Dans son Libre Journal, Henry de Lesquen recevait le 09 juin 2014 sur Radio Courtoisie: Frédéric Morgan, Christian Harbulot et Arnaud Duplessis.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Entretien avec Pierre-Yves Rougeyron (2/3) : Focus sur les élections européennes

  • Entretien avec Pierre-Yves Rougeyron (2/3) : Focus sur les élections européennes

  • La philosophie est-elle destinée à tous ? Entretien avec Jean de Rouen

    Jean de Rouen est l’auteur d’Apprendre à penser à l’école du réel, initiation à la philosophie (que nous avions évoqué ici, et qui est disponible ici).

    Nous reproduisons ci-dessous l’entretien qu’il a donné au site NDF :

    Jean de Rouen, pensez-vous, en écrivant une initiation à la philosophie, que la philosophie soit destinée à tous ?

    La philosophie est un exercice naturel à l’intelligence humaine. « Tous les hommes désirent naturellement savoir », observe Aristote en exergue de sa Métaphysique. N’est-ce pas ce dont témoigne le questionnement intarrissable de l’enfant ? L’homme est en effet un « animal raisonnable » : il est donc fondamentalement en quête de sens. Or, c’est précisément la philosophie qui portera à son aboutissement la réflexion qui se trouve en tout homme. D’ailleurs, notre manière de vivre, à elle seule, induit une philosophie : c’est dire à quel point il est difficile d’y échapper.

    Si la philosophie est naturelle à l’intelligence humaine, pourquoi a-t-on souvent l’impression qu’elle est réservée à une élite ?

    Pour chaque réalité naturelle, la philosophie recherche l’explication la plus ultime. En ce sens, la philosophie est la plus élevée des sciences. Elle aborde des vérités universelles, non sensibles, qui ne nous sont pas familières parce qu’elles sont les plus éloignées de notre expérience. Aristote nous avise, dans la Métaphysique, que notre esprit se tient, devant les objets les plus élevés de la philosophie, aveuglés comme les yeux d’une chouette devant le soleil.

     

    Cela explique le découragement que peut ressentir l’intelligence devant une science aussi exigente. Un découragement souvent accru car l’on entend trop souvent affirmer, au regard des contradictions qui subsistent dans le domaine des idées, que l’intelligence n’est finalement pas faite pour atteindre des vérités certaines et définitives. Mais affirmer qu’il n’y a pas de vérité, n’est-ce pas déjà affirmer une vérité ?

    Ne faut-il pas adopter une certaine attitude intellectuelle pour entrer en philosophie ?

    La relation que l’intelligence entretient avec le monde extérieur est le creuset d’où jaillit son questionnement. Lorsque l’intelligence affronte le réel, les interrogations qu’elle formule supposent et révèlent son étonnement face à des réalités qui semblent d’abord lui échapper. Ces réalités sont de tous ordres : anthropolgique, éthique, politique, métaphysique, artistique. Il reste que les choses ne répondent qu’aux questions qu’on leur pose : si ces réalités n’éveillent pas d’abord notre curiosité et ne provoquent pas notre questionnement, nous ne progresserons jamais dans leur connaissance. Il faut donc apprendre à s’émerveiller face au réel ! Cette admiration que nous portons sur les choses maintient l’intelligence en éveil. Ensuite, la philosophie s’emploiera à apporter à nos interrogations la plus haute explication susceptible d’étancher notre soif de connaître.

    N’est-ce pas orgueilleux de se prétendre philosophe ?

    Au contraire ! Etymlogiquement, la philosophie signifie l’amour de la sagesse : or, on est toujours privé de ce à quoi l’on aspire. C’est Pythagore qui sera le premier à utiliser le terme de philosophie : alors que ses contemporains le qualifiaient de sage, il récusa lui-même cette appellation, se présentant plus modestement comme un ami de la sagesse.

    Socrate lui-même, lorsqu’il affirme « Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien », est parfaitement philosophe ! Car il affirme par là qu’il est à la recherche de la vérité : il ne prétend pas la posséder. En ce sens, il est davantage philosophe, c’est-à-dire amoureux de la vérité, que sophiste, c’est-à-dire possesseur du savoir.

    En même temps, pas davantage le savant qui sait déjà ne recherche le savoir, pas davantage l’ignorant qui ignore ce dont il est privé ne le recherche… Le philosophe est donc tout à la fois savant et ignorant : car il ignore et il sait qu’il ignore. Cette prise de conscience est le point de départ de toute recherche philosophique loyale et désintéressée.

    Vous consacrez également, dans votre ouvrage, une partie à la logique et à la méthodologie ? Sont-elles réservées aux étudiants ?

    Non. Pour entamer une démarche philosophique honnête, l’intelligence doit d’abord adopter certaines dispositions dont se font notamment l’écho les exigences méthodologiques auxquelles un étudiant doit faire face.

    Ainsi, pour obtenir les bonnes réponses, il faut d’abord poser les bonnes questions : c’est tout l’art de la problématisation. Celle-ci traduit l’étonnement du philosophe face à un aspect du réel mis en lumière dans le sujet : une bonne problématique suscite une curiosité pour le sujet et rend intellectuellement disponible l’interlocuteur ou le lecteur. Poser un problème, c’est finalement provoquer l’intelligence afin de lui arracher une délibération : lorsqu’elle se heurte à une difficulté et qu’elle s’emploie à la surmonter, elle est alors excitée à développer un discours qui fait progresser la connaissance.

    Une autre exigence dans l’art de penser consiste à conceptualiser, c’est-à-dire définir ce dont on parle avant d’en parler ! Il n’est pas rare, dans une discussion, d’employer les même mots sans leur faire recouvrir la même signification : on ne parle plus alors de la même chose. Dans l’Antiquité grecque, les sophistes tiraient profit des mots mal définis, les vidaient de leur signification intellectuelle, et pouvaient alors affirmer tout et le contraire de tout… Socrate, en réhabilitant le sens de la définition, réhabilitera le sens de la vérité : face aux sophistes, il apparaîtra comme le médecin des intelligences malades et rongées par le scepticisme. La philosophie est sauvée.

    http://www.contre-info.com/la-philosophie-est-elle-destinee-a-tous-entretien-avec-jean-de-rouen#more-32963

  • Obama est agacé par les climatosceptiques. Et pourtant...

    Il a basé une grande partie de sa politique économique et idéologique sur les causes humaines du réchauffement climatique. Forcément, il l'a mauvaise en ce moment et veut redonner un coup d'élan et s'en prend très durement à ceux qui ne pensent pas comme lui... 

    TreLoin des luxueux bureaux de la Maison blanche, un guide de haute montagne travaille depuis 3 ans sur les causes de ce réchauffement qu'il constate aussi. Et pour lui, la situation est claire : 

    "Vous affirmez que l’homme n’a rien à voir avec le réchauffement. Pourquoi ?

    Précisons tout d’abord que je ne conteste pas le réchauffement lui-même. Je l’ai d’ailleurs constaté en tant que guide de montagne en voyant les glaciers reculer. Celui qui nous fait face par exemple a perdu 100 m depuis que j’ai acheté cet appart en 1989. En 2005, le pilier Bonatti des Drus s’est effondré à cause du réchauffement du permafrost. Ce que je remets en cause, ce sont les causes de ce réchauffement. Elles n’ont rien à voir avec l’homme ou avec le CO2 comme on nous le serine. Je suis arrivé à cette conclusion pour trois raisons.

    Quelles sont ces raisons ?

    La première, c’est tout simplement l’analyse des données climatiques reconstituées sur des millions d’années. Rien que dans les 10 000 dernières années, il y a eu cinq pics de températures comparables à celui que nous vivons. Ces optima correspondent à des cycles naturels. Au Moyen Age, il était par exemple possible d’aller en vallée d’Aoste depuis Arolla avec les troupeaux car le glacier n’existait plus. Lors des deux premiers optima, le Sahara était une savane avec des lacs, des arbres et des éléphants. Avant cela, pendant des centaines de milliers d’années, il a fait plus chaud qu’aujourd’hui. Et parfois jusqu’à 7 degrés plus chaud! Or le GIEC se concentre sur les 150 dernières années. Autant dire qu’il regarde autour de son nombril. Les reconstructions paléoclimatiques montrent aussi que, pendant des centaines de millions d’années, il n’y a pas eu de corrélations entre le CO2 dans l’atmosphère et la température sur terre.

    Votre second argument ?

    La concentration de CO2 – qui est soit dit en passant un gaz vital et non pas un poison – dans l’atmosphère est négligeable. Il y en a un peu moins de 0,5‰ dans l’atmosphère, et au maximum 5% de cette quantité est imputable à l’homme. Pour un million de molécules d’air, il y a seulement 20 molécules de CO2 produites par l’homme. Et chaque année, notre industrialisation rajoute 4 molécules de CO2 pour chaque million de molécules d’air, mais la moitié est absorbée par les océans et les plantes. Et on veut nous faire croire que cette infime proportion due à l’homme est une catastrophe? J’ai beaucoup de peine à le croire (rires).

    Pourquoi dès lors la thèse officielle fait quasi consensus? Vos collègues scientifiques ne sont pas tous des imbéciles !

    Ces théories visent à nous culpabiliser. Quand des scientifiques comme ceux du GIEC disent qu’ils veulent sauver la planète, je dis qu’ils ne sont pas crédibles. Ils mentent pour préserver des intérêts économiques dont les leurs. Car il y a tout un business derrière la lutte contre le réchauffement. Il y a une volonté de faire peur aux gens par exemple en dramatisant la montée des océans, alors que ceux-ci ne s’élèvent que de 2 à 3 mm par an! C’est aussi une manipulation intellectuelle de parler de CO2 en tonnes plutôt qu’en proportion. Des tonnes, ça impressionne, mais rappelons que l’atmosphère pèse 5 000 000 000 000 000 tonnes!" (suite).

    Le Salon Beige

  • Budget : Valls commence à couper

    Les premières coupes de Manuel Valls attendues mercredi : tous les ministères seront mis à contribution. Y compris la Défense. 
    L'heure des factures a sonné. ­Manuel Valls s'apprête à amputer les dépenses des ministères à hauteur de 1,6 milliard d'euros. Les projets de loi de finances rectificatives pour l'État et la Sécu examinés mercredi au Conseil des ministres vont réduire les crédits afin de contenir le déficit de la France et de financer en partie les baisses d'impôts promises par le chef du gouvernement aux ménages modestes et aux entreprises. 
    Tous les ministres doivent tailler dans leurs enveloppes. Matignon et Bercy veulent qu'aucun n'apparaisse plus maltraité qu'un autre. Même la Défense est mise à contribution. En contrepartie, les armées doivent obtenir un surcroît de recettes de privatisation, prévu par l'article 3 de la loi de programmation militaire dont les projets sont maintenus.
    Michel Sapin, ministre des Finances, fait valoir que les annulations de crédits seront "les plus importantes" jamais réalisées aussi tôt dans l'année. Elles représentent une somme relative par rapport aux 200 milliards du budget de l'État (hors dette, pensions, transferts à l'UE et aux collectivités). S'y ajoutent 2,2 milliards d'économies à la Sécu et le report de 500 millions d'euros d'investissements d'avenir.
    C'est la première étape de la longue marche de l'exécutif vers les 50 milliards d'économies annoncées sur trois ans, dont 18 milliards dans le champ de l'État, par rapport à l'augmentation tendancielle. S'il veut atteindre son objectif, le gouvernement va devoir couper plus largement. Revue de deux chantiers sous tension.
    12.000 suppressions de postes
    Le gouvernement tente de freiner les dépenses des opérateurs de l'État (Météo France, musées, CNRS, etc.) qui profitent d'une relative indépendance. Hors universités, les effectifs devraient baisser d'environ 2 % par an, soit selon nos calculs 4.000 postes en moins par an, et les crédits être réduits dans la même proportion (soit 800 millions d'euros). Le financement de France Télévisions pourrait être rediscuté et l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), dont les dépenses menacent de s'envoler, réformée. Des fusions d'opérateurs sont envisagées. "Mais ce n'est pas simple de les faire accepter aux ministres", dit un proche du dossier.
    Moins d'automobiles
    Le plan de réduction du parc automobile lancé par François Fillon en 2010 sera amplifié. Sur 70.000 voitures (hors véhicules militaires, de police, etc.), 18.000 n'ont pas été remplacées et les coûts de gestion ont été réduits. Soit 120 millions d'euros économisés. Seul hic, le gouvernement exige depuis 2012 que 25 % des nouveaux véhicules soient électriques ou hybrides et l'État a décidé d'assurer son parc à partir de 2013. Ce qui génère un surcoût pointé par la Cour des comptes. S'agissant de l'ensemble des dépenses de fonctionnement, Jean-Marc Ayrault avait fixé un objectif de 2 milliards d'euros de moins d'ici à 2015. À ce stade, l'État serait un peu en retard sur la prévision. Des marges existent. À Bercy, un logiciel décompte les feuilles imprimées par chaque conseiller. Mais sans limite.

    Nicolas Prissette

    sourcehttp://www.lejdd.fr/Politique/Budget-Valls-commence-a-couper-670704

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EupkkAyFkFtmvTBexL.shtml