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  • Projet de réforme pénale : l’ombre d’un nouveau raz de marée FN plane sur les débats (Présent 8119)

     (via PrésentAprès la « séquence émotion » orchestrée mardi par le Premier ministre accusant l’opposition de « faire monter le Front national » en polémiquant sans cesse sur les contradictions du gouvernement (Présent d’hier), c’est le chef de file des députés UMP Georges Fenech qui a, à son tour, agité l’épouvantail FN, en expliquant devant l’Assemblé que la majorité, avec son projet de réforme pénale, prenait « le risque d’un nouveau 21 avril » en 2017. Un régal pour Gilbert Collard et Marion Maréchal-Le Pen qui ont tous deux fait entendre hier leurs voix dans l’hémicycle.

    Le juge « assistante sociale »

    Notamment au sujet de l’article 2 du projet de loi, adopté hier, qui prévoit que la juridiction déterminera la nature, le quantum et le régime des peines prononcées en fonction des circonstances de l’infraction et de la personnalité de son auteur, ainsi que de sa situation matérielle, familiale et sociale. Un article vivement dénoncé par le député RBM Gilbert Collard, qui a expliqué, lors de son intervention : « Vous êtes en train de transformer (…) l’idée même que l’on se fait du juge. (…) Ce nouveau juge, tel que la gauche le conçoit et tel que le garde des Sceaux l’a inventé, (…) figure dans ce texte : la juridiction devra tenir compte de la personnalité de l’auteur du délit. C’est l’individualisation de la peine, qui existe depuis plus d’un siècle. Vous n’avez donc rien inventé. Mais vous ajoutez que la juridiction devra tenir compte des circonstances de la commission des faits qui justifient un accompagnement socio-éducatif individualisé et renforcé. Ça y est ! Nous avons le juge « assistante sociale » ! Comment un magistrat pourra-t-il considérer l’accompagnement socio-éducatif ? Il n’est pas là pour donner et tenir la main, mais pour juger ! (…) Il n’est pas là pour donner la tétée au délinquant, mais pour le punir. (…) Quand on sait, grâce à tous les auteurs et à tous les criminologues, que le juge doit jouer un rôle fondamental, il est très décevant de constater que vous êtes en train de le détériorer en en faisant une sorte de “Blédine pour délinquants” ! Ce n’est même pas du laxisme. Vous ne parvenez pas à sortir d’une espèce d’idéologie qui vous hypnotise. (…) Si vous saviez comme les délinquants rigolent… »

     

    Les victimes oubliées

    Un peu plus tôt, déjà, Marion Maréchal-Le Pen avait dénoncé la « vision doctrinaire et idéologique » de Christiane Taubira, en rappelant que « le tout carcéral français (…) est un mythe ». En effet, a expliqué l’élue FN, « le taux d’incarcération, de 117 pour 100 000 habitants en France, est plus faible que dans l’ensemble des pays du Conseil de l’Europe ! Et 50 % seulement des peines comprennent de la prison, 20 % de la prison ferme. Environ 80 000 peines de prison prononcées chaque année demeurent inexécutées ». Et elle ajoutait : « Ce texte est marqué du sceau de l’injustice : les victimes en sont les grandes oubliées. Vous poussez à l’extrême le principe d’individualisation de la peine. Ce principe, figurant déjà à l’article 132-24, est bien sûr un gage d’équité et d’humanité, qu’il ne faut pas remettre en cause. Mais votre texte va beaucoup plus loin en incitant le juge à se livrer à une analyse de plus en plus subjective sur le caractère, la situation et la vie privée de la personne. Ainsi, c’est moins l’acte qui sera jugé que la personnalité de l’auteur de l’infraction. (…) Dans le même esprit, vous supprimez les peines plancher », omettant « deux fonctions essentielles de la peine, la dissuasion et la protection, pour ne plus citer que la sanction et la réinsertion ». Or, rappelait-elle très justement, « que vous le vouliez ou non, la meilleure des préventions reste la peur de la sanction ».

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/168722/projet-reforme-penale-lombre-dun-nouveau-raz-maree-fn-plane-les-debats-present-8119/

  • Et si Bruxelles cessait de racketter la France ?

    Cette administration dénuée de bons sens ferait mieux de s’occuper des frontières du continent, ouvertes aux quatre vents.   

    Selon les informations révélées par Le Parisien du 4 juin 2014, la France est sous la menace d’un litige avec Bruxelles portant sur une somme qui pourrait atteindre un total de 3,6 milliards d’euros. La somme, plus que conséquente, concerne les subventions européennes versées aux agriculteurs français pour la période s’étalant entre 2008 et 2012. Les règles de la politique agricole commune prévoient que les aides indûment versées à un État membre, par erreur ou frauduleusement, doivent être remboursées.

    En règle générale, ce « refus d’apurement » porte sur des sommes de plusieurs dizaines de millions d’euros. Le record fut atteint en 2010, la France ayant dû rembourser 172,46 millions d’euros. Les montants, pour lors non communiqués, des remboursements à verser pour les années 2014 et 2015 sont évalués entre 406 millions et 1,8 milliard d’euros par an ! C’est énorme, et problématique dans la situation de crise majeure où nous vivons. Bruxelles reproche à la France d’avoir mal mesuré les surfaces des exploitations agricoles du territoire, et surtout de ne pas avoir mis à jour les registres des parcelles. Les conséquences pour l’État pourraient être graves, car on imagine mal que le ministère de l’Agriculture ait provisionné un montant aussi inhabituel. En outre, et fort heureusement, les refus d’apurement ne seront pas demandés aux bénéficiaires. Nos agriculteurs ne risquent donc rien sur ce plan-là.

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  • Cristeros continue son épopée au cinéma

    Les producteurs de Cristeros annoncent que pour sa 3ème semaine de programmation, le film  a fait plus de 55.000 entrées. Il sera encore à l’affiche pour la 4ème semaine dans 67 salles en France mais pour la plupart, il n’y aura plus qu’une séance et cela risque d’être la dernière semaine.

    Pour les producteurs, il est désormais facile de programmer le film dans une salle même pour une ou deux séances. Il suffit de justifier un groupe de trente personnes et de contacter la salle de cinéma du village. Il en est de même pour toute aumônerie ou école privée qui voudraient organiser des séances.

    http://medias-presse.info/cristeros-continue-son-epopee-au-cinema/10930

  • Taubira se demande en quoi elle est laxiste : 6 exemples qui le prouvent

    Christiane Taubira s'est exprimée sur la réforme pénale dans un entretien au Parisien, publié ce lundi 2 juin. "En quoi suis-je laxiste ? Depuis deux ans, c'est magique, j'entends ça tous les jours mais personne ne me donne un seul exemple", a rétorqué la garde des sceaux. En voici quelques uns.

    1 - Dès son arrivée, Christiane Taubira a fait le choix de vider les prisons plutôt que d’en construire 

    Xavier Bébin : La première décision prise par Christiane Taubira Garde des Sceaux a été de supprimer le programme de construction de 24 000 places de prison voté par la majorité précédente. Conséquence : en 2017, à la fin du programme de construction déjà engagé, la France comptera 62 000 places de prison, pour 68 000 détenus. Le message était sans ambiguïté : contre surpopulation carcérale, il s’agissait de baisser le nombre de détenus (donc en incarcérant moins et en libérant plus vite) plutôt que d’augmenter le nombre de places. 

    2 - Christiane Taubira a aggravé l’inexécution des peines de prison, facteur d’impunité 

    Non contente de ne prendre aucune mesure susceptible de résorber le stock de 100 000 peines de prison inexécutées (essentiellement faute de places de prison en nombre suffisant), Christiane Taubira a aggravé la situation par sa circulaire de politique de pénale de septembre 2012, demandant explicitement aux procureurs de retarder, voire d’éviter la mise à exécution des peines de prison ferme. On se souvient du scandale qu’avait suscité, à l’été 2013, la libération de trois voyous que la police venait juste d’interpeller à Dreux en vue de mettre leur peine de prison à exécution. Il s’agissait d’une application directe de sa directive. 

    3 - Christiane Taubira a annoncé la suppression des lois permettant de neutraliser les criminels les plus dangereux 

    Au fil de ses interventions publiques, la ministre n’a cessé de remettre en cause le concept de "dangerosité" dont elle pense que "personne n’est en mesure de la définir ni de la mesurer". Exit, donc, la dangerosité des Guy George, Patrice Evrard, Emile Louis et consorts. Cohérente avec elle-même, Christiane Taubira a demandé la suppression de la "rétention de sûreté", une mesure permettant précisément de protéger la société contre un très petit nombre (une centaine) de prédateurs extrêmement dangereux. Mais pour elle, "la rétention de sûreté, c’est juste pas concevable". Vous avez dit laxiste ? 

    4 - Christiane Taubira veut désarmer la Justice pénale des mineurs 

    Tant pis si les 14-18 ans (5 % de la population française) représentent 25 % des mis en cause pour viols, 34 % pour cambriolages et 46 % pour vols avec violence. Sa priorité – et l’une de ses premières déclarations publiques – a été d’annoncer la suppression des tribunaux correctionnels pour mineurs récidivistes, créés précisément pour que la Justice soit plus ferme à leur égard. Elle trouve donc déjà excessive la situation actuelle où, sur 50 000 condamnations prononcées chaque année, 15 000 sont des "admonestations", 13 000 des "sursis" et 5 000 des "remises aux parents". Des sanctions redoutables, assurément. 

    5 - Christiane Taubira va libérer un maximum de détenus à mi-peine 

    Sa réforme pénale, discutée ce jour en conseil des ministres prévoit, par le système de "libération sous contrainte", d’obliger les juge d’applications des peines à examiner le dossier de tous les détenus à la moitié de leur peine, en vue de les remettre en liberté (je dis bien à la moitié de leur peine, et non aux deux-tiers comme le prétend le gouvernement, car c’est ce qui se produira en pratique compte tenu des remises de peine automatiques dont bénéficient par ailleurs les détenus). Le projet de loi Taubira prépare donc la libération massive et rapide d’individus si peu motivés de se "réinsérer" qu’ils n’ont même pas pris la peine de préparer un dossier de libération conditionnelle. 

    6 - Christiane Taubira supprime les peines plancher visant les récidivistes 

    A la décharge de la ministre, il s’agissait d’un engagement du candidat François Hollande. Mais son projet de loi va encore plus loin : il prévoit explicitement de favoriser les aménagements de peine des récidivistes – oui, des récidivistes – et d’augmenter la durée de leurs remises de peine. Ceci, alors qu’une majorité des crimes et délits sont commis par une toute petite minorité (5%) d’individus suractifs et dangereux. Et que la société est d’autant mieux protégée que ce noyau dur est derrière les barreaux, plutôt qu’en liberté, même sous "contrainte" (laquelle sera de toute façon bien aléatoire).

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Les nouveaux chiots de garde

    Imaginez la scène, devant votre journal télévisé préféré : « François Hollande en tête avec 31,3% ; Jean-Luc Mélenchon et Eva Joly dans un mouchoir de poche avec 25% chacun ; Nicolas Sarkozy culmine à 3,44% - dix fois moins que son adversaire socialiste, mais au-dessus de Jacques Cheminade (1,72%) ; Marine Le Pen fait l’unanimité contre elle avec 0% !». 

         Ces scores – invraisemblables dans la vraie vie – ne sortent pas d’un canular de gauchiste ou d’un cauchemar de srkozyste. Ce sont les principaux résultats d’une simulation de vote organisée le 18 avril 2012 par l’Ecole supérieure de journalisme de Lille (ESJ), pour le premier tour de l’élection présidentielle. Avec le score de Philippe Poutou (1,72%), la gauche et l’exrême gauche y ont accaparé 85% des suffrages des apprentis journalistes. Seul François Bayrou, avec 8,62% des voix, correspondait approximativement à son poids dans la vie réelle (9,13%). Une expérience caricaturale et sans portée effective, croyez-vous ? Pas si sûr. 

    Une autre école de journalisme, le Celsa, affilié à l’université Paris-Sorbonne, a également organisé un vote. Résultats : 37,5% pour Hollande, 25% pour Mélenchon, 4,2% pour Eva Joly et autant pour Philippe Poutou. Un confortable total de 71% pour la gauche et l’extrême gauche. Nicolas Sarkozy et François Bayrou (chacun 12,5% des voix) se partagent le reste avec Nicolas Dupont-Aignan (4,5%). Marine Le Pen qui, dans la réalité, a été soutenue par un électeur sur cinq, n’obtient – là encore – pas une seule voix. 

         Un dernier exemple ? Au Centre de formation des journalistes (CFJ) de Paris, haut lieu de la fabrique des « petits soldats du journalisme », la même simulation pour le premier tour a donné un résultat encore plus ahurissant : aucun candidat de droite n’a obtenu le moindre suffrage ! Pour le dire autrement, la gauche et l’extrême gauche ont récolté 100% des voix dans cette école d’où sortent, depuis des années, les responsables des plus grandes rédactions. 

         Ce décalage avec le vote de la population explique peut-être pourquoi, d’après une étude TNS-Sofres de janvier 2012, plus d’un Français sur deux ne fait pas confiance aux médias et encore moins aux journalistes qui y travaillent ! Journaliste dissident, Eric Brunet n’y va pas par quatre chemins : il explique sur Boulevard Voltaire que « l’immense majorité des 36 300 cartes de presse de notre pays pense à gauche [...] Ce sont des journalistes discrets et ‘objectifs’, des reporters de radio ou de télévision, des localiers de la presse régionale, des enquêteurs, des correspondants, des interviewers, des reporters d’images, des documentaristes... Des femmes et des hommes de gauche, qui estiment faire leur métier honnêtement mais dont l’écrasante supériorité arithmétique constitue à elle seule une entrave à la liberté d’information. Chaque matin, réitérée des milliers de fois, leur vision du monde s’imprime dans les consciences. Ils sont l’Information. Ils accomplissent paisiblement et bourgeoisement leur petit ouvrage, avec le sentiment du travail bien fait, nous reprochant même de parler trop haut. Ils sont tout et nous ne sommes rien. Le journalisme est un territoire occupé de la gauche. » 

    Jean-Yves Le Gallou, La tyrannie médiatique

    http://www.oragesdacier.info/

  • Pèlerinage de Chartres à Paris

    ACe week-end de Pentecôte verra aussi le pèlerinage de Notre-Dame de Chartres à la place Vauban à Paris, organisé par l'association Pèlerinage de Tradition, proche de la Fraternité Saint Pie X. Le thème de cette année est "Ô Croix, notre victoire ! La Victoire de l’Agneau".

    Cette marche se terminera le lundi de Pentecôte, à l’arrivée dans Paris, par une grande procession du Saint-Sacrement depuis le Carrefour des Cascades du Bois de Boulogne jusqu’à la place Vauban où sera célébrée la messe de clôture du pèlerinage. L’ostensoir du Saint-Sacrement porté par un prêtre, au sommet d’un char, sera accompagné par plus de 600 enfants de chœur et plus d’une centaine de prêtres, religieux et séminaristes.

    Plusieurs milliers de pèlerins venant de toutes les régions de France, de toute l’Europe, mais aussi des Etats-Unis, du Mexique, des Philippines, du Japon, de Madagascar… formeront cette imposante procession qui traversera l’ouest parisien du Bois de Boulogne (14h), en passant par La Muette (14h30), le Trocadéro (14h50), le Pont d’Iéna (15h20) et l’avenue de La Bourdonnais (15h40), jusqu’à la Place Vauban (16h).

    Programme de ce pèleirnage :

    • Samedi 7h45 : Messe derrière la cathédrale de Chartres, dans les jardins de l’évêché, célébrée par l’abbé Patrick de La Rocque et à 21 h 45 : veillée des adultes au Bivouac des Greffiers (Rambouillet)
    • Dimanche 18h00 : Messe pontificale célébrée par Mgr Alfonso de Galarreta, au Bivouac Saint-Lubin sur la commune de Noisy-le-Roi
    • Lundi à 12h00 : Déjeuner au Bois de Boulogne, Porte de l’Hippodrome. 16h30 : Messe solennelle sur la place Vauban, derrière les Invalides, célébrée par l’abbé Régis de Cacqueray.

    Michel Janva

  • Présidentielle : et si Sarkozy avait moins dépensé ?

    Lu dans Minute :

    M"En tant que candidat présent au second tour, les dépenses officielles de Sarkozy ne devaient pas dépasser un plafond légal, fixé à 22 509 000 euros. Or Sarko aurait trouvé ce plafond trop bas pour ses grandes ambitions. Du coup, les dépenses supplémentaires n’auraient pas été facturées au candidat Sarkozy mais à l’UMP. Le parti aurait ainsi épongé le surplus en réglant à Bygmalion des factures aux intitulés fantaisistes.

    Si cette tricherie est établie, ça sera la deuxième fois que Sarkozy est pris en flagrant délit. Le 19 décembre 2012, la CNCCFP (Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques) avait déjà rejeté ses comptes de campagne (rejet confirmé en juillet 2013 par le Conseil constitutionnel). Alors que Sarko n’avait déclaré « que » 21 339 664 euros (en dessous du plafond), la CNCCFP avait estimé que ses dépenses réelles se montaient à 22 872 615 euros (soit quelque 363615 euros au-dessus du plafond). [...]

    Si les accusations de Bygmalion, étayées par Jérôme Lavrilleux, sont justifiées, le dépassement des comptes de campagne de Sarko ne se limite plus à 363615 petits euros mais à environ 10 millions! [...]

     Que l’UMP le veuille ou non, si triche il y a eu, l’élection en a été faussée! Au premier tour, Hollande avait obtenu 28,63 % des suffrages, suivi de Sarko avec 27,18 % et de Marine Le Pen avec 17,90 %. Or est-il impensable que, sans les millions supplémentaires dépensés pour battre la campagne, Sarko n’ait pas atteint le même score ? Et si, sans ces millions, il avait fait… 5 % de moins ? Par transfert, Marine Le Pen ne les aurait-elle pas gagnés ? Cela fait certes beaucoup de si mais on ne peut exclure que, sans cette triche, Marine Le Pen aurait pu se qualifier pour le second tour! Malheureusement, on ne peut pas refaire l’histoire. A défaut, à cette histoire, il serait enfin temps de donner une morale: tout tricheur à l’élection suprême devrait être frappé d’une inéligibilité à vie. Ça serait la moindre des choses."

    Le Salon Beige

  • DIE "Diffusion International Edition"

     

    Aperçu du Catalogue

    Catalogue

     

    Histoire
    Shoah story - Mystérieuse légion étrangère - Le mystère du coeur de Saint Louis - A quoi sert l"histoire. L'Antichristianisme juif.
    Livres pratiques
    Le vinaigre produit miracle - Le vin essence de vie - Le riz symbole de bonheur et de fécondité - A la découverte de l'escargot.
     
    Vérité
    Le journal d'Oussama Ben L - La convergence des catastrophes - L'instant qui à transformé leur vie - Jehane nommée d'Arc née et morte sous Y - Iran le mensonge - Corse le terrorisme - Code TL825 Mesrine .
    Couture
    Univers mannequin
     
    Photos
    Spasmes
    Paris titi
    Ca c'est Paris
     
    Spiritualité
    La femme de dieu.
    Roman
    JIHAD 3 jours avec Cyril.
     
    Sport
    L'appel du champion.
    Hors catalogue
    Présidentielles 2002
     

    http://die-livres.com/shop/catalog/browse?sessid=YlMvKzS1oqBjk8WT13UpcLEzR61zLcNwjn5v9zgFH0aQehi0AFBg9Pe6LzbjJJ5R&shop_param=

  • LE MENSONGE DE LA LÉGENDE GAULLISTE

    À la veille du 18 juin, il est bon de rappeler qui fut en réalité Charles De Gaulle.

    C'est à partir de 1916 que l'on commence à parler d'un certain De Gaulle.

    Légèrement blessé au genou au début de la guerre, “cela lui évitera de participer à la bataille de la Marne (...) une chance, car celle-ci s'est traduite par une hécatombe d'officiers subalternes dont il eût fort risqué d'être victime" .

    "De même restera-t-il étranger à la bataille du Nord.

    "Les fonctions qu'il occupe dans l'État major régimentaire

    vont le tenir à l'arrière des premières lignes".

    Derrière la prudence d'Yves Amiot (1), se dessine déjà le jeune De Gaulle :

    Éviter les coups et rester près de l'autorité supérieure.

    Tel est l'homme qui arrivera finalement en première ligne le 1er mars 1916, son 33ème régiment prenant la position défendue victorieusement par le 92ème, puis par le 110ème régiment d'infanterie en dépit du pilonnage des Allemands.

    Or, dès le lendemain de son arrivée, suite à un nouveau pilonnage, le capitaine De Gaulle fait hisser le drapeau blanc...

    Contrairement aux autresofficiers français, les Allemands ne lui rendirent pas son épée et De Gaulle qui s'en étonnait,  s'entendit répondre froidement, "c'est parce que vous vous êtes rendu sans combattre" ... !

    Ce “détail” du parcours de De Gaulle, je l'avais entendu avec mon père, une première fois au Portugal de la bouche d'un commandant de l'armée française.

    Plusieurs années plus tard, le comte Aymer de la Chevalerie, le généreux donateur des locaux de Chiré-en-Montreuil, nous donnait les mêmes détails, sans que ces deux hommes se soient connus.

    Tel était le personnage dont les lobbies antinationaux allaient faire un héros.

    Sans la protection du général Pétain, parrain de son fils Philippe, la carrière du jeune De Gaulle se serait arrêtée là.

    L'ambition maladive de De Gaulle allait l'amener à s'approprier une étude d'État-major sur l'avenir de l'arme blindée en le publiant sous son seul nom.

    Le général Spears et sa «recrue», De Gaulle

    Le Président Lebrun

    Réprimandé par Pétain, De Gaulle allait lui vouer une haine tenace comme à l'ensemble de l'armée française qui le méprisait.

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, la prétendue victoire de Montcornet le 17 mai 1940 attribuée après la guerre à De Gaulle, ne fut qu’une nouvelle reculade de sa part.

    Dès les premiers engagements il fit reculer la 4e division cuirassée qu’il commandait.

    "Charles de Gaulle ne semble pas avoir montré sur le terrain les qualités de coup d'oeil et d'invention"..., commentait Jean Lacouture (2), dans son De Gaulle, Édition Le Seuil.

    Et dans Hitler der feldherr (3), traduit en français sous le titre Hitler, chef de guerre, Editions Arthaud, Gert Bucheit confirmait :

    "Le 15 mai, le corps blindé Guderian et le 1éème Panzer Corps atteignit Montcornet à 70 km de Sedan.

    " On pouvait supposer que le haut commandement allemand ne se contenterait pas d'une simple tête de pont sur la Meuse.

    Pourtant, le général Von Kleist donna l'ordre de s'arrêter ".

    Moncornet, n’est donc qu’un clone de la pseudo victoire de Valmy du 20 septembre 1792.

    L’invention d’une victoire pour créer la saga de la Révolution, comme celle de De Gaulle.

    Ce fut pourtant la guerre de 40 qui allait lui donner la chance dont il rêvait.

    Les Anglais qui avaient besoin d'un képi à opposer au prestige et l'action du Maréchal, envoyèrent le général Spears de l'Intelligence service, débaucher le vaniteux De Gaulle ulcéré de ne pas avoir été pris dans le gouvernement Pétain.

    Tel fut le début de la légende du "glorieux résistant", De Gaulle et là encore l'Histoire officielle est menteuse, car De Gaulle n'a jamais été nommé général.

    La saga résistantialiste occulte que ce fut Albert Lebrun, président de la République, qui signa le 23 juin 1940, le décret de mise à pied de De Gaulle pour cause de désertion :

    Au Journal Officiel, 24 juin 1940, paraissait ce texte du Ministère de la Défense :

    - "Par décision ministérielle du 22 juin 1940, la promotion au grade de général de brigade à titre temporaire, de M. le colonel d'infanterie breveté De Gaulle (Charles-André-Joseph-Marie) est annulée".

    - "M. le colonel d'infanterie breveté d'état-major De Gaulle (Charles-André-Joseph-Marie) est admis d'office à la retraite, par mesure de discipline".

    La "Libération-Épuration" sera pour De Gaulle allié aux responsables de la Débâcle, l'occasion de créer sa «légende», donc celle de sa prétendue «victoire de Montcornet», qui n’eu pas plus de réalité historique que la «victoire» de Valmy pour la Révolution dite française, comme on l’a vu plus haut...

    Elle sera aussi l’occasion de régler ses comptes avec l’armée qui le méprisait depuis sa capitulation de 1916 et contre les pétainistes.

    Comme l’avouait Robespierre au Club des Jacobins pour justifier la Révolution :

    «Si Louis est innocent, c’en est fait de la Révolution».

    De même, De Gaulle était amené à proclamer Philippe Pétain «traitre», pour que lui De Gaulle et ses alliés ne le soient pas !

    Les crimes de la Résistance gaullo-communistes furent tels que le Père Panicci dans son sermon du dimanche des Rameaux 1945, à Notre Dame de Paris, dénonçait "ce régime d'abattoir".

    Des documents médicaux de l'époque, permettent de mesurer l'horreur des tortures infligées par les "patriotes", FFI, FTP, et autres "milices patriotiques" (4) :

    "Poils brûlés au briquet, bougies allumées dans l'anus, pointes des seins coupées, dents cassées, brûlures électriques dans le vagin, l'anus, la plante des pieds, coups de barre de fer, sections des doigts, arrachages d'ongles, lésions de marche ou reptation sur du verre, brûlures pour "cautériser" les plaies , aspersion d'essence et mise à feu, enfoncement de la cage thoracique, du crâne, avec lésions méningées, cérébrales, de la moelle épinière - c'est ainsi qu'allait mourir dans d'atroces souffrances le constructeur Louis Renault - lésions de l'oeil, viol de femmes et de fillettes, promenées nues".

    Le «féal» des Anglais, De Gaulle aux coté de Churchill

    Il faut rappeler le martyre de l'amiral Platon, chargé par le maréchal Pétain de surveiller les sociétés secrètes interdites par Vichy qui, renvoyé par Laval dans sa propriété du sud-ouest, y fut torturé et mis à mort par des résistants en l'écartelant entre des tracteurs (5).

    Avec celui du comte Christian de Lorgeril , héros de la guerre de 1914, on atteignait les sommets de la barbarie.

    Le quotidien démocrate-chétien du MRP, L'Aube, 16.11.1950, quelque peu gêné du comportement de ses alliés, rapportait les faits :

    "Arrêté pour ses idées monarchistes le 22 août 44, complètement nu, le malheureux dut s'asseoir sur la pointe d'une baïonnette, puis il eut les espaces métacarpiens sectionnés, les pieds et les mains broyés, le thorax et le dos transpercés par une baïonnette rougie au feu, puis on le réanima pour lui verser du pétrole enflammé sur les plaies".

    "Il ne devait mourir que 55 jours plus tard dans des souffrances de damné" (6).

    C'était le temps où le démocrate-chrétien P.H.Teitgen, Garde des Sceaux de De Gaulle, répondait aux communistes qui trouvaient l'Épuration insuffisante :

    "Messieurs, Par rapport à nous, les Grands Ancêtres étaient des enfants de coeur"... et à ceux qui déploraient la guerre civile, De Gaulle répondait :

    "Messieurs, la guerre civile où est la guerre civile" ?! (4).

    Tel fut l’homme auquel Fred Zeller, ancien Grand Maître du Grand .'. Orient .'., rendait hommage dans Europe Parlement en rappelant le "mot" de De Gaulle, à la Libération :

    "Je vais redonner la République à la France, il n'y a aucune raison pour que je ne lui redonne pas aussi les francs-maçons" et Zeller reconnaissait :

    Il nous a redonné force et vigueur".

    Tel était l'individu pour lequel tant de "nationaux", de Rivarol, à Tixier-Vignancour et à Le Pen, entre autres, ont voté au référendum de 1958 et dont la suite de sa "carrière", allait confirmer l'ignominie.

    Dès son arrivée au pouvoir à Alger, il rétablissait, le décret Crémieux abrogé par Vichy.

    Ce décret redonnait unilatéralement et en bloc la nationalité française aux seuls Juifs, alors que comme en 1870 les musulmans venaient de se battre pour la France.

    Les conséquences ne se firent pas attendre et François d'Orcival rappelle, Valeurs actuelles, 13.5..05 :

    "Le 1er mai 1945, les manifestants à Alger, Oran, Mostaganem, criaient "À bas la France, à bas les Juifs", tandis que la police tire sur eux".

    De même, lors des émeutes du 9 au 14 mai, les émeutiers criaient de façon révélatrice :

    "À bas De Gaulle, serviteur de la juiverie"."À bas Churchill et les Juifs".

    Comme en 1870 les marxistes Adrien Texier ministre de l'Intérieur et Charles Tillon , ministre de l'Air, massacreront des milliers de civils musulmans, traités d' "hitlériens" !!!

    C'est dire si le facteur juif était fondamental dans l'insurrection contre la France, devenue aux yeux des musulmans, un occupant au service de la communauté juive.

    Cela aucun des nostalgiques de l'Algérie française ne le rappelle !

    Ils n'ont toujours rien compris aux causes premières de la perte de l'Algérie.

    La férocité de la répression des gaullo-marxistes, comme celle du gouvernement Thiers tenu par les Rothschild en 1870, est suspecte, comme si, comme en 1870, les dirigeants de 1945 avaient voulu créer l'irréparable avec la communauté musulmane, pour la dresser contre la France.

    On connaît la suite :

    La trahison de De Gaulle rappelé en "sauveur" par les Français d'Algérie, l'armée française et applaudi par les "nationaux" d'alors.

    Pour comprendre leur naïveté, il faut rappeler comment De Gaulle s’est vanté dans ses Mémoires d'Espoir, de les avoir trompés :

    “Si de but en blanc j'affichais mes intentions, une vague de stupeur(s) et de fureur(s) eut fait chavirer le navire".

    "Sans jamais changer de cap, il me faudrait donc manoeuvrer", p. 60-61.

    Ayant réussi à amener l'armée à capituler, l'autre ignominie, avec le mitraillage des Français par le général Katz aux origines juives, sera de livrer les harkis.

    Le télégramme secret du 16.5.1962, N° 125/IGAA, ordonnait :

    "Le ministre d'État Louis Joxe demande au Haut commissariat de rappeler que toutes les initiatives individuelles tendant à l'installation( en ) Métropole ( de ) Français musulmans sont strictement interdites".

    Une nouvelle directive de Joxe, du 15 juin 1962, enjoignait :

    "Vous voudrez bien rechercher, tant dans l'armée que dans l'administration, les promoteurs et les complices de ces entreprises de rapatriement et de faire prendre des sanctions appropriées".

    "Les supplétifs débarqués en Métropole seront renvoyés en Algérie".

    "Je n'ignore pas que ce renvoi peut être interprété comme un refus d'assurer l'avenir de ceux qui sont restés fidèles, il conviendra donc d'éviter de donner la moindre publicité à cette mesure".

    Même Alain Rollat reconnaissait, Le Monde 7.8.91 :

    "Dès le mois de juillet 1961, l'armée française commence à désarmer les harkis" "leur désarmement avait été promis au FLN par les autorités Françaises".

    "Ils seront exécutés avec leurs femmes et leurs enfants".

    Ces massacres "varient selon les sources, de 30.000 à 150.000, les harkis et leurs familles ont été victimes d'atrocités en tous genres, avant même la proclamation de l'indépendance, sans que les autorités françaises interviennent"...

    Ainsi, les Musulmans comme les Français ont été victimes du même complot mondialiste cosmopolite.

    On juge de la déliquescence de la "mouvance nationale" par son silence et son adulation d'un Le Pen qui se présente "comme seul héritier du gaullisme"Rivarol , 29.1.99 et qui, avant même son discours d'Argenteuil, prônait "une France multiculturelle etmultconfessionnelle",

    Ouest-France , 3.9.99.

    Or, toute la politique française actuelle découle des conséquences de cette politique gaulliste aux ordres du mondialisme.

    Voilà pourquoi, il urge de faire le ménage dans les rangs de cette pseudo droite nationale et de tirer les leçons de l'Histoire.

    Dont celle de la légende de De Gaulle, faux patriote, militaire lâche, capitulant aux étapes clés de notre histoire, n’ayant réussi à s’imposer que par la politique aux ordres des lobbies. 

    Du De Gaulle de 1916, à celui se mettant à l’abri à Londres aux ordres des Anglos-américains, au fuyard à Baden-Baden allant se mettre sous la protection du général Massu, en mai 68, c’est le mêmer homme.

    Chacune de ses fuites, de ses désertions, explique l’homme et son action contre la France.

    P. P. d' Assac

    (1) Yves Amiot . La Capture . Editions Ulysse,

    (2) Jean Lacouture, De Gaulle, Édition Le Seuil.

    (3) Gert BucheitHitler der feldherrtraduit en français sous le titre Hitler, chef

    de guerre, Éditions Arthaud,

    (4) J-P Abel. L'Âge de Caïn . Les Editions Nouvelles.

    (5) André Figueras. Onze Amiraux dans la Tourmente. DPF.

    (6) Henry CostonLe Livre Noir de l'Epuration . Lectures Françaises, 1964.

    Extrait de La Politique, N° 84, juin 2008