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  • Documentaire : le tragique destin du premier cobaye de la théorie du genre

    Ce documentaire, réalisé par l’Observatoire de la théorie du genre et produit grâce à votre soutien, raconte "Le terrible destin du premier cobaye de la théorie du genre".


    Le tragique destin du premier cobaye de la... par Obsgender

    Cette vidéo est également disponible sur Youtube

  • Le documentaire sur le cobaye de l'idéologie du genre déjà vu plus de 50 000 fois

    L’Observatoire de la théorie du genre a produit et réalisé un documentaire-vidéo relatant la tragique histoire de Bruce Reimer qui fut la première victime de l'idéologie du genre. En quelques jours, ce documentaire a déjà été visionné plus de 50 000 fois sur les différentes plateformes de vidéos (dailymotion, youtube, etc…) et partagé par plusieurs milliers de personnes sur les réseaux sociaux.

    En réalisant cette vidéo, l’observatoire tenait à faire connaître en France les conséquences dramatiques de cette première expérience liée à l'idéologie du genre. Le pari est en passe d’être réussi.

    Une histoire tragique, longtemps dissimulée

    En 1966, suite à une opération chirurgicale ratée, le petit Bruce Reimer, âgé de neuf mois, a le pénis irrémédiablement endommagé. Ses parents, ne sachant que faire, finissent par se tourner vers le Pr. John Money qui pensait que l’identité sexuelle des enfants, garçon ou fille, était suffisamment plastique durant les premières années de la vie, pour permettre de réassigner un nouveau genre à un enfant, grâce à un suivi médical (prise d’hormones), psychologique (une thérapie) et culturel (rôle de l’environnement et des parents).

    Le Pr Money finit par convaincre les parents du petit Bruce qu’il était tout à fait possible de changer le sexe/genre de leur enfant. C’est ainsi qu’il entreprit de transformer le petit Bruce, âgé alors de 22 mois, en « Brenda ».

    Il souhaitait, grâce à cette expérience, apporter la preuve de la validité de ses thèses sur la « flexibilité de la division sexe/genre ».

    Une expérience qui sert de caution à l'« idéologie du genre »

    Les promoteurs de l'idéologie du genre, qui aujourd’hui encore s’appuient sur l’expérience de Money pour légitimer leurs thèses, oublient toujours de préciser ce qui est réellement arrivé. La réalité est malheureusement tragique.

    Malgré les traitements hormonaux et la thérapie, Bruce devenue Brenda n’a jamais réussi à se sentir bien dans sa peau. À 14 ans, « elle » manifesta des tendances suicidaires et refusa de continuer à voir le Pr. Money. Face à la détresse de leur enfant, les parents de « Brenda » furent amenés à lui révéler la vérité sur sa réassignation de genre et « Brenda » entreprit une nouvelle transformation pour redevenir un garçon et demanda à ce que désormais on l’appelle « David ».

    Cette malheureuse expérience marqua profondément David Reimer qui décida de rendre publique son histoire. Il publia, en 1997, un livre dans lequel il témoigna des conséquences néfastes de ces thérapies afin d’éviter que d’autres enfants subissent les mêmes traitements.

    En 2004, David Reimer, toujours fragile, finit par se suicider. La mort tragique de David Reimer aurait dû servir de leçon aux apprentis sorciers de l'idéologie du genre. Malheureusement, ils ont préféré oublier ce triste épilogue et continuent, aujourd’hui encore, à le cacher pour ne pas discréditer leur idéologie.

    C’est contre cette dissimulation et pour faire connaître les conséquences tragiques de l’expérience de Money que l’Observatoire de la théorie du genre a décidé de produire et de réaliser ce documentaire.

    Le Salon Beige

  • Réforme Taubira : la victoire de l’idéologie ?

    Hier après-midi a débuté au Parlement la discussion du projet de réforme pénale de Christiane Taubira. Une discussion déjà reportée et d’autant plus attendue.

    Cette réforme devait être débattue au lendemain des municipales, mais Mme Taubira pensait qu’elle ne survivrait pas au remaniement. Elle avait même déjà fait son pot de départ du ministère quand Manuel Valls l’a rappelée à son poste. Moins sans doute pour ses qualités que parce qu’elle est devenue une figure de repoussoir pour les uns, de madone victime du racisme pour les autres.

    Le dossier est de ceux qu’on qualifie de « sensibles ». De fait, cette réforme est l’une des plus idéologiques qui soient. L’une des dernières, en tout cas, à faire la part belle à l’idéologie de gauche, laxiste diront certains, qui en fait un marqueur réellement politique du quinquennat Hollande – notamment parce qu’elle détricote ce qui avait été mis en place sous le gouvernement précédent.

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  • Rébellion #64: "Abattre la théorie du genre"

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    EDITO : Survie du capitalisme ou du genre humain ?

    DOSSIER : Abattre la théorie du Genre

    Un combat spirituel ou un combat scientifique ? par David L'Epée. 

    Rencontre avec Farida Belghoul. 

    Pornographie. l'autre discours dominent par Terouga

    HISTOIRE : Harro-Shulze Boysen. Un national-bolchevik dans l'orchestre rouge

    ( partie 2) 

    Nationalisme russe à l'époque soviétique par  David l'Epée. 

    MUSIQUE : Assaut électronique et musique bruitiste par  Diaphane Polaris

    Sinweldi. la guerre comme hygiène du monde. 
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  • Magali Pernin : "Traité transatlantique, la menace"


    Colloque de la revue Éléments

    Samedi 26 avril — "Europe-marché ou Europe-puissance ?"

    Le rêve européen s'est transformé en cauchemar. L'Union européenne traverse une crise de légitimité sans précédent. Et le spectacle qu'elle offre n'a rien pour enthousiasmer. Le sentiment le plus répandu est que l'Europe se construit désormais contre les Européens. Un sondage Ipsos a révélé que 70 % des Français souhaitent « limiter les pouvoirs de l'Europe ». Comment en est-on arrivé là ?

    Invités du colloque
    • Eric Maulin, professeur à l'université de Strasbourg et vice-président du Forum Carolus,
    • Gérard Dussouy, professeur de géopolitique à l'université de Bordeaux,
    • Magali Pernin, spécialiste en droit public, animatrice du site contrelacour.fr,
    • Françoise Bonardel, philosophe, professeur à l'université de Paris Panthéon-Sorbonne,
    • Paul-Marie Coûteaux, essayiste,
    • Pierre Le Vigan, écrivain et journaliste d'Éléments,
    • Alain de Benoist, essayiste et directeur de Krisis et Nouvelle Ecole.

  • Augmentation de 25% des dépenses consacrées à l’AME

    Dominique Tian, député des Bouches du Rhône, apprend sans surprise l’augmentation de 25% des dépenses budgétaires consacrées à l’AME, aide médicale d’Etat entre 2012 et 2013 :

    "C’est ainsi 846 millions d’euros consacrés pour assurer la gratuité des soins à des personnes en situation irrégulière sur notre territoire (75 millions en 2000). Deux postes ont particulièrement augmenté, les soins de ville + 16% et les frais d’hospitalisation + 26%. L’augmentation de 10% des personnes bénéficiaires de ce dispositif depuis un an montre l’échec de la politique du gouvernement. [...]

    Cette disposition est un appel d’air à l’immigration illégale et au tourisme médical. Dans un contexte de crise financière généralisée, au moment où l’on demande à nos concitoyens de faire des efforts, il est difficile de justifier que certaines personnes ne participent pas, même symboliquement, aux efforts demandés au reste de la population. Il n’est pas acceptable qu’un travailleur sans mutuelle, qui paie des cotisations sociales obligatoires, ait une moins bonne couverture qu’un étranger en situation irrégulière."

    Michel Janva

  • Un Empire sans stratégie militaire

    Le président Obama a précisé sa doctrine stratégique à West Point. Dans son discours, il a réaffirmé la toute-puissance militaire des États-Unis, alors que ceux-ci sont dépassés techniquement à la fois par la Russie et par la Chine. Incapable d’affronter Moscou, il a passé la perte de la Crimée sous silence et a préféré désigner le seul ennemi qui vaille : la tactique du terrorisme. Alors que des camps d’Al-Qaïda sont installés dans des pays sous occupation de l’Otan, voire membres de l’Otan, il a annoncé un vaste programme pour les combattre. Enfin, il a réitéré son soutien à « l’opposition syrienne » et promis qu’il ne manquerait pas de lui apporter de l’aide… lorsqu’il parviendra à obtenir l’aval du Congrès.

    Le président Obama a prononcé, le 28 mai, un important discours précisant sa doctrine stratégique à l’occasion de la remise des diplômes aux cadets de l’Académie militaire de West Point [1].

    Sans surprise, le président a rappelé avoir tenu sa promesse de rapatrier les troupes déployées en Afghanistan et en Irak et être parvenu à éliminer Oussama Ben Laden. Mais ce qu’il a présenté comme un bilan prétendument élogieux n’en est pas un : les GI’s sont revenus épuisés d’Afghanistan et ont fui l’Irak avant d’en être chassés par la résistance populaire. Le coût exorbitant de ces expéditions –plus de 1 000 milliards de dollars— à empêché le Pentagone d’entretenir son arsenal. Quant à la mort de Ben Laden, ce n’est qu’un conte pour enfants : Oussama Ben Laden n’avait rien à voir avec les attentats du 11-Septembre et il était mort de maladie et enterré en décembre 2001, ainsi que l’a attesté le MI6 britannique [2].

    On ne peut qu’être admiratif de la capacité états-unienne à poursuivre sa narration d’une réalité imaginaire, pourtant démentie par des preuves solides, et d’être toujours suivi par la presse atlantiste.

    Dans son discours, le président a décrit son pays comme « une nation indispensable », à la fois la plus puissante militairement et économiquement. Pourtant aucune de ces deux assertions n’est encore vraie. Le 14 mai, le général Martin Dempsey, président du Comité des chefs d’état-major, reconnaissait devant l’Atlantic Council que ses Forces armées seraient définitivement dépassées dans 10 ans si un énorme effort de mise à jour n’était opéré tout de suite [3] ; un effort improbable avec les restrictions budgétaires. Le Pentagone constate que le retard pris dans la recherche militaire est probablement irréversible. Les technologies militaires de pointe de la Russie et de la Chine sont aujourd’hui plus développées que celles des États-Unis. Il est trop tard pour remonter la pente. L’apparente supériorité de Washington ne tient que parce que ses troupes sont les seules déployées dans le monde entier. Elle n’existe donc que sur certains théâtres d’opération, mais ni contre la Russie, ni contre la Chine, qui gagneraient en cas de Guerre Mondiale. Quant à l’économie, la majorité des biens de consommation consommés aux USA est fabriquée en Chine.

    Sur cette base fantasmagorique, selon l’expression du Washington Post qui ne fait référence qu’à la relative faiblesse militaire des États-Unis [4], le président Obama a annoncé que son pays n’hésiterait pas à intervenir à l’étranger lorsque ses intérêts directs sont mis en cause, mais recourrait à des coalitions internationales pour traiter des problèmes plus lointains. Il a affirmé que, contrairement à la période de la Guerre froide, la Russie ne représentait plus un danger imminent, mais que le principal adversaire, c’est le terrorisme.

    Peu importe donc l’adhésion de la Crimée à la Fédération de Russie. Washington ne combattra pas contre ce qu’il présente par ailleurs comme une « annexion » violant gravement le Droit international, n’hésitant pas à comparer le président Vladimir Poutine à Adolf Hitler.

    Surtout, à l’issue de 13 ans de « guerre contre le terrorisme », Washington prétend avoir éliminé les quelques fanatiques qui composaient la direction internationale d’Al-Qaïda, mais doit désormais affronter un problème plus grave : de très nombreux groupes affiliés à Al-Qaïda qui se sont formés presque partout dans le monde.

    Cette « guerre sans fin » a l’avantage de tout autoriser. Se présentant depuis 2001 en légitime défense, Washington s’autorise à violer la souveraineté des autres États pour y enlever ou y bombarder qui lui chante, quand cela lui chante. Pour poursuivre cette guerre, le président Obama a annoncé la création d’un « Fonds de partenariat contre le terrorisme », abondé à hauteur de 5 milliards de dollars. Il aura pour but de former les services de sécurité des États alliés. Qui peut croire en un tel programme ? Actuellement les terroristes sont formés dans plusieurs camps permanents d’Al-Qaïda, situés dans le désert libyen, pays occupé par l’Otan. Tandis que trois camps d’Al-Qaïda sont installés à Şanlıurfa, Osmaniye et Karaman, en Turquie, pays membre de l’Otan [5].

    Les Syriens se souviennent des aveux télévisés de cet émir du Front Al-Nosra (affilié à Al-Qaïda) qui transporta des missiles chimiques d’une base militaire turque jusqu’à la Ghouta de Damas. Selon cet homme, non seulement les armes lui furent fournies par une armée membre de l’Otan, mais l’ordre de s’en servir « sous faux drapeau » pour justifier un bombardement de la Syrie par les États-Unis provenait des États-Unis.

    13 ans après les événements du 11-Septembre 2001, qui peut encore croire qu’Al-Qaïda est l’ennemi principal de la « nation indispensable », alors même que Barack Obama décrivait les éléments affiliés à Al-Qaïda comme « moins capables » que leur maison-mère lors de son discours à l’Université nationale de Défense, le 28 mai 2013 ? [6]. Il déclarait alors que le danger était devenu relatif et que les États-Unis ne devaient plus en faire leur priorité.

    À propos de la Syrie, le président Obama poursuivit à West Point en déclarant que l’on doit « aider le peuple syrien à tenir tête à un dictateur qui bombarde et affame son peuple » (sic). C’est pourquoi Washington aidera « ceux qui se battent pour le droit de tous les Syriens d’être les artisans de leur avenir » (comprenez : pas les Syriens eux-mêmes qui votent pour élire leur président, mais uniquement ceux qui sont prêts à collaborer avec un gouvernement colonial composé par l’Otan).

    Au demeurant, pourquoi intervenir seul en Syrie ? Parce que « la guerre civile syrienne se propage au-delà des frontières du pays, la capacité des groupes extrémistes aguerris de nous prendre pour cible ne fera que s’accroître ». En d’autres termes, après avoir incendié la Syrie, les États-Unis pourraient être atteints par le feu qu’ils ont allumé.

    « Nous allons intensifier nos efforts pour soutenir les voisins de la Syrie —la Jordanie et le Liban, la Turquie et l’Irak— qui gèrent le problème des réfugiés. Je vais travailler avec le Congrès pour accroître le soutien aux éléments de l’opposition syrienne qui offrent la meilleure alternative aux terroristes et à un dictateur brutal. En outre, nous continuerons à collaborer avec nos amis et alliés en Europe et dans le monde arabe en vue d’une solution politique à cette crise et pour veiller à ce que ces pays, et pas seulement les États-Unis, assument une part équitable des mesures de soutien au peuple syrien », a-t-il poursuivi.

    En d’autres termes, la Maison-Blanche discute avec le Congrès de la manière de soutenir les ambitions personnelles des membres de la Coalition nationale. Selon la presse, Washington pourrait dispenser des formations militaires dans les États limitrophes et distribuer des armes plus performantes. Seulement voilà : 

    - Si Washington se met à former et armer des Collaborateurs syriens, il faudra bien admettre ne pas l’avoir fait à grande échelle auparavant et avoir eu principalement recours à des mercenaires étrangers dans le cadre d’Al-Qaïda. 

    - Si 250 000 mercenaires jihadistes ont été incapables de renverser l’État syrien au cours des trois dernières années, comment quelques milliers de Collaborateurs de la colonisation occidentale pourraient-ils y parvenir ? 

    - Pourquoi les États limitrophes, déjà engagés dans une guerre secrète, accepteraient-ils d’entrer dans une guerre ouverte contre la Syrie, avec les risques que cela implique pour eux ? 

    - Quelles armes plus sophistiquées pourraient être livrées à ces Collaborateurs du colonialisme qu’ils ne puissent pas utiliser un jour contre d’autres cibles, notamment la suprématie aérienne d’Israël ? 

    - Et —the last, but not the least— sachant que tout cela est discuté depuis trois ans, quelle nouveauté pousserait à croire que ces questions pourraient trouver une réponse aujourd’hui ?

    Le discours d’Obama est celui de l’impuissance : il se vante d’avoir retiré ses troupes d’Afghanistan et d’Irak et d’avoir assassiné un fantôme qui n’existait depuis une décennie que dans les cassettes d’Al-Jazeera. Il annonce qu’il va combattre le terrorisme que partout il protège. Il déclare qu’il va soutenir plus efficacement l’« opposition syrienne », mais se défausse immédiatement sur le Congrès —qui ne voulait pas le voir bombarder le pays durant la crise des armes chimiques—, certain que celui-ci se limitera au minimum.

    Les nouveaux diplômés de l’Académie militaire de West Point n’ont pas réservé de standing ovation au président Obama.

    Ce discours n’est qu’un verbiage de façade tentant de masquer un déclin irréversible. Il a stupéfait l’assistance qui a compris la fin de ses rêves de conquêtes. Contre toute attente, moins d’un quart des 1 064 nouveaux diplômés de l’Académie militaire de West Point a applaudi le président, tandis que la majorité restait de marbre. L’Empire se meurt lentement.

    notes

    [1] « Discours de Barack Obama à l’académie militaire de West Point », par Barack Obama, Réseau Voltaire, 28 mai 2014.

    [2] « Réflexions sur l’annonce officielle de la mort d’Oussama Ben Laden », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 4 mai 2011.

    [3] « Le Pentagone adopte la formule "2, 2, 2, 1" », par Alfredo Jalife-Rahme, Traduction Arnaud Bréart, La Jornada (México), Réseau Voltaire, 27 mai 2014.

    [4] “President Obama’s foreign policy is based on fantasy”, éditorial de la rédaction du Washington Post, 2 mars 2014.

    [5] “Israeli general says al Qaeda’s Syria fighters set up in Turkey”, par Dan Williams, Reuters, 29 janvier 2014. « Lettre ouverte aux Européens coincés derrière le rideau de fer israélo-US », par Hassan Hamadé, Réseau Voltaire, 21 mai 2014.

    [6] « Discours de Barack Obama à la National Defense University », par Barack Obama, Réseau Voltaire, 23 mai 2013.

    Thierry Meyssan

    http://www.voltairenet.org/article184041.html

  • Eric Maulin : "De l'occidentalisation du monde à la provincialisation de l'Europe"


    Colloque de la revue Éléments

    Samedi 26 avril — "Europe-marché ou Europe-puissance ?"

    Le rêve européen s'est transformé en cauchemar. L'Union européenne traverse une crise de légitimité sans précédent. Et le spectacle qu'elle offre n'a rien pour enthousiasmer. Le sentiment le plus répandu est que l'Europe se construit désormais contre les Européens. Un sondage Ipsos a révélé que 70 % des Français souhaitent « limiter les pouvoirs de l'Europe ». Comment en est-on arrivé là ?

    Invités du colloque
    • Eric Maulin, professeur à l'université de Strasbourg et vice-président du Forum Carolus,
    • Gérard Dussouy, professeur de géopolitique à l'université de Bordeaux,
    • Magali Pernin, spécialiste en droit public, animatrice du site contrelacour.fr,
    • Françoise Bonardel, philosophe, professeur à l'université de Paris Panthéon-Sorbonne,
    • Paul-Marie Coûteaux, essayiste,
    • Pierre Le Vigan, écrivain et journaliste d'Éléments,
    • Alain de Benoist, essayiste et directeur de Krisis et Nouvelle Ecole.

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