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  • Anaïs s’en va-t-en guerre (MAJ)

    Anaïs s’en va-t-en guerre, diffusé le 17 avril sur TV Rennes(le 20 mai sur Fortune) aurait pu rester dans un cercle restreint. Il comptabilise désormais 240.000 vues sur le replay. L’équivalent d’une audience très honnête sur Arte.

    « Beaucoup de gens appellent, Anaïs reçoit 300 mails par jour », poursuit le producteur. Quark l’aide à y répondre et met en place une page sur Ulule pour ceux qui veulent la soutenir.

    (…) Anaïs, de son côté, est en pleine récolte. «J’ai déjeuné avec elle hier, confie la réalisatrice. Elle travaille 15 heures par jour, elle a énormément de commandes, c’est extraordinaire

    Sur son site, Anaïs écrit:

    Merci à tous pour votre soutien, vos propositions d’aide et vos messages chaleureux. Je ne peux pas répondre à tous rapidement mais n’hésitez pas à contacter la production du documentaire quarkprod@wanadoo.fr pour tous les renseignements dont vous avez besoin.

    Pour ceux qui souhaite me rencontrer, je serai présente:

    *aux portes ouvertes de Biscuits and co, chez Mickael et Isabelle Pierre, à Vignoc le dimanche 15 Juin de 9h30 à 18h30. ZA le tertre 35630 Vignoc. Marché de producteurs, concert et restauration sur place.

    *au marché de l’AMAP de Trémereuc le dimanche 22 Juin.

    *au marché d’été de Cherrueix, le jeudi soir de 17h à 20h, à partir du 10 Juillet.

    (…)

    Merci à vous je suis très touchée par toutes vos réactions. Certains de vos messages m’ont même fait pleurer…

    Vivons d’amour et d’eau chaude!

    Anaïs

    20minutes.fr

    ——————————————————————————————————————————

    Anaïs a 24 ans. Elle vit seule dans une petite maison au milieu d’un champ en Bretagne. Rien ne l’arrête. Ni l’administration, ni les professeurs misogynes, ni le tracteur en panne, ni les caprices du temps, ni demain ne lui font peur.

    En accord avec ses convictions profondes, portée par son rêve de toujours : celui de devenir agricultrice et de faire pousser des plantes aromatiques et médicinales. Le film accompagne cette jusqu’au-boutiste. Seule contre tous. Peu lui importe. Elle sait qu’elle gagnera.

    Réalisé par Marion Gervais (TVR 17/04/2014)

    Vous pouvez retrouver Anaïs et le fruit de son travail sur son site internet.

  • Modernité : elle égorge son nouveau-né pour « sauver sa vie sexuelle »

    Nadine Koenig, une jeune Allemande de 20 ans, voit débuter actuellement son procès pour une sordide histoire qui s’est déroulée en février de l’année dernière, à Regensburg, en Bavière.

    Elle a étranglé et puis égorgé son bébé avec un cutter, à peine 30 minutes après avoir accouché dans la maison de ses parents.

    « Il allait avoir un impact sur sa vie sexuelle et sociale », indique le procureur Ulrike Klein, repris par le Mirror, « Elle a dit qu’elle lui avait tranché la gorge avec un cutter. »

    Après avoir commis l’irréparable, la jeune femme a caché le corps du poupon dans un panier, sur une passerelle du Danube, à proximité de son domicile. Les enquêteurs ont mis près de 12 jours avant de retrouver la trace de la meurtrière.

    D’après sa famille, ils n’étaient pas au courant que Nadine était enceinte. Lorsque la police est venue l’arrêter, c’en était de trop pour sa mère, Kristin, 44 ans. Elle a écrit une lettre de suicide : « je sais ce que m’a fille a fait », avant de se jeter sous les roues d’un train. (source)

    Voilà où mènent les fausses valeurs et le faux sens de la vie diffusés par la société moderne, prétendument de progrès.
    Nous sombrerons toujours davantage dans la barbarie, à moins d’effectuer un retour radical, une révolution, vers la civilisation chrétienne.

    http://www.contre-info.com/

  • Face au terrorisme les vœux pieux ne suffisent pas

    L'attentat meurtrier contre le musée juif de Bruxelles, commis le 24 mai, aurait dû réveiller tous les Européens qui se croient à l'abri. Car les assassins se réclamant de la guerre sainte sont tous revenus armés, qui de Bosnie, qui d'Afghanistan, qui de Tchétchénie, qui de Libye et maintenant de Syrie. Dès les premiers attentats de ce type, aveugles, criminels, sanglants, commis sur le territoire français en 1993 par Kelkal et ses séides, notre pays faisait les frais d'une guerre civile algérienne après avoir essuyé auparavant les retombées de celle du Liban.

    Deux points communs à toutes ces guerres : elles ont été déclenchées par les islamistes ; et nos médiats nous les ont présentées pour autre chose, pour les justes luttes de peuples en quête de libertés.

    Aujourd'hui, on évalue à 700 le nombre de ressortissants français engagés aux côtés des pires islamistes, ceux d'Al-Nosra filiale locale d'al-Qaïda, en Syrie. Les uns issus de l'immigration, les autres convertis, tous fanatiques, on les sait techniquement préparés et psychologiquement mûrs pour endeuiller gravement le pays qui les a nourris et, plus ou moins bien, éduqués.

    En considération de cette menace grandissante et bien visible, que font nos politiques en profondeur ? Pas grand chose de positif. Il fallait donc toute la candeur de Frédéric Péchenard interrogé lundi sur France Inter par Clara Dupont-Monod  (1)⇓ pour laisser entendre que tout va bien chez nous.

    Pour tous les auditeurs, ces circonstances dramatiques et les actes criminels d'un Mehdi Nemmouche exigeaient, sans doute, qu'on donne au grand public, non seulement des réponses se voulant rassurantes, théoriquement satisfaisantes, sur le papier, au plan technique et juridique, ... mais aussi quant à la volonté des pouvoirs publics de lutter de façon concrète contre le terrorisme.

    Curieusement, la radio d'État passait à côté de la carrière de M. Péchenard. On nous rappelait benoîtement qu'il avait exercé les fonctions de Directeur général de la police nationale entre 2007 et 2012. On ne s'attarda pas au fait qu'il avait été débarqué de son poste dès juin 2012. Le ministre de l'Intérieur d'alors, fraîchement nommé, l'avait transféré à la Sécurité routière. Le même Manuel Valls semble aujourd'hui Premier ministre. On ne disposait pas des trois secondes nécessaires pour indiquer à l'antenne que ce brillant haut fonctionnaire interrogé, siège aujourd'hui en qualité de responsable de la sécurité dans le groupe UMP du conseil de Paris.

    Autrement dit, il ne s'agit pas d'un représentant de l'actuelle majorité présidentielle et parlementaire.

    On aurait donc pu s'attendre à une critique sévère de l'action gouvernementale. Or, pour cet élu UMP du 17e arrondissement, pour ce spécialiste,  tout va bien ou presque. Nos services de police et de renseignement, arme essentielle dans la lutte contre le terrorisme, fonctionnent à merveille. La preuve, selon lui : "de 1996 à 2002, pas un seul mort n'a été infligé sur le territoire français."

    Le ton d'emphase sur lequel notre policier technocrate énonce ce fait, légèrement périmé, vise à l'intimidation. Son interlocutrice ne se laisse pas démonter. L'affaire Merah et les morts de 2012 ? Péripétie sans doute. On n'ose écrire : "point de détail".

    Il aurait pu remarquer que Nemmouche, cet homme de 29 ans, né dans le département du Nord donc ressortissant français, ayant été incarcéré quatre fois, sorti de prison en décembre 2012 s'était rendu en Syrie en passant par divers pays hors-Schengen (Grande- Bretagne, Turquie, Liban). Il revient par un itinéraire Malaisie, Singapour, Bangkok. À son retour en 2014, il n'est contrôlé qu'en Allemagne, où les services de police n'avaient pas été suffisamment alertés de sa dangerosité.

    Mais, nous assure-t-on, cela fonctionne très bien. Il suffit, il aurait suffi de "taper" son nom (Nemmouche) et son prénom (Mehdi) sur un fichier. Il y figurait. On ne l'a pas fait. Dommage, n'est-ce pas ?

    Quand, par un miracle dont il faut se féliciter, on arrête le tueur de Bruxelles, c'est à Marseille, dans un car en provenance d'Amsterdam, au cours d'un contrôle de routine, occasionné par tout autre chose. Les douaniers cherchaient de la drogue : ils ont trouvé une kalachnikov AK-47, avec 261 cartouches, un revolver calibre 38 spécial avec 37 cartouches, une cagoule, des gants noirs et une caméra go-pro : le parfait équipement d'un humaniste au service d'une religion de tolérance et d'amour.

    Notre conseiller parisien élu par la droite ne se laisse pas démonter quand on lui demande si l'affaire Merah de mars 2012 n'a servi à rien. Si : nous nous trouverions désormais en présence de "loups solitaires". Appuis logistiques, soutiens familiaux, encadrement assuré par la prison. Tout cela ne permet pas les investigations, les infiltrations, les surveillances.

    L'islamisme apparaît pourtant comme un mélange explosif de ressentiment dirigé contre l'occident, et de causes successivement encensées par les dirigeants de nos pays. Cela commence dès l'école monopoliste de la République qui enseigne, aux populations issues de l'immigration, la haine de cette France où elles sont venues volontairement. Tout le monde sait que cela se propage en prison, sous couvert de la prédication de ce que M. Péchenard appelle "la religion", la seule sans doute puisqu'apparue la dernière, "sceau de la prophétie" disent les mahométans. Eh bien par deux fois, sur la même radio d'État, M. Pierre Botton, défenseur du projet Taubira, est venu, le 2 et le 3 juin, car la répétition est la meilleure arme des propagandistes, nous expliquer qu'il manquait encore 186 imams dans nos centres de détention. Pas un de plus pas un de moins. C'est précis. Monsieur Hollande n'aime pas décider par lui-même. Il n'a plus qu'à signer.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1. Le 2 juin à 7 h 50. 

    http://www.insolent.fr/2014/06/face-au-terrorisme-les-voeux-pieux-ne-suffisent-pas.html

  • «Projet de loi relatif à l'impunité, au laxisme et à l'ignorance des droits des victimes»

    Le député UMP Yannick Moreau a déposé un amendement au projet de loi Taubira relatif à la prévention de la récidive et à l'individualisation des peines. Il justifie ainsi cet amendement :

    "Il s'agit en effet de l'objectif inavoué du présent projet de loi."

    Michel Janva

  • Spinoza

    Spinoza fut avant tout un solitaire. Juif exclu de sa communauté, il ne devint pas chrétien pour autant. Cependant, son œuvre appartient totalement à la philosophie occidentale puisqu'il est dans le prolongement de la pensée platonicienne à la recherche de « La Vérité » et en identifiant le vrai et le bien. Ayant été nourri au cartésianisme, en restant un rationaliste et même en faisant l'apologie de la raison, il s'en distingue sur certains points. À la différence du Français, il a mis en place une doctrine morale et politique influencée par la société dans laquelle il vivait, c'est-à-dire la Hollande du XVIIeme siècle. Dans ce pays existait une cohabitation de religions différentes. Il n'y avait pas de religion officielle, si ce n'est dans les faits celle de l'argent et du commerce. À la différence de Pascal son contemporain, sa philosophie célébrera la joie.

    L'Ethique

    C'est le livre le plus important de Spinoza. Le livre est divisé en cinq parties.

    La première partie concerne Dieu. Celui-ci est substance qui est constituée par les attributs (propriétés perçues par l'entendement). Dieu est infini.

    « Tout ce qui est est en Dieu et rien ne peut sans Dieu être ni être conçu ». Dieu s'identifie à la Nature. « Deus sive Natura ». C'est-à-dire que Dieu est la Nature qui crée et tout ce qui existe vient de lui. « Natura naturans et natura naturata ».

    D'une façon similaire à Platon qui distingua la doxa et l'épistémè ou plus tard Hegel qui distinguera plusieurs étapes de la connaissance, Spinoza distingue trois sortes de connaissance :

    • l'opinion par ouï-dire ou l'imagination, qui engendrent des idées confuses,
    • la raison qui opère de façon déductive,
    • la science intuitive qui connaît à partir de l'idée de Dieu.

    Dans la troisième partie de l'Ethique, Spinoza traite des affects de façon iconoclaste comme le désir, la joie et la tristesse ...

    La conception du bien et du mal qui accroit ou diminue la puissance inspirera Nietzsche.

    La liberté consiste dans la connaissance de la nécessité. Connaître nous libère des affects. L'activité de l'homme doit donc être la connaissance vraie et même la connaissance de Dieu.

    La morale, la politique

    Rationaliste, Spinoza le sera aussi dans sa conception de la morale et de la politique. La conception du désir par exemple se différencie de Platon pour qui le désir était un manque. « Le désir est l'essence même de l'homme, en tant qu 'on la conçoit comme déterminée, par la suite d'une quelconque affectation d'elle-même, à faire quelque chose ». (Ethique)

    Nous désirons ce que nous sommes. Le désir nous réalise. Cette conception spinoziste s'oppose aussi à la vision chrétienne pour qui le désir était péché.

    Le désir chez Spinoza devient puissance.

    La liberté sera aussi réinterprétée d'une façon différente de Descartes. Chez le Français, l'âme était le siège d'une volonté, le « libre-arbitre ». Pour Spinoza, il n'y a là qu'illusion.

    Les hommes ignorent les causes qui les déterminent à agir. « Les hommes se trompent en ce qu 'ils se pensent libres, opinion qui consiste seulement en ceci, qu 'ils sont conscients de leurs actions, et ignorants des causes qui les déterminent. Donc cette idée qu 'ils ont de leur liberté

    vient de ce qu 'ils ne connaissent aucune cause de leurs actions. Car ce qu 'ils disent, que les actions humaines dépendent de leur volonté, ce sont des mots dont ils n 'ont aucune idée ». (Ethique)

    Lorsque les hommes sont indécis, c'est que des forces contraires les font hésiter.

    La conception spinoziste sur le mal influencera en partie Nietzsche. Aucune chose n'est mauvaise en soi. Elle sera interprétée comme mauvaise car elle nuira ou détruira une autre.

    De même, le bien est relatif ou subjectif. « La musique est bonne pour le mélancolique, mauvaise pour le désespéré et ni bonne ni mauvaise pour le sourd ».

    Comme le disaient déjà Socrate et Platon, le mal est lié à notre ignorance. L'ignorant peut croire au bien et au mal. « La connaissance du mal est une connaissance inadéquate ». (Ethique).

    Quant au mal absolu, la mort, Spinoza a une position similaire à celle que prendra Sartre. Philosopher ne consiste pas à méditer sur la mort. « L'homme libre ne pense à rien moins qu 'à la mort, et la sagesse est une méditation non de la mort, mais de la vie ». (Ethique).

    À la différence de Descartes, très prudent sur les questions politiques, Spinoza défendra la liberté et le refus de la tyrannie. Il prône la communauté des hommes libres : l'Etat doit organiser la sécurité et la liberté des individus. « La fin de l'Etat n'est pas de faire passer les hommes de la condition des êtres responsables à celle de bêtes brutes ou d'automates, mais au contraire il est institué pour que leur âme et leur corps s'acquittent en sûreté de toutes leurs fonctions, pour qu'eux-mêmes usent d'une Raison libre ». (Traité théologico-politique).

    « L'homme est un Dieu pour l'homme ». Les hommes doivent vivre sous la conduite de la raison.

    On retrouve aussi chez Spinoza des idées qui seront reprises par les économistes classiques anglais. L'égoïsme de chacun est utile pour tous. « C'est quand chaque homme recherche au plus haut point ce qui lui est utile que les hommes sont le plus utiles les uns aux autres ». On rejoint à la fois à la fois le libéralisme et l'individualisme.

    De la même façon, plus on est joyeux, plus on transmet sa joie aux autres.

    Le philosophe prône donc la joie opposée à la tristesse qui ne nous apprend rien, et l'amour face à la haine.

    Une autre façon d'unir les hommes est la recherche de la Vérité puisqu'elle est commune à tous les hommes, à la différence des opinions qui les divisent.

    Spinoza condamnait l'Utopie, mais il y avait dans sa doctrine une « croyance » en la Raison.

    Pour lui, connaître ses passions permet de les maîtriser. Fidèle à la tradition philosophique, la connaissance libère l'homme et lui fait acquérir la sagesse.

    Patrice GROS-SUAUDEAU

  • [Vidéo] Colloque de l’Action Française - 10 Mai 2014 - Seconde Partie

    Seconde partie de la table ronde organisée par l’Action Française lors du week-end du 10 -11 Mars 2014. Nous avons eu l’honneur de revoir Paul-Marie Couteaux, Hilaire de Crémiers, Jean-Philippe Chauvain, Stéphane Blanchonet, Arnaud Guyot-Jeannin. Cette table ronde est animée par Philippe Mesnard. 

     

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Video-Colloque-de-l-Action,7535

  • Saint-Just, fondateur de la République, avec sa culotte de peau humaine…

    D’après « Anecdotes relatives à quelques personnes, et à plusieurs événements de la Révolution », édition de 1820.

    Ancien membre du Comité de sûreté générale sous la Révolution et chargé en cette qualité de la police de Paris pendant quelque temps, Jean-Baptiste Harmand rapporte un fait singulier dans ses Anecdotes relatives à la Révolution (le récit fut censuré en 1814, année de la première édition, et figurera dans l’édition de 1820).

    Une demoiselle jeune, grande et bien faite, s’était refusée aux recherches de Louis de Saint-Just, surnommé, l’Archange de la Terreur, député de l’Aisne élu à 25 ans en 1792 et soutien indéfectible de Robespierre (il sera guillotiné le même jour que ce dernier, le 28 juillet 1794). Saint-Just la fit conduire à l’échafaud. Après l’exécution, il voulut qu’on lui représentât le cadavre, et que la peau fût levée. Quand ces odieux outrages furent commis, il la fit préparer par un chamoiseur et la porta en culotte.

     

    Je tiens ce fait révoltant de celui même qui a été chargé de tous les préparatifs et qui a satisfait le monstre, poursuit Harmand ; il me l’a raconté, avec des détails accessoires que je ne peux pas répéter, dans mon cabinet au Comité de sûreté générale, en présence de deux autres personnes qui vivent encore.

    Il y a plus : c’est que d’après ce fait, d’autres monstres, à l’exemple de Saint-Just, s’occupèrent des moyens d’utiliser la peau des morts, et de la mettre dans le commerce.

    Source : France pittoresque 

    http://www.contre-info.com/le-fondateur-de-la-republique-saint-just-et-sa-culotte-de-peau-humaine#more-32904

  • Les réalités stratégiques du Traité Transatlantique/TAFTA par Christian Harbulot

     

    Christian Harbulot, directeur de l’Ecole de Guerre Economique et auteur du récent livre « Sabordage – Comment la France détruit sa puissance » (164 p. Ed. Thermos, disponible ici) revient sur les enjeux du traité transatlantique, et sur la nécessité pour les pays européens de « couper le cordon » avec les Etats-Unis.

     

  • Augmentation de 25% des dépenses consacrées à l’AME

    Dominique Tian, député des Bouches du Rhône, apprend sans surprise l’augmentation de 25% des dépenses budgétaires consacrées à l’AME, aide médicale d’Etat entre 2012 et 2013 :

    "C’est ainsi 846 millions d’euros consacrés pour assurer la gratuité des soins à des personnes en situation irrégulière sur notre territoire (75 millions en 2000). Deux postes ont particulièrement augmenté, les soins de ville + 16% et les frais d’hospitalisation + 26%. L’augmentation de 10% des personnes bénéficiaires de ce dispositif depuis un an montre l’échec de la politique du gouvernement. [...]

    Cette disposition est un appel d’air à l’immigration illégale et au tourisme médical. Dans un contexte de crise financière généralisée, au moment où l’on demande à nos concitoyens de faire des efforts, il est difficile de justifier que certaines personnes ne participent pas, même symboliquement, aux efforts demandés au reste de la population. Il n’est pas acceptable qu’un travailleur sans mutuelle, qui paie des cotisations sociales obligatoires, ait une moins bonne couverture qu’un étranger en situation irrégulière."

    Michel Janva