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  • [Paris] Réunion de rentrée de l’AF Ile de France

    La Fédération de l’AF Ile de France vous annonce sa réunion de rentrée le samedi 4 octobre 2014, à 17h00.

    En présence du président de la Fédération et des cadres d’Ile de France.

    Vous êtes tous invités à y rencontrer les cadres du mouvement et connaître les différents activités de la section.

    Un buffet convivial suivra.

    10 rue Croix des Petits Champs, 75001 Paris (M : Palais Royal, Louvres-Rivoli)

    Contact : paris@actionfrancaise.net

  • Le scandale des éoliennes

    L’énergie éolienne : un immense scandale financier, un massacre des paysages de France et une grande escroquerie payée par la taxe éolienne prélevée en toute discrétion par EDF.

  • USA : une vidéo pour lutter contre la propagande de l’EI

    Depuis la mi-juin, le département d’État a créé le programme « Think again, turn away » (Penses-y à nouveau et détourne-toi) pour lutter contre la propagande jihadiste sur Internet. La vidéo est intitulée «Bienvenue dans l’État islamique». Certaines images sont d’ailleurs filmées par les djihadistes qui combattent en Syrie et en Irak. Attentat, crucifixion, massacre, les autorités américaines ont sélectionné les pires atrocités Le ton, lui, est nettement plus sarcastique. «Le voyage ne vous coûtera pas cher, car vous n’aurez pas besoin de billet retour!», peut-on lire en commentaire. Attention : images choquantes.

    Les images sont accompagnées du commentaire suivant : « Ne marchez pas, courez vers la terre de l’EI. Venez car la Syrie n’est plus aux Syriens et l’Irak n’est plus aux Irakiens. Ici vous pouvez développer de nouvelles compétences pour l’Ummah [la communauté des croyants musulmans]. Exploser des mosquées ! Crucifier et exécuter des musulmans. Piller les ressources publiques. Faire un attentat-suicide dans une mosquée. Le voyage ne vous coûtera pas cher, car vous n’aurez pas besoin de billet retour! »

    http://www.contre-info.com/

  • L'Etat islamique déclare la guerre à Twitter

    Le fanatisme islamique menace maintenant Twitter :

    "Un groupe de musulmans liés à l’État Islamique menace d’assassiner des salariés de Twitter en cas de censure de leurs messages. Ils précisent que ce seront des « loups solitaires », genre Mohammed Mehra ou Nemmouche, qui cibleront les bureaux de cette société.

    Un appel a spécialement été envoyé au siège social de Twitter en indiquant que “ l’EI amènera la guerre dans la Silicon valley”.

    «Le temps est arrivé de répliquer directement au management de Twitter en attaquant ses salariés et les exécuter! Ceux qui accompliront ces missions sont des cellules dormantes.»

    Le message poursuit : « Le management de Twitter doit savoir que s’il nous déclare la guerre dans le monde virtuel nous lui apporterons la guerre dans le monde réel. Chaque employé aux USA doit garder à l’esprit qu’un loup solitaire pourra désormais l’attendre en bas de chez lui. Et cela vaut aussi pour l’Europe.»

    Ce réseau social a été un grand vecteur de communication pour ce groupe terroriste musulman qui l’utilise pour recruter. De nombreux musulmans occidentaux qui ont rejoint le groupe terroriste commentent leur expérience en direct via Twitter.

    Des musulmans anglais avaient ainsi récemment posté des tweets où ils « voulaient la tête de Cameron au bout d’une pique » et où ils se moquaient des aides sociales britanniques qui leur avaient permis de se rendre en Syrie.

    Twitter refuse toute forme de propagande extrémiste mais le nombre de message est trop important pour être correctement filtré.

    Cependant tous les messages détaillant les meurtres de James Foley et Steven Sotloff avaient été bloqués, ce qui a certainement provoqué cette réaction du groupe terroriste. Le groupe Twitter possède 12 bureaux aux États-Unis et 5 en Europe. La direction du groupe a indiqué que leur service de sécurité analysait la réelle portée de ces menaces."

    (Source : Daily Mail)

    Mais d'après Fabius, il faut éviter d'employer les termes "Etat islamique" et arrêter de tout confondre... Au fond, l'Etat islamique a l'air d'être à Fabius ce que la théorie du genre est à Najat : une rumeur.

    Marie Bethanie

  • Gender : manipulations d'enseignants

    Par ailleurs, un sympathisant du collectif « Stop Gender » a assisté à une demi journée du colloque sur le gender à Lyon. Extrait de son témoignage :

    "Une femme, professeur d’histoire-géographie, expliquait comment elle avait lancé dans le cadre de son master un "projet égalité filles/garçons" dans trois classes "pilotes" d’un collège lyonnais. Au programme de ce projet, deux activités particulières : la participation au "Printemps de la jupe et du respect" et une sortie au Musée des Beaux Arts de Lyon. L’intervenante a ensuite présenté la copie d’une lettre qu’elle avait reçue de parents d’élèves annonçant que leur enfant ne participerait pas à ces événements, car ils considéraient que l’instruction était le rôle de l’école et l’éducation le leur. Intervenants et assistance semblaient s’accorder sur l’aspect scandaleux de cette lettre. L’intervenante a précisé que les élèves "ne savaient pas qu’ils faisaient partie d’un projet, ce qui nous a laissé de la liberté par rapport aux parents". À la question de ma camarade sur la limite du rôle de l’école, personne ne semblait en mesure de répondre : "C’est une question très intéressante mais très complexe, nous n’avons malheureusement pas le temps d’y répondre". À la fin de l’intervention, une adjointe au Recteur chargée de l’égalité a demandé la parole. Oubliant l’aspect douteux d’un projet dont les parents d’élèves n’étaient pas informés, elle en a fait les louanges et a promis d’appuyer les résultats de ce projet universitaire.

    [...] Enfin, au cours de tous ces débats, j’ai compris que les promoteurs du gender s’apprêtaient, pour parvenir à leurs fins, à changer de vocabulaire. Dans l’éducation nationale, a assuré l’un d’eux, jusque là "on parlait de genre, mais avec ces histoires on a décidé de parler d’égalité".

    Michel Janva

  • Il « oublie » les impôts comme Thomas Thévenoud et écope d’un an ferme

    Deux poids deux mesures républicain.

    On connait maintenant le cas de Thomas Thévenoud, ministre de Valls qui ne déclarait pas ses revenus et ne payait pas ses impôts depuis plusieurs années… On apprend par Le Canard enchaîné, qu’il a aussi oublié depuis trois ans de payer le loyer de son appartement à Paris.

    Il n’a pas eu de problèmes judiciaires suite à cela.

    Maintenant voyons quel traitement a subi un citoyen français lambda, pour des faits similiaires.

    Ouest-France relatait qu’un habitant de Guingamp avait été condamné à 18 mois de prison pour « fraude fiscale » en septembre 2009.
    À l’époque, il avait l’objet d’un mandat d’arrêt et il fut sous contrôle judiciaire jusqu’à son appel en mai 2010. « Les faits remontent à 2004 et 2005. Malgré les relances incessantes de l’administration fiscale, ce quadragénaire n’a pas déclaré ses revenus. Pourtant, il comptabilisait 265 000 € sur deux comptes différents. Pour le parquet, cette affaire c’est« Oui-Oui au pays des impôts et Caliméro en guest star. Je suis persuadé qu’il joue, qu’il est parfaitement conscient de ce qu’il fait ». Pour son avocat, il s’agit surtout « d’un homme qui manque de subtilité mais en aucun cas d’un pervers fiscal ». Le prévenu a été condamné par le tribunal de Guingamp à un an de prison. »

    http://www.contre-info.com/

  • Prendre les pouvoirs

    L’avènement de citoyens engagés décidant de pallier les manques des pouvoirs publics signale le début d’une nouvelle ère politique, où le peuple reprend le pouvoir.

    Quand l’État n’est pas occupé à abandonner sa souveraineté économique ou à fabriquer une masse prolétarisée appauvrie, il empile des lois absurdes, déséquilibrées, minutieuses et tatillonnes, qui laissent perplexes les malheureux qui doivent s’y conformer. Qui n’a jamais essayé de mettre aux normes un bâtiment commercial dans une rue classée en respectant à la fois les exigences du code du travail, les oukases des architectes des bâtiments de France et les desiderata des mairies ne connaît pas son bonheur. On assiste donc très logiquement à une émergence forte du « fais-le toi-même » dès qu’un espace de liberté ou de tolérance se dessine, qui va du classique (rejet absolu des partis et contestation issue “de la base”) au plus original et jusqu’au crucial. On peut faire soi-même son dentifrice et son compost, délaissant les grandes surfaces, ou pratiquer le guerilla gardening (transformer en jardins des friches publiques). Plus intéressant, on peut pointer du doigt tous les dysfonctionnements des appareils publics ou assimilés, ou simplement montrer que le souci du bien commun a déserté les administrations, qui ne songent que très rarement aux usagers. C’est ce que font les membres du collectif Fabrique / Hacktion. Ils identifient ce qui manque – surtout au regard des injonctions morales qui nous obligent à vivre ensemble ou maintenir notre ville propre. Par exemple, pour les villes qui, comme Berlin ou Londres, vendent des tickets de métro valables plusieurs heures, quelque utilisation qui en ait été faite, ils imaginent une boite pour partager son ticket quand on n’en a plus besoin ; ou transforment les cabines téléphoniques publiques, inutiles, en stations de recharge pour les téléphones mobiles, avec une petite dynamo manuelle. Les idées sont évidentes, la mise en œuvre se passe d’autorisation, et les auteurs partagent leurs analyses mais surtout les modes d’emploi pour reproduire les dispositifs, qui utilisent à plein les possibilités offertes par les imprimantes 3D et les fab lab, ces ateliers collaboratifs mettant à disposition des équipements de production dispendieux. On ignore la pérennité des dispositifs mis en place ou la fécondité de la démarche, mais il y a là une vérité politique immédiate : on peut se soucier du bien commun et investir les espaces publics sans attendre l’aide ou l’autorisation de l’État. Poussée dans ses développements logiques, la même idée aboutit naturellement à créer ses propres écoles libres pour pallier la faillite de l’éducation nationale. Trente-sept avaient ouvert l’an dernier, il y en aura soixante-et-une de plus cette année. « Ce mouvement de la société civile n’est-il pas de bon augure sur la capacité du peuple français à se prendre lui-même en main et à innover dans le contexte de la défaillance croissante de l’État ? » comme le souligne dans le Figaro Anne Coffinier, de la Fondation pour l’École. Quand l’État n’assure plus son rôle, il est possible d’agir au lieu de seulement se lamenter. A contrario, on devrait aussi s’intéresser à tous les dispositifs, si prisés, qui permettent de surveiller soi-même sa santé : la e-santé, qui permet de prendre sa tension, d’examiner ses urines ou d’analyser soi-même son sang, ne préfigure-t-elle pas une gigantesque surveillance sociale sous prétexte d’assurer une bonne santé, opérateurs de santé, banquier, assureurs et administrations travaillant à collecter et exploiter de concert les mêmes données ? Il ne suffit pas de bêler « innovation » comme Valls ou Juppé, encore faut-il être capable de prendre la mesure politique de la révolution digitale, ce dont nos politiques semblent tristement incapables, comme l’analyse brillamment Evgeny Morozov. De même qu’il y a les libertés, il y a les pouvoirs. A défaut de prendre immédiatement le pouvoir, ne serait-il pas pertinent de commencer par prendre les pouvoirs – pouvoir d’éducation, pouvoir d’aménagement, pouvoir de boycott des technologies liberticides ? Restreindre le champ d’action de l’État légal, borner sa légitimité, mettre à jour son dévoiement des fonctions régaliennes, c’est empiriquement pratiquer la meilleure politique.

    Philippe Mesnard - L’AF 2892

    Sites :

    http://guerilla-gardening-france.fr/

    http://www.fabrique-hacktion.com/

    http://www.lefabshop.fr/fabclub/les...

    http://www.internetactu.net/2014/09...

    http://www.fondationpourlecole.org/

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Prendre-les-pouvoirs

  • « Politique de la ville » : ces banlieues qui croulent sous le fric

    « Ghettos… relégation… damnés de la terre » : ce qu’on dit des quartiers et habitants de la « politique de la ville » est-il vrai ? Ou est-ce de la propagande ? Sur les fameux « quartiers chauds », les médias et les politiciens font d’ordinaire du misérabilisme : dans les « quartiers pauvres » et « territoires de relégation » croupirait une « jeunesse abandonnée et méprisée… moins dangereuse qu’en danger » ; des damnés de la terre condamnés à « une vie de galère », ne quêtant au fond « qu’un peu d’attention et de reconnaissance ». Or, confronté aux faits, cet hugolien catéchisme est parfaitement faux.

    Manque d’équipements urbains, sociaux, etc. (expliquant la révolte et la violence) : FAUX ! Voici les (classiques) plaintes des habitants de la « cité des Poètes », à Pierrefitte (93), scène du récent lynchage d’un jeune nomade : « Ici, il n’y a pas un ciné, pas un centre commercial, pas une piscine, pas un parc pour les enfants, rien… » (Le Monde, 19/06/2014). Mais on verra plus bas que, dans des cités disposant de tous les équipements sociaux possibles (La Villeneuve, à Grenoble, par exemple), de pires crimes encore sont perpétrés ! Puisqu’il se commet autant d’exactions, voire plus, dans les cités disposant d’équipement sociaux modernes que dans celles qui en sont dépourvues, là n’est donc pas l’explication de ces violences.

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