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  • De plus en plus de Français quittent la « Sécu ». Le système est-il dépassé ?

    La France a-t-elle intérêt à abolir le caractère obligatoire de l’Assurance publique comme en Allemagne en Autriche ou aux Pays-Bas ?   

    Cette question, vous l’avez certainement entendue poser dans les media, ces derniers mois, et de ce fait, elle peut vous sembler légitime. Pourtant, formulée de cette façon, elle est déjà partiellement mensongère car il est faux de dire que, de plus en plus, de Français ont choisi cette démarche. Selon les chiffres arrêtés au 30 septembre dernier, seuls 472 français sur près de 60 millions d’assujettis avaient été identifiés dans cette situation. Même si leur nombre exact est probablement supérieur à celui-ci, autant dire que c’est un non-événement, un phénomène anecdotique qui ne mériterait pas une ligne s’il n’avait pas été orchestré, dès l’origine, dans un but politique par des lobbys farouchement pro-européens et partisans d’un libéralisme extrême.

    Ces Français qui relèvent tous du régime social des indépendants (qui compte 3 millions d’assujettis), puisqu’il est le seul qui fonctionne sur une base déclarative, s’exposent aujourd’hui à des poursuites judiciaires ce qui est parfaitement normal dans un État de droit. Cette controverse née de l’apparente contradiction entre les textes a, en effet, été tranchée, une première fois par la Cour de justice européenne dans un arrêt du 16 mai 2006 (« Le droit communautaire ne porte pas atteinte à la compétence des États membres pour aménager leur système de Sécurité sociale » et une seconde fois par la Commission européenne, le 28 octobre 2013 : « Dans l’état actuel du droit européen, et en l’absence d’une harmonisation, les États membres restent libres d’aménager leur système de Sécurité sociale, y compris en ce qui concerne l’obligation de s’affilier ». Fermez le ban !

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  • Voleurs cégétistes, escrocs communistes: la trahison dans le sang

    Le 7 décembre 2011, nous avions publié sur ce blogue un article sur  les nouvelles accusations de malversations visant la CGT,  via sa mainmise sur le Comité d’entreprise de la RATP. Un rapport (accablant) de la cour des comptes avait fait état de dysfonctionnements « systématiques » dans la gestion du personnel du comité d’entreprise, de la restauration collective et des centres de vacances au cours de la période 2004-2010. Un rapport directement transmis au parquet vu la gravité des faits reprochés, qui induisait les accusations, non formulées précisément comme telles, de malversations, d’enrichissement personnel, des surfacturations, d’utilisation du CE pour un possible financement occulte. Nous évoquions dans  ce même article l’enquête ouverte en 1990 (!) sur les emplois présumés fictifs et les détournements de fonds au sein du comité d’entreprise d’EDF-GDF, la Caisse centrale des activités sociales (CCAS), pilotée depuis toujours par la CGT. Cette CCAS   apparaissait comme une pompe à fric communiste, la CGT faisant apparemment grassement profiter le PC et son quotidien L’Humanité de cette manne financière. Le journaliste Stéphane Marchand notait pour sa part dans Le Figaro en juin 2004 qu’étrangement, depuis 1980, « la Direction de la demande et des marchés, rattachée au ministère de l’Industrie, (n’a jamais procédé) aux contrôles des dépenses de la CCAS, alors que son cahier des charges l’y oblige !».

     Le 21 octobre sur le site du Point, Jean Nouailhac revenait longuement et en détail  sur cette affaire puisque « un procès s’était finalement tenu en juin dernier devant le tribunal correctionnel de Paris à la stupéfaction des intéressés eux-mêmes, plus habitués à être amnistiés qu’à être poursuivis. »

     Un procès qui s’est déroulé «dans une indifférence quasi générale, volontaire ou soigneusement entretenue » (par et dans les médias). Une attidude à   comparer, petite parenthèse,  avec le soin avec lequel ces mêmes médias relayent toujours avec sévérité et de nombreuses insinuations,  le moindre probléme technique ou administratif  concernant les comptes de campagne d’un maire  FN par exemple…

    « Le dossier du juge d’instruction Jean-Marie d’Huy, plus épais qu’une armoire normande, a été largement utilisé pour détailler les malversations et les détournements de fonds de la CCAS (…) ». Le juge d’Huy avait d’ailleurs entendu en 2006, rappelons-le, Bernard Thibaut,   le prédécesseur de l’actuel  patron de la CGT…

     « Passons sur les nombreuses manœuvres souterraines ou officieuses qui auront été initiées par le bloc PC-CGT pour faire durer ou capoter l’instruction de Jean-Marie d’Huy...(…). Le jugement du tribunal correctionnel est finalement rendu le 1er octobre dernier, dans un silence tonitruant (…). Alors, ce jugement, qu’avait-il de si mystérieux ou de si terrible ? Il était très clairement déshonorant pour la CGT et assenait de fort lourdes condamnations: Jean Lavielle», «qui présidait la CCAS à l’époque», «écope des dix-huit mois avec sursis réclamés par le procureur. La sénatrice communiste  Gonthier-Maurin se voit gratifiée de dix mois avec sursis et l’ancien directeur général, Jean-Paul Blandino, de huit mois avec sursis. Pour les amendes, le tribunal est allé au-delà des réquisitions, condamnant à 20 000 euros d’amende la CGT et sa fédération des Mines et de l’Énergie et à 75 000 euros chacun l’Iforep et L’Humanité, les deux principaux bénéficiaires des détournements de fonds.»

     « Au total, 12 condamnations bien senties pour des faits clairement identifiés et prouvés de détournements et de malversations sur une longue période, de 1994 à 2002, au cœur d’un dispositif secret, unique au monde, dont le trésor immense semble plutôt géré par des corsaires des Caraïbes que par des syndicalistes compétents et responsables. Car, bien entendu, la gestion baroque de cette CCAS cousue d’or n’a jamais cessé ! Chiffres récents : 80 millions d’euros de pertes pour l’exercice 2010, 550 millions d’euros de dépenses pour 470 millions de recettes ! ».

     Et le journaliste du Point de rappeler que  «pour le citoyen/consommateur, les tarifs d’EDF ont été augmentés deux fois de 5 % en 2013 et en 2014 en raison de la dérive des dépenses. La justice est donc finalement passée dans ce dossier et c’est une première ! Reste une question : pourquoi donc les télévisions, les radios et les journaux ont-ils fait autant la sourde oreille ? »

    La réponse à cette question est  simple. Le mutisme médiatique  s’explique en partie par   la capacité d’intimidation, de nuisance, de rétorsion de la mafia syndicale communiste, qui  reste réelle -J. Nouailhac cite d’ailleurs à titre d’exemple le syndicat du livre  CGT qui peut bloquer la sortie des journaux. Mais aussi parce que quels que soient les agissements de ses sbires et autres prévaricateurs, les agents d’influence du  communisme ont su infiltrer depuis 70 ans  le petit monde médiatique et bourgeois.Malgré sa marginalisation électorale, son rejet par le peuple français, l’idéologie communiste jouit encore dans cette caste de relais et à tout le moins d’une certaine complaisance et tendresse…même si M. Mélenchon s’efforce avec un certain talent de comédien de nous persuader du contraire.

    Entre internationalistes marxistes et mondialistes libéraux du microcosme, issus de la même matrice, un même rejet des frontières, des enracinements, des identités et des souverainetés façonne des complicités intellectuelles plus ou moins formelles, les mêmes détestations du Mouvement national…

    Bref, dans cette affaire de la CCAS d’EDF,  les camarades communistes se sont gobergés sur les dos des  cochons de contribuables, l’UMPS ayant préféré fermer les yeux par lâcheté, pour acheter la « paix sociale ». Pourtant, si la CGT reste un « gros » syndicat,  il convient de rappeler que moins de 8% des salariés français sont syndiqués (3% dans le secteur privé).

     Nouveau scandale révélé par Le Canard Enchaîné, celui de l’appartement de l’actuel  secrétaire général de la CGT, Thierry Le Paon. Le Figaro s’y arrête également, «le président (sic) de la CGT ne s’est pas contenté de choisir son nouveau domicile dans les beaux quartiers- dans le  triangle d’or de Vincennes, la zone la plus huppée , NDLR. Il a également décidé d’entreprendre des travaux (somptuaires, NDLR) de rénovation dudit domicile, dont la facture s’avère plus que salée… 150.000 euros de travaux selon le devis initial (130.000 euros au final) dans cet appartement de 120 mètres carrés, qu’il a fait payer aux militants de la CGT. Une somme équivalente aux cotisations annuelles de 750 adhérents relève l’hebdomadaire satirique!». Voilà qui devrait précipiter l’hémorragie des adhérents  de la centrale…

     En mars dernier, interrogé sur les ralliements d’encartés CGT au FN, Thierry Lepaon affirmait qu’il s’agissait d’ actes de «désespoir» aussi vain que de « s’immoler devant Pôle emploi»(!).  Un désespoir dont il était pour sa part très éloigné dans son confortable nid douillet d’où ou il pouvait méditer  sur la lutte des classes laborieuses…à son profit. Et pour alimenter la paranoïa  du sieur Lepaon, il est vrai très contesté en interne, allez savoir si  le devis faisant état des travaux de son appartement, adressé au Canard et aux 32 fédérations de la CGT il y a plus d’une dizaine de jours, n’a pas été capté puis  envoyé  par une taupe cégéto-frontiste excédé…

     Comme de bien entendu, le citoyen Lepaon, habitué à faire  la roue antifasciste devant les caméras,   avait lancé en tout début d’année une vaste campagne cégétiste contre le FN (qui certes a fait un gros bide), la lutte contre l’opposition nationale, populaire et sociale étant élevée au rang de priorité. Est-ce la raison de ses relations courtoises empruntes de « respect mutuel » avec le patron du Medef dont faisait état mardi  soir son patron,  Pierre Gattaz,  invité du petit journal de Canal  plus ?

     Nous ne saurions le dire, mais les liens entre les apparatchiks de la  CGT et la frange la plus mondialiste du Medef, sont apparus au grand jour ces dernières années  lors de leur campagne  et déclarations conjointes  en faveur de la régularisation des clandestins et de la poursuite de l’immigration.

     Soulignons encore  les résultats du sondage Ifop, publié fin mai,  faisant état du vote aux européennes des « salariés qui se disent proches de la CGT ». Ils étaient ainsi  30% à glisser un bulletin Front de Gauche dans l’urne…Mais 22% à voter FN, devant le PS (19%). Pour information les salariés « proches de FO » ont voté FN à 33% (loin devant le PS second avec 15% et le FG 11%) et les « salariés  proches de Sud/Solidaires » ont eux aussi voté en premier lieu pour le FN (27%), loin là aussi devant le PS  (19%) et le FG (17%).

    Travailleurs français qui peuvent méditer sur les reniements de la gauche socialo-communiste immigrationniste, en relisant notamment ce passage du discours de Jean Jaurès ( « Pour un socialisme douanier »  17 Février 1894):

     « Ce que nous ne voulons pas, c’est que le capital international aille chercher la main-d’œuvre sur les marchés où elle est la plus avilie, humiliée, dépréciée, pour la jeter sans contrôle et sans réglementation sur le marché français et pour amener partout dans le monde les salaires au niveau le plus bas. C’est en ce sens, et en ce sens seulement, que nous voulons protéger la main-d’oeuvre française  contre la main-d’œuvre étrangère, non pas je le répète, par un exclusivisme chauvin mais pour substituer l’international du bien-être à l’internationale de la misère.»

    Travailleurs français, constate une nouvelle fois Bruno Gollnisch,  trahis par ceux là même qui jurent  la main sur le cœur qu’ils travaillent à leur défense. Trahison qui explique d’ailleurs pourquoi les plus lucides rejettent eux aussi la fausse alternative droite-gauche pour se rallier au vote FN, premier Mouvement ouvrier de France.

    http://gollnisch.com/2014/10/30/voleurs-cegetistes-escrocs-communistes-la-trahison-dans-le-sang/

  • Transition énergétique : Les Français vont passer à la caisse !

    Des groupes de pression écologistes et antinucléaires leurrent les Français et les bercent d'illusions avec des discours lénifiants sur les possibilités "mirifiques" des éoliennes et du photovoltaïque. Disons les choses clairement : les éoliennes et le solaire photovoltaïque sont nuisibles à la production électrique et aux intérêts des Français. Ces énergies intermittentes vont conduire la France vers le chaos énergétique et financier.

    De nombreux fonctionnaires et responsables politiques ont aujourd'hui le jugement engourdi et se laissent berner : ils sont atteints du syndrome du homard. En effet, un homard jeté vivant dans une eau bouillante réagit vivement et saute hors de la casserole. En revanche, si on le place délicatement dans de l'eau froide et qu'on chauffe doucement, la température de l'eau monte lentement en engourdissant les réflexes de défense jusqu'à ébullition. Le homard est cuit en douceur.

    Une documentation abondante et largement suffisante existe pour montrer tous les avantages du nucléaire pour le développement économique de la France et aussi tous les graves inconvénients, notamment socio-économiques, des éoliennes et du photovoltaïque qui conduisent directement au chaos énergétique et à l'appauvrissement des Français.

    Malheureusement, peu de personnes ont lu, ou liront, ces textes documentés, souvent longs. Ils informent pourtant clairement du danger de ces énergies renouvelables intermittentes (EnR) pour notre économie. Ils montrent aussi les avantages du nucléaire et la capacité de la France à gérer ses déchets nucléaires. Encore faut-il vouloir le voir…

    Si nos responsables persévèrent et investissent massivement dans ces énergies aléatoires qui constituent une impasse financière, alors les Français paieront très chère cette idiotie majeure dans le domaine stratégique de la production d'énergie pour les 20 ans à venir. Ils ont déjà commencé à payer via leurs impôts directs et la «CSPE» (pudiquement appelée contribution au service public de l'électricité) sur leur facture d'électricité. Pourtant, les productions éoliennes et photovoltaïques ne représentent encore que 4 % de la production d'énergie électrique en France. Malgré ce faible pourcentage, les Français payent déjà un impôt de… plusieurs milliards d'euros par an.

    Cet impôt sert principalement à payer les surcoûts dus au EnR, et il est en augmentation rapide. Il atteignait 3,6 Md€ en 2011, puis 4,3 Md€ en 2012 , puis 5,1 Md€ en 2013 et il atteindra 6,2 Md€ en 2014. De plus, ces sommes sont dépensées quasiment en pure perte, sauf pour les bénéficiaires des effets d'aubaines. 

    Les surcoûts chiffrés à 5,1 Mds€ pour 2013 progressent de 43% par rapport aux charges constatées en 2011 qui étaient déjà de 3,6 Mds€.

    Les prévisions de la Cour des comptes estiment que ce chiffre va atteindre 7,5 Mds€ en 2020 , soit la somme faramineuse de 40 Mds€ de subventions diverses versées essentiellement à l'éolien et au photovoltaïque en 10 ans.

     

    Plus récemment, le 15 octobre 2014, Philippe de Ladoucette, Président de la Commission de Régulation de l'Energie , a évalué les augmentations de la charge de service public pour l’électricité (CSPE) dues à notre transition énergétique, et essentiellement aux renouvelables (éolien et solaire)… à 100 milliards d’euros d’ici à 2025 !

    En 2025, la CSPE devrait atteindre 30 euros par mégawattheure (MWh) contre 16,5 en 2014. Les charges de service public devraient passer à 11 milliards par an en 2025, contre 6,2 milliards en 2014 et 1,4 milliards en 2003… 

    Entre 2014 et 2025, « le montant des charges de service public s'élèvera à 100 milliards d'euros, contre 30 milliards entre 2003 et 2014 ». 

    « Le parc photovoltaïque installé fin 2013 devrait coûter à lui seul 25 milliards d'euros pendant cette période ».

    Naturellement, il faudra ajouter les subventions liées au solaire installé de 2014 à 2025, ce qui va épicer la note finale. Mais il y a plus grave encore : « Les charges liées à de nouvelles installations [au-delà de 2014] résultent en grande partie de la mise en service des parcs éoliens en mer… qui devraient coûter 10 milliards d'euros jusqu'en 2025 ».

    Mme Royal a pourtant déclaré que le prix de l'électricité n’augmenterait pas du fait de la transition énergétique. Malgré la crise et les restrictions en tous genres, il y a de l'argent pour les renouvelables, et même des dizaines de milliards d’euros… Cette gabegie aboutira à une dépense bien supérieure à toutes les « économies » demandées aux Français (des "rabotages" de quelques centaines de millions). 

    Le pire, est que ces discours mielleux sur ces énergies "douces", "gratuites" et "écologiques" masquent la réalité. Ces énergies sont :

    intermittentes: elles nécessitent donc des centrales complémentaires à gaz ou à charbon comme en Allemagne ou en Espagne. Ces pays commencent à se rendre compte, un peu tard, de l'impasse financière et de la catastrophe économique. La fable des régimes de vents différents en Europe, voire en France, qui compenseraient la production variable, a été dévoilée sur le site "Sauvons le climat ",

    chères : le prix d'achat obligatoire s'étale de 8,2 c€/kWh pour l'éolien terrestre (ce sera plus de 20 c€/kWh en mer) à 50 c€/kWh pour le photovoltaïque, sans compter les coûts des soutiens dus aux fortes variations de production et à l'intermittence aléatoire (stockages, centrales thermiques complémentaires, etc …), alors que le coût de la production nucléaire est compris entre 4 et 6 c€/kWh, et loin d'être écologiques : il faut beaucoup de béton et d'acier pour chaque kWh produit par les éoliennes (plus que pour une centrale nucléaire…). Et les panneaux solaires, importés de Chine pour la plupart, ne compensent quasiment jamais le CO2 produit pour les fabriquer grâce à de l’électricité produite en Chine avec du charbon.

    Mais ce qu'il faut surtout retenir, c'est que ces EnR impliquent forcément une importation massive de gaz et/ou de charbon pour fournir de l'électricité pendant leurs fortes variations de production et les intermittences aléatoires qui ne correspondent pas à la demande. Et donc, aujourd'hui et pour longtemps encore, ces énergies éoliennes et solaires ne constituent absolument pas une solution d'avenir ! S'engager dans cette voie serait une erreur historique majeure dans le domaine économique, technique, industriel et social. 

    Nos gouvernants achètent cher une forme de paix sociale avec cette notion vague de "mix énergétique", ou mieux encore de "bouquet énergétique", dans lequel il faut insérer de force les EnR par la loi. Puisqu'elles ne sont pas rentables, subventions et achats obligatoires de productions sont imposés par nos élus pour ménager une frange "verte" de la population qui a une propension, parfois insistante, à vouloir imposer son point de vue pessimiste anti-nucléaire, et même anti-monde moderne et industriel. 

    Il est donc urgent d'expliquer aux Français les dangers que représentent ces éoliennes et ces panneaux photovoltaïques pour le développement économique de la France, et donc pour leur niveau de vie, et de secouer les responsables politiques qui font la sourde oreille.

    Michel Gay

    Source : Metamag

     

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuEuVyFkyZDPodGOvc.shtml

  • Le président du Parlement hongrois évoque une sortie de l’UE…

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "Le président du Parlement hongrois, Laszlo Köver (co-fondateur et membre de la direction de Fidesz), a déclaré vendredi que si Bruxelles voulait dire à un pays comment il doit être gouverné, alors elle ressemblerait à Moscou avant le changement de régime. Et si telle est la direction que devait prendre l’UE, alors la Hongrie devrait envisager de la quitter. Mais ce n’est qu’un scénario de cauchemar, a-t-il ajouté, disant qu’il doutait qu’on en arrive à ce point.

    Cette déclaration n’est pas passée inaperçue… Le parti de gauche E-PM a demandé à Viktor Orban de recadrer Köver, dont les propos sont contraires aux intérêts nationaux, et a signifié au Premier ministre qu’il était temps qu’il décide si l’avenir du pays est du côté de Bruxelles ou du côté de Moscou. Et le parti libéral a qualifié le propos de « grave erreur », alors que six personnalités hongroises sont interdites de visa aux Etats-Unis. Cela dit, le parti libéral, c’est 5 députés, et E-PM, 1 député."

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Chantage, magouilles, corruption : le livre noir du syndicalisme français

    Nous avons toujours besoin de syndicats prêts à se battre pour les travailleurs ; pour l’instant cependant, aucun ne remplit ce rôle.

    Au-delà du cas personnel du secrétaire général de la CGT, l’affaire Lepaon révèle la face sombre du syndicalisme français. Le décryptage de Jean-Luc Touly, auteur de Syndicats - Corruption, dérives, trahisons.

    FigaroVox : La CGT aurait déboursé 130.000 euros pour la rénovation de l’appartement de fonction de son secrétaire général, Thierry Lepaon. Cela vous étonne-t-il ? Ce genre de pratiques est-il vraiment inédit ?

    Jean-Luc TOULY : La contradiction flagrante des dirigeants syndicaux que révèle cette affaire ne m’étonne aucunement. On pourrait citer un nombre incalculable de dérives semblables des individus, des organisations syndicales, des fédérations, des confédérations, des comités d’entreprise… On pourrait parler des frais de fonctionnement injustifiés, du Comité d’entreprise d’Air France, d’EDF, de la SNCF de Lyon, où les syndicats ont été condamnés. Les scandales sont légion.

    Evidemment, faire payer la CGT entre 130 000€ et 150 000€ de travaux pour Thierry Lepaon est scandaleux, d’autant plus que les syndicats sont encore financés entre les 2/3 et les 3/4 par les entreprises ou l’Etat : ce sont donc les cotisations et les subventions de l’Etat qui, indirectement, ont payé le logement ! Le manque de transparence des syndicats et leur système anti-démocratique conduisent systématiquement à des dérives. Ces informations ont d’ailleurs probablement été transmises par des adhérents de la CGT, choqués par cette découverte. Il existe ainsi des poches de résistance au sein même de l’organisation, qui dénoncent ces pratiques et ce côté occulte qui détruisent la confiance envers les syndicats. J’ai été moi-même membre de la CGT pendant 30 ans, avant de rejoindre FO, et j’ai bien vu que la dénonciation n’est jamais facile dans ces organisations : elle entraîne pressions, perte de mandat syndical voire perte de l’emploi dans certains cas !

    Au-delà du cas de Thierry Le Paon, cela révèle-t-il un problème plus large de corruption au sein de la CGT ? Quel est l’ampleur de celle-ci aujourd’hui ?

    Je pourrais vous parler de nombreux cas ! Les hauts responsables syndicaux, en fin de carrière, sont souvent nommés à des postes élevés, bien payés, dans des autorités étatiques ou privées. Bernard Thibault a ainsi été élu en juin dernier administrateur du Bureau International du Travail, à Genève, avec l’aide de François Hollande. Les grandes entreprises peuvent faire de même : le directeur de cabinet de Thibault, Bernard Saincy, a été par exemple nommé à un haut poste chez GDF-Suez, après avoir quitté la CGT. Ces nominations sont des cadeaux accordés aux dirigeants syndicaux pour services rendus ; or, quels services rendent-ils vraiment ? Je n’irais pas jusqu’à parler de méthodes mafieuses, mais les secrets et l’opacité de ces nominations posent problème…

    Les syndicats reçoivent des sommes colossales, versées notamment par les entreprises, qui achètent ce faisant une sorte de paix sociale : les organisations leur sont dès lors redevables. On comprend très vite l’ambiguïté de leur action : d’un côté, ils appellent à manifester ; de l’autre, ils maintiennent des relations très étroites avec les patrons…

    Ce nouveau scandale va venir alimenter la détestation du syndicat. Le véritable problème est celui de la transparence, de l’indépendance. Comment faire confiance à ses représentants si ceux-ci ne sont pas francs ?

    La suite dans Le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Chantage-magouilles-corruption-le

  • Ils participent aux Assises de la Remigration (2) : Renaud Camus

    Le 15 novembre prochain, le Bloc identitaire organise les Assises de la Remigration. Plusieurs personnalités interviendront lors de ces assises. Novopress diffuse régulièrement leur portrait. Deuxième d’entre eux : Renaud Camus (photo).

    Renaud Camus est écrivain. Célèbre notamment pour ses journaux et la série d’ouvrages « Demeures de l’Esprit », il a aussi forgé le concept de Grand Remplacement (concept et pas théorie, car il décrit malheureusement une ralité bien palpable pour de très nombreux Français) qu’il définit ainsi : « Oh, c’est très simple : vous avez un peuple et presque d’un seul coup, en une génération, vous avez à sa place un ou plusieurs autres peuples. »

    Récent partenaire du Bloc Identitaire dans le cadre de l’Observatoire du Grand Remplacement, Renaud Camus interviendra le 15 novembre 2014 à Paris dans le cadre des Assises de la Remigration.

    http://fr.novopress.info/177473/participent-aux-assises-remigration-2-renaud-camus/

  • Ils participent aux Assises de la Remigration (2) : Renaud Camus

    Le 15 novembre prochain, le Bloc identitaire organise les Assises de la Remigration. Plusieurs personnalités interviendront lors de ces assises. Novopress diffuse régulièrement leur portrait. Deuxième d’entre eux : Renaud Camus (photo).

    Renaud Camus est écrivain. Célèbre notamment pour ses journaux et la série d’ouvrages « Demeures de l’Esprit », il a aussi forgé le concept de Grand Remplacement (concept et pas théorie, car il décrit malheureusement une ralité bien palpable pour de très nombreux Français) qu’il définit ainsi : « Oh, c’est très simple : vous avez un peuple et presque d’un seul coup, en une génération, vous avez à sa place un ou plusieurs autres peuples. »

    Récent partenaire du Bloc Identitaire dans le cadre de l’Observatoire du Grand Remplacement, Renaud Camus interviendra le 15 novembre 2014 à Paris dans le cadre des Assises de la Remigration.

    http://fr.novopress.info/177473/participent-aux-assises-remigration-2-renaud-camus/

  • Etat islamique : la charge de 126 intellectuels sunnites contre le calife autoproclamé

    Quelques extraits d'un article d'Aleteia :

    [...] "c’est au tour de 126 intellectuels musulmans de s’emparer de l’épineux dossier de l’Etat islamique. De confession sunnite comme les djihadistes de l’EI, les signataires de la lettre datée du 19 septembre formulent en une vingtaine de pages une âpre critique théologique de leurs exactions, développée en 24 points. Ces 24 points résument toutes les violations des lois coraniques commises pour le compte de l’EI et que les auteurs de la lettre dénoncent, citant pour chaque point les versets qui s’y rapportent.

    [...] La lettre souligne en effet d'emblée l’importance capitale de « maîtriser la langue arabe, sa grammaire, sa syntaxe, sa morphologie, sa rhétorique, sa poésie, son étymologie et l’exégèse du Coran », pour se prémunir des interprétations hasardeuses. De même, le document met en garde contre la tendance, dangereuse, à vouloir « sursimplifier » le texte, faisant fi du contexte et des  clés d’interprétation.

    [...] Tout en rappelant avec force l’interdiction stricte en islam de tuer des innocents ou de se livrer à des actes de torture ou à l’esclavage, les auteurs n’oublient pas de mentionner les assassinats des journalistes James Foley et Steven Sotloff, ainsi que de l’humanitaire David Haines. « Ce que vous avez fait est incontestablement interdit (haraam)», écrivent-ils, précisant que ces derniers étaient des émissaires, un statut inviolable d’après laSunna.

    [...] La charge se fait plus rude encore pour qualifier les atrocités perpétrées à l’encontre des chrétiens et des Yézidis, cibles privilégiées des islamistes de l’EI, depuis l’instauration du califat. Les « chrétiens arabes » ou « gens du Livre » sont selon eux des « amis, des voisins et des citoyens », protégés par un accord vieux de 1400 ans, et en vertu duquel le jihad ne peut légalement pas s’appliquer à eux.

    [...] Enfin, c’est l’existence même du califat et du statut d’Abu Bakr Al-Baghdadi que la lettre incrimine, d’un point de vue strictement théologique : aucun califat ne peut être instauré « dans un petit coin du monde » en s’exonérant du consensus de tous les musulmans, faute de quoi la proclamation devient un acte de « sédition » (fitnah)."

    Ce manifeste, ô combien tardif étant donné que cela fait des mois que le Moyen Orient subit les exactions des barbares du prétendu Etat islamique, s'adresse à des gens dont on se demande s'ils savent lire, et si oui, s'ils ont l'intention de tenir compte de ce genre d'avertissement. Cela fait un peu penser à l'Etat nigérian qui "négocie" avec les terroristes islamistes de Boko Haram alors qu'il ne fait rien de sérieux pour faire respecter son autorité - et qui du coup n'en obtient rien si ce n'est des promesses non tenues. On peut se demander si tout cela ne ressemble pas à des gesticulations destinées à l'Occident crédule afin d'entretenir l'illusion que l'islam -le vrai- n'a rien à voir avec l'EI.

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Etat-Unis: un deuxième Snowden identifié et recherché

    Un analyste travaillant pour un sous-traitant de la NSA est activement recherché par le FBI. Il est accusé d’avoir diffusé à la presse des informations confidentielles après le départ d’Edward Snowden, toujours réfugié en Russie.

    On soupçonnait depuis août dernier l’existence d’un deuxième lanceur d’alerte au sein de la NSA, l’Agence nationale de la sécurité américaine. Cet homme aurait pris la suite d’Edward Snowden, après l’exil de ce dernier en juin 2013.

    C’est désormais officiel, et, si l’on en croit Yahoo News, cette source a même été identifiée et est actuellement recherchée par la police fédérale des Etats-Unis, le FBI.

    Snowden n’était pas seul

    C’est dans le documentaire de Laura Poitras sur Edward Snowden, Citizen Four, que se trouve confirmée une vieille hypothèse: Edward Snowden n’était pas seul. Il y était question d’une source ayant choisi de rester sur le territoire américain. Un faisceau d’indices permettait déjà de deviner son existence, mais surtout, la fuite de documents datés d’août 2013 ne laissait aucun doute. A cette époque, Edward Snowden était déjà en Russie.

    Tout comme lui avant son exil, cette source travaillerait pour un sous-traitant de la NSA. Elle aurait été motivée par l’exemple de Snowden. Elle pourrait être la personne qui a révélé au site d’informations de Glenn Greenwald (le journaliste qui a publié les premières révélations de Snowden dans le Guardian), The Intercept, la liste des 680.000 personnes suspectées d’activités terroristes et surveillés par la NSA, alors qu’un tiers d’entre elles n’avait aucun rapport avec un groupe terroriste.

     

    Perquisitions au domicile du suspect

    Le FBI a perquisitionné le domicile de ce suspect en Virginie, mais la question de le poursuivre à grand bruit n’a pas été tranchée. Après les affaires Snowden et Manning, l’administration rechignerait à en faire un troisième exemple: l’image démocratique des Etats-Unis pâtirait d’une nouvelle tribune publique offerte à un lanceur d’alerte. Or, la guerre livrée par l’administration Obama lui a déjà valu de nombreuses et virulentes critiques.

    En même temps, il paraît difficile de ne pas sanctionner ce qu’ils ont déjà qualifié de « haute trahison » dans d’autres circonstances. D’autant plus que la répétition de ces fuites pourrait contribuer à créer des vocations.

    Le journaliste de Yahoo News relève que depuis l’élection d’Obama, sept personnes ont été poursuivies aux Etats-Unis pour avoir diffusé des informations classées, un chiffre deux fois plus élevé que pour tous les autres présidents.

    SourceBFM

    http://www.contre-info.com/etat-unis-un-deuxieme-snowden-identifie-et-recherche#more-35227