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  • Russie : plus de 13 000 églises construites depuis la chute du communisme

    Christophe Geffroy, directeur de La Nef, revient de Russie et raconte :

    "Voyage passionnant qui nous a permis de prendre le pouls d’une nation régulièrement caricaturée dans les médias. Et finalement, après huit jours à arpenter les rues, les monastères et les églises de Moscou, Serguiev Possad, Iaroslav, Souzdal, Vladimir, Novgorod et Saint-Petersbourg, on comprend mieux la haine de l’intelligentsia pour la Russie de Vladimir Poutine. Non seulement les Russes ont le mauvais goût d’apprécier leur président qui bénéficie d’une popularité à laquelle M. Hollande ne peut espérer – pas même en rêve –, mais il émane du peuple russe tout ce que méprisent nos intellectuels de la rive gauche : un peuple qui a retrouvé la fierté de ce qu’il est, de son histoire, de sa culture et de sa religion.

    Certes, tout est loin d’être idyllique en Russie, mais la grande différence avec la France est que ce pays meurtri par plus de soixante-dix ans de communisme est maintenant sur une voie de redressement. Pas seulement du point de vue économique, mais surtout d’un point de vue politique, spirituel et moral. Vladimir Poutine a replacé la Russie au cœur du concert des nations qui comptent et sa diplomatie a désormais une cohérence et une vision à long terme qui contribue aux équilibres internationaux, limitant ainsi la toute puissance des États-Unis. Les Russes cherchent maintenant à s’appuyer sur leur longue histoire et à ceux qui les accusent d’agression, ils aiment à rappeler (avec de légers trous de mémoire) que depuis la fondation du royaume de Kiev, ils n’ont fait que se défendre des invasions à l’est (Mongols et Tatares, Turcs) et à l’ouest (Pologne-Lituanie, Napoléon, Hitler) ! Ce retour aux sources a bénéficié à l’Église orthodoxe qui connaît un fort développement avec plus de 13 000 églises construites depuis la chute du communisme et des séminaires pleins. La pratique religieuse reste cependant encore assez faible, mais il est évident pour tous que l’orthodoxie est un élément essentiel de l’identité russe. La Russie est enfin l’un des rares pays développés où les notions de loi naturelle et de famille traditionnelle ont encore un sens, même s’il reste beaucoup à faire en raison des pratiques instituées de longue date par le communisme. [...]"

    Michel Janva

  • Le directeur général de l’OMS s’en prend aux entreprises pharmaceutiques

    Le docteur Margaret Chan, à la tête de l’Organisation mondiale de la santé, dénonce l’avidité des grands groupes pharmaceutiques, responsable selon elle du retard dans l’apparition d’un traitement contre le virus Ebola. Elle explique ainsi qu'« une industrie guidée par le profit n’investit pas dans des produits pour des marchés non solvables. L’OMS essaye depuis très longtemps d’attirer l’attention sur cette question. Maintenant chacun le voit par lui-même. » Les premiers tests de vaccins devraient se dérouler en décembre.

    L’OMS comptabilise au 31 octobre 13.567 cas d’Ebola, dont 4.951 mortels. Pour le docteur Chan, c’est la crise sanitaire la plus grave des temps modernes. Les Etats-Unis ont déclaré en septembre que le virus Ebola constituait une menace pour la sécurité internationale, tandis que la France en est toujours aux recommandations.

    Radio Courtoisie : Bulletin de réinfo du 4 novembre.

     http://www.oragesdacier.info/

     

  • L'Apôtre au cinéma

    Lu sur l'Observatoire de la christianophobie :

    "Cheyenne-Marie Carron m’a signalé hier au soir trois projections exceptionnelles de son film L’Apôtre à Paris au cinéma Le Balzac (1, rue Balzac, 75008 Paris) les dimanches 23 novembre, 30 novembre et 7 décembre (séances de 11 h).Faites passer l’information… La réalisatrice m’annonce également pouvoir bientôt nous préciser les salles en Provinces où le film sera projeté."

    Vous pouvez retrouver sur le blog de l'Homme Nouveau l'entretien donné par Cheyenne-Marie Carron. Elle raconte l'élément déclencheur de ce film :

    H"Dans le village d’où je viens, la sœur de mon prêtre fut tuée. Le meurtrier était un jeune musulman, fils des voisins du prêtre. Lorsque le jeune a été arrêté, le prêtre a dit : « Je reste vivre auprès des parents, dont le fils a tué ma sœur, car ma présence les aide à vivre. » La main tendue de ce prêtre m’a touchée au plus profond du cœur. Je savais déjà par ma mère que la religion catholique était la plus belle religion existante, mais par le geste sublime de beauté de ce prêtre, j’ai compris que la Vérité ne pouvait qu’être là. Alors, bien des années plus tard, j’ai décidé d’écrire le scénario de L’Apôtre. J’ai fait ce film en mémoire de ce curé de campagne qui va bientôt mourir et je l’ai dédié à sa sœur Madeleine. Ce sont des saintes personnes, anonymes, et moi je ne veux pas qu’on les oublie."

    Michel Janva

  • Il y a 70 ans : mort d’Alexis Carrel

    exis Carrel fut l’un des plus grands savants de la première moitié du XXe siècle : pionnier de la chirurgie vasculaire, il obtint en 1912 le prix Nobel de physiologie ou médecine « en reconnaissance de ses travaux sur la suture vasculaire et la transplantation de cellules sanguines et d’organes», devenant à l’époque à la fois le plus jeune lauréat et le premier scientifique récompensé pour ses travaux hors de son propre pays.

    Converti au catholicisme, il fut un défenseur de l’écologie et de l’ordre social.

    Il s’est fait mondialement connaître par la publication de L’Homme, cet inconnu(disponible ici) en 1935.
    Nous recommandons aussi ses Réflexions sur la conduite de la vie.

    Aucun représentant officiel n’assista à ses obsèques, le dr Carrel ayant eu le tort de travailler de concert avec l’Etat français du maréchal Pétain.
    Petit à petit les rues et collèges Alexis Carrel sont débaptisées…

    Nous reviendrons prochainement sur sa vie et son œuvre.

    Thibaut de Chassey

    http://www.contre-info.com/

  • Pakistan : un couple de jeunes chrétiens brûlés vifs pour « blasphème »

    Un couple de chrétiens d’une vingtaine d’années a été brûlé vif, mardi, dans un four à briques par une foule de musulmans, dans un village au sud de Lahore, à l’est du Pakistan.

    Les deux jeunes époux, lui âgé de 26 ans et elle de 24 ans, qui travaillaient dans une fabrique de briques, ont été séquestrés et retenus en otage pendant deux jours, depuis dimanche 2 novembre, à l’intérieur de l’établissement. Le matin du 4 novembre ils ont été poussés dans un four où était en cours la cuisson de briques.

    L’avocat chrétien Sardar Mushtaq Gill a expliqué à l’agence Fides que l’accusation de blasphème contre le couple était liée au récent décès du père de Shahzad. Sa femme, en nettoyant l’habitation de son beau-père, le 2 novembre, avait brûlé un certain nombre de papiers du défunt, jugés inutiles. D’après un musulman ayant assisté à la scène, des pages du Coran se seraient trouvées dans les documents incinérés.

    L’homme a en tout cas fait courir cette rumeur dans les villages alentours. Suite à cela, une foule de plus de 100 musulmans en colère est venue prendre les deux chrétiens en otage, avant de les assassiner.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Le GIEC, allié utile du mondialisme

    « La science a parlé. Il n’y a aucune ambiguïté sur son message. Les gouvernements doivent agir. Le temps joue contre nous. » Tout est dit, ou presque, dans cette objurgation de portée mondiale puisque émanant de Ban Ki-moon lui-même, soit le secrétaire général des Nations unies.

    Une sentence valant sermon, dans une tonalité délibérément apocalyptique, dans le but d’affoler les populations, à l’approche de l’Armageddon climato-atmosphérique. Un coup de semonce verbale qui renseigne sur la valeur intrinsèque du message comme sur celle des oiseaux de mauvais augure qui l’ont inspiré.

    Ces derniers proviennent de l’inoxydable GIEC ou « Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat ». Le but de cette officine ? « Présenter au monde l’état actuel des connaissances scientifiques sur les changements climatiques et leur incidence potentielle sur l’environnement et la sphère socio-économique. » En d’autres termes, révéler, urbi et orbi, La Vérité messianique sur ce que nous devons obligatoirement penser des aléas et autres évolutions climatiques. [...]

    Aristide Leucate - La suite sur Boulevard Voltaire

  • Rappel : Sens commun : jusqu’où peut-on collaborer avec le mal ?

    L’UMP est balayée – une fois encore – par une « affaire » de concussion aux proportions cyclopéennes : l’affaire Bygmalion, qui pourrait bien devenir une énième affaire Sarkozy. 

    Pour rappel, le Français étant oublieux, je citerai quelques unes des affaires Sarkozy : Karachi, Clearstream, Bettencourt, Wildenstein, César, Pleyel, Compiègne, Peugeot, Woerth, le financement Kadhafi, les enfants de Zoé, les infirmières Bulgares, Jean Sans-Epad, l’arbitrage Tapie, les sondages de l’Élysée-Buisson (6 millions d’euros), les affaires Guéant, le Fouquet’s, le Paloma, le vaccin H1N1, les stylos, Grandrange… Liste non exhaustive. 

    Tout cela n’a pas freiné l’enthousiasme des animateurs de Sens commun – la chapelle des militants LMPT ralliés à l’UMP – lancée rue de Vaugirard le 29 avril dernier. Ils étaient 700 selon les organisateurs et la police – enfin d’accord.

    Ils ont pu entendre Jérôme Lavrilleux, directeur de cabinet de Jean-François Copé, leur improviser une intervention de bienvenue.

    Lorsque l’on veut faire de la politique, les options ne se bousculent pas, il est vrai.

    Au moins font-ils preuve d’un réalisme qui manque absolument aux Lapins crétins qui ont cru aux illuminations d’une Boutin. Les animateurs de Sens commun ne sont pas idiots, certains ont une solide culture littéraire – ça s’aventure à citer Proudhon et Gramsci à la lueur des bougies…

    Si les initiateurs sont habiles, les obsédés de bioéthique qui composent l’essentiel de la chalandise de Sens commun n’ont pas de mémoire et sont aisément trompés : ils ont oublié que c’est Sarkozy – en personne – qui a voulu imposer le statut du beau-parent et que c’est sous Luc Chatel que les gender studies ont fait irruption dans les écoles.

    Les initiateurs de Sens commun ont réfléchi leur truc, ils ont couché par écrit leurs principes directeurs. Sur leur site, dans leur Charte, on peut lire : « …la nécessité absolue d’une refondation de la vie démocratique et des pratiques politiques… », « Nous refusons fermement toutes les pratiques politiques marquées par l’individualisme, le carriérisme et la corruption… », « Nous voulons que la loi reprenne sa place pour fixer les repères essentiels de la vie en société… », « Nous voulons promouvoir la reconnaissance de la responsabilité personnelle… ».

    Sens commun termine son manifeste ainsi : « La droite que nous voulons est décomplexée, forte, sociale, populaire, humaniste… Mais elle est surtout et avant tout de DROITE ». Avec Bygmalion, les Qataris, de Carolis, Buisson et Peltier, ils sont servis !

    Sens commun n’a pas tardé à publier un communiqué après l’annonce des résultats aux élections européennes le 25 mai dernier. Ils ont été très réactifs. Que ne publient-ils un communiqué se rapportant à l’affaire Bygmalion qui engloutit leurs nouveaux amis ? Que diront-ils en défense de leur camarade Jérôme Lavrilleux, depuis passé aux aveux pour protéger Copé ?

    Que proposent-ils maintenant à ceux qui ont pris part au mouvement social de 2013 ? Leur proposent-ils toujours prendre leur carte à l’UMP ? Ils disent vouloir « changer » la politique comme d’autres proposent de « changer » la construction européenne. Mais jusqu’où peut-on collaborer avec le mal ? S’lis acceptent ce scandale, que n’accepteront-ils pas ? 

    Faire le dos rond et tweetter « on travaille ! » ne suffira pas. Je pense que, comme moi, beaucoup attendent des éclaircissements. Je suis impatient de les lire…

    Nouvelles de France

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