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  • Crise financière : quand le FMI fait son mea culpa…

    Le FMI bat sa coulpe. Les remèdes préconisés en 2010 par l’institution monétaire pour relancer l’activité après la crise financière ont été “loin d’être efficaces” et ont focalisé trop tôt sur des mesures d’austérité budgétaire, selon un audit interne publié mardi 4 novembre.

    “Le cocktail de mesures (promu par le Fonds) a été loin d’être efficace dans le soutien à la reprise et a contribué à la volatilité des flux de capitaux sur les marchés émergents“, écrit le bureau d’évaluation indépendant (IEO) du Fonds monétaire international.

    Selon ce rapport à la tonalité très critique, le Fonds a certes d’abord apporté une réponse appropriée à la récession mondiale de 2008-2009 en appelant à une relance budgétaire massive dans les pays riches.

    “Mais son appel en 2010-2011 à un basculement vers la consolidation budgétaire (réduction des déficits, ndlr) dans quelques-unes des plus grandes économies était prématuré“, a écrit l’IEO.

    L’audit note également que le Fonds a alors appelé les grandes banques centrales à adopter des politiques monétaires extrêmement accommodantes, mêlant taux d’intérêts bas et rachats d’actifs, afin de soutenir l’activité.

    Ce mélange n’était pas “approprié“, la relance monétaire étant “relativement inapte” à doper la demande après une crise financière, assure l’audit interne, qui note que le Fonds n’a pas prêté assez tôt attention aux effets néfastes de ces politiques sur les pays émergents (volatilité financière, chute des devises…).

    Pour l’avenir, le rapport affirme également que le mécanisme censé permettre au FMI de détecter les nouveaux risques financiers est devenu “trop complexe“.

    “La quantité d’analyses est très difficile à absorber, pour les dirigeants politiques comme pour les équipes du FMI“, assure l’audit.

    En réponse, la directrice générale du FMI, Christine Lagarde, a salué un rapport “équilibré” tout en ssurant ne “pas partager” le diagnostic sur le remède anti-crise du FMI.

    “Je crois profondément que conseiller aux économies ayant un fardeau croissant de dette de s’orienter vers une consolidation budgétaire était la bonne décision à prendre“, déclare-t-elle dans un communiqué distinct.

    Challenges

    http://fortune.fdesouche.com/360969-crise-financiere-quand-le-fmi-fait-son-mea-culpa

  • Sondage: Marine Le Pen largement en tête dans tous les cas de figure au premier tour. L’écart se creuse

    Sondage Ifop-Fiducial pour iTELE sur la présidentielle de 2017  

    Quelques chiffres tirés de ce sondage montrent le désaveu explosif des Français pour la classe politique du système:

    Au premier tour:

    Marine Le Pen serait largement en tête  de l’élection présidentielle si elle avait lieu dimanche prochain, dans tous les cas de figure, quel que soit les candidats de droite comme de gauche:

    Nicolas Sarkozy ferait le meilleur score derrière Marine Le Pen avec 25 % contre 28 % pour elle.
    Alain Juppé ferait 24 % contre 30 % pour MLP.
    François Fillon n’ obtiendrait que 17 % contre 32 % pour Marine Le Pen.

    La domination de Marine Le Pen est encore plus nette dans ce sondage face aux candidats de gauche:

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  • L’UMP Ciotti fait trembler les djihadistes !

    En souhaitant supprimer le RSA aux jeunes qui partent faire le djihad, Éric Ciotti a choqué la direction de l’État islamique.

    La décision les a stupéfaits. Interrompu par ses lieutenants en pleine séance d’arrachage de globes oculaires, Abou Bakr al-Baghdadi a réuni en urgence les instances de Daech. Le calife, visiblement démoralisé, a déclaré que – grâce au prophète en soit rendue – les soldats de l’islam sauront répliquer à la menace.

    La menace, en effet, est littéralement effroyable : le député UMP Éric Ciotti envisage de supprimer les droits au RSA pour les jeunes Français partis faire le djihad. Martial, vêtu de son légendaire treillis de campagne, le président du conseil général des Alpes-Maritimes a posté sur Twitter sa déclaration de guerre :

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  • Faut-il se libérer du libéralisme ?

    La question, que certains n'ont pas manqué de poser à la suite de la crise financière de 2008, est d'autant plus complexe à traiter que le terme "libéralisme" recouvre différentes acceptions : politique, économique, philosophique. C'est justement parce qu'il s'agit d'une réalité ambivalente complexe que la Nef a lancé, en partenariat avec l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon, une vaste enquête à ce sujet. Une quarantaine d'analystes, la plupart chrétiens, aux vues différentes voire opposées, ont été contactés par le mensuel, qui publiera leurs contributions tout au long de l'année.

    Voici celle deDenis Sureau, responsable de la revue Transmettre et de la lettre Chrétiens dans la cité, parue dans lenumérotout frais du mois d'octobre. Sa thèse : le libéralisme est un étatisme.

    "Face à l’omnipotence d’un État toujours plus spoliateur, absorbant la majorité des richesses du pays, multipliant les contraintes légales et réglementaires de toute sorte, certains de nos contemporains se croient libéraux parce qu’ils aspirent à davantage de libertés concrètes. Dans le même temps, face aux immenses dégâts politiques, économiques, culturels, sociaux et écologiques causés par la dérégulation des marchés et une mondialisation prédatrice, d’autres s’imaginent « chrétiens sociaux » en prônant un État fort.
    Or les uns comme les autres ont tort, car le libéralisme est un étatisme, si bien que l’État ne saurait être la solution aux problèmes provoqués par le système libéral. Un petit rappel historique s’impose. L’invention de l’État et sa structuration entre 1450 et 1650 sont certes antérieures à l’apparition du libéralisme et s’expliquent par une multitude de causes – principalement le financement des guerres – que nous ne pouvons détailler ici (1). Toutefois, ce sont les fondateurs du libéralisme qui vont penser sa légitimité, Hobbes et Locke les premiers. Plus explicitement, le passage de la souveraineté monarchique à la souveraineté populaire va radicaliser cette évolution.L’individualisme possessif qui fonde le libéralisme utilise l’État, d’abord sous sa forme de « monarchie absolue », ensuite en tant que produit du système démocratique, pour détruire la société dans ses diverses composantes (famille élargie, clans, domaines, seigneuries, corporations, paroisses, municipalités, provinces, universités, ordres, cours de justice…). L’objectif est de créer un espace social simple à la place de l’espace complexe (cette distinction est de John Milbank) propre aux sociétés traditionnelles. Simple parce qu’à terme seuls doivent subsister l’individu et l’État reliés directement. D’ailleurs la société n’existe pas (Margaret Thatcher dixit), et la justice sociale n’est qu’un mirage (Hayek).

    L’application du projet libéral de mise en concurrence et de marchandisation de toutes les activités humaines (y compris l’éducation, la santé) nécessite un État fort : les exemples des États-Unis, du Chili de Pinochet (laboratoire des thèses de Milton Friedmann) et, plus récemment, de la Chine, sont très éclairants.Après avoir réussi à vider les pays des libertés concrètes de leurs communautés constitutives, le libéral-étatisme accompagne au XXe siècle le stade ultime de cette évolution, avec l’érosion des libertés nationales au profit du grand marché global. C’est là bien l’œuvre des grandes institutions internationales (Union européenne, OMC, FMI, Banque mondiale…) qui s’emploient à démanteler les frontières pour assurer la plus parfaite circulation des ressources financières, commerciales et humaines. Inutile d’imaginer des conspirations : ce sont les États eux-mêmes qui organisent ce processus. (On notera en passant l’incohérence souverainiste qui justifie la première étape de simplification de l’espace social national au nom du mythe de l’État-nation, mais se cabre contre la constitution d’un espace unitaire planétaire procédant de l’eurojacobinisme et du mondialisme qui n’est pourtant que son extension logique.)

    Tentons d’exposer autrement le mécanisme libéral-étatiste. À la base du grand récit libéral, on trouve l’individu, libre, mû par son propre intérêt. Cependant, il doit établir des relations avec ses semblables et dépasser le stade mortel de la guerre de tous contre tous. Le contrat social grâce auquel les contrats privés pourront être garantis est le mécanisme qui permet de transcender les volontés individuelles dans une volonté générale. Je me protège de l’appétit des voisins en transférant ma volonté individuelle au souverain. Or l’État est l’institution chargée de la protection de ce grand pacte social. Les individus se libèrent de leurs dépendances et interférences mutuelles, hier organisées au sein de leurs communautés. Où l’on voit ici que les droits de l’homme peuvent être utilisés contre les droits ou libertés des communautés d’appartenance et provoquer leur atomisation. Après la ruine des réseaux transversaux de solidarité, l’État devient l’unique garant de ces droits et, pour assurer cette mission, se dote d’un immense appareil symbolique, idéologique (école, médias), bureaucratique et coercitif de contrôle d’une société qui tend à fusionner avec lui.
    Le mouvement Communion et libération organise des conférences sur la subsidiarité ayant pour accroche Moins d’État, plus de société. Il me semble urgent que les chrétiens d’aujourd’hui renouent avec cette grande vision qui est à la base d’une doctrine sociale de l’Église droitement interprétée. Nous devons dénoncer le caractère intrinsèquement pervers de l’État tel que nous le connaissons (radicalement différent d’une authentique autorité politique), nous opposer avec la même détermination à toute forme du libéralisme, et dans le même temps contribuer au développement de communautés vivantes qui sauront le moment venu – si Dieu veut – recréer d’en-bas, subsidiarité oblige, de nouvelles formes d’autorité légitime. Alors le libéralisme dépérira et les libertés renaîtront."

    Déjà parues également, les contributions deFalk van Gaver, initiateur et maître d'oeuvre du projet de la Nef, et de l'économisteJacques Sapir, "Qu'est-ce que le libéralisme ?".

    Louise Tudy

  • Les potentialités énergétiques de la France sont-elles bien exploitées ?

    Dans Alternatives économiques de l’été 2014, Guillaume Duval, tout en rappelant que la paix en Europe, même si elle nous semblait historiquement acquise, n’était pas forcément « un acquis irréversible », insistait sur d’autres réalités incontournables que nos sociétés et les États d’Europe semblent dangereusement méconnaître, au risque d’en payer un prix très lourd demain : « Au regard des véritables enjeux du XXIe siècle, les historiens, et nos enfants, jugeront en effet probablement sévèrement les heures, les mois, les années perdus dans ces discussions byzantines autour des 3 % de déficit...

    La grande affaire de l’Europe, c’est, ou plutôt cela devrait être, d’accélérer enfin la conversion écologique de son économie. (…) Ici et maintenant, parce que nous sommes la zone au monde la plus dépendante de ressources extérieures qui vont être de plus en plus rares et chères (…). Nous occupons en effet l’espace le plus anciennement industrialisé de la planète et nous sommes pour cette raison ceux qui ont déjà le plus épuisé les ressources minières et les énergies fossiles de leur sol. L’économie européenne ne se redressera jamais durablement si nous ne sommes pas capables de réduire drastiquement et rapidement cette dépendance.

    Or, un des effets les plus marquants de l’obsession « austéritaire » qui s’est emparée des Européens, y compris lorsqu’ils sont de gauche comme les dirigeants français actuels, c’est de freiner cette conversion en limitant et en retardant les investissements nécessaires. » Et de souligner, en conclusion de cet article et à propos du projet de loi sur la transition énergétique présentée par Mme Royal que « dans le contexte actuel, il paraît peu probable que les moyens dégagés puissent être à la hauteur des ambitions affichées », ce qui est confirmé par le débat parlementaire de ces semaines dernières sur ce sujet et les réactions qu’il a suscitées parmi ceux qui s’inquiètent des enjeux écologiques de demain pour la France comme pour le reste du monde. Au moment même où le GIEC tire le signal d’alarme sur un réchauffement climatique qui semble s’accélérer, non pour des raisons naturelles mais du fait des activités humaines, industrielles comme individuelles, c’est regrettable...

    En fait, ce n’est pas tant l’abandon de l’écotaxe, abandon plutôt bienvenu au regard des conditions de sa récolte laissée à une société privée... autoroutière (70 % des parts d’Ecomouv’ sont détenues par la société italienne Autostrade, ce qui est plutôt surprenant au regard de la taxe elle-même !), qui est le plus ennuyeux dans cette affaire de réchauffement climatique et de transition écologique (même si c’est de cela dont on a beaucoup parlé ces jours derniers) : ce qui est le plus inquiétant, c’est le flou des moyens pour atteindre les objectifs annoncés et la faiblesse de ces derniers au regard des enjeux. La montagne semble bien avoir accouché d’une souris...[....]

    La suite sur le blog de Jean-Philippe Chauvin

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Les-potentialites-energetiques-de

  • A ceux qui prétendent qu'il est impossible d'abroger la loi Taubira

    Extrait de la chronique de Pierre-Oivier Arduin, dans la Nef :

    "Est-il possible de revenir en arrière ? Les déclarations en cascade de personnalités politiques de droite qui souhaitent se contenter de retoucher la loi Taubira ne sont que promesses dilatoires ou poudre aux yeux. Plus personne ne peut ignorer que mariage et filiation sont intrinsèquement liés et que la seule façon de sortir de cette descente aux enfers est d’abroger la loi du 17 mai 2013. Des juristes de renom ont commencé à y réfléchir car l’affaire ne sera pas simple, il faut en être conscient. Bien sûr, ce qu’une loi a fait, une autre peut le défaire ; encore faut-il que le Conseil constitutionnel accepte la « rupture d’égalité » qui en résultera inévitablement entre les couples de personnes homosexuelles mariées et ayant adopté et celles qui seraient désormais privées de ces « droits ». Pour autant le professeur de droit public Guillaume Drago, spécialiste du contentieux constitutionnel, juge avec d’autres que l’abrogation est juridiquement envisageable. L’argument massue brandi par ceux qui estiment le projet irréalisable est de dire que la CEDH, encore elle, viendrait immanquablement jouer les trouble-fête en sanctionnant tôt ou tard la France : rompre l’égalité de droits des « couples » homosexuels serait jugé discriminatoire à Strasbourg. L’intrusion incessante des magistrats européens dans les divers enjeux éthiques relevant de la souveraineté nationale (obligation aujourd’hui de légitimer a posteriori le recours à la GPA avec les arrêts du 26 juin, demain la contrainte éventuelle de retirer l’alimentation artificielle de Vincent Lambert ou après-demain l’interdiction d’abroger la loi Taubira) doit désormais poser la question de la sortie provisoire de la France de la Convention européenne des droits de l’homme."

    Louise Tudy

  • La désinformation publicitaire

    Des Les 4 Vérités, Guillaume de Thieulloy analyse le dernier ouvrage de Jean-Yves Le Gallou, La désinformation publicitaire. Extrait :

    "On peut dire tout le mal qu’on souhaite de la presse anglosaxonne (et il y a beaucoup à dire en la matière !), mais celle-ci vit principalement de ses lecteurs. La presse française, elle, vit principalement de la publicité. Au premier abord, cela peut sembler assez insignifiant. Mais c’est fondamental. Car la publicité impose subtilement une idéologie qui n’est pas forcément (qui est même assez rarement) l’idéologie du lecteur. [...]

    Comment la publicité impose-t-elle une idéologie ? Tout simplement en exigeant qu’un encart publicitaire ne côtoie pas un article « négatif » (par exemple, en refusant qu’un encart côtoie un article sur la corruption des « élites », sur la destruction de la famille ou sur l’immigration). Ce que les annonceurs veulent, comme l’avait naguère dit Patrick Le Lay, alors homme fort de TF1, c’est « du temps de cerveau disponible ». Moins les médias « prennent la tête » du lecteur, mieux cela vaut.Finalement, d’encart publicitaire en encart publicitaire, il n’y a plus de place pour dire la vérité. Dans ce contexte, il est logique que la presse non conformiste reçoive fort peu de recettes publicitaires. À terme, le média tout entier (cela vaut pour la télévision et la radio comme pour la presse) n’est plus qu’un support publicitaire, les articles ou reportages n’étant qu’une façon de préparer le « consommateur » à… consommerprécisément, ce qui est évidemment le but de la publicité.

    DConnaître cette réalité, c’est déjà y résister, dit très bien Jean-Yves Le Gallou. Mais nous pouvons – et devons – faire davantage. Il faut dénoncer les bobards publicitaires, comme tous les bobards médiatiques, partout où on les trouve (ils sont nombreux, tant la description du monde enchanteur de la « mondialisation heureuse » correspond peu à la réalité). Il faut aussi éviter, autant que possible, de « consommer » de la publicité. Plus généralement, le refus de la consommation compulsive que veulent nous imposer les publicitaires est, en soi, un acte de résistance au système. Il faut, bien sûr, protéger les enfants – qui sont les plus vulnérables – de l’influence publicitaire. Mais, nous ne pouvons pas nous contenter d’une action défensive. Nous disposons désormais d’armes puissantes pour réinformer – en particulier, avec internet. Servons-nous en au maximum. Soutenons autant que possible (d’abord en lisant et en diffusant, mais aussi, quand nous le pouvons, financièrement) les médias de ce qu’on appelle maintenant la « réinfosphère ». La grosse presse agonise actuellement. La réinfosphère, elle, est en plein développement. Voilà une bonne raison d’espérer !"

    Michel Janva

  • Bernard Cazeneuve a demandé à Boubakeur de l’aider à « établir la sécurité en France »…

    Interrogé ce matin par le Figaro, Dalil Boubakeur, président du Conseil Français pour le Culte Musulman livre des réponses intéressantes…

    Il nous apprend d’abord que Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur a demander de l’aide aux autorités musulmanes pour « établir la sécurité en France » lors d’une visite pendant le mois du Ramadan… Etonnant n’est-ce pas pour un ministre qui répète que la délinquance n’a rien à voir avec l’immigration ou que l’islamisme n’a rien à voir avec l’islam ? Etonnant pour un ministre qui n’a que la République « laïque, une et indivisible » à la bouche… Que veut monsieur Cazeneuve ? Une police musulmane qui fasse respecter le bon ordre républicain dans les quartiers sensibles ?

    Dalil Boubakeur aborde ensuite la question du djihad un peu embarassé… Mais contrairement à nos ministres auto-proclamés exégètes d’une religion dont ils ignorent tout, il confie : « dans l’islam il y a une variété, je dirais même une liberté mais aussi un certain nombre d’éléments qui peuvent aller vers la violence et le danger ». Le sujet est clos : il n’y a qu’un islam, plus ou moins radicalement interprété.

    Boubakeur affirme qu’il condamne les actes mais explique que si aucun « conservateur » ne siège au CFCM, il reste en relation avec ceux qu’il appelle ses« frères » parce qu’ils « ont la même vision spirituelle de l’islam ». Conclusion ? « L’unité des musulmans est plus importante que nos idées parfois différentes ».

    Mais qu’en sera-t-il donc si les djihadistes reviennent de Syrie et décident de mener ici le même combat que là-bas ? Les réponses de Dalil Boubakeur laissent pour le moins perplexe…

    http://www.contre-info.com/