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  • François Bayrou inaugure une « allée Abd El-Kader »

    Dans un élan de clientélisme et de mépris de soi, le politicien et maire de Pau François Bayrou a inauguré le 25 octobre une « allée Abd El-Kader ».

    Pour rappel, l’émir Abd El-Kader est ce chef local d’Algérie qui a mené de 1832 à 1847 une guerre farouche à l’armée française (et à d’autres tribus algériennes d’ailleurs).

    Il faut souligner qu’Abd El Kader, présenté comme un lettré tolérant, se battait pour permettre sur place la perpétuation des harems et de l’esclavage.
    Durant ces quinze années de guérilla antifrançaise, il y eut quelques trêves ; et au cours de l’une d’elles, les Français acceptèrent de rendre à l’émir une centaine de ses esclaves noirs, qui avaient cru trouver la liberté en se réfugiant sous notre drapeau. Abd el-Kader les fit tous décapiter. De même, un certain nombre de soldats français capturés ont fini égorgés.

    François Bayrou a choisi de procéder à l’inauguration en compagnie d’Azouz Begag, ancien ministre à « l’égalité des chances », qui déclarait en 2005 au magazine Respect (sic), à destination de ses congénères : « Il faut traverser le périphérique, aller chez les indigènes là-bas, les descendants de Vercingétorix… Il faut casser les portes, et si elles ne veulent pas s’ouvrir, il faut y aller aux forceps. Partout où la diversité n’existe pas, ça doit être une invasion de criquets, dans les concours de la fonction publique, dans la police Nationale. Partout de manière à ce qu’on ne puisse pas revenir en arrière. »

    Thibaut de Chassey
    Source ici et 

    http://www.contre-info.com/

  • François Hollande: 78% des Français estiment que sa politique familiale est un échec. 97% d’entre eux lui administrent une douche froide

    Pour François Hollande c’est la douche froide! 78% des Français pensent que François Hollande, lui président, a échoué en matière de politique familiale, en dépit d’une propagande tous azimuts dans ce domaine.

    Ils sont unanimes à penser que ses politiques du chômage et fiscale sont de complets échecs. Même à gauche il n’a pas convaincu où 55% pensent qu’il a échoué.

    En comparaison Obama au plus bas dans les sondages bénéficie encore, malgré tout, de 40% d’opinions favorables et Vladimir Poutine caracole à 87% selon un sondage effectué fin octobre. Il bénéficiait de 84% d’opinions favorables en août.

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  • Législatives : l'idée de la proportionnelle intégrale fait son chemin

    Cela permettrait de sauver les meubles du PS :

    "Rue de Solferino, des projections auraient été réalisées. «Au scrutin majoritaire, le PS est laminé, affirme un élu. Nous avons fait des simulations très inquiétantes. Dans le Grand Est, par exemple, c'est une bérézina pour les socialistes». Reste un point capital. Modifier le mode de scrutin ? Pourquoi pas mais pour qui ? Pour le président de la République élu en mai 2017 ou pour François Hollande avant cette échéance? Certains observent que, si la proportionnelle intégrale était approuvée lors d'un référendum et si quelques mois plus tard, le président décidait de dissoudre, la nouvelle Assemblée permettrait toutes les combinaisons."

    Le FN pourrait devenir un groupe important, voire le plus important, à l'Assemblée et, in fine, c'est l'UMP qui en pâtirait le plus.

    Michel Janva

  • A lire : La gauche et le peuple, de Jacques Julliard et Jean-Claude Michéa

    LaGaucheEtLePeuple_CouvBandeau.jpgS’il fallait se convaincre de l’incroyable modernité de ce développement socialiste de la vieille idée aristotélicienne selon laquelle l’homme est, par essence, un animal politique, il suffirait de considérer un seul instant la question, devenue emblématique, du travail dominical (est-ce d’ailleurs tout à fait un hasard si le premier essai politique de Proudhon – écrit en 1839 – était une célébration du dimanche ?) Comment ne pas voir, en effet, que c’est précisément au nom du droit absolu de chacun (considéré – pour reprendre la formule de Marx – en tant qu’individu « séparé de l’homme et de la communauté ») à organiser son temps et sa vie quotidienne en fonction de ses seuls intérêts privés qu’on nous presse désormais d’en finir avec ce terrible « tabou » d’un autre âge ? Au nom, par conséquent, du vieux dogme libéral selon lequel tous les contrats peuvent nouer, à titre privé, deux individus adultes et consentants (qu’il s’agisse, par exemple, d’une prostituée et de son client ou d’un employeur et de son employé) ne devraient en aucun cas « regarder » la collectivité ni, a fortiori, légitimer le moindre contrôle ou la moindre intervention de sa part. Et cela, quand bien même il serait possible de pointer à l’avance toutes les retombées négatives que ces choix – présentés comme entièrement « libres » et strictement « individuels » – auront inévitablement, à terme, sur la forme, le contenu et la qualité de la vie collective (à commencer par ce fait économique élémentaire : le jour où le dimanche sera effectivement devenu un jour comme les autres, il n’existera plus la moindre raison – d’un point de vue patronal – pour continuer à prélever sur le travail dominical une plus-value inférieure à celle qui est prélevée sur celui des autres jours). Or une telle logique – indissociablement économique et culturelle – ne peut, par définition, s’arrêter en si bon chemin. C’est bien elle, par exemple, qui permet déjà de légitimer aussi bien la spéculation boursière et l’exil fiscal (« je fais ce que je veux de mon argent, ça ne vous regarde pas ») que l’idée selon laquelle la prostitution est un métier comme un autre ou l’addiction à la drogue la seule affaire du drogué (« je fais ce que je veux de mon corps, ça ne vous regarde pas »). Et c’est, bien sûr, encore elle – quoique très peu d’esprits à gauche, aient eu le courage politique et intellectuel de l’admettre – qui devait nécessairement sous-tendre l’étrange revendication d’un « mariage pour tous » (en lieu et place d’un pacte d’union civile destiné à donner enfin à tous les couples – quelle que soit leur orientation sexuelle – les mêmes droits protecteurs, notamment après un divorce ou un décès) dès lors qu’on avait préalablement pris soin de réduire l’institution du mariage – conformément au dogme furieusement girondin d’un Noël Mamère – à « un simple contrat passé entre deux personnes par consentement mutuel ». Pur arrangement privé, par conséquent, entre deux individus supposés « séparés de l’homme et de la communauté » et censé n’avoir, à ce titre, aucun effet particulier sur les structures de la vie collective. Alors même qu’il aurait dû être évident – du moins pour quiconque a été initié aux mystères biologiques de la reproduction – que l’institution sociale du « mariage » dépasse toujours le seul point de vue privé du couple dans la mesure où elle met officiellement en jeu la question anthropologique de la filiation et donc, a fortiori, celle du mode de production et d’échange des enfants. Double question philosophique dont on saisira sans doute mieux les enjeux ultimes en se reportant au film prémonitoire d’Andrew Niccol – Bienvenue à Gattaca – qui, dès 1997, décrivait avec la plus grande lucidité les implications inexorablement inégalitaires – enfants de la nature versus enfants perfectionnés de la techno-science et de l’industrie génétique – d’un monde livré aux fantasmes foncièrement eugénistes d’une Christiane Taubira (ou de son mentor Francis Fukuyama).

    http://www.oragesdacier.info/

  • 40 Days for Life : 546 enfants sauvés de l’avortement

    La campagne d’automne des 40 Days for Life s’est achevée hier dimanche 2 novembre sur un bilan, provisoire, particulièrement remarquable : 546 enfants à naître ont déjà été signalés à la coordination de la campagne comme sauvés de l’avortement. Et ce nombre continuera à croître au cours des jours qui viennent, le temps que les informations soient vérifiées sur place par les vigiles et remontent à la coopération.

    De mémoire, c’est le plus grand nombre de bébés à naître sauvés au cours d’une campagne, de toute l’histoire des 40 Days for Life lancés modestement voici exactement dix ans !

    Americatho s’est associé à la campagne qui vient de s’achever en constituant une chaîne de prière avec plus d’un millier de personnes, 89 messes ont été célébrées (ou le seront en action de grâce)…

    La prochaine campagne se déroulera pendant tout le Carême de 2015, du mercredi 18 février (Cendres) au dimanche 5 avril (Rameaux).

    Michel Janva

  • Le gouvernement des amateurs

    D’après une étude, d’ici à 2025 les emplois de trois millions de salariés français auront été remplacés par des robots. Peut-être feraient-ils aussi de meilleurs ministres ?   

    Glissé en douce dans le cadre du budget de la Sécurité sociale, l’amendement aurait pu passer inaperçu. Son objectif : assujettir les dividendes des sociétés anonymes aux cotisations sociales et les taxer ainsi jusqu’à 60 %. Colère des chefs d’entreprise. Deux ans après la bronca des Pigeons, le gouvernement semble de nouveau s’acharner sur les TPE et PME et pénaliser la prise de risque au lieu de la soutenir, sous prétexte de lutter contre certains abus.

    « Une fois de plus, on freine le développement des entreprises et on dissuade les énergies », s’emporte le député UDI Jean-Christophe Fromentin, tandis que le secrétaire général de la CGPME voit là une « entreprise de démolition des travailleurs indépendants déjà surtaxés ».

    Embarrassé, Michel Sapin promet de demander le retrait de cette disposition. Parallèlement, un autre rétropédalage se profile sur le décret Hamon, qui instaure l’obligation d’informer les employés deux mois à l’avance en cas de cession de PME. Une idée contre-productive propre à décourager les repreneurs et nuisant à la confidentialité des tractations.

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  • FN, la petite bête qui monte, qui monte

    A plus de deux ans et demi du premier tour de la présidentielle,  il faudrait être bien sots ou naïfs  pour tirer des conclusions définitives des sondages concernant les probables acteurs majeurs de la course à l’Elysée en 2017. Tout juste peut-on  sentir, quand on en discute avec les Français, ce que les enquêtes d’opinions indiquent aussi, à savoir que Nicolas Sarkozy n’est pas attendu comme le messie. A l’image d’un Chirac affublé avant lui du surnom de « Super menteur», décrit en 2002 par Lionel Jospin  comme «usé, fatigué et vieilli », ce qui certes n’avait pas empêché le Premier ministre socialiste de mordre la poussière, le mari de Carla Bruni ne fait pas (plus) rêver le peuple de droite. Selon un sondage Odoxa pour Le Parisien publié samedi, 75 % des personnes interrogées jugent que son retour en politique est «raté», constat partagé par 57 % des sympathisants de droite (contre 41 %) et même 48 % des sympathisants de l’UMP. 77 % des sondés estiment aussi qu’il n’a fait aucune proposition intéressante pour la France, dont 58 %  des sympathisants de droite et une majorité encore plus écrasante des sympathisants du FN et de l’UDI. Seuls 54% des sympathisants de l’UMP sont d’un avis contraire alors qu’ Alain Juppé  voit sa cote de confiance se confirmer au détriment de M. Sarkozy(45 %, soit + 2 points par rapport à il y a un mois, contre 24 %, soit – 4 points).

    Les partisans de Nicolas Sarkozy se plaisent à imaginer qu’Alain  Juppé connaitra au final le sort d’un Edouard Balladur face à Chirac en 1995. Pour autant,  les sondages en hausse dont jouit l’ex calamiteux  Premier ministre et tout aussi médiocre ancien ministre des Affaires étrangères (« le meilleur d’entre  nous » , sic), révèle en creux la désaffection vis-à-vis de Sarkozy. Il apparait au fil de ses réunions rongé par les tics, les mauvais gimmicks, utilisant des formules attrape-tout déjà  testées  en 2007 et 2012 avec l’insincérité que l’on sait. Il est devenu sa propre caricature et cela les Français le perçoivent.

     A contrario, signe que nos idées sont en phase avec les attentes de nos compatriotes, qu’elles sont clairement perçues comme une alternative à la pensée unique et bien évidemment preuve du grand talent de la présidente du FN, selon un sondage Ifop pour le JDD, 60% des Français estiment que Marine Le Pen est la personnalité qui s’oppose le plus à François Hollande.

     Cette enquête pointe surtout l’écart entre Marine et ses adversaires pour incarner ladite alternative au socialomondialisme. Car à cette même question «parmi les personnalités suivantes de droite, laquelle s’oppose le plus selon vous dans ses propos et ses actions à François Hollande? », Nicolas Sarkozy ne recueille que  21%, Alain Juppé 8%, François Bayrou et François Fillon 4%…

     Tout aussi révélateur de ce clivage qui ne cesse de se creuser entre le peuple  de droite et ceux qui affirment en être les représentants légitimes, parmi les sympathisants de l’UMP, ils sont 59% à avoir cité Marine Le Pen, 25% Nicolas Sarkozy et 10% Alain Juppé. Un véritable coup de massue dont les effets ne vont pas manquer de se faire sentir dans les rangs de la droite courbe…

     A gauche c’est Jean-Luc Mélenchon qui est cité comme premier opposant au hollandisme , devant  Martine Aubry (22%), Arnaud Montebourg (14%), Cécile Duflot (12%) et Benoît Hamon (5%).

     Dans un entretien donné au JDD, Marine constate qu’ «aujourd’hui, il n’y a plus de président de la République en France. Son prédécesseur faisait en sorte que cela se voit moins, mais c’est la même chose ». Elle pointe la «fracture entre le peuple et l’exécutif» et en  en appelle une nouvelle fois  à la «dissolution de l’Assemblée nationale, parce qu’il n’y a pas d’autre moyen » et parce qu’il faut « purger le malentendu gigantesque né de la mise en œuvre d’une politique rejetée par une majorité de Français ».

     Faut-il s’étonner dans ces conditions de la chute colossale du nombre d’adhérents au PS ? Le site d’Europe 1 indique qu’au 31 juillet, le Parti socialiste avait enregistré 60 % de déperdition du montant de ses recettes d’adhésion. Et ce, « avant le remaniement, et avant l’affaire Thévenoud ».

     « A titre d’exemple Europe1 a sondé une quinzaine de fédérations socialistes. Résultat : il y a des pertes partout. Dans « la fédération du Nord, l’une des plus importantes», «dans certaines sections», notamment «à Dunkerque (…), on a perdu la moitié des adhérents».

     « En Charente-Maritime, sur les 1 000 militants, à ce jour, 500 participent effectivement à la vie du parti. En Gironde, certaines sources évoquent un effondrement de 4 000 à 2 000 cartes. Dans le Rhône, on prévoit 500 adhérents perdus sur 4 000. Et dans l’Isère, ce sont 1 000 adhérents sur 2 000 qui n’ont pas repris leur carte. Et la liste est loin d’être exhaustive ».

     Une érosion très nette aussi à l’UMP.  Les adhérents trahis, tapés au portefeuille par  le Sarkothon, écœurés par l’affaire Bygmalion, les salaires  somptuaires des apparatchiks , la guerre des chefs, l’absence de ligne politique claire devraient aussi être extrêmement nombreux à ne pas renouveler leur cotisation. Une réalité déjà avouée par les dirigeants de ce parti lorsque le scandale Bygmalion a éclaté.

     Officiellement l’UMP comptait 300 000 adhérents en 2007 et  encore un peu plus de 268 000 adhérents actuellement. Un chiffre totalement bidonné. Le 16 juin dernier L’Express citait « une source à l’UMP» qui faisait état de «125 000 adhérents à jour de cotisation», plus de deux  fois moins que le chiffre avancé aujourd’hui par la direction de ce parti !

     Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, indiquait au lendemain de la déculotté des européennes que son parti avait perdu «25 000 adhérents» en deux ans. En 2012 le site internet du PS revendiquait encore  «plus de 200 000 adhérents»…mais seulement 160 000 adhérents à jour il ya  quelques mois . Un nombre qui apparait encore bien trop  élevé pour être honnête, mais il est vrai qu’il y a trois ans le MoDem revendiquait 35 000 adhérents,  EELV 16 000 et le PC «70.000 à jour de cotisation»…

     Le Front National lui, a pendant longtemps pratiqué la discrétion sur le nombre de ses adhérents. Au motif que les partis du Système gonflant indûment le chiffre de leurs encartés, l’opposition nationale n’entendait pas entrer dans cette surenchère  mensongère.

     Juste avant la terrible scission mégrétise de décembre 1998, le FN comptait  environ 50 000 adhérents,  chiffre tombé à 6000-7000 en 2000. En janvier, pour le  congrès de Tours,  le FN comptait 22 000 adhérents à jour de cotisation.  En janvier 2012, le secrétaire général Steeve Briois  indiquait le chiffre de  40 000 .

     Fin 2012 indique le Huffington Post qui vient de consacrer un article à la progression fulgurante du nombre des adhérents frontistes, «en pleine crise interne de l’UMP, Marion Maréchal-Le Pen assurait que le FN enregistrait une explosion des adhésions« avec près de 600 adhésions jour. Entre le premier tour de l’élection présidentielle, qui a dopé les ralliements, et le psychodrame de l’UMP, le Front National affirmait être passé de 50.000 à 61 000 adhérents.»

     « Selon les informations du Huffington Post est-il écrit, le parti de Marine Le Pen compterait à ce jour 83 000 adhérents. Un chiffre qui correspond à quelques centaines près au corps électoral qui sera habilité à voter lors du prochain congrès de la fin novembre, indique une source frontiste au site d’information ».

     Prenons à titre d’exemple le département du Var. Le journal Var matin qui consacrait un article à la visite  de Marion Maréchal-Le Pen au sénateur-maire  David Rachline et au SD du FN 83 Frédéric Boccaletti,  cite celui-ci. Le  département compte en effet « près de 4 200 adhérents à jour de cotisation », alors qu’ils étaient «moins de 500 en 2010». Une dynamique qui renforce l’enracinement local: « après le lancement récent d’un journal», d’un «nouveau site Internet dans quelques semaines »,  « de nouveaux bureaux vont par ailleurs être ouverts à Hyères », ville où s’est présentée Bruno Gollnish aux  élections municipales et législatives.

     Il existe bien sûr une corrélation entre le poids politique d’un parti et son  nombre d’encartés. Le cercle vertueux adhésion-implantation-développement que l’on voit se confirmer peut être en effet perçu comme le  suggère un article du Figaro comme un effet de «vase-communicant», le résultat de la désaffection d’ex adhérents et électeurs de l’UMPS.  Tout cela est de très bon augure pour les futures échéances électorales note Bruno Gollnisch. Mais nous le savons aussi, notre accession au pouvoir est aussi grandement conditionnée par notre faculté à attirer à nous dans les urnes la grande masse des abstentionnistes qui ne croient plus depuis longtemps en la capacité d’une formation politique, quelle qu’elle soit, à sortir notre pays de l’ornière. C’est aussi à eux que nous devons nous adresser prioritairement.

    http://gollnisch.com/2014/11/03/fn-petite-bete-monte-monte/

  • Lucien Cerise " Ingénierie sociale du conflit identitaire"

  • Culbuto et Sarko clowns méchants

    sarko_hollande_mpiVenue des films américains, la mode funeste, étrange et maléfique des clowns méchants se répand, semant une terreur incrédule.

    Deux d’entre eux sont particulièrement dangereux, Culbuto et Sarko.

    Il ne faut pas se fier aux apparences : Culbuto avec son air bonhomme tout rond et conciliant, la voix un peu plaintive, n’est pas si différent de Sarko le petit nerveux, arrogant, autoritaire et agressif.

    Faux Louis Philippe et faux Napoléon, tout deux « faux-nez », outrageusement fardés pour masquer leur noir dessein, leur duo prête à rire, mais ils ne font pas rire longtemps : rivaux dans les trahisons et les transgressions, ils participent au même spectacle et ont le même promoteur. Ils deviennent vite, chacun à leur tour, insupportables pour ceux-là même qu’ils avaient séduits. Mais il est à chaque fois trop tard  : ils ont reçu les clés de la maison, et achèvent de la dévaster et de la ruiner en la livrant aux prédateurs, et en transformant la Toussaint en Halloween.

    Sûrement il nous faudrait pour s’en débarrasser,

    Une vraie courageuse et énergique fée !

    Toute ressemblance avec des personnes réelles devra être considérée comme le fruit d’une libre interprétation.

    Patrick Malvezin

    http://www.medias-presse.info/culbuto-et-sarko-clowns-mechants/17414