Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 8

  • De quelle droite parle-t-on ?

    Ce week-end, nous connaîtrons le nom du nouveau président de l’UMP. Les trois candidats à ce poste semblent nous renvoyer à la distinction classique entre les trois droites de René Rémond. Celui-ci distinguait la droite légitimiste (réactionnaire), la droite orléaniste (libérale) et la droite bonapartiste (autoritaire et populiste).

    Il est tentant de rapprocher ces trois droites des trois candidats, Hervé Mariton incarnant la première, Bruno Le Maire la seconde et Nicolas Sarkozy la troisième. Mais cette analyse fondée sur l’histoire ne permet pas de comprendre ce qui permet de réunir sous le même vocable des idéologies si différentes parfois.

    L’apparition de la distinction droite-gauche date de 1789. Les partisans du veto royal, dans l’Assemblée constituante, se groupèrent à droite du président de l’Assemblée. Les opposants de l’autre côté. 

    Lire la suite

  • Ping-pong entre l'Assemblée et le Sénat, qui rétablit l'universalité des allocations familiales

    Les sénateurs étudiaient hier en deuxième lecture le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. En ce qui concerne la branche famille, ils ont rétabli les amendements qu'ils avaient adoptés en première lecture, notamment :

    • l'établissement d'une étude d'impact sur les effets du partage du congé parental
    • la suppression de la modulation des allocations familiales en fonction des revenus, qui avait été rétablie par l'Assemblée nationale (à 1 voix près)

    L'ensemble du texte a été adopté par 188 voix pour et 153 contre. Mais c'est l'Assemblée nationale qui aura le dernier mot.

    Louise Tudy

  • UMP : pour en finir avec l'École des fans

    Deux ans après sa défaite à la présidentielle, le parti d'opposition est au point mort. Il n'a pas de projet. Son seul horizon : la guerre des chefs.

    Deux ans pour quoi faire ? Le reproche adressé par la droite à la gauche au pouvoir vaut aussi pour elle-même. Si Nicolas Sarkozy est sorti de l'ambiguïté, plutôt à ses dépens, l'UMP reste dans le flou. Le principal parti d'opposition n'a toujours pas tiré de leçon de l'échec du précédent quinquennat. Carbonisé par ses scandales financiers et sa guerre des chefs, il demeure imprégné du culte de l'homme providentiel.

    L'UMP, c'est l'École des fans version bonapartiste. Ce n'est pas seulement un tempérament dont aura besoin la droite si elle veut réussir en 2017. Pour gouverner efficacement, elle devra aussi s'appuyer sur des idées claires. Il lui faut d'urgence dégager une ligne politique entre ses différentes aspirations : identitaire, libérale, étatiste, conservatrice, réactionnaire, européenne, souverainiste... Une ligne politique, et non une stratégie marketing de conquête des mécontents.

    Or, à l'instar de la gauche, la droite est de plus en plus "prisonnière de la société ou plus précisément des sociétaires se posant comme victimes"*. Elle se cantonne au rôle de porte-parole, un jour des anti-mariage pour tous, le lendemain d'autres professions. À défaut d'un grand dessein, elle promeut, comme une vieille tante radoteuse, des "valeurs". Il lui appartient au contraire de poser la question du "bien commun" et de définir un projet collectif. Comme dirait l'autre, "Ça ne coûte pas très cher", mais ça peut rapporter gros... Il ne s'agit plus de renflouer l'UMP mais de sauver le paquebot France. En avant toute !

    Sébastien Le Fol

    source : Le Point 

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuEZEpkFFFVjdEzvXD.shtml

  • [COMMUNIQUÉ DE L'ACTION FRANÇAISE] L'Assemblée a voté un texte déshonorant

    L’Assemblée nationale a décidé de transformer l’avortement, autrement dit le meurtre, en droit fondamental. Si la loi Veil était déjà une loi infâme, elle avait au moins le mérite de rappeler, dans son article premier, que « la loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie. Il ne saurait être porté atteinte à ce principe qu’en cas de nécessité et selon les conditions définies par la présente loi ». Depuis hier, la nécessité n’existe plus. Chacun est désormais libre de disposer de la vie d’autrui, pour des motifs à lui seul connus, qui n’engagent que lui – et le malheureux incapable de se défendre et à qui on dénie le droit d’être défendu.

    La « gauche » a voté unanimement en faveur de ce droit fondamental, quand la « droite » a brillé par son absence, et son absence d’opposition, au moins de principe, semblant croire que la question ne mérite pas même une protestation et une présence solennelle. Le libéralisme l’a emporté une nouvelle fois, et l’UMP lui a ouvert le chemin. Jean-François Copé, Nathalie Kosciusko-Morizet, Valérie Pécresse, Christian Jacob, Jean Léonetti et François Fillon se sont empressés de voter ce texte symbolique, montrant à quel point la culture de mort est désormais l’horizon moral des parlementaires : la nation, les familles et les hommes sont les cible de leur volonté destructrice. Aucun parti ni mouvement organisé ne s’est élevé contre cette ignominie qui livre à la mort chaque année des milliers d’enfants. Jean-Christophe Fromantin, Xavier Breton, Nicolas Dhuicq, Olivier Marleix, Yannick Moreau, Jean-Frédéric Poisson et Jacques Bompard ont seuls sauvé leur honneur.

    L’Action française réaffirme avec force la nécessité d’une volonté politique différente, la nécessité de préserver la vie, de la protéger lorsqu’elle est fragile, la nécessité d’une politique familiale et sociale qui n’abandonne pas les femmes au désespoir mais reconstitue cette cellule de base de la société qui permet aux plus faibles d’exister face aux forts. Une politique rendue possible par l’institution d’un serviteur du bien commun, ce dont la démocratie se montre incapable : le roi, censeur des puissants, protecteur des faibles, arbitre des Français.

    Action francaise

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Assemblee-a-vote-un-texte

  • Collectif des Maires de France en colère

    A l'occasion du salon des maires 2014, Philippe Brillault présente le collectif des maires de France en colère. Des maires courageux ont décidé d'exprimer ouvertement et publiquement leur colère de ne pas pouvoir administrer leur commune pour le bien commun de tous :

     

    Marie Bethanie

  • Les djihadistes de l’Etat Islamique continuent à éradiquer toute trace de christianisme en Irak…

    Lundi dernier, des miliciens djihadistes de l’Etat Islamique ont fait sauter le couvent des Sœurs Chaldéennes du Sacré Cœur, qui était au préalable occupé comme logement militaire et base logistique. Des sources locales affirment que les djihadistes l’ont abandonné et fait explosé après l’avoir considéré comme un objectif imminent des attaques aériennes de la coalition menée par les Américains contre le « Califat »…

    Pour le moment le monastère adjacent de Saint George ne semble pas avoir été touché.

    Le couvent du Sacré Cœur, connu comme le couvent de la Victoire, avait été construit grâce à une donation faite par Saddam Hussein, le président iraquien exécuté en décembre 2006.

    Une nouvelle trace du christianisme qui disparaît dans le berceau de la Chrétienté. Il y a quelques jours, c’est l’évêque syriaque de Mossoul qui s’effondrait en larmes, racontant que pour la première fois depuis 1500 ans, les chrétiens Irakiens fêtaient la Saint Simon hors de leur église de Mossoul…

    http://www.contre-info.com/

  • Une mère afghane venge son fils et tue 25 talibans

    Une femme afghane a tué au moins 25 talibans pour venger l’assassinat de son fils, abattu d’une balle dans la tête sous les yeux de sa mère dans la province de Farah, dans l’ouest du pays.

    Cette femme, qui se nomme Reza Gul, a pris les armes après l’assassinat de son fils, qui dirigeait un petit groupe de forces de police dans le village de Farah avant d’être tué par des talibans.

    Cinq talibans ont également été blessés au cours de la fusillade, qui a duré près de 7 heures. La mère du policier assassiné était secondée par sa fille et sa belle-fille dans son combat contre les militants.

    Le groupe terroriste n’a pas encore commenté l’incident.

     

    Le porte-parole du ministère de l’intérieur d’Afghanistan, Sediq Siddiqui, a déclaré que la lutte armée de cette femme est un symbole de révolution majeure et de révolte publique contre les militants talibans.

    Traduit d’après l’article de Press TV par Fabio Coelho pour Croah.fr

    http://www.contre-info.com/une-mere-afghane-venge-son-fils-et-tue-25-talibans#more-35627

  • Avortement euthanasie : une marche pour défendre la vie le 25 janvier

    La Marche pour la vie lance sa 10ème édition qui aura lieu le dimanche 25 janvier 2015 à Paris.

    M"Cette semaine, le parlement, le gouvernement et les médias célèbrent en grandes pompes l’anniversaire d’une loi qui autorise depuis 40 ans en France l’élimination d’enfants avant leur naissance.

    Le 25 janvier, la Marche pour la vie est l’occasion pour les citoyens d’exprimer leur révolte de voir leur pays glorifier une loi qui a déjà conduit à la mort de 9 millions d’êtres humains, et à la négation de la valeur de la vie humaine fragile.

    Dans les jours à venir, le gouvernement va annoncer soit clairement une loi pour légaliser l’euthanasie, soit insidieusement des modifications de la loi Léonetti sur la fin de vie pour autoriser des gestes euthanasiques. Les déclarations politiques et les rapports préparatoires récents annoncent en effet la mise en oeuvre de la proposition 21 de François Hollande pendant la campagne de 2012.

    Cécile Edel, présidente de la Marche pour la Vie annonce que cet enjeu sera au coeur de la mobilisation du 25 janvier. Elle rappelle : « la loi Veil de 1975 a initié un mouvement de déshumanisation en légalisant l’avortement. S’en est suivi un dérèglement bioéthique en cascade, qui détruit à la fois les enfants, les femmes, et la société. Depuis des années on constate ce dérèglement, qui s’est accéléré depuis 2012 : industrie procréatique, manipulation de l’embryon humain, marchandisation du vivant, sélection prénatale. En 2015 cette déshumanisation menace les personnes âgées, malades, handicapées. C’est pourquoi la Marche pour la vie du 25 janvier appelle les citoyens à manifester le dimanche 25 janvier, pour dire non à l’euthanasie et rappeler que le respect de toute vie humaine fonde notre civilisation."

    Michel Janva

  • Contre-offensive de l’armée syrienne sur le front sud

    L’Armée arabe syrienne a lancé une contre-offensive éclair dans certains secteurs du front sud pour libérer les régions prises dernièrement par les groupes armés et sécuriser ses lignes de ravitaillement vers la ville de Daraa et les alentours de Nawa. Les extrémistes commencent déjà à lancer des appels de détresse.

    Téléguidés par une salle d’opération militaire installée en Jordanie et comprenant des experts américains, européens, de pays du Golfe et jordaniens, les groupes extrémistes actifs dans le sud syriens ont lancé une série d’offensives, ces derniers mois, qui leur ont permis de prendre plusieurs localités dans les provinces méridionales de Deraa et de Quneitra. Dans cette dernière province, les groupes extrémistes travaillent en étroite collaboration avec «Israël». Ce n’est plus un secret que l’entité sioniste, qui a classé le «Front al-Nosra» dans la catégorie des «groupes modérés», apporte un soutien militaire, logistique et médical aux terroristes. L’objectif d’«Israël» est d’établir une ceinture de sécurité contrôlée par les groupes extrémistes le long du Golan occupé. Le but de la coalition arabo-occidentale anti-syrienne est de menacer le flanc sud de Damas, où ses milices supplétives sont sur le point de perdre leur dernier point d’ancrage, dans la Ghouta orientale. 

    Les lignes rouges franchies

    Soumis à un cahier des charges très exigeant, dicté par la salle d’opération de Jordanie, les groupes extrémistes ont donc lancé, cet été, une série d’attaques qui leur ont permis de prendre un certain nombre de collines et de localités à Quneitra, ainsi que le point de passage entre cette province et le Golan occupé. Ils se sont même emparés de la colline de Tal al-Hara, que l’armée «israélienne» n’était pas parvenue à occuper lors de la guerre de 1973, en dépit d’une offensive extrêmement violente. Mais la trahison du chef de la brigade 121 de l’armée syrienne, le général Mahmoud Abou Arraj, leur a ouvert les portes de ce site stratégique, qui servait, entre autres, à surveiller les communications de l’armée «israélienne». L’officier traitre a d’ailleurs été exfiltré par des agents «israéliens» vers la Jordanie. 

    Dans la province de Deraa, les groupes armés ont pris plusieurs collines ainsi que la ville de Nawa et, la semaine dernière, la localité de Cheikh Meskine. La prise de cette ville a sérieusement compromis les lignes d’approvisionnement de l’armée syrienne vers ses positions plus au sud, notamment dans la ville de Deraa et autour de Nawa. 

    Toutes ces avancées, bien qu’elles soient importantes, ne menacent pas sérieusement les solides lignes de défense de Damas, défendues par les 5ème, 4ème et 7ème divisions, ainsi que des unités d’élites de la Garde républicaine. Ces lignes sont déployées sur un arc allant de l’est à l’ouest du front sud, en partant de Madinat al-Baas, Khan Arnabé, Hadar (Quneitra), bifurquant vers les localités de Saasaa et Qatba (dans la campagne de Damas), et s’étendant jusqu’à Cheikh Meskine, Kherbet Ghazalé, Ezreh et Sanamein (à Deraa).

    Après la prise de Cheikh Meskine - située non loin de l’autoroute internationale Damas -Deraa -, le commandement syrien a estimé qu’une ligne rouge avait été franchie. Toute la semaine dernière, des renforts en hommes et en matériels ont été acheminés vers cette ville en prévision de la contre-offensive, lancée en début de semaine. Sous un barrage d’artillerie et des raids de l’aviation, les unités syriennes sont entrées dans la ville par le sud et l’est, enfonçant les lignes de défense des extrémistes, qui ont commencé à lancer des appels à l’aide sur leurs réseaux de télécommunications. Des dizaines de terroristes ont été tués lors de la progression de l’armée syrienne, dont le dénommé Samer al-Safadi, chef d’un groupe extrémiste qui se fait appeler les «partisans de la Charia». Parmi les morts figurent un grand nombre de ressortissants de pays arabes, notamment des Saoudiens et des Koweitiens.

    Diversion à Bosra

    Pour tenter de desserrer la pression exercée par l’armée syrienne à Cheikh Meskine, les extrémistes ont tenté d’ouvrir un autre front, en attaquant la ville de Bosra al-Cham (40 kilomètres à l’est de Deraa), inscrite au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco. Les groupes armés qui occupent certains quartiers de Bosra al-Cham ont d’ailleurs provoqué de graves dégâts dans les sites archéologiques exceptionnels de la ville. Les comités populaires qui défendent Bosra ont assuré que l’attaque de diversion avait échoué.

    Un expert militaire explique qu’avant de lancer sa contre-offensive, l’armée syrienne a attendu que des signes de fatigues apparaissent sur les groupes armés, pressés par leurs opérateurs arabo-occidentaux de réaliser des acquis sur le terrain, quelles que soient les pertes dans leurs rangs, leur promettant des récompenses financières pour chaque position prise à l’armée syrienne.

    Effectivement, les signes d’essoufflement se sont multipliés: les extrémistes ne sont pas parvenus à prendre les villes de Deraa-Mahatta, Madina al-Baas et Khan Arnabé, et n’ont pas réussi à élargir leur présence dans la campagne à l’ouest de la province de Deraa. Ils ont, semble-t-il, atteint les limites de leurs capacités sur le front sud, bien que des centaines de combattants fraichement entrainés dans le camp de Aaraar, en Arabie saoudite, ont été jetés sur le champ de bataille. Ils sont, désormais, sur une courbe descendante.

    Samer R. Zoughaid  - Al-Ahednews :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuEZpyZuVEKhgRMiJP.shtml