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  • Naïveté coupable des hommages…

    Marcher pour témoigner de notre souffrance, oui. Marcher pour exonérer les responsabilités immenses de messieurs Hollande et Sarkozy, jamais.

    L’émotion était forte, hier, à la mesure de la gravité de l’attaque terroriste, à la mesure de sa portée symbolique, à la mesure des enjeux futurs qu’entrevoient les plus lucides d’entre nous. Malheureusement, ce moment, qui devait symboliser la plus parfaite communion nationale, fut la démonstration de l’impossibilité concrète d’un tel rassemblement. Comment, en effet, converger et abonder dans le sens de ceux qui ont permis une telle chose, tant par leur aveuglement idéologique que par leur veulerie ?

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  • La famille de Leonarda a coûté près d'un demi-million d'euros à la France

    C’est pour avoir refusé une prime de départ de 10 000 euros que la famille Dibrani, deux adultes et cinq enfants, a été expulsée, en septembre 2013. 
    En attendant que cette famille revienne en France sous identité croate (c’est en tout cas ce qu’elle a prévu), l’“affaire Leonarda” aurait coûté à la France, selon Jean-Paul Gourévitch, la somme de 416 544 euros. 
    Le décompte est instructif : allocation de subsistance (350 euros par mois pendant quarante-huit mois) ; chèques de soutien de la municipalité et aide fournie par le comité des sans-papiers pour le ravitaillement et les cigarettes (environ 5 000 euros) ; coût de la place en centre d’accueil de demandeurs d’asile (25 euros par jour et par personne pendant 1 460 jours) ; aide juridictionnelle gratuite (deux fois 1 200 euros) ; coût de la santé (aide médicale de l’État et couverture maladie universelle pour sept personnes pendant quatre ans, soit 80 164 euros au total) ; coût de l’élève Leonarda en situation irrégulière au collège (9 670 euros par an pendant quatre ans), enfin le coût de l’expulsion elle-même selon le ministère de l’Intérieur : 18 000 euros. Un cas d’école. 

  • Comment le Système s’y prend-il pour récupérer un attentat terroriste ?

    Demain aura lieu la grande manifestation républicaine suite aux attentats qui ont eu lieu cette semaine et dans lesquels 17 personnes ont trouvé la mort, sans compter les terroristes abattus par la police. Cette manifestation rassemblera sans doute au moins un million de personnes à Paris et plusieurs millions si l’on ajoute les manifestations en Province qui auront lieu simultanément. Toute la France bien-pensante sera présente puisque sont déjà annoncés tous les partis (PC, PS, EELV, UMP, etc., le FN ne défilera qu’en province), mais aussi toutes les ligues de vertu (ligue des droits de l’homme, SOS Racisme, le CRIF, la Licra, MRAP,…), toutes les religions (l’église conciliaire, les Juifs, les musulmans, etc), des dirigeants étrangers (les principaux dirigeants européens tels Cameron, Merkel, etc.), mais aussi des dirigeants venus d’autres continents, tel Avigdor Lieberman qui représentera Israël. Ne manquera qu’Obama, mais soyons certains qu’il se fendra d’un communiqué de soutien depuis la Maison Blanche.

    Le but de cette marche ? Réaffirmer les valeurs républicaines (entendre les valeurs voulues par les mondialistes), tels le « vivre ensemble » ou l’immigration sans limite, suite à un attentat terroriste qui pourrait leur faire de l’ombre.

    Bref, le but est de nous faire oublier que les terroristes qui ont agi cette semaine appartiennent à une religion bien précise, religion totalement étrangère à l’Europe. Dans la manifestation de demain, on ne rappellera pas que les mots prononcés par les terroristes après le carnage de Charlie Hebdo furent : « On a vengé le prophète », qu’ils ont fréquenté des mosquées soi-disant modérées (les frères Kouachi ont longtemps fréquenté la mosquée de Gennevilliers, c’est-à-dire, soit dit en passant, la même qu’a fréquenté la chanteuse Diam’s). Ces vérités seront tues. Tout ça pour servir les intérêts des mondialistes et endormir le bon peuple afin de continuer à islamiser l’Europe, à continuer à construire toujours plus de mosquées, à céder toujours plus aux revendications communautaristes, alors que la réaction saine eut été de rappeler que cette religion n’a rien à faire sur notre continent, qu’elle y est totalement étrangère et que depuis son introduction elle apporte plus d’ennuis qu’autres choses à notre pays, comme le montrent les affaires précédentes (Merah, Nemmouche –entre autres-) et aujourd’hui, donc, ces attentats. Dans la manif de demain, on ne dira surtout pas que tous ces problèmes n’existeraient pas s’il n’y avait pas eu l’immigration massive de ces 40 dernières années. Ce sera finalement la manifestation des bisounours qui feindront de ne pas comprendre ce qui s’est passé cette semaine, le tout étant évidemment orchestré par les élites mondialistes, élites pour leur part conscientes de la réalité et qui osent tout. D’ailleurs, il est assez cocasse que la plupart des dignitaires musulmans manifesteront côte à côte avec Avigdor Lieberman, dirigeant d’extrême-droite en Israël, dans le but d’affirmer « le vivre ensemble » (sic) quand on sait comment ce pays ce comporte avec les Palestiniens, qui sont, eux, sur leur propre sol en Palestine. Mais, on le sait, le sort des Palestiniens n’est pas la priorité des mondialistes, bien au contraire…

    On voit donc que le Système sait très bien récupérer tous les événements, y compris ceux qui a priori pourraient lui être hostiles. C’est toujours de la même façon qu’il agit. Pour notre part, afin de montrer notre réprobation au terrorisme, tout en montrant que nous ne sommes pas dupes, nous faisons nôtre le bon mot de Jean-Marie Le Pen et demain nous serons « Charlie Martel ».

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    PS : On lira très avantageusement dans Rivarol de cette semaine un article de Jim Reeves qui montre comment le Système a récupéré la prise d’otage en Australie qui a eu lieu il y a moins d’un mois. Alors que, comme la France cette semaine, ce pays a été sidéré – cela ne s’était jamais vu là-bas -, et alors que le terroriste est un immigré mahométan, au final il se trouve foultitudes de bisounours qui se disent solidaires… des musulmans.

    article du 10 janvier 2015

     http://www.contre-info.com/comment-le-systeme-recupere-un-attentat-terroriste#more-36214

  • Besançon : ils se réjouissent et font reculer la police

    Lu ici :

    "Le tir d’une demi-douzaine de gros mortiers de feux d’artifice a été entendu de Bregille à Saint-Claude, deux quartiers diamétralement opposés et éloignés de la capitale régionale, mercredi, vers 21 h 30. Ils provenaient du quartier de la Grette où, visiblement, l’annonce de l’attentat contre l’hebdomadaire « Charlie Hebdo », a été fêtée par quelques individus. Quelques minutes auparavant, la police était intervenue au 29 H, sur appel au « 17 », pour des perturbateurs dans les étages de la cage d’escalier.

    Sur place, la patrouille a été immédiatement la cible de projectiles divers, balancés aux cris de « Allahu akbar… » par une dizaine d’individus, vêtus de sombre. « On en a tué deux, on va continuer », ont ajouté les jeunes gens, tandis que l’équipage de police faisait marche arrière afin de ne pas envenimer les choses. Le tir festif s’est produit après leur départ."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 18 janvier : la manifestation contre l'islamisme aura bien lieu

    Le recours contre l'arrêté pris par le préfet pour interdire cette manifestation a permis d'en obtenir l'annulation.

    L'Etat est condamné à verser 800 euros de compensation.

    La manifestation, organisée par Riposte laïque et Résistance républicaine, aura lieu à Paris, place de la Bourse, à 14h30, dimanche 18 janvier. L'une des représentantes de Pegida, Mélanie Dimmler, de Düsseldorf, fera partie des intervenants prévus, ainsi que le député suisse Jean-Luc Addor, le philosophe-écrivain Renaud Camus, des représentants identitaires, un apostat de l’islam et d’autres.

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Des colleurs d’affiches du Parti de la France arrêtés cette nuit à Paris : le pouvoir retrouve ses priorités !

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    Cette nuit, lors d’un collage d’affiches à Paris sur le parcours de la « marche républicaine » de cet après-midi, des militants du Parti de la France ont été arrêtés Place de la Nation, interrogés au poste pendant 4h et leurs affiches ont été confisquées sur ordre d’un juge. La République française semble avoir retrouvé ses priorités…

    Pourquoi le PdF ne défilera pas aujourd’hui ? cliquez ici

    Source: Synthèse nationale

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • 9 janvier 1873 : Mort de Napoléon III, dernier souverain

    Depuis mars 1871, Napoléon III vit en Angleterre, après sa captivité en Allemagne. La famille impériale s’installa à Camden Place, résidence à Chislehurst, village du Kent. L’Empereur avait suivi tous les événements survenus en France depuis Sedan : la guerre, la conclusion de la paix, la Commune.

     

    I. Exil et derniers projets

    Napoléon III se montrait sévère envers les républicains qui avaient voulu poursuivre la guerre à tout prix : une première offre de paix, rejetée par le gouvernement provisoire à Ferrières, aurait permis la paix en contrepartie de la cession de Strasbourg et de deux milliards de francs-or. La perte de l’Alsace-Moselle attrista l’Empereur : « Cette paix ne peut être qu’une trêve et elle prépare bien des malheurs pour l’Europe. ». Lors de sa captivité, visionnaire, il prophétisa :

    « Malgré elle, oui, je veux bien le croire, malgré elle, la Prusse, dans vingt ou trente ans, sera forcée de devenir une puissance agressive. Et alors, tous les tours de force diplomatiques, toute la valeur de ses troupes n’y feront rien. L’Europe l’écrasera. On verra alors ce que le rêve de M. de Bismarck aura coûté à la Prusse… »

    En France, l’Empire restait populaire auprès des paysans et d’une partie des ouvriers qui pensaient que l’Empereur avait été trahi par les républicains et les bourgeois ; des manifestations en sa faveur eurent lieu dans diverses régions de France (Normandie, Puy-de-Dôme, Limousin, …). Au niveau politique, Eugène Rouher, le « vice-empereur », avait pris les rênes du parti bonapartiste et son groupe parlementaire « l’Appel au peuple ». Les élections législatives de 1871, malgré Sedan et malgré le vaste trucage opéré par Gambetta et ses amis républicains (1), amenèrent 19 bonapartistes à la Chambre. L’Empereur s’était remis à écrire, composant La France et la campagne de 1870, ouvrage achevé en 1872. Il se remit aussi à la technique et aux sciences, mettant au point un mortier, et un calorifère économique – pour les pauvres – capable de réduire de moitié les besoins pour sa consommation ; les prototypes furent un succès.

    Napoléon III comptait revenir au pouvoir en rééditant un « retour de l’île d’Elbe ». Il se serait agi de quitter rapidement l’Angleterre, de passer en Belgique puis en Suisse, avant de trouver le sixième régiment de dragons à Chambéry. De là, il serait allé à Lyon où l’aurait attendu le général Bourbaki, dévoué tout entier à la famille impériale, et il aurait marché sur Paris avec 30.000 hommes, ralliant sur son chemin populations et hauts fonctionnaires ; l’aigle volant à nouveau de clochers en clochers. L’opération était prévue pour mars 1873, coïncidant avec l’anniversaire des Cent-Jours.

    II. La mort

    Napoléon III était cependant profondément malade, incapable de monter à cheval ni de marcher longuement du fait de la maladie de la pierre (calcul de vessie). Le mal était ancien, et les trois dernières années du règne furent un calvaire. Les absences au Conseil des ministres se multipliaient, l’impératrice remplaçant son époux ; des crises de folie prenaient l’homme : Napoléon III demandait ainsi des nouvelles du maréchal de Saint-Arnaud (un des conjurés du 2 Décembre) alors que celui-ci avait succombé du choléra 15 ans auparavant en Crimée … Le maréchal Canrobert aperçut un jour, aux Tuileries, par l’entrebâillement d’une porte, le souverain se tordre sur sa chaise en poussant des cris.

    L’opération visant à délivrer l’Empereur commença le 2 janvier 1873. Croyant en sa bonne étoile, Napoléon avait refusé d’écrire un nouveau testament (l’ancien, datant de 1865, étant caduc du fait de la chute de l’Empire). Thompson se chargea d’opérer. L’opération du 2 janvier entama à peine la pierre ; celle du 6 fut plus efficace. Une troisième était prévue pour le 9, mais n’eut pas lieu. L’état de santé de Napoléon se dégrada, la douleur et la folie alternant. Le dernier souverain de la France mourut le 9 janvier à 10h45. Ses dernières paroles, adressées à son ami Henri Conneau, furent : « Henri, tu étais à Sedan ? » puis, après une réponse affirmative, « N’est-ce pas que nous n’avons pas été lâches ? » (2).

    Le prince impérial n’arriva pas à temps pour voir son père. A la vue du mort, il s’agenouilla brusquement et commença à réciter le Pater Nostre. Eugénie cria : « Louis, je n’ai plus que toi. »

    Le portefeuille de Napoléon III, dont il ne se séparait pas, fut ouvert : on y trouva le billet par lequel Napoléon Ier complimenta Hortense pour sa naissance, la dernière lettre de sa mère, des mots d’Eugénie, des cheveux et une courte lettre du prince impérial (3), une liasse de billets, et des dessins émouvants envoyés par de modestes Français.

    D’après Rouher, « l’autopsie a démontré les terribles ravages faits, dans la santé de l’Empereur, par les maladies de 1866, 67 et 69. Les deux reins et l’intérieur de la vessie étaient gravement attaqués. Cause ou résultat de ces désordres irrémédiables, la pierre était d’ancienne et lente formation ; elle était énorme. L’esprit demeure confondu à la pensée des souffrances que ce malheureux souverain a stoïquement supportés depuis plus de dix années. » (extrait d’une lettre du 11 janvier 1873 reproduite par Jules Richard, bonapartiste et journaliste au Figaro).

    III. Les obsèques, la sépulture

    Les premiers fidèles arrivèrent rapidement. Carpeaux, un sculpteur protégé par Napoléon III, arriva avec un sachet contenant de la terre de France qu’il posa aux pieds du cadavre. Ce dernier fut revêtu de l’uniforme officiel de général de division et transporté dans le hall de Camden Place, cercueil ouvert. S’en suivit le défilé de la notabilité bonapartiste, de Français reconnaissants, parfois humbles, et de curieux. Les violettes s’amoncelaient au milieu de sanglots. Un vieillard inconnu se fit remarquer par sa voix forte : « Adieu mon empereur. »

    Le 13 janvier, chez un notaire parisien eut lieu le dépôt du testament dans lequel l’Empereur avait écrit à son fils :
    « Le pouvoir est un lourd fardeau parce que l’on ne peut pas toujours faire le bien qu’on voudrait, et que vos contemporains vous rendent rarement justice ; aussi faut-il, pour accomplir sa mission, avoir en soi la foi et la conscience du devoir. Il faut penser que du haut des cieux ceux que vous avez aimés vous regardent et vous protègent ; c’est l’âme de mon grand oncle qui m’a toujours inspiré et soutenu. »

    Les obsèques eurent lieu le 15 janvier, dans la petite église de St Mary, en présence de 20.000 personnes. Le prince de Galles voulut assister à la cérémonie mais lord Granville s’y opposa au prétexte de complications diplomatiques, opposition qui lui valut … les remerciements du gouvernement français ! En 1888, Eugénie fit déplacer sa dépouille, ainsi que celle de son fils mort en 1879, dans l’abbaye St-Michel de Farnborough (Hampshire) qu’elle fit édifier, où il repose toujours à l’heure actuelle. Elle le suivit dans ce dernier lieu de sépulture en 1920.

    Bibliographie :
    ANCEAU Eric, Napoléon III, Paris, Tallandier, 2008.
    DARGENT Raphaël, Napoléon III, l’Empereur du peuple, Paris, Grancher, 2009.
    DESTERNES Suzanne, CHANDET Henriette, Louis, prince impérial. 1856-1879, Paris, Hachette, 1957.
    RICHARD Jules, Le Bonapartisme sous la République, Paris, Rouveyre et Blond, 1883.

    Notes :
    (1) Gambetta avait, par un décret du 31 janvier, frappé inéligibilité les anciens ministres, préfets, sous-préfets de l’Empire ainsi que tous ceux qui avaient bénéficié de la candidature officielle. Le décret fut abrogé sur protestation de Bismarck, mais Gambetta fit en sorte que les bonapartistes le sachent moins de 48h avant le vote, de sorte que les bulletins et affiches ne puissent être imprimés. Le Prince Murat, dans le Lot, fut élu grâce aux paysans qui écrivirent son nom sur un bulletin ; Eugène Eschassériaux, dans la Charente-Inférieure, parvint à faire imprimer in extremis les bulletins grâce entre autres au journal impérialiste Le Progrès, les lecteurs découpant les bulletins dans une page du journal.
    (2) Cette accusation de lâcheté avait été lancée par les ennemis de l’Empire, en particulier les républicains, suite à la capitulation de Sedan. A Sedan, Napoléon III avait en effet hissé le drapeau blanc sans combattre, jugeant la bataille perdue. L’Empereur écrira après Sedan : « On a prétendu qu’en nous ensevelissant sous les ruines de Sedan, nous aurions mieux servi mon nom et ma dynastie. C’est possible. Mais tenir dans la main la vie de milliers d’hommes et ne pas faire un signe pour les sauver, c’était chose au-dessus de mes forces. […] Mon cœur se refuse à ces sinistres grandeurs. »
    (3) « Mon cher papa, je vous adore et j’ai le cœur bien gros quand vous n’êtes pas là. »

  • Les arrière-pensées politiques sont une insulte aux victimes

    Il est indigne d’exploiter cette tragédie à des fins politiques.

    Les événements tragiques que nous connaissons doivent inspirer à tous les Français du recueillement et de la compassion pour les victimes et leurs proches et, à nos gouvernants, la volonté de faire front, avec fermeté et lucidité, dans une guerre d’un genre nouveau. Il est pour le moins regrettable que l’union nationale officiellement prônée dissimule, chez certains, bien des arrière-pensées, des non-dits et des incohérences.

    La plupart des dirigeants politiques ont déclaré à juste titre qu’il ne fallait surtout pas faire d’amalgame. Mais ce n’est pas résoudre le problème que de vouloir nier que ces terroristes, qu’ils se réclament d’Al-Qaïda ou de Daech, aient quelque chose à voir avec l’islam. Pour résoudre un problème, il faut d’abord le poser. Nier cette proximité, ne pas clarifier la situation, ce n’est ni protéger ni respecter les Français de confession musulmane qui, dans leur grande majorité, sont intégrés ou souhaitent l’être ; c’est une forme de lâcheté, c’est laisser le champ libre aux amalgames.

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