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  • « Liberté d’expression » : quand Charlie Hebdo réclamait l’interdiction du FN

    Extrait d’un article paru dans Libération en 1996 :

    « Le 26 avril, Cavanna, Val et Charb (trois piliers du journal Charlie Hebdo) débarquent en estafette dans une annexe du ministère de l’Intérieur. Dans leur coffre, des cartons remplis de signatures qu’ils apportent à un conseiller de Jean-Louis Debré. En huit mois, 173 704 personnes ont répondu à l’appel « pionnier » de l’hebdomadaire pour demander l’interdiction du Front national. Loin de l’anonymat des sondages ou de la sempiternelle discussion sur la montée du FN, ces milliers de signataires ont apposé leur nom, profession, adresse, au bas d’un texte réclamant « de dissoudre le Front national, cette ligue dont le but politique est de faire disparaître la République ». Adressé au président de la République et au ministre de l’Intérieur, la pétition est précédée des articles 1, 2, 4, 6 et 7 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (elle constitue le préambule de la Constitution), avec lesquels « le Front national est en contradiction flagrante ».

    Fin juin 1995, Cabu dessine, à la une de Charlie Hebdo, Jean-Marie Le Pen menottes aux mains entre deux policiers. En titre: « Que faire contre le Front national? L’interdire ! » »

  • Tunisie : de plus en plus de musulmans rejoignent l'Eglise

    Lu ici : 

    "De plus en plus de jeunes musulmans tunisiens à la recherche d'une nouvelle spiritualité épousent la foi chrétienne. Ils seraient plusieurs dizaines chaque année à devenir catholiques ou protestants et sont les représentants d'une génération qui jouit d’une certaine liberté de conscience et de croyance.

    Sur la voûte de l'église de la Goulette, dans la banlieue nord de Tunis, les vertus cardinales s'incarnent par quatre figures féminines: force, justice, prudence et tempérance. C’est la dernière qui retient l'attention de Cyprien. « Temperentia (en latin), voilà ce dont les chrétiens de Tunisie ont le plus besoin pour ne pas heurter les sensibilités des autres». Les autres, ce sont les musulmans, qui sont plus de dix millions pour seulement 25 000 chrétiens, selon une estimation du diocèse de Tunis.

    Cyprien, de son nom de converti, dit de sa nouvelle religion qu'elle est « une rencontre dans l'itinéraire de sa vie ». Sa trajectoire est singulière, il en convient. Issu d'une famille peu pratiquante et d'un grand-père imam formé à la Zitouna (université islamique de Tunis), il est artiste, tantôt poète, tantôt metteur en scène.

    L'idéologie socialiste sera son premier engagement. Mais vers vingt ans, la Bible remplace ses lectures marxistes. « J'avais tout dans ma vie, sauf le bonheur. Je ressentais un vide et je suis entré dans une spirale de désespoir » raconte-t-il. L’athée qu'il était s'ouvre à la théologie et vit le christianisme comme une illumination. « La seule façon de me soulager était l'art. Désormais je m'apaise grâce à la méditation et à la prière », ditCyprien, converti en 2008 et devenu séminariste afin de devenir prêtre après un voyage en Italie".

    Le Salon Beige

    Posté le 7 janvier 20

  • Le chômage des jeunes, fléau européen

    A travers l’Union européenne, dans cette tranche d’âge, un jeune de moins de 26 ans sur quatre cherche un emploi. C’est plus d’un sur deux en Irlande, Slovaquie, Italie, Espagne et au Portugal. En Grèce, ils sont 55% au chômage. A Athènes, tandis que Mary n’a trouvé qu’un travail payé vingt euros par semaine dans un centre d’appel, Yiannis, diplômé de 28 ans, attend depuis plus d’un an et demi que l’une de ses nombreuses candidatures auprès des entreprises aboutissent.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • C'est une vraie guerre : la guerre du fanatisme islamiste contre l'Occident

    D'Alexis Brézet dans Le Figaro :

    "C'est une guerre, une vraie guerre, menée non par des soldats mais par des assassins de l'ombre, des tueurs méthodiques et organisés, dont la tranquille sauvagerie glace le sang. Elle a tué, hier, en plein Paris.

    Cette guerre, longtemps nous n'avons pas voulu la voir. Elle se déroulait si loin de nous, n'est-ce pas?, aux confins de la Syrie, de l'Irak, du Nigeria ou de la Libye… Par scrupule - sans doute par peur aussi -, nous n'osions pas même dire son nom. Les oiseaux de mauvais augure qui ne craignaient pas d'enfreindre la consigne étaient promptement disqualifiés. Les signes avant-coureurs - ces «gestes fous» commis à Noël encore par des «déséquilibrés» - aussitôt minimisés. Depuis hier, les euphémismes ne sont plus de mise: c'est une guerre, une vraie guerre, qui nous a été déclarée: la guerre du fanatisme islamiste contre l'Occident, l'Europe et les valeurs de la démocratie.

    [...] Face à la guerre, le premier devoir est de s'unir. [...] Mais le second devoir est de s'armer. Moralement, d'abord - comment défendre nos valeurs si nous ne sommes pas convaincus de leur prééminente dignité? Politiquement et juridiquement, ensuite: trop longtemps, au nom d'un humanisme perverti, d'un antiracisme dévoyé, nous avons fait preuve de complaisance envers nos pires ennemis. Ces «enfants perdus du djihad», ces fanatiques qui se déchaînent sur Internet, mais aussi ces groupes d'influence qui, drapés dans leurs oripeaux «communautaires», conspirent à ciel ouvert contre notre pays et sa sécurité. Contre ceux-là, nous devons frapper. Sans faiblesse ni pusillanimité. Quand la guerre est là, il faut la gagner."

    Michel Janva

  • Plus de jeunes milliardaires : Macron, la gauche Rotschild déconnectée

    Dans une interview aux Echos, Emmanuel Macro a déclaré qu’« il faut des jeunes Français qui aient envie de devenir milliardaires ».Pour Nicolas Calbrix, cette phrase traduit le désarroi d’une certaine gauche face aux valeurs et préoccupations de la jeunesse française.

     

    En une petite phrase, le ministre de l’Economie vient de raviver les craintes de l’aile gauche de la majorité mais aussi de beaucoup de français qui lui prêtent de vouloir imposer un modèle américain en France. En effet, en déclarant que « des jeunes doivent avoir envie de devenir milliardaires », Emmanuel Macron confirme avoir une certaine vision de la société qui n’est pas celle des français et encore moins de la jeunesse.

    Que les français, et les jeunes en premier lieu, aient envie de créer de la richesse, de plutôt le gouvernement socialiste qui devrait arrêter de décourager cette envie en développer leur entreprise, de monter leur affaire et de gagner leur vie, aucun doute là-dessus. Les chiffres de création d’entreprise le montrent, de même que le nombre de français qui ont été séduit par le statut d’auto entrepreneur. L’envie est là, c’est même assommant les entrepreneurs d’impôts, de charges et de contraintes en tout genre. Les chiffres d’expatriation des jeunes et des entrepreneurs -sans parler des non-retours des français partis faire leurs études à l’étranger- ainsi que les différents mouvements d’artisans, commerçants, petits patrons, créateurs d’entreprise de ces derniers mois sont là pour nous rappeler que malheureusement, la France n’est peut-être pas le meilleur endroit pour le faire.

    Mais cette phrase marque aussi le décalage total entre la conception de l’économie du locataire de Bercy et celle des français. D’un côté, une économie superstar avec des milliardaires qui sont censés tirer la croissance et dont le nombre fera la prospérité du pays et de l’autre, la réalité du plus grand nombre des français, à commencer par les jeunes, qui voudraient juste avoir un emploi qui leur donne la fierté du travail bien fait, être rémunérés correctement en rapport avec les efforts qu’ils font depuis des années, créer et développer des entreprises sans toutes les contraintes actuelles, et même bien gagner leur vie sans se faire ponctionner si lourdement chaque mois et chaque année. Mais surtout, une majorité de français qui veulent qu’une chose dans leur travail, contribuer à la bonne marche de leur entreprise et ce faisant de leur pays, sans avoir besoin de devenir des superstars milliardaires. [....]

    La suite sur Le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Plus-de-jeunes-milliardaires

  • Ceux qui muselaient la liberté d'expression pleurent en son nom

    Nous avons cité Lydia Guirous, secrétaire nationale du Parti radical en charge de la lutte contre les discriminations, il y a 3 jours. Dans Le Figarovox, elle tient encore des propos courageux, suite à l'attentat contre Charlie Hebdo :

    "On a crié aux loups lorsque dans mon livre, comme beaucoup d'autres, je disais que l'islam se radicalisait dans les cités...on a crié aux loups lorsque Zemmour a parlé d'une France au bord de la guerre civile...on a crié aux loups, la plupart des médias en tête, à la sortie du roman fiction de Michel Houellebecq ...et aujourd'hui ceux-là même qui muselaient il y a encore quelques heures la liberté d'expression, pleurent en son nom.

    Il ne faut pas avoir peur des idées mais de l'absence d'idées. Une démocratie qui ne pense plus et qui nie les réalités est une démocratie qui meurt, qui se suicide. Cabu et Wolinsky n'avaient pas peur, ils préféraient vivre debout qu'à genoux. Nous devons continuer à dénoncer la réalité et à ne pas se réfugier dans un confort intellectuel boboïsant: tout le monde est gentil, ne stigmatisons pas et tout ira bien... bilan 12 morts!

    [...] Cessons ce laxisme qui ronge la France depuis 1970. Un principe n'est pas une incantation ou une fantaisie, mais une règle que doit imposer avec fermeté la puissance publique et nos élus.Ces derniers ont été trop lâches avec la laïcité et au nom d'un relativisme culturel abject et d'une culpabilité post-coloniale un peu feinte. Ils ont laissé volontairement et à des fins électoralistes, l'islam radical dans les quartiers.

    Le communautarisme est la gangrène du vivre ensemble, mais c'est aussi le terreau du terrorisme et de la barbarie. En cédant à la tentation communautaire, certains élus et certains intellectuels et médias, ont trahi la République, nous ont trahis.En cédant au communautarisme islamique, ces derniers ont planté les germes du djihadisme et du terrorisme... [...]

    Alors aujourd'hui il est plus que temps de nettoyer les imams radicaux et les islamistes des cités au kärcher. Il est plus que temps d'appliquer strictement la loi sur l'interdiction de la burqua dans l'espace public. Il est plus que temps d'interdire le voile dans les universités et dans les entreprises... [...]

    Bien sûr qu'il y a un problème avec l'Islam des banlieues en France et ce problème ne cessera de s'amplifier tant que l'arbitre ne sifflera pas la fin de la partie du laxisme et de la lâcheté. Cet arbitre est l'Etat, c'est à lui de rappeler les règles de la République et de les appliquer avec force et coercition. Si rien n'est fait, les imams radicaux continueront à laver les cerveaux des jeunes en perte de repères, et d'autres attentats, plus graves encore, auront lieu sur notre sol.

    Dénoncer la réalité et essayer de la traiter, ce n'est pas être fasciste, c'est être citoyen et républicain. Dénoncer la réalité de l'Islam radical dans les cités, ce n'est pas être raciste mais responsable. Le vivre ensemble de la France repose sur des règles, il faut les respecter. Ce n'est pas à la France de s'adapter aux particularismes culturels et religieux, mais à ces derniers de se plier à ses règles. Le mal français, ce n'est pas Zemmour ou Houellebecq, c'est la lâcheté et cette entreprise permanente de déconstruction de nos valeurs à laquelle nous assistons depuis quarante ans, sans réagir. [...]"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les terroristes seraient identifiés

    Saïd Kouachi
    Chérif Kouachi
    Hamyd Mourad

    Les deux premiers sont frères, le troisième est SDF.

    Et Pierre Martinet de publier un avis de recherche de la police, sur sa page facebook:

    Screen Shot 2015-01-07 at 10.06.21 PM

     

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