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  • Ça dysfonctionne tous les jours à l'Education nationale

    Jeudi, à l'ouverture du procès d'un ex-instituteur de Perpignan, âgé de 60 ans, appelé à comparaître pour "agressions sexuelles sur mineurs par personne ayant autorité" (pour des attouchements sur trois élèves, alors âgés de 6 et 7 ans), le président a déclaré :

    "On n'est pas là pour juger l'Éducation nationale, même si les rapports montrent depuis 1996 que tout le monde savait qu'il avait des soucis d'alcoolisation et de comportement avec les enfants.

    L'enseignant avait été mis en examen en 2011 après les révélations de deux élèves de CP sur les méthodes de leur maître.

    Si son casier judiciaire ne porte trace d'aucune condamnation, il avait déjà fait l'objet de nombreuses alertes et rapports de l'inspection académique.Pourtant, l'instituteur avait été honoré d'un 18/20 et avait été maintenu "à titre exceptionnel" à son poste. Deux ans plus tard, il écopait d'une mise à pied après un signalement du procureur relatif à une plainte pour attouchements. Il serait entré dans le dortoir de jeunes filles d'un établissement où il était veilleur de nuit. L'affaire a été classée sans suite et il a continué son cursus. En 2009, une nouvelle inspection s'avère "catastrophique". Qu'importe. A quelques années de la retraite, "névrotique" "addict à l'alcool", il est nommé à l'école Boussiron pour y couler tranquillement sa vie d'instituteur en fin de carrière.

    L'avocat d'une victime a dénoncé :

    "Il manque de responsables à la barre de ce tribunal. L'Éducation nationale était au courant et n'a rien fait. Elle aurait pu l'empêcher".

    Michel Janva

  • Histoire : Quand Paris brûlait…

    Par Camille Pascal.

     

    Quand l’histoire officielle, tenue en lisière par l’idéologie, veut faire oublier que la Commune fut aussi un crime contre le patrimoine parisien.

    La Commune de Paris née dans un sursaut patriotique fut achevée à coups de crosse par l’armée régulière quelque part dans les allées ensanglantées du Père-Lachaise. Tout cela a été dit et maintes fois répété depuis que le Front populaire a fait du mur des Fédérés un lieu de culte.

    Ce que l’on sait moins, car cette vérité a été longtemps occultée dans une Histoire officielle soigneusement tenue en lisière par l’idéologie, c’est que la Commune fut aussi un crime contre Paris. Voilà ce qu’un livre courageux et parfaitement documenté vient de révéler dans un silence médiatique coupable. Nos petites élites intellectuelles confites dans leur dévotion du progressisme n’aiment pas que l’on retourne contre lui cette arme de la repentance qu’elles ont si souvent braquée contre la France.

    Dans le Brasier, publié chez Actes Sud, Nicolas Chaudun, dont le talent et l’érudition ont rendu ses lettres de noblesse littéraire au récit historique depuis la publication de l’Été en enfer, chronique de l’effondrement du second Empire, raconte ces journées terribles au cours desquelles les plus grands monuments de Paris brûlèrent comme des torches sur ordre du pouvoir insurrectionnel.

    En quelques heures, l’hôtel de Salm et le palais d’Orsay furent anéantis, mais ce n’était là qu’un premier feu de joie. Le palais des Tuileries, chef-d’oeuvre de Philibert Delorme, théâtre privilégié des scènes les plus poignantes de notre roman national, fut l’objet d’un zèle fou de la part des incendiaires. Du passé il fallait faire table rase. Comment expliquer autrement les flots de pétrole déversés dans les grands escaliers d’honneur, les rideaux du salon des Maréchaux empesés d’huile et de poix, les tonneaux de poudre placés dans les caves pour fragiliser l’édifice ? [...]

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    via http://www.fdesouche.com/582433-histoire-quand-paris-brulait

  • Quand ce pays sera sans nous

    L’Assemblée Nationale, dans sa folie actuelle, a voté nuitamment – comme disent les fonctionnaires de police – la suppression du délai de réflexion d’une semaine avant un avortement, exigence fondamentale de la loi Veil. On nous explique aujourd’hui, comme si on ne le savait pas d’ailleurs, que Madame Veil avait dû recourir à ce compromis, comme à d’autres, pour faire passer la pilule à l’époque, si l’on ose dire.

    De même que cet acte, à l’origine seulement dépénalisé, est devenu au fil des ans un droit fondamental, un de plus ; de même que le Pacs est devenu le « mariage pour tous » ; de même la « fin de vie » deviendra l’euthanasie, évidemment. Toutes preuves accumulées de la duplicité des fabricants de « lois sociétales », et l’on voudrait que nous acquiescions benoîtement, en restant chez nous et en disant merci. Les cas tragiques, les épineux dilemmes, tout cela qui fonde l’existence humaine, tous arguments à l’origine brandis pour faire chouiner dans les chaumières sont aujourd’hui mécaniquement, systématiquement, diaboliquement oubliés pour consacrer des droits absolus, inaliénables, libérer on ne sait qui, on ne sait de quoi, mais libérer, sans que quiconque songe jamais qu’un droit ici, c’est une souffrance ailleurs. Au moins une obligation.

    Droit à tout donc : droit de me marier avec qui je veux et droit de me divorcer quand je veux ; droit de n’avoir pas l’enfant que j’attends ; droit d’avoir celui que je veux, selon le mode de production que j’ai choisi ; droit de mourir quand je veux et comme je veux. Et tous les autres. Ils disent déconstruire, en réalité ils veulent seulement défaire. Défaire la précieuse tapisserie des siècles, tapisserie de haute lisse que notre monde chrétien avait bâtie. C’est une incroyable parenthèse qu’ils veulent refermer. Car en réalité, ils ne sont pas loin d’avoir raison : tout ceci, avortement, divorce, répudiation, euthanasie, c’était déjà le lot des Anciens. La seule différence, c’est que cela se pratique aujourd’hui derrière le voile gris de la technique, de sorte que cela ne se voie pas.

    Mais nous qui sommes nés ici, et qui croyions que c’était aussi chez nous, et que l’Église dont nous héritions avait forgé un monde, non parfait, mais meilleur, voilà que nous comprenons que notre patrie n’est pas d’ici, ne peut pas en être. Voilà qu’il n’y a plus rien, dans ce qui se crée maintenant, que l’on puisse dire être, non pas à nous, mais de nous. En vérité, on pourrait dire dorénavant malheureux comme un catholique en France.

    Ce n’est pas de la concurrence victimaire, enfin je ne crois pas, enfin je ne voudrais pas. Nous autres avons déjà notre victime, et pour l’éternité, et nous savons que nous en sommes les bourreaux, et parfois nous aimerions, ou nous voudrions nous identifier à lui, mais comme victimes de nous-mêmes et de personne d’autre, dolorisme comme on dit, ou masochisme comme l’on croit, et l’on nous l’a assez reproché. Bref, nous ne sommes pas juifs ni musulmans, très souvent blancs, parfois noirs et rarement arabes, ici en tout cas, c’est-à-dire que nous ne pouvons pas être les victimes, et de toute façon nous n’avons pas envie de nous penser sous cet ordre-ci. Si ce n’était encore vaniteux, nous dirions que dans la grande compétition du « qui c’est qui fait le plus de mal à qui », nous sommes hors-concours. Mais dire que nous nous croyons les gardiens du monde serait ouvrir une nouvelle et atrocement longue controverse théologique et pour lors, la brûlure actuelle n’en serait guère cautérisée, au contraire. [....]

    Jacques de GuillebonLa suite sur La Nef

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Quand-ce-pays-sera-sans-nous

  • Avortement : changer de stratégie !

    De Guillaume D’Alançon, Délégué Général de l’Académie diocésaine pour la vie de Bayonne :

    "Les 3 offensives du Chemin des Dames pendant la 1ère guerre mondiale ont coûté environ 150 000 hommes à la France. Exorbitant. Pourtant c’est moins que les victimes annuelles de l’avortement depuis la loi Veil de 1975. En réalité, les historiens ont du mal à évaluer les victimes de ces 3 batailles : entre 100 000 et 200 000.

    Idem pour l’avortement. On sait, selon les statistiques les plus officielles, qu’il y a 220 000 assassinats chaque année dans les services hospitaliers. Sans parler des indénombrables avortements médicamenteux, pilules abortives, stérilets… qui viennent s’ajouter. Un éminent spécialiste de la question affirmait récemment que l’on peut décemment avancer le nombre de 400 000 morts par avortements en France chaque année. 400 000 morts. Cela veut dire que depuis 1975, nous avons largement dépassé les 10 millions de morts. C’est affreux, insoutenable. Et en plus ce sont des innocents. Le clairon sonne. Les drapeaux sont en berne et les cœurs, serrés. « Qu’as-­tu fait de ton frère » demanda Dieu à Caïn…

    En cette morne plaine, la clameur des mères, des survivants de tous les génocides perpétrés à travers l’histoire, rejoint le cri du Golgotha et les larmes de Notre­ Dame.

    Tandis que de nombreux pays connaissent une baisse notable du nombre d’avortements, la Russie (50%), l’Allemagne,… la France voit s’accentuer la courbe des victimes. Oui, il y a de plus en plus d’avortements en France… L’opinion publique aux Etats-­Unis bascule pour la vie et nous nous enfonçons… comme les nazis à bout de souffle, dans leurdélirium tremensdes derniers mois de la guerre.

    Et si, à l’intérieur de l’Eglise, nous en faisions davantage ? Lors de son intervention devant les délégués diocésains à la pastorale familiale le 16 février dernier, le Président du Conseil Pontifical pour la Famille, Mgr Vincenzo Paglia, affirma avec force qu’il était impossible de dissocier le combat pour la vie de l’évangélisation de la famille et de la société. Le message sera-­t-­il entendu?

    Et si nos stratégies n’étaient pas les bonnes ? En mettant Dieu de côté pour des raisons tactiques, ne perdons­-nous pas notre plus précieux allié, à savoir Dieu lui-­même ?La loi naturelle, si elle est un bien pour tous, n’est-­elle pas d’abord la merveilleuse signature de Dieu dans sa création ? L’annonce de l’Evangile de la vie comporte, aussi, celle de l’Evangile… car là est la vie. La raison a besoin de l’Evangile pour raisonner juste. C’est vrai pour tous les autres combats : celui de l’euthanasie, de la GPA, …

    Au soir de ma vie, face à Dieu, je devrais rendre des comptes sur l’amour. Les effets de manche, de réseaux, d’intérêts seront alors sans effet. Rien d’autre que Dieu seul face à moi, qui sera seul, aussi. Dieu face à face me disant : « Ce que vous avez fait au plus petit d’entre les miens c’est à moi que vous l’avez fait. » (Mt 25, 40) Nous qui attendrons tant de sa miséricorde, osons-nous dès maintenant tendre la main aux blessés de l’avortement ?

    En ces heures de Chemin de Croix, n’oublions pas celui des enfants à naître."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Petites magouilles entre amis

    Vous aimez la cuisine électorale alors ce jeudi vous avez été servi avec la nomination des présidents de départements…

    Essonne : sur les terres de Manuel Valls, c’est la droite UMP qui remporte le plus grand nombre de cantons. Il paraissait donc facile de trouver en son sein le président. C’était sans compter avec Georges Tron, celui qui prend son pied avec les pieds des autres, notamment ceux des femmes. Convaincu que ce poste lui revenait de droit, il ne s’est pas désisté alors que les élus de son propre camp, de plus en plus gênés par la candidature de l’ancien secrétaire d’État, proposaient un autre nom. Il faut dire qu’il fait tache avec son renvoi examiné, mercredi 2 avril, par la Cour de cassation aux assises pour viol et agressions sexuelles. Aussi, la majorité UMP-UDI décidait… à la majorité de mettre en avant François Durovray, maire UMP de Montgeron et candidat sur le canton de Vigneux-sur-Seine. Une manière de faire comprendre à Tron qu’il avait été déboulonné de son piéd… estal.

    Vaucluse : un vrai combat de catch, un face-à-face insoutenable, l’égalité parfaite entre la gauche et la droite (six de chaque côté) donnait du piquant aux débats. Le FN et la Ligue du Sud qui avait, de loin, obtenu le maximum de voix dans le département très démocratiquement comptaient pour du beurre. Mais justement, comment faire pour avoir le beurre et l’argent du beurre en empochant le poste de président ? Vous me direz, le plus simple est de prendre le plus compétent, le moins corrompu et le tour est joué. Que nenni (je n’ai pas dit que ni-ni), l’UMP est allée chercher Maurice Chabert, non pour ses qualités, mais parce qu’étant à égalité de sièges avec la gauche, c’est le doyen de l’assemblée départementale qui au bénéfice de l’âge pouvait être élu, ce qui fut fait. Remarquez, si on appliquait plus souvent ce procédé, on désemplirait les maisons de retraite.

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  • La spéculation, ce vice du capitalisme

    Il n'avait pas été heureux parce qu'il avait tout le temps désiré plus que ce qu'il avait, parce qu'il n'avait jamais joui de rien, savouré rien, comme le laboureur qui jette un regard sur son domaine au soleil couchant, comme l'écrivain qui relit sa page et numérote la page suivante. Le gain, le gain, toujours le gain, sans l'équilibre approximatif du commerçant, qui connaît ses limites et qui sait où il va. Mais la spéculation, c'est la saute de vent imprévisible, le hasard, la chute perpendiculaire, la lutte sans merci et sans trêve. C'est la jungle avec ses fauves en veston, des êtres sans entrailles et tout en griffes préhensives, en crocs déchiqueteurs. Les fortunes s'édifiaient vertigineusement, s'écroulaient de même.

    LÉON DAUDET, Ariane, 1936

    Composés rapidement, en marge de l'activité débordante de leur auteur, les romans de Léon Daudet sont inégaux, mais on y glane toujours quelques remarques, quelques croquis, quelques leçons de sagesse. C'est ainsi que, relisant naguère Ariane (1936), je m'arrêtai sur les réflexions du financier Gervais au bord de la faillite, et l'actualité économique de ces derniers mois me revint à l'esprit. Le personnage central d'Ariane est un écrivain qui a fait médecine et n'exerce pas. On reconnaît l'auteur lui-même. L'évocation de la Touraine, et certaines notes sur le Japon font de ce roman un des meilleurs de Léon Daudet.

    Le téléphone qu'on tire de sa poche pour interroger en quelques secondes un correspondant à Hong Kong, la cote de la Bourse d'une place internationale qui apparaît sur l'ordinateur "en temps réel", l'avion qu'on emprunte comme le métro, semblaient avoir relégué au musée les règles économiques classiques. Mais il y a un an, le krach des prêts hypothécaires à risques (subprime pour ceux qui préfèrent l'anglais, celui de Wall Street, bien sûr, pas la langue de Shakespeare) raviva le souvenir de la crise de 1929. Sans remonter au système Law (la spéculation s'appelait alors l'agiotage), il est bon de se rappeler de temps à autre les grands scandales financiers parce qu'en économie comme en politique, l'histoire enseigne la sagesse, vertu ignorée des époques ignorantes.

    En composant son roman, Léon Daudet pensait à Albert Oustric, spécialiste en spéculation boursière. Il avait fondé une banque en 1919, puis multiplié les sociétés. En novembre 1929, il faisait une faillite retentissante qui éclaboussait la classe politique. À propos de l'affaire Stavisky (1933-1934), Daudet dénonça en Camille Chautemps, président du Conseil, le chef d'une bande de voleurs et d'assassins.

    Stavisky et Madoff

    Quelle différence entre l'affaire Stavisky et l'affaire Madoff ? Aucune d'un point de vue technique, sinon la dimension internationale de la fraude. Et voici que revient à la mode John Maynard Keynes (1883-1946), théoricien de l'encadrement du capitalisme par l'État, de la nécessité de réguler les marchés et de la primauté de l'école de la demande sur celle de l'offre. À propos de cet économiste, on se souviendra à l'Action française des thèses contraires à nos intérêts qu'il soutint dans ses Conséquences économiques de la paix (1919). Les exagérations d'un libéralisme sans frein ne nous feront pas oublier les tares du capitalisme d'État. N'est-ce pas d'ailleurs l'Administration démocrate qui obligea pour des raisons idéologiques les banques américaines à consentir des prêts immobiliers à des personnes insolvables ?

    L'histoire restera notre guide, l'histoire méditée, dans la ligne de Jacques Bainville. Le concile de Latran de 1139 condamna l'usage de l'arbalète et des balistes, mais non celui de l'arc, de l'épée et de la masse d'armes. Nous voyons déjà sourire le primaire qui pense que les hommes étaient idiots avant l'invention de l'ordinateur. Mais quels arguments le concile mit-il en avant ? Que les carreaux d'arbalète et les boulets envoyés par les balistes portaient si loin que les soldats ne pouvaient maîtriser les conséquences de leurs actes. La prudence conseille de ne pas agir quand on ne dispose d'aucun moyen de maîtriser les conséquences. Comme les hommes politiques, les économistes auraient intérêt à méditer l'histoire.

     

    GÉRARD BAUDIN L’ACTION FRANÇAISE 2000 du 15 janvier au 4 février 2009

  • Chrétiens d'Orient : la RATP devra s'expliquer devant le Sénat

    Lu ici :

    "Le président du Sénat Gérard Larcher (UMP) a annoncé aujourd'hui que le Sénat allait auditionner des responsables de la RATP, qui a demandé que des affiches annonçant l'organisation d'un concert organisé en faveur des chrétiens d'Orient ne fassent pas référence à ceux-ci.

    Larcher demande à la RATP de revenir sur sa décision et de rétablir l'affiche telle qu'elle se présentait initialement. Il demande aussi à l'État, "au titre de sa tutelle sur la RATP, de mener l'enquête sur les circonstances ayant conduit à une telle décision absurde et sans fondement".

    Administrateur du Syndicat des transports d'Ile-de-France (STIF) et présidente du groupe d'études sur les chrétiens d'Orient de l'Assemblée Nationale, Valérie Pécresse a de son côté interpellé "solennellement" vendredi Ségolène Royal pour qu'elle intervienne comme ministre des Transports auprès de la RATP, afin qu'elle revienne sur sa décision."

    Louise Tudy  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le Marché des Familles

    Image001Le Marché des Familles estune centrale d'achat associative à but non lucratif dédiée aux familles. L’association a été créée par des professionnels bénévoles et des parents qui, au sein de leurs paroisses et associations respectives, constatent avec un sentiment d’impuissance les difficultés matérielles rencontrées par les familles.

    L’objectif est de repérer pour vous des « bons plans » dans tous les domaines où des fournisseurs de produits et/ou services peuvent offrir une qualité et des prix imbattables.

    Entre QUALITE et PRIX il n’y a pas à choisir, le Marché des Familles s’occupe des deux !

    Chaque semaine, de nouvelles promotions sont proposées au sein des rubriques disponibles :

    Alimentation, Cave des Familles (mariage et réceptions familiales), fournitures scolaires (service de livraison de colis individuels des fournitures pour l'année suivante directement à l'école), uniformes (pantalons, jupes, pulls, tabliers).. L'équipe du Marché des Familles étudie toutes les demandes:  contact@marchedesfamilles.fr

    Les produits alimentaires sont livrés à domicile pour l'instant seulement aux familles de l’ouest parisien; l’objectif est d’élargir à terme ce service à d'autres régions de France.

    Pour accéder au Marché des Familles, il suffit de créer son compte sur le site au moment de passer sa commande.

    Pour renforcer sa logique d’entraide, le Marché des Familles permet par son fonctionnement d’aider, anonymement, les familles qui sont le plus en difficulté. Il suffit de choisir une des solutions proposées lors de la validation du panier !

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html