Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 49

  • Traité de libre-échange transatlantique : les eurodéputés privés de vote - europe weekly

  • Accueil de François Hollande à Nantes

    Ce matin ! Ce fut pluvieux (avec Hollande... ) et ce fut bloqué par 600 CRS et gendarmes mobiles. les stations tram étaient bloquées : il a fallu descendre à la station d'après et faire 2 kms à pieds.

    SAM_1078

    SAM_1069

    SAM_1072

    P1110639

    1981773_430474763791990_6558928638261588000_n

    Michel Janva

  • Ce vendredi sur Meridien zero

    0v2z9.jpg

  • Obsolète

    On connait  la proximité de vue existant entre électeurs de l’UMP et ceux du FN sur les questions d’immigration, d’insécurité, de défense des valeurs traditionnelles ; sympathisants du parti  dirigé par Nicolas Sarkozy qui se reconnaissent très majoritairement dans les analyses développées par  le FN  sur ces sujets.  Jamais avare de démagogie,  chaussant ses gros sabots pour capter l’électorat droitier et inquiet,   Nicolas Sarkozy avait ainsi annoncé en février, à grand renfort de coup de menton,  une « convention thématique », la première de son nouveau  parti,  sur « l’Islam ». L’islam…Ce sujet  commode trouvé par la droite courbe pour évoquer  les revendications communautaristes…sans remettre en question les causes de celles-ci,  la poursuite de l’immigration de peuplement, le droit du sol, les naturalisations massives… Une lâcheté, une duplicité assez écœurante. Même sous cet angle, le sujet restant clivant chez Les Républicains (LR), cette «  journée de travail sur l’islam » s’est finalement transformée  en « réunion à huis clos » ce jeudi matin…tout ça pour ça…

     Le site de L’Express vient de relayer  une étude de  sondages  réalisée par Marek Kubista. Il s’interroge cette fois sur le fait de savoir si une autre convergence n’est pas en train d’apparaitre entre les  électorats  LR et  FN  «  sur les questions de politique étrangère à travers l’exemple du conflit russo-ukrainien » .  Que ce soit par opportunisme ou  par conviction, « nombreux sont les responsables de l’UMP à s’être exprimés au cours des derniers mois avec des accents fortement russophiles, à tel point que des personnalités comme Alain Juppé s’en sont ouvertement inquiétées ».

    M. Kubista en veut notamment pour preuve la « tribune cosignée par 60 parlementaires UMP et UDI et publiée le 8 mai dans Le Figaro, Gérard Longuet et Thierry Mariani déclaraient que le boycott par François Hollande de la cérémonie de commémoration des 70 ans de la fin de la Seconde guerre mondiale à Moscou serait vécu comme une insulte et un mépris par le peuple russe. Une tonalité de discours sensiblement proche de celle utilisée par les responsables frontistes qui ne cachent pas leur admiration pour Vladimir Poutine ».

     Une admiration que semble pour le coup partager François Fillon.  Au sein d’une droite qui s’est très largement  rangée sous la bannière de Washington,   accepte largement  comme le PS  la vassalisation de notre pays aux intérêts américains –l’attitude de dhimmitude des élus « Républicains » face notamment au très nocif traité transatlantique en témoigne-,  il  garde pour sa part  une certaine russophilie d’essence gaulliste. L’ex Premier ministre  a d’ailleurs noué   au fil du temps  des relations assez intimes avec  le président russe.  C’est ce même Fillon,  suscitant alors la désapprobation de ses « amis »,  qui    exhortait  ainsi la France,  en septembre 2013, invité du forum de Valdaï par son « cher   Vladimir », à retrouver son « indépendance » dans la crise syrienne…Reste que si M. Fillon est de tous les prétendants à la primaire de son parti qui désignera son candidat à la présidentielle de 2017 certainement le moins atlantiste, il a également aucune chance de l’emporter…

     Une indépendance qui n’est pas le fort non plus des syndicats français, tous  inféodés au-delà de leurs  divergences particulières, à une idéologie progressiste dont le tronc commun est le rejet des idées nationales… pourtant plébiscitées particulièrement par les travailleurs Français et les catégories populaires.

     Centrales syndicales (CGT, CFDT, UNSA, Sud-Solidaires) qui lancent un nouvel  appel à « vivre ensemble, travailler ensemble ». Un  texte de dénonciation du  FN, « premier parti ouvrier de France », dont l’idée a germé avec la manifestation « Je suis Charlie » du 11 janvier explique  le secrétaire général de l’UNSA, Luc Bérille.

     Un « appel »  dans lequel les apparatchiks du syndicalisme réaffirment avec cet emploi de la langue de béton qu’ils affectionnent, qu’« au-delà de leur diversité, ils partagent les principes de la République et les valeurs de la démocratie ». Rien  de nouveau sous le soleil en fait,  puisque ce long et laborieux  tract de huit pages s’inscrit dans la ligne du texte commun pondu en 2011 dans lequel ils assenaient déjà que  « la thèse de la préférence nationale, est antinomique avec les valeurs fondamentales du syndicalisme » (sic).

    Notons tout de même ici  la singularité de  Force ouvrière (FO)   qui a refusé de s’associer à ce texte. « Nous préférons un combat utile, réel, à un peu d’agit-prop sur un sujet éminemment politique » a  expliqué son secrétaire national Pascal Pavageau. Une manière  de botter en  touche qui fait preuve d’un certain pragmatisme et s’explique certainement par le fait que , selon la dernière étude de Harris Interactive pour l’Institut de l’entreprise, FO est le syndicat qui abrite(rait), de très loin,  le plus de sympathisants FN. 37% des  personnes se disant proches de FO seraient  ainsi  « les plus susceptibles de voter FN ».

     «C’est du flan, du n’importe quoi !» a affirmé  M. Pavageau,  bien forcé de réagir…. Ce dernier n’ignore pas, comme son patron Jean-Claude Mailly,   que sa centrale, issue d’une scission après guerre  avec le CGT pro soviétique,  et alors  financée comme telle indirectement   par la CIA,  est contrôlée de longue date par des militants  trotskystes issus de la mouvance lambertiste et la maçonnerie d’extrême gauche. Bref qu’elle n’est pas un fief national.

     Pour autant, Jean-Daniel Lévy, directeur  de Harris,  souligne également qu’au terme de ce sondage, il apparaît plus largement   que les personnes se déclarant proches d’un syndicat ont plutôt moins tendance à voter FN que l’ensemble des Français : 18 %, contre 25 %, au premier tour des élections départementales de mars dernier.

     Ce qui confirme et explique  plus largement la désaffection, la méfiance, la mauvaise opinion   des français vis-à-vis des syndicats, les salariés de notre pays étant ceux qui ont un des taux de syndicalisation le plus faible de tous les pays occidentaux. Un autre signe, un de plus,  constate  Bruno Gollnisch,  du rejet croissant de toutes les  structures d’encadrement et  parties prenantes d’un Système  qui a atteint son seuil d’obsolescence.

    http://gollnisch.com/2015/06/04/obsolete/

  • Références et thèmes des droites radicales au XXe siècle (Europe/Amériques)

    Olivier Dard dir., Références et thèmes des droites radicales au XXe siècle (Europe/Amériques), Peter Lang, Bern, Berlin, Bruxelles, Frankfurt am Main, New York, Oxford, Wien, 2015, 368 p.

    Erreur

    Présentation de l'éditeur : Après avoir abordé les droites radicales européennes et américaines au vingtième siècle sous l’angle des doctrinaires, des vulgarisateurs et des passeurs puis analysé l’internationalisation de leurs supports et de leurs vecteurs, l’objet de ce troisième volume du projet de recherche IDREA (Internationalisation des droites radicales – Europe/Amériques) a été d’étudier le caractère fédérateur d’un certain nombre de références et de thèmes.
    Réunissant une douzaine de chercheurs français, européens, comme américains du Nord et du Sud, issus de différentes disciplines, l’ouvrage s’attache à privilégier la mise en exergue de références et de thèmes transversaux au sein des droites radicales européennes et américaines depuis les lendemains du second conflit mondial.
    Cinq entrées sont proposées : Figures de chefs, Mémoire(s) et histoire(s) des régimes et des combats perdus, Antisémitisme et anticapitalisme, Conservatisme, radicalités et anticommunisme, L’Occident en questions.
    Si vous le souhaitez vous pouvez commander l'ouvrage en ebook ou en hardcover directement sur le site de l'éditeur.
    SommaireUG Convergences 83.indd
    – Olivier Dard : Présentation générale
    – Francis Balace : La pourpre où dorment nos chefs morts …
    – Christoph Brüll : Léon Degrelle comme référence des droites radicales allemandes après 1945
    – Miguel Angel Perfecto : La mémoire imposée du franquisme. Le mythe de José Antonio Primo de Rivera et l’école nationale-catholique
    – Pauline Picco : Les référents politiques et intellectuels de l’extrême droite italienne : un panthéon mythique (1950-1970)
    – Nicolas Lebourg/Jonathan Preda : Le front de l’Est et l’extrême droite radicale française: propagande collaborationniste, lieu de mémoire et fabrique idéologique
    – Ana Isabel Sardinha Desvignes : L’Empire colonial portugais et ses mythologies : du sébastianisme messianique au lusotrpicalisme
    – Humberto Cucchetti : Droites radicales et péronisme : un mélange de traditions anticapitalistes?
    – Valérie Igounet : Le négationnisme : l’expression d’un nouvel antisémitisme contemporain, international et protéiforme (1948-2013)
    – Michel Grunewald : Merkur (1947-1952)
    – Romain Huret : Aux origines du conservatisme contemporain aux EtatsUnis. Classes moyennes, mobilisations antifiscales et défense des valeurs américaines (1945-1964)
    – Michel Bock/Hugues Théorêt : Le communisme et la guerre froide dans le Canada français d’après-guerre
    – Riccardo Marchi : La défense de l’Occident : la dernière tranchée pour l’extrême droite européenne des années de guerre froide
    – Olivier Dard : De la « Défense de l’Occident » à l’« Occident comme déclin ».

    Ouvrage commandable ici

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EuFFlllVEElekheDMN.shtml

  • Clandestins : tous irresponsables !

    L’immigration coûte plus de 80 milliards d’euros à la France, selon le rapport d’André Posokhow. Elle coûte encore plus à notre civilisation, menacée d’explosion par le communautarisme. Il est donc urgent d’appliquer une politique semblable à celle de l’Australie en raccompagnant les bateaux de migrants à leur point d’origine.

    Dans une tribune publiée dans Le Monde, Cécile Duflot perd pied et estime que la politique du gouvernement en matière migratoire est un « Waterloo moral ». Plus loin, au milieu d’un laïus internationaliste pro-immigration caractéristique de sa famille de pensée, Duflot lâche la « bombe » : « Il est grand temps de résister au vent mauvais de la xénophobie qui souffle sur tout le continent européen et inspire de bien mauvaises solutions aux gouvernants. »

    Vivons-nous sur la même planète ? Sur la mienne, l’Europe est littéralement envahie et incapable d’endiguer un phénomène mortel et destructeur, qui ne rend pas plus service à l’Afrique qu’au Vieux Continent. Cécile Duflot en appelle à « notre humanité » ; pourtant, c’est en faisant appel à mon humanité que je lui réponds que nous ne devons plus céder face aux flux migratoires, au risque, comme le dit Viktor Orbá, de voir sombrer l’Europe et les nations constituées qui la découpent. Le « Waterloo moral » serait de voir la France se résoudre, impuissante, à subir une immigration non consentie. D’autant plus que c’est le dernier moment pour être ferme, la démographie africaine étant exponentielle.

    Lire la suite

  • Rebondissement dans “l’affaire Lambert”

    Spectaculaire rebondissement dans l’affaire Lambert, du nom de ce jeune homme tombé dans un état pauci relationnel suite à un accident de voiture en 2008.

    La Cour européenne des droits de l’homme a rendu vendredi dernier un avis sur la question par l’intermédiaire de son président Dean Spielmann, dans lequel il est précisé, « Qu’il n’y aurait pas violation de l’article 2 (de la convention européenne des droits de l’homme) en cas de mise en œuvre de la décision du conseil d’Etat autorisant l’arrêt des soins ».

    Cela signifie le laisser mourir… Comment est venu ce rebondissement ? 
    Par une vidéo, une courte vidéo tournée par Emmanuel Guépin, ami de Vincent, et faisant partie de son « Comité de soutien ». Celle ci le montre réagissant, en clignant des yeux et en bougeant la tête, alors qu’il entend sa mère au téléphone. Celle ci lui parlant justement de la décision de la CEDH, tout en rajoutant qu’elle continuera à se battre pour lui.

    D’abord mise sur YouTube, cette vidéo a rapidement été reprise par de nombreux sites. Puis la machine médiatique s’est emballée : de nouveaux articles, de nouvelles questions ont été soulevées.

    En quelques heures, cette vidéo a permis de relancer le débat !? 
    En montrant clairement que Vincent n’est absolument pas en fin de vie, mais qu’en plus il interagit avec son entourage, la supercherie est dénoncée. C’est l’occasion, pour beaucoup de Français, de découvrir le vrai débat de fond : celui de l’euthanasie.

    N’était ce pas là, l’origine de la CEDH ? 
    C’était pour ne pas reproduire les atrocités commises en Allemagne hitlérienne, que la CEDH a été fondée, notamment le programme d’”euthanasie généreuse”.
    C’est pourquoi 5 juges de cette Cour ont marqué leur désaccord dans le jugement rendu. Ils vont même jusqu’à critiquer la position de la Cour et son institution avec une sévérité sans précédent, je cite : « Nous estimons non seulement que cette conclusion est effrayante mais de plus — et nous regrettons d’avoir à le dire – qu’elle équivaut à un pas en arrière dans le degré de protection que la Convention et la Cour ont jusqu’ici offerte aux personnes vulnérables ». Fin de citation.
    Saluons le courage de ces 5 juges, éclairés par leur conscience.

    http://fr.novopress.info/

  • Émeutes de Tourcoing : La peur politique du rapport de forces

    Il aura fallu quelques jours pour avoir quelques images. Au Figaro, ce fut service minimum. Nous étions à quatre journées d'émeutes mais les chiens de garde du système, les journaleux n'en disent rien. Qui peut encore aujourd'hui lire les journaux ? Surement pas ceux qui habitent ces quartiers et qui voient le suprême mépris dans lequel on les laisse.

    Alors comment voulez-vous que l'on réagisse face à ces impuissances avouées? En adorant la police ! Surtout pas. Nous sommes en France dans un Etat de droit où depuis des années des zones entières sont sous le contrôle des trafiquants où les garants de la sécurité des citoyens n'ont, en fait, pas le droit d'entrer, pire même, ils ne veulent plus entrer (c'est le cas par exemple à Villeurbanne). 

    Mais au fait que craignent leurs donneurs d'ordre ?

    Journalistes, politiques et forces de l'ordre craignent le rapport de force et ce, même après le 7 janvier dont on vient d'apprendre que les proches des victimes n'ont toujours pas été indemnisés. Préfets et procureurs, le ministre de l'intérieur sont tous muets quand une ville comme Tourcoing est en émeute durant quatre jours obligeant à fermer quelque temps la frontière avec la Belgique. Vous l'avez su ? Non ! Parce qu'ils craignent que cela se sache, que cela se diffuse comme une traînée de poudre, que cela provoque l'étincelle qui embrasera les banlieues rebelles. Au Ministère de l'Intérieur, on souhaiterait plutôt un été pluvieux et on serait presque capable d'en appeler au projet Haarp, si c'était possible !

    Ainsi, tous les week-ends, un jeune poursuivi qui chute de son scooter ou envoie sa voiture dans un arbre et c'est l'émeute qu'il faut cacher. Alors, tous les soirs, les rondes de police évitent les malfrats mais rackettent les citoyens solvables. On craint l'explosion au point de faire, comme chez les "Ripoublicains" des colloques à huis clos sur l'Islam ou de fermer les yeux sur les gros dealers.

    Et puis, il y a les armes. D'après le Ministère de l'Intérieur, 30 000 armes dont 15 000 kalachnikovs se trouveraient dans les banlieues. Un chiffre qui est forcément minimisé quand on sait que 3 à 7 millions d'armes circulent illégalement en France. Or, après les attentats de janvier, aucune opération d'ampleur nationale - une opération qui pourtant s'impose - n'a été engagée sur le trafic d'armes. A l'inverse, les trafiquants d'armes se sont réorganisés et structurés dans de nouvelles filières libyennes et syriennes.

    En fait, le rapport de force fait trembler en coulisses les autorités. Selon les derniers chiffres, la Police nationale compte plus de 120 000 actifs quand la gendarmerie en dénombre près de 100 000. En cas de pépin, cela ne sera pas suffisant. Faudra-t-il alors en appeler à la Légion comme le préfet de Mayotte l'a fait ce week-end ? Elle est ailleurs et ce serait alors un autre État.

    La peur du rapport de force auquel, tôt ou tard, nos gouvernants n'échapperont pas malgré leurs conceptions antiracistes forcenées, explique qu'il n'y a pas de sécurité territoriale dans certains quartiers et aussi plus de presse. La peur du conflit ou la volonté cynique d'entretenir des tensions, voilà la raison de la lâcheté politique, mais aussi du vide sidéral de la presse française.

    Que disent les élus de Tourcoing, qu'ont-ils rappelé aux journalistes lors de leur dernier conseil municipal ? Que les auteurs des émeutes ne sont « pas des jeunes mais des délinquants » mais...la police poursuit-elle encore les délinquants?

    source : Metamag :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuFupAyulysXnbvmeK.shtml

  • Menace de mort contre des candidats

    Suite à l'invalidation de l'élection municipale par le Conseil d'Etat, les Annemassiens sont appelés à voter pour choisir leur maire les 28 juin et 5 juillet. La liste du Front national pourrait ne pas pouvoir être déposée, faute de colistiers :

    "Nous risquons effectivement de ne pas pouvoir déposer la liste qui était pourtant prête. Cinq de mes colistiers ont reçu en début de semaine des menaces de mort par courrier. La liste s'est vidée en quelques jours et malgré les remplacements (la liste initiale comptait quelques noms supplémentaires en complément), il me manque aujourd'hui deux femmes, cela va relever du miracle maintenant, malgré mon réseau".

    "Ces menaces sont des lettres manuscrites qui ont été postées au domicile de cinq femmes de la liste du Front national. Je nourris énormément d'inquiétude pour notre démocratie surtout, ce sont là des méthodes mafieuses. La campagne s'avère beaucoup plus virulente que la dernière et là je ne rigole plus."

    "Je me retrouve aujourd'hui en bout de course, je crie au secours pour dénoncer ce qui se passe à Annemasse, on est pourtant pas à Marseille et pourtant... je suis très déçu aussi surtout pour tout ceux qu'on représente et qui comptait sur nous et notre engagement."

    Le candidat du Front national a déposé plainte.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html