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  • Deux bougies pour les Sentinelles

    Elles vous invitent à fêter leur anniversaire :

    Sentinelles_20150624

    "« On » avait prédit un feu de paille. Pendant ces deux années écoulées, presque tous les jours, des sentinelles sont venues pour veiller, Place Vendôme ou ailleurs, qu’il pleuve, qu’il vente ou que le soleil cogne.

    « On » s’était ému en haut lieu de ce harcèlement continuel. Bien que cette protestation silencieuse ne gêne peut-être que des consciences trop rares.

    « On » a fait donner la troupe qui a contrôlé, repoussé, réprimé, encagé, évacué ces personnes qui ne troublaient pas l’ordre public. Las, elles sont revenues, toujours aussi résolues.

    Le 24 Juin 2015, ce sera le deuxième anniversaire des Sentinelles.

    Elles se sont levées à Paris pour dire non à l’injustice faite à un jeune militant de la Manif pour Tous, embastillé parce que son opinion avait l’heur de déplaire.
    Elles ont poursuivi leur lutte contre les lois dites sociétales, les décrets et circulaires absurdes et les voies détournées que tente d’imposer un pouvoir aveuglé par son idéologie destructrice de la famille : Mariage pour tous, bricolage de la filiation qu’il induit, éducation au genre sous prétexte de non-discrimination, euthanasie, grand n’importe-quoi procréatif et ses corollaires que sont la réduction en esclavage des mères porteuses, la marchandisation de l’enfant et l’éradication des repères sexués si nécessaires à leur éducation.

    Elles continueront à se tenir debout, silencieuses, paisibles, bienveillantes et déterminées tant que ce sera nécessaire.

    Vous pouvez les rejoindre à tout moment, place Vendôme ou ailleurs en province.

    Vous êtes aussi invités à fêter cette anniversaire lors d’une grande veille contre la GPA le 24 juin à 19:00 dans le pré-carré des Sentinelles, place Vendôme à Paris. Pas de faire-part, de réservation souhaitée ou de tenue exigée ! Vous pouvez, si vous en avez envie, vous inscrire surl’événement facebook qui est au bout du lien, mais ce n’est pas obligatoire. Si vous êtes novice, vous devinerez tout de suite le mode d’emploi : silencieux, espacés et sans signe distinctif.

    Vous êtes les bienvenus pour ne rien lâcher. #2ansDebout, et ce n’est pas fini !

    Des sentinelles parisiennes"

    Louise Tudy

  • Hollande contre Poutine : la liste noire qui fait marrer tout le monde !

    François Hollande qui bombe le torse contre Vladimir Poutine… C’est Julie Gayet qui doit être fière de son zigomar.

    Il est parfois des plaisirs jouissifs qu’il convient d’avoir connus avant de rendre l’âme : Le Pen au second tour de l’élection présidentielle de 2002, victoire des Bleus en 1998, DSK empêché d’Élysée et, tant qu’à faire, triomphe au Top 50 du sublime tube de camping « Quand il pète il troue son slip », de l’inégalable Sébastien Patoche, qui détrôna alors une chanteuse à cheveux gras, probablement lectrice de Télérama, aux paroles « exigeantes » et dont, fortuitement, le nom nous échappe.

    Aujourd’hui, encore un truc qui méritait d’être vécu, soit l’homérique bras de fer entre François Hollande et Vladimir Poutine. Résumé des épisodes précédents : l’Europe, ou, pour être plus précis, les instances technocratiques entendant la représenter, met 150 officiels russes sur liste noire ; c’est-à-dire, tricards en notre vieux monde. Riposte immédiate du tsar : 89 Européens deviennent à leur tour interdits de séjour, dont quatre Français. Et pas des moindres. Bruno Le Roux, chef de file des députés socialistes au Parlement. Henri Malosse, président du Comité économique et social européen, assez peu connu et devant sûrement gagner à ne pas l’être. Et, le meilleur pour la fin, le trublion Daniel Cohn-Bendit et le philosophe que le monde entier nous envie – hormis peut-être les Libyens -, sa seigneurie Bernard-Henri Lévy. Dans leur casting de guignols, force est de reconnaître que le Kremlin fait preuve d’un goût assez sûr.

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  • Mélenchon ou l’hystérie républicaine

    Avec alexis Corbière, ils ont fait grand bruit dans la réinfosphère en s’attaquant à l’émission « Secrets d’histoire ». Mélenchon, qui aime rendre hommage à Robespierre et Saint-Just, n’en est pourtant pas à son coup d’essai de Gardien du Temple Révolutionnaire. Portrait de « Santerre ».

    Le leader du Front de gauche fait partie de cette catégorie de républicains bornés pour qui l’histoire débute en 1789. Avec son comparse Alexis Corbière, secrétaire national du Parti de gauche (PG), ils jouent les censeurs, chassent les tabous, en gros, tout ce qui contrevient un tant soit peu au mythe de la Révolution et de l’idéologie républicaine. « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! », c’est du Saint-Just, ça pourrait être du Mélenchon.

    Selon eux, Secrets d’histoire, c’est donc

    seulement 5 émissions, soit 6% (!) de la totalité, [qui] ont été consacré à des personnalités ou des lieux liés à la République.

    Dans cette émission populaire,trop de rois et reines, pas assez de républicains, donc. Mais aussi, histoire d’être bien politiquement correct, pas assez de noirs, pas assez de femmes… Ils voudraient bien l’interdire, au moins imposer des quotas de politiquement correct. Liberté d’expression, quand tu nous tient…

     

    La politique en noir et blanc ou Pour qui roule Jean-Luc Mélenchon ?

    Jean-Luc Mélenchon

    Fin 2014, Melenchon s’emportait déjà contre le jeu vidéo Assassin’s Creed Unity. Selon le censeur de service, dans le jeu,

    celui qui est notre libérateur à un moment de la Révolution, Robespierre, est présenté comme un monstre.

    Ubisoft, société française reconnue pour la qualité exceptionnelle des reconstitutions des villes et des époques qui forment la trame de la saga Assassin’s Creed, coupable de crime de lèse-révolution ? Elle a simplement mis l’accent, dans une bande-annonce du jeu, sur la période de la Terreur, où la guillotine fonctionnait en continu et ou Robespierre réclamait la tête de tous les contre-révolutionnaires réels ou supposés… avant d’être lui-même broyé par le système qu’il avait initié.
    Mais de tout cela, selon notre grand républicain, il ne faut pas parler pour ne pas écorner le mythe, comme d’autres taisaient le goulag pour ne pas désespérer Billancourt ou effaçaient les membres « purgés » du politburo des anciennes photos officielles, car réécrire l’histoire, c’est contrôler le présent.

    Bande-annonce du jeu Assasins Creed Unity

    Bande-annonce du jeu Assasins Creed Unity


    Si on le laissait faire, Mélenchon nous rétablirait bien la guillotine, juste pour les historiens… Encore un exemple ? En 2013, il écrivait à France3 pour demander un droit de réponse contre l’émission « Robespierre, bourreau de la Vendée ? », au motif que

     

    Le contenu idéologique, politique et historique, de cette émission de 52 minutes la range clairement dans l’arsenal de la propagande grossière. Elle reprend à son compte toutes les calomnies et les mensonges contre-révolutionnaires et antirépublicains d’inspiration d’extrême droite et monarchistes, qui persistent depuis plus de deux siècles.

    Robespierre

    Robespierre

    En clair, mentionner les lois d’extermination de 1793, les colonnes infernales, les charniers, les puits remplis de cadavres, tout cela est calomnie. D’ailleurs, le général Westermann, qui déclarait à la Convention en novembre 1993, après sa victoire de Savenay : « Il n’y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l’enterrer dans les marais et les bois de Savenay. J’ai écrasé les enfants sous les pieds de nos chevaux, massacré les femmes qui, au moins celles-là, n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé… Nous ne faisons pas de prisonniers, car il faudrait leur donner le pain de la liberté, et la pitié n’est pas révolutionnaire. » était probablement un propagandiste royaliste et non le général des armées bleues de la République.
    Mélenchon, lui, enfonce le clou :

    Ce concept bricolé de « génocide vendéen », uniquement utilisé par quelques provocateurs à des fins polémiques et politiques pour salir la République, n’est pas acceptable.

    Les 300 000 victimes (estimation moyenne) « bricolées » apprécieront, elles ne sont que fantasme de la propagande d’extrême-droite, Reynald Secher, Jean Tulard, Emmanuel Le Roy Ladurie, Stéphane Courtois et bien d’autres historiens respectés ne sont que des « provocateurs ».
    On reconnaît bien là la phraséologie gauchiste, ne manquent que des « agents de l’impérialisme » « tigres de papier » et autres « vipères lubriques ». N’oublions pas que le grand républicain était dans sa jeunesse (est ?) trotskiste tendance lambertiste. Son pseudonyme de combat était alors « Santerre », en hommage à Antoine-Joseph Santerre (1752-1809), qui participa à la prise de la Bastille en 1789 et conduisit Louis XVI à l’échafaud en 1793. Sans commentaire.

    http://fr.novopress.info/188482/melenchon-lhysterie-republicaine/#more-188482

  • Le maire de Suresnes finance la future mosquée de la ville

    Les élus municipaux FN préviennent la population :

    "L’association Islamique Al Badr peut avoir le sourire. Tous les élus municipaux Ump Ps pcf ont voté hier [28 mai] lors d’un Conseil municipal houleux un bail emphytéotique administratif pour l’inauguration d’une salle de prière musulmane de 349M² au 5 rue des Velettes.

    Laurent SALLES, Chef de file du FN Suresnois, a une nouvelle fois dénoncé le double jeu de la fausse droite qui, au niveau national reprend nos thématiques, mais qui au niveau local applique le programme du Parti socialiste. Cette délibération est symptomatique des libertés que l’UMPS prend avec les principes fondamentaux de la laïcité édictés par la loi de 1905. Depuis 2006, vraie gauche et fausse droite ont permis aux élus locaux decontrevenir au principe de non-subventionnement des cultes, grâce au bail emphytéotique administratif. Nous ne voyons pas en quoi un édifice ou un local cultuel constituerait une mission de service public ou même une opération d’intérêt général comme le sont les crèches, les commerces par exemple… alors que cela relève d’un intérêt privé. En achetant en VEFA ce lot nu au promoteur Bouygues pour 977 000€, on peut considérer que la Ville a pris à sa charge le coût du gros œuvre, ce qui est à notre sens un avantage considérable accordé à cette association cultuelle, même si il lui est laissé le soin de réaliser les travaux de second œuvre évalués par France Domaine à 506 000€. [...]

    Laurent SALLES s’insurgea contre le Maire C. Dupuy quand celui-ci évoqua le financement de lieux de culte antérieur à la loi de 1905 : « Monsieur le Maire vous n’allez tout de même pas comparer nos cathédrales, nos églises avec des mosquées en parpaing !?. Il s’agit là de notre patrimoine. C’est d’ailleurs pour cela que nous avons chaque année 70 millions de touristes ! »"

    Les deux élus vont attaquer la délibération en justice devant le Tribunal administratif de Cergy-Pontoise.

    Michel Janva

  • Résignés les Français ?

    Les Français attendent visiblement autre chose. Selon un sondage Odoxa pour Le Parisien, 72% des personnes interrogées ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy se représente à la présidentielle de 2017 et 77% sont du même avis pour François Hollande. Un pourcentage également très élevé au sein de leur propre famille politique avec respectivement 50% et 56% de leurs partisans qui y sont opposés ! Certes, M. Sarkozy et même M. Hollande malgré les chiffres catastrophiques du chômage, dont l’inversion de la courbe ascendante est, a-t-il dit, la condition sine qua non de sa candidature, tablent sur leur bonne étoile. Ils sont parfaitement conscients du rejet qu’ils suscitent mais estiment être en mesure de l’emporter s’ils parviennent à se qualifier au second tour face à Marine Le Pen. Ils sont persuadés que les Français otages de ce Système, n’auront pas d’autre choix : ce sera eux ou le saut dans l’inconnu anxiogène, le déluge national-populiste ! Reste à savoir dans l’hypothèse catastrophique pour le pays d’une réélection d’un candidat de l’RPS, quelle sera la marge de manœuvre du futur président, élu par défaut, démonétisé dés son arrivée au pouvoir ? Pour reprendre la célèbre formule lepéniste, pourquoi les deux candidats du Système feraient-ils demain ce qu’ils n’ont ni su, ni pu, ni voulu faire hier? Est-il vraiment étonnant que la classe politicienne n’inspire plus depuis longtemps, ni confiance, ni respect chez une large majorité de nos compatriotes ?

    Date symbolique de cette rupture, on fêtait la semaine dernière les dix ans du NON au référendum du 29 mai 2005 sur la ratification de la Constitution européenne, laquelle fut imposée, sous un autre nom, par Nicolas Sarkozy dés son arrivé au pouvoir avec l’aval de l’UMP et du PS. Un NON, un sursaut des Français qui fut, comme l’a rappelé Le Figaro, « un cataclysme dans la vie politique française ». Or, selon le sondage Ifop réalisé pour l’occasion, «si François Hollande posait aujourd’hui la même question, ce serait pire encore. Une bérézina. 62 % des Français, qui étaient en âge de voter en 2005, diraient non, soit sept points de plus qu’il y a dix ans. Et seulement 38 % voterait oui, soit sept points de moins ». Il y a dix ans Nicolas Sarkozy et François Hollande posèrent ensemble en couverture de Paris-Match, exhortant les Français à voter OUI, PS et UMP s’engageant activement dans ce but, tout comme 99% des grands médias. Aujourd’hui encore, il n’y a aucune différence de nature entre l’Europe atlanto-mondialiste voulue, défendue, imposée par l’actuel gouvernement et le projet sarkozyste; l’RPS campe a peu de choses prés sur la même ligne.

    Invité hier de de l’émission Controverse de France Bleu Orléans/France 3/République du Centre, le député FN Bernard Monnot a eu l’occasion de souligner cette identité de vue entre la gauche et la droite. Il a rappelé le souhait de l’opposition nationale d’un retour au franc, une des conditions du « retour au plein emploi », en l’espèce le passage au « nouveau franc français, coexistant avec un euro monnaie commune», avec «une parité un euro=un nouveau franc » qu’il s’agirait d’obtenir dans le cadre d’une « renégociation du traité de Lisbonne». Traité, répétons-le, qui a été voté par les élus de droite comme de gauche qui ont bafoué la volonté populaire, puisqu’il est la transposition exacte du projet de traité constitutionnel de 2005 rejeté par nos compatriotes.

    Des Français, a encore souligné le député frontiste, qui souhaitent sortir des entraves de Schengen, retrouver la maîtrise de leurs frontières. Une France qui gagnerait elle aussi à retrouver, comme le Royaume-Uni qui ne fait pas partie de la zone euro, une banque centrale française indépendante.

    Tous sujets abordés qui n’ont pas empêché l’animateur de cette émission, Stéphane Barbereau, qui ne prenait guère la peine de dissimuler son parti-pris antifrontiste, d’ânonner quelques approximations historiques pour évoquer le cas Bruno Gollnisch… dans les mêmes termes que le magazine d’extrême gauche Politis…un hasard certainement.

    Selon ce procureur-journaliste du service public, le député Gollnisch, défendu ici par notre camarade Monnot,  ce serait rendu coupable d’une sorte de crypto-maréchalisme. Il aurait repris des «arguments que l’on entendait sous Vichy», des «argumentaires pétainistes» (sic) pour évoquer le ministre du calamiteux Front populaire, Jean Zay, qui vient d’entrer au Panthéon –voir notre article en date du 28 mai. Interrogé sur le fait de savoir si Philippe Pétain avait « un bon bilan » à son actif ( !) , à croire qu’il s’agit d’un sujet essentiel chez certains journalistes, Bernard Monnot a rappelé que ce dernier s’était vu confier les pleins pouvoirs par une majorité écrasante des députés de l’Assemblée nationale, dont des députés socialistes. Et que le vieux maréchal avait fait « ce qu’il a pu » dans un contexte pour le moins difficile.

    N’en déplaisent aux obsédés et autres monomaniaques des « heures les plus sombres », sujet autrement plus angoissant, plus essentiel pour les Français, la question européenne sera en tout cas très prégnante dans la présidentielle de 2017. En 2012, elle ne fut abordée que par Marine et le FN, problématique européenne qui fut très largement mise sous le tapis, et pour cause, par les candidats Sarkozy et Hollande. Une occultation qui sera plus difficile à opérer dans deux ans. La campagne pour la conquête de l’Elysée se déroulera en effet certainement dans la foulée du referendum promis aux électeurs, à des fins tactiques pour couper l’herbe sous le pied aux souverainistes de UKIP, par le Premier ministre britannique David Cameron sur une éventuelle sortie de son pays de l’UE (« brexit »).

    M. Cameron entend monnayer son maintien dans l’Europe en contrepartie d’aménagements avec les immortels principes bruxellois. Il entend ainsi imposer chez lui plus de restrictions sur la liberté de circulation des citoyens des pays membres, notamment vis-à-vis des ressortissants des pays de l’Est, et une baisse des droits sociaux accordés aux étrangers. Mais surtout, mesure phare de défense de la souveraineté nationale, que les élus britanniques aient un droit de veto sur les législations européennes.

    Demandes qui ont été fermement rejetées par François Hollande qui a rencontré le Premier ministre conservateur lors de sa tournée européenne, vœux que M. Sarkozy aurait lui aussi pareillement balayé s’il avait été à la place de M. Hollande. Preuve de son embarras, d’habitude si prolixe, le président des Républicains n’a pas pipé mot sur cette épisode. Les exigences de M. Cameron apparaissent pourtant comme étant des souhaits de bon sens pour une majorité de Français qui, contrairement à leurs voisins d’Outre-manche, ont été de surcroit dépossédés de leur souveraineté monétaire et du contrôle de nos frontières par notre intégration à l’espace Schengen.

    Alors, certes, Le Figaro avait raison de souligner la semaine dernière « les positions très contradictoires », de nos compatriotes « sur l’Europe », « présentée depuis des années comme une gage de prospérité et de sécurité ». « Côté face, ils réclament majoritairement (62 %) des politiques économiques et budgétaires propres à chaque État. Côté pile, 59 % se disent favorables à la création d’un poste de ministre de l’Économie et des Finances européen et 71 % sont opposés à une sortie de l’euro. En réalité, les Français ne veulent pas forcément moins d’Europe. 60 % de sondés sont ainsi favorables à l’élection d’un président de l’Europe au suffrage universel direct et 71 % à la création d’une armée européenne. Plus largement, 62 % des sondés estiment même que l’appartenance de la France à l’Union européenne est plutôt une bonne chose. Il y a, estime Jérôme Fourquet de l’Ifop, une acceptation résignée de l’Europe chez les Français. Beaucoup pensent en effet qu’une France seule et isolée ne ferait pas le poids.»

    Une acceptation résignée des Français, des réponses antagonistes, voire schizophréniques parfois, qui s’expliquent par le flou qui entoure pour le plus grand nombre les mécanismes, les institutions de cette UE technocratique et totalitaire. Résignation, fatalisme qui sont  aussi le résultat, constate Bruno Gollnisch, du décalage existant entre la propagande européiste intensive sur le thème « hors de l’UE, de l’euro, point de salut » et le choc du réel. Celui d’une Union dont le logiciel, à l’instar des familles politiques qui se succèdent eu pouvoir en France depuis quarante ans, a contribué à détruire nos entreprises, nos emplois, notre tissu économique, industriel, à paupériser et tiers-mondiser notre pays. Et ça, c’est vraiment un bilan désastreux dont les politiciens devront (devraient) répondre devant les Français en 2017.

    http://gollnisch.com/2015/06/02/resignes-les-francais/

  • 18 170 interceptions de clandestins à Calais en moins de 5 mois

    Statistiques tenus secrètes :

    "Selon des chiffres provenant de la police aux frontières du Pas-de-Calais, que francetv info a pu consulter en exclusivité, les policiers déployés à Calais ont procédé, rien qu'entre le 1er janvier et le 21 mai 2015, à 18 170 interceptions de clandestins cachés dans des camions pour tenter de rejoindre l'Angleterre.

    En comparaison, les policiers totalisaient 8 336 interceptions entre le 1er janvier et la mi-mai 2014, et 4 117 interceptions entre le 1er janvier et la mi-mai 2013. Dit autrement, cela signifie que le nombre de ces interceptions d'étrangers en situation irrégulière, toujours sur cette période, est multiplié par 2,2 par rapport à l'an dernier, et par 4,4 par rapport à 2013. [...]

    Les policiers ont pour consigne de ne procéder à des interpellations qu'en cas de violences. La plupart du temps, leur mission consiste donc simplement à repousser les clandestins des abords du tunnel sous la Manche et du port. [...] . Le 21 mai, un triste record a ainsi été atteint : en vingt-quatre heures, les policiers ont découvert près de 1 200 clandestins, cachés dans 300 poids lourds."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html