Comme n’importe qui peut le constater en consultant un atlas ou une mappemonde : la France est sise en Europe, continent étendu de l’Atlantique à Vladivostok, domaine de la race blanche, résultant elle-même d’un très heureux amalgame, remontant à la préhistoire, entre des blonds et des roux, généralement grands, et des bruns à peau claire (mais bronzant mieux que les précédents) de taille variable, tous étant issus de ce continent… et qu’on ne nous ressorte pas la funeste bêtise d’une commune origine africaine des quatre races fondamentales de l’humanité moderne, totalement démentie par l’étude anthropologique des boites crâniennes aussi bien que par la génétique.
De nos jours, cette évidence de géographie humaine est perturbée par l’immigration-invasion de l’Europe par 55 millions d’extra-Européens, provenant essentiellement d’Afrique (noire et maghrébine) et du Proche-Orient, la Turquie fournissant le plus gros de ce lot. Comble de bonheur, au mélange racial se surajoute l’importation massive de sectateurs d’une religion médiévale où la guerre de conquête est inscrite en toutes lettres dans le livre réputé saint et fondateur de ce culte : l’islam, son coran et son djihâd.
Qu’en Allemagne, une Chancelière vieillissante ait introduit 1 million de ces immigrés-envahisseurs en cette année 2015 ne regarde que nos voisins… et quand l’on pense que mémé Merkel n’a même pas obtenu son Nobel de la Paix, on rigole un peu (voire beaucoup).
En France, la seule conclusion à tirer des régionales de ce mois de décembre est l’absolue et urgente nécessité de rendre son indépendance à la Nation française. Une précision sémantique s’impose : la Nation n’est pas un peuple.
Le peuple est un agrégat de sujets, citoyens et non-citoyens mêlés, vivant en-deçà des mêmes frontières et soumis (en principe) aux mêmes lois civiles, pénales et fiscales. Une Nation, c’est tout autre chose. Comme les Romains et les Grecs antiques le savaient, cela sous-entend une origine ethnique commune, une histoire commune, des mœurs communes.
Et que l’on ne vienne surtout pas mêler la religion à tout cela. Une religion, soit selon l’étymologie : ce qui lie ou soude une communauté, n’aboutit jamais qu’à mieux la désunir, dès qu’une série de « profonds penseurs » vienne y mettre son grain de sel. L’Europe a déjà donné pour ce qui est des guerres religieuses. La seule chose à retenir de l’institution républicaine est le principe de la séparation des Églises et de l’État… avec en corollaire l’interdiction absolue de tout culte voulant dominer l’État.
Les extra-Européens sont les bienvenus comme touristes, stagiaires ou étudiants, au visa toujours temporaire, ne pouvant en aucun cas devenir citoyens d’un pays européen et destinés à retourner dans leur continent pour le civiliser (Afrique, Océanie) ou le faire prospérer dans les continents de vieille civilisation, comme la très respectable Asie.
La Nation française doit redevenir ce qu’elle fut toujours avant la folie du décret Giscard-Chirac sur le regroupement familial des immigrés et la démence mondialiste. Les honorables autochtones des Dom-Tom doivent jouir de leur pleine et entière indépendance (et si les Corses veulent leur indépendance, les Français pourront la leur donner par la même occasion… ça fera toujours des centaines de millions d’euros économisés annuellement par le Trésor Public, alimenté par le produit de nos impôts).
De la même façon, la Nation peut et doit signifier aux minorités beaucoup trop turbulentes (tels les homosexuels agités du bocal ou du reste) qu’en Démocratie, la Loi est par définition la même pour tous et qu’une majorité n’a pas à se faire imposer les caprices de minorités.
L’État n’est rien d’autre que le Bien Commun, dont parlaient Platon, Aristote ou Thomas Hobbes. C’est à l’ensemble des citoyens qu’incombent les grands choix dans la gestion de ce Bien Commun et la notion de Démocratie exige que « chaque voix compte »… donc le seul régime électoral démocratique est celui de la proportionnelle intégrale.
L’indépendance de la Nation française, formée exclusivement de citoyens de souche européenne, ne pourra être obtenue que par la stricte application des principes de la Démocratie : Égalité de tous devant la Loi et en matière de Droit électoral. Tout le reste n’est que fadaises pour rhéteur hypocrite.
Docteur Bernard
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