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  • Syrie : la tension monte entre la Turquie et la Russie

    Les forces kurdes de Syrie se sont emparées lundi de la plus grande partie d'un bastion rebelle dans le nord de la Syrie en dépit des bombardements de laTurquie, engagée dans une escalade verbale avec la Russie.

    La Russie, principale alliée du régime de Bachar el-Assad, a dénoncé les "actions agressives" de la Turquie qui s'apparentent, selon elle, à un "soutien non voilé au terrorisme international". Le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu a répliqué en accusant la Russie de se comporter "comme une organisation terroriste" en Syrie où elle mène, au même titre que les djihadistes du groupe État islamique des "attaques barbares contre la population civile". Si elle continue, "nous lui opposerons une riposte extrêmement résolue", a-t-il averti.

    L'armée turque a pilonné, pour le troisième jour consécutif, des positions des forces kurdes à proximité de la frontière syro-turque dans la province septentrionale d'Alep. Malgré ces tirs, les Kurdes continuent à progresser depuis l'ouest de la province après avoir conquis plusieurs localités aux mains de groupes insurgés, ainsi que de l'aéroport de Minnigh. Ils ont pris le contrôle de 70 % de Tall Rifaat, un des trois derniers grands bastions rebelles dans la province. Ils se sont emparés du sud et de l'ouest et les combats de rue faisaient rage lundi dans les nord et le nord-est de cette petite ville tenue par des islamistes soutenus par la Turquie et l'Arabie saoudite.

    Les Kurdes veulent relier les zones qu'ils contrôlent dans le nord de la Syrie afin de créer une région autonome unifiée, ce qui exaspère la Turquie, qui préfère s'en prendre aux Kurdes qu'à l'Etat islamique. Les Kurdes contrôlent les trois quarts des 800 kilomètres de frontière et avancent vers le territoire tenu par les membres du groupe État islamique dans l'est de la province d'Alep. Malgré les appels lancés par Washington et Paris à y mettre fin, la Turquie a prévenu que ces bombardements allaient se poursuivre, notamment pour empêcher les Kurdes de prendre Azaz, une ville située à une dizaine de kilomètres de la frontière.

    De son côté, l'armée syrienne encercle désormais presque totalement les quartiers rebelles d'Alep. Mgr Georges Abou Khazen, vicaire apostolique d’Alep en Syrie, s'inquiète.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/02/syrie-la-tension-monte-entre-la-turquie-et-la-russie.html

  • Angers : Le FNJ 49 à la rencontre des agriculteurs en colère!

    Hier, mercredi 27 janvier, Aurore LAHONDES, responsable du FNJ du Maine et Loire est allée à la rencontre des agriculteurs manifestants devant la préfecture. Elle a pu discuter et questionner la moitié des personnes présentes.

    Elle est allée demander pourquoi ils étaient présents ce soir-là, et quelle était la cause de la révolte agricole. Elle souhaitait obtenir une réponse directe, sans le prisme déformant des médias subventionnés par le pouvoir : ce que les journalistes n’évoqueraient pas.

    La manifestation était organisée par deux syndicats, les JA (jeunes agriculteurs) et la FNSEA, les plus importants syndicats agricoles Français. « Au départ, je n’étais pas forcément la bienvenue, ces syndicats étant souvent affiliés à l’ex UMP. Mais après quelques échanges, l’accueil fut favorable : Nos amis agriculteurs avaient enfin une oreille pour les écouter sans opportunisme aucun ».

    Aurore a pu ainsi se rendre compte du désarroi des agriculteurs : « A bout, ils m’ont raconté que quoiqu’ils fassent ils perdraient au minimum 10 000 € chacun cette année. Les solutions proposées cet été par le président Hollande ne servant à rien puisqu’aucun d’entre eux n’en avait vu la couleur. »

    « Ils m’ont expliqué que le problème venait du fait qu’on leur demandait d’aligner leurs prix sur le marché européen mais qu’on ne leur donnait pas les moyens pour le mettre en œuvre. » Ces agriculteurscroulent sous les normes à respecter que certains autres pays européens n’ont pas à subir.

    Aurore continue à questionner, on lui expose « qu’en Espagne les agriculteurs ont le droit de doper les bêtes trop maigres avec des hormones, qu’en France personne ne le sait et que les agriculteurs Français ne peuvent pas lutter contre ça. »

    Mais, « Même si on les laissait utiliser ce genre de méthodes, ils n’en voudraient pas afin de préserver la qualité des produits que l’on trouve dans nos assiettes. »

    Pour nos amis agriculteurs deux solutions sont possibles pour sortir de cette impasse :

    • Soit la France reste dans l’Union Européenne et il faut que tous les pays lissent les normes pour garantir une vraie compétitivité, mais forcément la question se pose alors de la qualité des produits. Remarquez qu’avec l’arrivée du traité transatlantique mieux vaut ne pas se poser la question de ce qui se trouve dans nos assiettes, traité qui signerait d’ailleurs sans aucun doute possible la mort de tous nos petits agriculteurs.
    • Soit, et c’est la deuxième solution, La France sort de l’Union Européenne, ce machin technocratique : Privilégier la production française aux autres. Il n’y aurait ainsi plus ce couperet qui pèse si lourd sur nos agriculteurs ainsi ils pourraient vivre de leur travail en garantissant aux consommateurs la qualité qu’ils méritent.

    « Pourtant ils ont bon cœur nos agriculteurs, ils voudraient pouvoir embaucher, faire appel à des gens extérieurs qui dépendent de leurs filières, ils voudraient pouvoir prendre des apprentis et partager leur savoir. » poursuit Aurore,  « Cependant ils ne peuvent pas, n’ayant même pas les moyens de se verser un salaire. Ce soir-là ils ne demandaient pourtant pas grand-chose devant cette préfecture, théâtre de leur colère, seulement pouvoir vivre de leur travail. Et encore ils ne voulaient pas beaucoup, la plupart demandaient 800€ par mois comme salaire, pour qu’on leur donne l’envie de continuer le travail de la terre.

    Il y un an encore la tonne de lait valait 380€, elle tourne aujourd’hui autour de 250€. Cependant, vous l’avez sans aucun doute remarqué, le prix n’a pas le moins du monde baissé en magasin, ce serait plutôt le contraire ! Le problème vient des entreprises de transformation et des grandes surfaces qui préfèrent augmenter leurs marges plutôt que de faire vivre nos agriculteurs.

    Aurore a entendu de la bouche de tous qu’ils ne voulaient plus d’aides : Ils veulent tirer un salaire de leur travail, et qu’ils soient reconnus pour ça, ils ne supportent plus cet état de dépendance dans lequel l’état Français les a plongés.

    Le constat est sans équivoque, les agriculteurs demandent une refonte totale du système agricole qui est aujourd’hui invivable pour eux.

    Aurore conclu « Pour finir j’ai été remerciée par des agriculteurs ne partageant pas les opinions frontistes, pour m’être déplacé, pour les avoir écoutés, parce que les politiques n’écoutent plus leurs citoyens et que le front national était dans la rue avec eux ce soir-là ».

    Alors aujourd’hui au nom de la France et de ses citoyens malheureux, Aurore demande aux gouvernants de se tourner vers la rue, de regarder ce qui s’y passe et pour le bien des Français d’écouter les cris de douleurs qui se multiplient !

    http://fn-49.fr/2016/01/28/angers-le-fnj-49-a-la-rencontre-des-agriculteurs-en-colere/#more-1310

  • Pour sauver l’agriculture, il faut arrêter les mesurettes et engager le bras de fer avec Bruxelles

    Les mois passent et personne ne voit le bout de la crise terrible qui lamine l’agriculture française. Totalement dépassé par une situation qu’il n’a pas su anticiper et qui devient de plus en plus explosive sur le terrain, le gouvernement ne connaît qu’une seule recette : annoncer des plans et des mesures d’urgence. Qu’importe si aucun des plans annoncé depuis un an n’a atteint ses objectifs : le prix du porc, soit disant négocié à 1,40 euro par M. Le Foll, est au plus bas, à 1,10 euro ; les aides attribuées représentent des sommes dérisoires et n’arrivent qu’à une minorité…

    La baisse des cotisations sociales annoncée par François Hollande est certes un bonne chose, mais elle ne changera pas les fondamentaux de la crise. Les énièmes négociations avec la grande distribution et les industriels relève par contre de la sinistre plaisanterie. Pourquoi ces derniers, libres de se fournir à bas prix n’importe où dans l’UE et ailleurs, respecteraient-ils des accords qui n’ont aucune base juridique ?

    Comme l’ont rappelé les élus du Front National Edouard Ferrand, Philippe Loiseau et Gilles Pennelle lors d’une conférence de presse le 8 février dernier, il faut aller beaucoup plus loin. S’attaquer aux racines de la crise, c’est d’abord engager le bras de fer avec l’Union européenne afin d’obtenir rapidement la levée des sanctions contre la Russie, l’étiquetage obligatoire de l’origine de tous les aliments, des sanctions contre le dumping social entre pays membres ainsi qu’une abrogation de la directive détachement des travailleurs qui permet à l’Allemagne et l’Espagne d’exploiter à bas coût des centaines de milliers de travailleurs étrangers. Il est également indispensable de revoir la PAC 2014-2020 qui, dénuée de toute mesure de régulation efficace, représente un réel danger pour l’avenir de notre agriculture. Et, afin de ne pas aggraver encore plus une situation déjà dramatique, de mettre fin aux négociations du TTIP, ce traité de libre-échange transatlantique qui signerait la mort de nos filières d’élevage.

    http://fn-49.fr/2016/02/12/pour-sauver-lagriculture-il-faut-arreter-les-mesurettes-et-engager-le-bras-de-fer-avec-bruxelles/#more-1431

  • Elle dénonce les islamistes : elle est condamnée à mort

    Source : Boulevard Voltaire
    Elle a reçu sur sa boîte émail le message suivant : « Le décret est tombé. Vous êtes condamnée à la peine capitale. »

    Laurence Marchand-Taillade est membre du PRG et présidente de l’Observatoire de la laïcité du Val-d’Oise (rien à voir avec l’organisme qui a presque le même nom et qui est dirigé par Jean-Louis Bianco, l’Observatoire du Val-d’Oise lutte réellement contre les atteintes islamistes à la laïcité !).

    Elle a dénoncé publiquement la venue de trois prédicateurs sulfureux au congrès de l’UOIF à Lille, prédicateurs qui avaient soit tenu des propos antisémites, soit préconisaient de tuer tous les homosexuels, y compris les enfants victimes de satyres ! La polémique a obligé les organisateurs à décommander les orateurs suspects. Madame Marchand-Taillade est allée également le 6 février au rassemblement de l’UOIF qui se tenait porte Maillot. Elle souhaitait y porter la contradiction, mais elle a été vite expulsée par le service d’ordre dès qu’on l’a reconnue.
    Elle a reçu sur sa boîte mail le message suivant : « Le décret est tombé. Vous êtes condamnée à la peine capitale. C’est désormais une question d’heure (sans “s ” à la fin). »

    Cet e-mail a été envoyé par l’intermédiaire d’un site islamiste (dont le nom, en arabe, signifie parti de la libération !). S’agit-il d’une menace en l’air, proférée par un fanatique isolé qui veut s’amuser à faire peur, mais n’a pas l’intention de passer à l’acte, ou de quelque chose de plus sérieux qui émanerait d’un groupe terroriste structuré et décidé à faire taire tous ceux qui s’attaqueraient à l’islamisme ?

    Difficile à dire. Mais il est certain que cette violence est inévitable. Nous avons affaire à des fascistes, à des personnes qui veulent imposer par la force la charia en France. Quiconque se dresse contre eux devient automatiquement un ennemi à abattre. Pour l’instant, on en reste (heureusement !) aux mots, mais bientôt les actes suivront ! Et ce n’est pas l’État en pleine déliquescence qui nous protégera !

    La petite musique des « collaborateurs » se mettra alors doucement en route : « Elle l’a bien cherché » ; « voilà ce qui arrive quand on est islamophobe », répéteront-ils en boucle. Nous avons déjà entendu cette chanson après les attentats contre Charlie Hebdo. Elle deviendra vite assourdissante !
    Le combat contre l’islamisme débute. Il sera rude et, au vu des élus qui sont presque tous des « capitulards », peu nombreux seront les combattants qui oseront se lever contre la terreur religieuse. Pour l’instant, madame Marchand-Taillade est heureusement sous haute protection policière. Mais pour combien de temps ?

    Christian de Moliner
    Professeur agrégé et écrivain

    http://fr.novopress.info/198303/denonce-les-islamistes-condamnee-mort/#more-198303

  • Chômage: le cuisant échec de Hollande qui le disqualifie pour 2017

    E SCAN ÉCO – Pour inverser la courbe du chômage en 2016 et pouvoir se représenter à la présidentielle, le chef de l’État ressort les mêmes dispositifs éculés qui n’ont jamais fait leurs preuves.

    Il ferait mieux de s’inspirer des bonnes pratiques des pays étrangers qui, eux, ont fait reculer le chômage à coup de réformes radicales.

    Et pourtant «La lutte contre le chômage reste ma première priorité» a rappelé François Hollande, 31 décembre 2015

    Ainsi le chômage a encore augmenté en décembre, et sur l’ensemble de l’année 2015. L’inversion de la courbe, promise au bout d’un an dès l’été 2012 par François Hollande, reste donc une chimère, un vœu pieu. Certes, 2015 restera comme la moins mauvaise des cinq dernières années et le président de la République a beau jeu de répéter, inlassablement, que «la reprise, elle est là mais elle est encore trop fragile» pour garantir l’inflexion, que Myriam El Khomri juge contre toute attente bien «réelle». Les quelque 3,9 millions de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie A en France entière au 31 décembre dernier et les 86.200 nouveaux de 2015 ne seront certainement pas de cet avis.

    Répétant que non, décidément non, «on n’a pas tout essayé» contre le chômage, que nous propose l’exécutif ? Un cocktail improbable de promesses de réforme (et notamment la réécriture en deux ans d’un Code du travail «devenu illisible» au fil des ans) et de mesures de traitement social du chômage qui ont démontré leur inefficacité sur le long terme (mise en formation de chômeurs, prime à l’embauche dans les TPE, relance de l’apprentissage…).

    Si chacun de ces dispositifs avait un effet à long terme, ça se saurait, non ? Surtout, on n’aurait pas battu 6 fois (sur 12) en 2015 le record absolu du nombre de chômeurs en catégorie A à Pôle emploi en France entière (dom. inclus). Et François Hollande, qui ne cesse de ressortir les mêmes cartes de sa manche pour tenter désespérément d’inverser la courbe du chômage, n’aurait pas 718.000 demandeurs d’emploi en plus à son passif depuis qu’il a été élu à la présidence de la République en mai 2012.

    Surtout, le chef de l’État fait pire en 44 mois de mandat que son prédécesseur détesté en cinq ans de quinquennat: 16.318 chômeurs de plus en moyenne chaque mois, contre 13.455 sous Nicolas Sarkozy, la crise internationale de 2008 – qui avait fait plonger le PIB de la France de 3% l’année suivante – en moins… Une honte pour celui qui avait fait campagne sur le rejet de son adversaire et son bilan, notamment en matière de chômage, catastrophique.

    La curée est d’autant plus crasse lorsque l’on compare le triste résultat de la France en 2015 avec ceux de ses principaux concurrents européens:

    – 104.000 en Allemagne,
    – 239.000 au Royaume-Uni,
    – 354.200 en Espagne,
    – 479.000 en Italie.

    Et qu’ont fait ces pays pour si promptement inverser leur courbe du chômage ? Ils ont flexibilisé leur marché du travail, en assouplissant les conditions de licenciement, en créant de nouveaux contrats de travail plus agiles – pour utiliser le nouveau terme à la mode -, en durcissant les conditions d’indemnisation…

    Bref, ils ont fait ce que la France se refuse à faire, ou alors simplement par petites touches. Certes le Royaume-Uni a lancé les contrats «zéro heure», qui sont le summum de la flexibilité, le salarié sous contrat restant chez lui à attendre que son employeur l’appelle pour travailler; certes l’Allemagne est le champion quasi toutes catégories du temps partiel et bénéficie d’une démographie «avantageuse» qui fait que chaque emploi créé profite à un chômeur…

    Alors le chômage risque bien de baisser en 2016, afin de permettre à François Hollande de se représenter en 2017. Mais pas à cause d’un vent porteur de libéralisme, venu des pays avoisinants. Non, la courbe risque de se retourner statistiquement grâce à l’utilisation, à hautes doses, du traitement social du chômage, et notamment de la mise en formation forcée de quelque 500.000 chômeurs de plus cette année. En formation sur des «métiers d’avenir» qu’il reste bien entendu à définir, ou sur «des métiers en tension» dont on sait qu’ils sont bien moins nombreux que ce que le gouvernement l’affirme.

    A défaut de leur assurer une employabilité qui leur permettra de rebondir, ces stages serviront avant tout à faire baisser provisoirement le nombre de chômeurs inscrits en catégorie A. Mais attention au retour de bâton en 2017: si ces chômeurs envoyés par charters entiers dans des centres de formation ne trouvent pas d’emploi à l’issue de leurs 4 à 6 mois de formation, ils reviendront grossir les rangs de la catégorie A. Et ce, dès le début de l’année 2017, en pleine campagne présidentielle… Un président averti en vaut deux, dit-on.

    Marc Landré, 1/02/2016

    Source : Le figaro.fr – Le ScanEco

    http://www.polemia.com/chomage-le-cuisant-echec-de-hollande-qui-le-disqualifie-pour-2017/

  • Pour 2017, Le Front national envisage de se financer de nouveau à l'étranger

    LE SCAN POLITIQUE - Malgré ses bons scores électoraux, les banques rechignent toujours à prêter au parti de Marine Le Pen, en conséquence notamment du rejet des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy après 2012.

    À l'approche de chaque élection, c'est la même angoisse pour les trésoriers des partis politiques: comment trouver, garantir et rembourser les fonds nécessaires pour mener campagne? Un problème récurrent pour les candidats qui sont parfois contraints de trouver leurs fonds à l'étranger comme ce fut le cas pour le Front national en 2014. Le parti de Marine Le Pen s'était adressé à une banque russe, la First Czech Russian Bank (FCRB) basée à Moscou, pour trouver 9 millions d'euros. Comme révélé par Europe 1 ce mardi, la question se pose à nouveau, un an avant la présidentielle et les législatives de 2017, mais cette fois les sommes nécessaires sont trois fois plus importantes. Contacté par le Scan, le trésorier Wallerand de Saint-Just confirme que le Front national envisage à nouveau de s'adresser «à des banques étrangères, et pourquoi pas russes», pour trouver au minimum 27 millions euros qui doivent servir à financer les deux échéances.

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  • Le FN menacé par l'État islamique, séminaire du FN, Général Piquemal, remaniement ministériel…