Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 58

  • Le gouvernement interdit désormais les manifestations des opposants politiques

    Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a annoncé mercredi l’interdiction de toutes les manifestations pouvant provoquer “des troubles à l’ordre public” à Calais (Pas-de-Calais), alors que la branche française du mouvement anti-islamisation Pediga comptaitdéfiler ce week-end dans le centre-ville.

    J’ai demandé à la préfète [sic] du Pas-de-Calais de procéder à l’interdiction de toutes les manifestations, quels que soient leurs organisateurs, qui sont susceptibles d’occasionner des troubles à l’ordre public”, a indiqué Bernard Cazeneuve. Le ministre de l’Intérieur a également précisé que l’interdiction concernait “tous ces groupes qui appellent à la tension, à la division et à la violence” et qu’elle durera “aussi longtemps que le climat actuel demeurera”.

    (source Europe 1)

    Le gouvernement français s’arroge donc le droit de déterminer quelle manifestation légalement déposée est politiquement légitime. Un recul spectaculaire des libertés fondamentales en France.

    http://www.contre-info.com/le-gouvernement-interdit-desormais-les-manifestations-des-opposants-politiques

  • Qui finance donc les « no borders » ? Des « anarchistes » à la solde de l’oligarchie

    En prenant le risque d’être accusés de paranoïa et de succomber à la théorie du complot nous prenons la responsabilité de soumettre à nos lecteurs ce document troublant qui converge singulièrement avec de multiples signaux qui nous ont déjà alertés par le passé. Oui, le délitement constaté des nations européennes sert des intérêts puissants. Des puissances financières économiques et politiques au service d’un « ordre d’outre Atlantique » sont évidemment impliqués dans cette manipulation.
    OD

    Depuis quelques jours, et notamment depuis l’altercation qui a opposé une famille de Calaisiens et un groupe hétéroclite de migrants et d’activistes politiques (dont certains affiliés au NPA), impossible de ne pas entendre parler, que ce soit via les médias traditionnels ou via l’Internet et les réseaux sociaux, des « no-borders ».

    Lire la suite

  • Pour le maire de Bad Schlema, en Allemagne, les fautives, ce sont les petites filles de 10 ans

    Quand bien même leurs dirigeants décideraient de réduire l’invasion migratoire, cela ne changerait strictement rien au sort réservé aux peuples européens. La preuve : ils sont maintenant sommés de se plier aux comportements les plus abjects de certains étrangers. La scène se passe à Bad Schlema, en Allemagne, petite bourgade de 5.500 habitants dans laquelle ont élu domicile 85 migrants.

    Lors d’une réunion municipale, un homme, grand-père, laisse éclater sa colère. Sa petite-fille n’en peut plus : sur le chemin de l’école comme en cours d’éducation physique, elle se fait harceler par des enfants de demandeurs d’asile. Et, à juste titre, il s’inquiète de ce qu’il adviendra, les beaux jours venus, quand les petites filles seront plus légèrement vêtues : « C’est facile, elles n’ont qu’à pas aller les provoquer dans ces endroits-là ! » lui rétorque le maire, tout de go.

    Lire la suite

  • Marion Le Pen / Estrosi : tiendront-ils 6 ans ?

    Lu dans Minute, le dernier échange tendu entre les 2 élus régionaux de PACA :

    "[...] Vendredi dernier, donc, le paroxysme a été atteint lorsque Christian Estrosi a repris la parole après Marion Maréchal-Le Pen qui venait de fustiger le caractère profondément anti-démocratique du conseil régional-bis que celui-ci entend mettre en place pour récompenser ses nouveaux amis de gauche. Perdant toute sérénité, le Président de Paca a alors osé :

    « Le seul fait que vous ayez rappelé aujourd’hui que ce que vous portez au fond de vous-même, dans ces gènes que vous vous êtes transmis familialement, cette sorte d’antisémitisme qui vous a conduit à refuser Une vie, le livre de Simone Veil, m’amène à me réjouir. »

    C’est ce qu’on appelle un sacré dérapage ! D’autant que des régimes où l’on rendait des gens responsables de leurs gènes, cela ne rappelle pas d’excellents souvenirs… Plus calme que l’ex-sarkoziste néo-socialiste, Marion Maréchal-Le Pen a réclamé une suspension de séance :

    « On va demander une suspension de séance car je crois que vous avez besoin de vous détendre un petit peu, de reprendre un petit peu vos esprits, sur ce qu’il est autorisé de dire à la présidente du groupe d’opposition. »

    Les échanges ont en fait continué à peu près sur la même tonalité… Un journaliste local commentait dans les couloirs de l’hôtel de région : « Ils ne feront pas six ans comme ça, c’est impossible ». Reste donc à savoir qui cédera en premier. Pas Marion Maréchal-Le Pen, qui entend porter plainte contre Christian Estrosi pour sa saillie sur les gènes."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Ces Français pauvres, moins bien traités que les immigrés illégaux qui affluent

    Le 21e rapport annuel sur l’état du mal-logement en France de la Fondation Abbé-Pierre s’inquiète de « l’aggravation » de la situation. 

    . 900 000 personnes « privées de logement personnel »

    .  141 500 personnes « sans domicile »

    . 17 929 personnes logées dans un des 582 bidonvilles référencés comme tel par la Délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement (Dihal)

    . 85 000 personnes logées dans des « habitations de fortune »

    . 2,9 millions de personnes logées dans des conditions « très difficiles » (manque de confort, surpeuplement, promiscuité, etc.)

    .  1 % des logements sans eau courante, douche ni WC

    . 1,9 million de logements sans chauffage central

     Les Français vivant dans la précarité ne sont-ils pas suffisamment nombreux pour que les autorités et les œuvres de bienfaisance se soucient d’abord d’eux avant de prétendre accueillir, nourrir, loger et entretenir une masse d’immigrés ?

    http://www.medias-presse.info/ces-francais-pauvres-moins-bien-traites-que-les-immigres-illegaux-qui-affluent/48543

  • PEGIDA à Dresde, bastion de la Résistance allemande - PEGIDA in Dresden, Hauptstadt des Widerstands

  • Rappel : MoreCowBells Nouvelles révélations sur les pratiques de la NSA

    Un an et demi après le début des révélations d’Edward Snowden, on croyait tout savoir sur la surveillance massive de l’Internet par l’agence de renseignement américaine, la fameuse National Security Agency (NSA). Or les découvertes se poursuivent. 
    Le Monde et le site Internet allemand Heise ont pu consulter un nouveau lot de documents confidentiels montrant que la NSA s’attaque de façon massive et systématique au DNS (Domain Name System), qui gère les répertoires de noms à l’échelle mondiale. 
    Sur Internet, tout ou presque commence par une requête vers un nom de domaine. Les serveurs DNS, « postes d’aiguillage » indispensables, reçoivent les demandes de connexion sous forme d’adresses formulées en langage compréhensible par un humain (par exemple « lemonde.fr »), puis ils trouvent le numéro Internet (IP) correspondant, lisible par les machines (195.154.120.129). 
    Les fournisseurs d’accès et les grands organismes possèdent leurs propres serveurs DNS internes, mais pour s’assurer que les noms sont toujours valides, ils doivent rester en liaison permanente avec les grands « serveurs racine » situés au sommet de la pyramide, qui centralisent les répertoires pour le monde entier. Il existe aujourd’hui treize groupes de serveurs racine. Ils sont gérés par douze organismes, dont neuf sont américains (le département de la défense, la NASA, des sociétés privées, des universités…). 
    Par ailleurs, l’attribution et la vente des noms de domaine sont supervisées par l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (Icann), une association installée en Californie et qui est placée sous la tutelle du département du commerce américain. 
    Les numéros IP « en chiffres », correspondant aux adresses « en mots », sont gérés par l’Internet Assigned Numbers Authority (IANA), un organisme rattaché à l’Icann et qui travaille en liaison avec l’agence fédérale NTIA (National Telecom and Information Administration). A noter que la NSA collabore officiellement avec la NTIA, en matière de cryptographie. 
    Le gouvernement des Etats-Unis a annoncé qu’il souhaitait réduire son rôle au sein de l’Icann avant la fin 2015, mais les modalités de ce transfert de pouvoir restent à définir. 
    Enfin, pour les organismes qui ne veulent pas ou ne peuvent pas se payer leur propre serveur DNS interne, il existe sur Internet des serveurs intermédiaires gratuits et libres d’accès. 
    A nouveau, les principaux appartiennent à des sociétés américaines comme Google, qui collecte ainsi des masses de renseignements sur l’origine et la destination des connexions Internet dans le monde entier. La surveillance systématique du DNS, système ouvert, ne pose donc pas de problèmes théoriques complexes, mais elle nécessite des moyens humains et matériels importants. 
    A ce paysage déjà très américain, il faut ajouter la NSA. Les documents consultés par le site Internet allemand Heise et Le Monde décrivent un vaste programme spécialement consacré à l’espionnage du système des noms de domaine, baptisé « MoreCowBells » (Davantage de cloches à vaches). 
    A l’origine, « More Cow Bells » est le titre d’un sketch musical datant de 2000, diffusé par l’émission satirique hebdomadaire « Saturday Night Live » diffusée sur la chaîne de télévision américaine NBC. Par la suite, le sketch est devenu culte, notamment sur la Toile. En choisissant ce nom, les fonctionnaires de la NSA ont peut-être voulu montrer qu’ils avaient de l’humour, et qu’ils appréciaient la culture populaire jeune et branchée. 
    MoreCowBells a plusieurs fonctions. C’est d’abord un outil de « surveillance passive ». Dans ce cadre, il sert à cartographier les réseaux internes de grandes entreprises, d’administrations et d’organismes divers. 
    Pour espionner les serveurs DNS, la NSA leur envoie en continu des rafales de demandes de connexion. Elle utilise pour cela un outil baptisé « Packaged Goods » (marchandises emballées), un réseau international d’ordinateurs clandestins qui, en apparence, n’ont aucun lien avec le gouvernement des États-Unis. Les machines visant spécifiquement les grands serveurs DNS sont installées, notamment, en Malaisie, en Allemagne et au Danemark. Au total, elles les interrogent plusieurs milliers de fois par heure, 24 heures sur 24. Les résultats sont envoyés au quartier général de la NSA toutes les quinze à trente minutes. 
    Les demandes de connexion se font avec des adresses fictives mais plausibles. Celles-ci sont fabriquées à partir de listes de mots-clés figurant fréquemment dans les adresses à usage interne des serveurs Web et email, des bases de données, etc. – généralement des noms barbares, impossibles à deviner directement, et qui ne sont publiés nulle part. 
    Ainsi, de proche en proche, MoreCowBells parvient à reconstituer un annuaire assez complet des adresses valides d’un réseau d’entreprise ou d’administration. Puis, pour chaque adresse, il va chercher le numéro IP correspondant. Certains serveurs facilitent d’ailleurs sans le vouloir la tâche de la NSA. Quand ils reçoivent une demande pour une adresse qui n’existe pas, ils renvoient un message d’erreur accompagné de deux suggestions – les deux adresses valides les plus proches, par ordre alphabétique… La constitution de « l’annuaire » devient ainsi assez aisée. Contactée par Heise, la NSA a répondu qu'elle ne faisait "« aucun commentaire sur ses activités spécifiques supposées en matière de renseignement à l'étranger »"
    Par ailleurs, des documents révélés par Edward Snowden en 2013 ont montré que la NSA intercepte directement le trafic Internet circulant sur certains câbles internationaux, et participe secrètement à la gestion de nœuds de communication appartenant au secteur privé. Dans le flot de requêtes DNS banales adressées à une entreprise (www.companyX.com), MoreCowBells pourra ainsi relever celles qui semblent les plus intrigantes (par exemple « deepstorage.internal.companyX.com »), et les mémoriser, afin de les exploiter plus tard. 
    Selon les nouveaux documents consultés par Le Monde, MoreCowBells sert en priorité à surveiller quasiment en temps réel "« des sites Web de gouvernements étrangers, des forums terroristes et extrémistes, des sites de téléchargement de logiciels malveillants… »" 
    La surveillance vise même des sites américains "« dans le cadre d’une demande d’assistance émanant du département de sécurité intérieure »". L’objectif est de les défendre contre une attaque venue de l’étranger. Plus généralement, la NSA se trouve ainsi en possession d’une masse de « métadonnées » techniques sur le trafic Internet global, qu’elle pourra croiser avec d’autres types de métadonnées collectées par ses autres programmes de surveillance : qui communique avec qui, quand, combien de fois, etc
    MoreCowBells sert également à préparer des offensives de la NSA visant à pénétrer ou à perturber un serveur ou un réseau étranger. Par exemple, il va détecter un service créé par une entreprise à l’usage exclusif de ses employés, mais qui est en fait accessible depuis l’extérieur car il a été mal configuré : pour un hacker expérimenté, équipé de logiciels d’attaque, le service devient alors une porte d’entrée vers l’ensemble du réseau de l’entreprise, qui pourra être piraté de diverses façons. 
    Enfin, quand une attaque est déclenchée, l’interrogation des serveurs DNS va servir à évaluer son efficacité en temps réel. Grâce à MoreCowBells, la NSA saura si le service attaqué continue à fonctionner ou s’il a été coupé. S’il a été déplacé vers un autre serveur par mesure de protection, elle va le repérer à nouveau, ce qui permettra de reprendre l’attaque. 
    Par petites touches discrètes, l’Agence nationale de sécurité (NSA) des Etats-Unis a confirmé la véracité des révélations faites par Edward Snowden et les médias américains depuis 2013. 
    Dans un article publié en janvier 2015 par la revue de mathématique américaineNotices, Michael Wertheimer, le directeur de la recherche de la NSA, reconnaît ainsi que l’agence a tenté d’imposer à la communauté internationale l’usage d’un algorithme de cryptographie qui était piégé ; son générateur de nombres aléatoires composant les clés de chiffrement contenait une porte dérobée qui permettait de prévoir les chiffres générés, et donc de casser facilement des clés pourtant réputées inviolables. 
    S’adressant à ses pairs de la communauté des mathématiciens américains, Michael Wertheimer s’est livré à un début de mea culpa inhabituel : "« Rétrospectivement, la NSA aurait dû cesser de promouvoir l’algorithme dual EC_DRBG dès que les chercheurs en sécurité ont découvert la possibilité d’une porte dérobée. »" Puis il a qualifié de "« regrettable »" la décision de continuer à soutenir l’usage de ce générateur faussement aléatoire. Pour l’avenir, il a affirmé que "« nous serons plus ouverts et plus transparents à propos de nos contributions à l’élaboration de normes cryptographiques »"
    Cela dit, en matière de collecte d’informations personnelles et de respect de la vie privée des citoyens, Michael Wertheimer réaffirme que la NSA est presque irréprochable : "« Les algorithmes de la NSA éliminent approximativement 99,998 % des données auxquelles elle a accès… Après ce processus de filtrage, les données restantes doivent remplir des conditions très strictes avant d’être sélectionnées pour traitement et analyse. »" 

  • Les homosexuels "mariés" votent... FN

    Selon une étude du CEVIPOF :

    "Malgré l’opposition farouche, à défaut d’être unanime, du Front national et des Républicains au mariage pour tous, une majorité des personnes interrogées ayant voté aux élections régionales et ayant bénéficié directement de celui-ci s’est prononcée pour ces partis. À agglomération de résidence, âge, éducation et revenu par unité de consommation équivalents, l’avantage du PS parmi les couples mariés homosexuels en comparaison des couples mariés hétérosexuels existe mais demeure faible alors que les bénéficiaires du mariage pour tous sont systématiquement moins enclin à voter pour le PS que les couples homosexuels non mariés. Par conséquent, force est de conclure que, dans ce cas, tenir une promesse électorale - l’adoption du mariage pour tous -nn’a pas été suffisant, dans le présent contexte, pour fidéliser cet électorat. Réciproquement, la question des droits des homosexuels ne constitue manifestement pas, pour cette partie de l’électorat gay, le déterminant direct du comportement électoral. Paradoxalement, cela peut être interprété comme un signe de succès du mariage pour tous. En effet, si ce dernier visait à normaliser la place des homosexuels dans la société, les couples homosexuels témoignent bien, d’un point de vue électoral, d’une forme de normalisation politique. À défaut de pouvoir expliquer la plus forte propension des répondants masculins des couples homosexuels à voter Front national par la présence avérée de certains d’entre eux au sein de la direction frontiste, par le ralliement spectaculaire de certains activistes gays au FN ou par la discrétion de Marine Le Pen sur le mariage pour tous et sa mise en avant de la défense de la laïcité, on ne peut que souligner une convergence entre ces phénomènes. Là, comme ailleurs, le FN réussit manifestement le tour de force d’agréger des électorats aux antipodes : à la fois une proportion importante d’un segment électoral a priori peu disposé à le soutenir– les couples homosexuels et les parties les plus homophobes de l’électorat français qui le soutiennent depuis le milieu des années 80."

    Il y a peut-être une autre raison : les personnes homosexuelles ont plus de raisons de craindre le déferlement migratoire. Mais ce n'est que mon avis...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html