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  • Islam : les radicalisés ne l'ont pas été tout seul sur internet

    6a00d83451619c69e201bb08b500f0970d-250wi.pngContrairement à une idée reçue, les musulmans radicaux ne basculent quasiment jamais en pianotant seuls sur leur ordinateur. Le déclencheur est dans 95 % des cas lié à un contact humain, selon l'Unité de coordination de la lutte antiterroriste.

    Il y aurait 8250 individus radicalisés identifiés en France. Et puis il y a ceux qui n'ont pas encore été identifiés.

    Michel Janva

  • Bernard Monot présente le Bulletin économique du Front National - 29/01/2016

  • Salaires, assistanat et fierté du travailleur

    Indépendamment de l’énorme problème du chômage en Occident, nos maîtres commettent une énorme série d’erreurs psychologiques, qu’une étude de l’histoire moderne aurait pu éviter.
    L’homme, moderne ou antique – c’est tout un -, a toujours aimé se considérer comme un être efficace, productif : un individu de valeur. Du moins essaie-t-il de s’en persuader et d’en persuader ses proches. Pour obtenir ce résultat, il y eut longtemps la valeur guerrière –dévalorisée depuis quelques lustres, mais son heure de gloire reviendra et probablement plus vite que l’on croit en Occident. Il y eut toujours « le pain quotidien », de nos jours avec beurre et confiture, viande et barres chocolatées etc., gagné par le père de famille ou la mère célibataire, nouveauté de notre époque.
    Or, depuis les débuts de l’ère mondialiste, nous en sommes revenus à une époque de bas salaires. Après défalcation du loyer – ou du prêt immobilier -, de la part de dépenses alimentaire (de nouveau croissante, alors qu’elle avait nettement chuté durant les années 1960-1995), des coûts en carburants et services – toujours plus variés et jugés « indispensables » -, du renouvellement des vêtements et chaussures, enfin des impôts, il ne reste guère de fonds pour de quelconques économies… c’est d’ailleurs le but de nos maîtres : obtenir une consommation intégrale du produit des salaires et allocations diverses.
    Pour compenser chômage et salaires insuffisants à la vie de consommation, l’État redistribue une part de plus en plus grande du produit des taxes et des emprunts en allocations diverses. Et tout semble fonctionner, sans autre mouvement social que les fiestas pluriannuelles et les émeutes raciales, moins fréquentes, des fruits pourris de l’immigration extra-européenne.
    Tant que les caisses sociales fonctionnent (quel qu’en soit le mode de financement), tant qu’il n’existe pas de mouvement insurrectionnel – par exemple déclenché par une guerre de races ou de religions -, le désordre profond des mentalités n’apparait pas… mais il n’en existe pas moins.
    En 1918-19, les ouvriers allemands jouissaient depuis les années 1890 des meilleures lois sociales de la planète, mais les salaires réels n’avaient absolument pas bougé durant les 25 années qui avaient précédé la Grande Guerre, alors même qu’explosait la croissance industrielle et commerciale du IIe Reich. Une guerre perdue, même avec panache, suffit à les précipiter dans la sottise marxiste.
    Une excellente législation sociale et des œuvres de bienfaisance (le patronat allemand était réellement de type paternaliste sous Guillaume II) ne remplacent jamais ce que l’on gagne par son labeur. La fierté humaine exige, intuitivement ou explicitement, que soit reconnue la valeur du travail fourni, en quantité et en qualité : c’est la notion de juste salaire. Un grand industriel, Henry Ford – le Ier de la lignée –, avait compris cette profonde vérité psychologique.
    Nos politiciens ont cru acheter, à coup de milliards d’unités de compte, la paix sociale dans les sites d’immigration extra-européenne massive. On savait, dès la fin de la décennie 1980,
    que c’était un échec… très prévisible : la fierté des bons-à-rien était offensée par les subventions et allocations, tandis que le chômage de longue durée – qui ne faisait que refléter leur totale inadéquation au marché de l’emploi – ternissait leur image de marque, face à leurs proches et à leur miroir.
    Les bas salaires représentent une forme identique de dépréciation des travailleurs, d’autant que, mois après mois, les réseaux sociaux voués à l’information claironnent les superbénéfices engrangés par certaines sociétés multinationales – et personne ne s’intéresse à celles qui stagnent ou sont en déficit. Le contraste entre le médiocre ratio : salaire/travail fourni (ou estimé fourni) et la bonne santé d’un nombre plus ou moins grand de multinationales forme un cocktail explosif, qui demeure stable tant que les conditions d’embrasement social ne sont pas réunies.
    Morosité et absence d’avenir sont les pires ingrédients sociaux. Ils deviennent réellement explosifs quand les parents estiment que l’avenir de leur(s) enfant(s) risque d’être pire que leur présent.
    Nos maîtres sont peut-être des champions de la spéculation et de l’exploitation du travail humain et non-humain. Ils manquent néanmoins de connaissances historiques et de subtilité.

    Docteur Bernard Plouvie

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVuuyEupEgnOppnFB.shtml

  • Jubilation pour « la fin de l’homme blanc »

    Il en est qui le nient, crient au fantasme, traînent en justice ceux qui osent dire qu’il est en cours et que c’est le plus grand phénomène de l’histoire – je veux parler, bien sûr, du Grand Remplacement ou, de manière moins littéraire, du génocide en cours des peuples de souche européenne. Il en est qui s’en réjouissent ouvertement. Sous le titre « La fin d’une époque… pour les mâles blancs », David Rothkopf, rédacteur en chef du magazine américain Foreign Policy, y a récemment décrit en propres termes, avec précision et jubilation, tous les aspects du processus.

    « Les hommes blancs, relève d’abord Rothkopf, ont eu un grand succès. De l’essor des Grecs à la naissance des grands empires occidentaux, ils ont contrôlé une grande partie du monde ou cherché à le faire. L’histoire est très largement le résultat des décisions prises par les hommes blancs qui étaient au pouvoir ». Heureusement, tout cela est en train de s’achever. Rothkopf énumère les facteurs de ce « grand tournant de l’histoire mondiale ». C’est, d’abord, l’essor « des grandes civilisations non-blanches », en Asie et en Afrique, tandis que « les sociétés qui avaient donné à l’homme blanc sa plus grande influence dans le monde – celles de l’Europe et des États-Unis – ont du mal à maintenir leur influence dans le monde ». Dans ces mêmes sociétés occidentales, les droits des femmes s’imposent, après « des millénaires de répression ». Surtout, « les flots de réfugiés et de migrants ont transformé la démographie des sociétés ».
    « Il en résulte que le statu quo qui datait de plusieurs millénaires va connaître un bouleversement. Rien qu’en Europe, l’afflux des migrants et des réfugiés est déjà en train de produire des changements démographiques irréversibles – un grand mélange des cultures. Aux États-Unis, d’ici le milieu de ce siècle, l’ancienne population majoritaire sera une minorité. La majorité, selon les démographes, sera non-blanche. À cette date, l’Europe comprendra des masses de populations d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Asie.
    C’est-à-dire que, en 2050, ce seront les hommes blancs qui cocheront la case “autre” sur les formulaires de recensement ». Les peuples concernés, du reste, le sentent bien. Les hommes et les femmes politiques, en Amérique et en Europe, qui s’opposent à l’immigration de masse, doivent tout leur succès « à une reconnaissance culturelle croissante, quoiqu’inconsciente, que ce qui a été la classe ethnique la plus privilégiée du monde n’a plus longtemps à vivre ».

    Rothkopf se fait lyrique pour célébrer « les merveilleux avantages » de ce qu’il appelle « la diversité » – « chaque vague de sang neuf et d’idées nouvelles ». « Certainement, conclut-il, nous ne devons pas, ne serait-ce qu’un seul instant, déplorer la fin de l’âge de l’homme blanc, car il y a du moins une lueur d’espérance qu’arrivera bientôt l’âge de “tous” » – de tous sans les Blancs.

    Faut-il voir là une aberration individuelle de l’idéologie « progressiste », poussée jusqu’à ses plus folles conséquences ? Faut-il y reconnaître plutôt, selon la thèse, célèbre et très discutée aux États-Unis, de Kevin MacDonald, une stratégie de groupe parfaitement rationnelle, par rapport aux intérêts de ceux qui la conduisent ?Rothkopf, ancien secrétaire d’État au commerce de Bill Clinton, membre de quantité de think tanks, n’est pas un antifa boutonneux. Il s’agit bien, en tout cas, de notre sort à nous – de notre extermination, de notre disparition de la face de la terre.
    Rothkopf, dans son exultation, n’a pu se retenir de nous jeter à la face le destin que le Système nous prépare.

    Flavien Blanchon

    http://fr.novopress.info/197747/jubilation-fin-lhomme-blanc/#more-197747

  • Les clivages soigneusement entretenus entre progressistes et conservateurs volent en éclat sur la GPA

    6a00d83451619c69e201b7c81044c2970b-320wi.jpgAude Mirkovic, maître de conférences en droit privé et porte-parole de l'association Juristes pour l'enfance, écrit dans Le Figarovox :

    "La tenue aujourd'hui à l'Assemblée Nationale des Assises pour l'abolition universelle de la maternité de substitution (GPA) est un des évènements récents qui manifestent combien les lignes et les fractures entres gauche ou droite, savamment entretenues pour donner l'illusion de l'existence d'un débat d'idées en France, sont en train de se fissurer et même de voler en éclat. 

    La manifestation d'aujourd'hui intervient à l'initiative de diverses associations féministes, dont l'objectif est de dire pourquoi cette pratique est intolérable et étudier les possibilités d'action en vue d'une abolition. C'est exactement et presque mot pour mot le but du mouvement lancé autour de la pétition «No Maternity Trafic», adressée par l'Union Internationale pour l'abolition de la gestation pour autrui au Conseil de l'Europe pour qu'il s'engage en ce sens. Cette union regroupe des associations nationales et européennes dont les plus connues en France sont Alliance VITA, La Manif Pour Tous ou encore l'Agence Européenne des Adoptés. Mais les termes de cette pétition auraient fort bien convenu aux signataires d'une initiative comparable, lancée à l'échelle internationale par des personnalités dites en majorité de gauche et visant à l'arrêt immédiat de la GPA, Stop surrogacy now!

    De droite, de gauche, du centre et de partout s'élèvent ainsi des personnes qui poursuivent un but commun: protéger la dignité humaine en dénonçant une nouvelle forme de traite des êtres humains cyniquement enrobée de bons sentiments, la gestation pour autrui, qui n'est rien d'autre que la location des utérus et l'achat des enfants. 

    Au-delà des clivages politiques dans lesquels certains feignent de trouver un contenu à leur absence de convictions, c'est une vision de l'être humain qui est en jeu. La question posée est claire: y a-t-il une limite à la réalisation des désirs des plus forts, des plus riches? L'être humain, et plus précisément les femmes et les enfants, peuvent-ils être utilisés comme moyens pour satisfaire ces désirs? 

    [...] le développement de la GPA, déplorable en soi, apparaît comme l'occasion d'une rencontre inattendue, voire inespérée, entre des personnes de tous bords soucieuses de promouvoir le respect de la dignité de l'être humain, de tous les êtres humains : des féministes de toujours qui constatent que la promotion à outrance de droits individualistes mène jusqu'à l'asservissement de femmes pour fabriquer des enfants pour les autres, les promoteurs de la famille décomplexés après s'être comptés par millions lors des grandes manifestations de 2013, en passant par des écolos qui réalisent qu'il est incohérent de rejeter les OGM de son assiette si c'est pour trafiquer des bébés dans des éprouvettes.

    Les cartes sont désormais redistribuées de façon assez intéressante et les clivages soigneusement entretenus entre progressistes et conservateurs volent en éclat sur ce sujet de la GPA. Ces rencontres surprenantes apportent la preuve réconfortante que la réalité, un jour où l'autre, transcende les partis et les tendances et qu'il est possible de parvenir à une même conclusion frappée du coin du bon sens par des chemins pourtant fort différents. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Entretien avec Renaud Camus : « Le réensauvagement de l’espèce est en marche »

    L’ONU vient de publier un rapport sur les « migrations de remplacement ». Selon l’Organisation, « le concept de migration de remplacement correspond à la migration internationale dont un pays aurait besoin pour éviter le déclin et le vieillissement de la population qui résultent des taux bas de fécondité et de mortalité ». Cela rejoint votre idée de « Grand Remplacement » ?

    Ce rapport n’est pas le premier. Il y a très longtemps que l’ONU et ses commissions tournent autour du concept de remplacement, ce qui évidemment me fait bien rire, mais jaune, alors que je me fais traiter, y compris par certains de nos amis, de complotiste et d’illuminé. Le point de vue de l’ONU empile deux aberrations, dont la première est au moins une grave erreur d’appréciation et la seconde une monstruosité morale.

    La première est la conviction qu’il faut enrayer le déclin démographique des populations et le vieillissement qui l’accompagne nécessairement. Or, l’un et l’autre, surtout le premier, sont la sagesse même. Toutes les politiques écologiques qui prétendent sauver la Terre sans tenir compte de la désastreuse explosion démographique sont un vain et ruineux bavardage. Les peuples les plus développés, dans leur tréfonds, sont bien conscients de cette donnée-là et évolueraient naturellement, si l’immigration d’abord, l’invasion migratoire ensuite, n’intervenaient pas, vers une décroissance démographique naturelle et modérée, parfaitement raisonnable, et qui ne menacerait en rien leur existence, d’autant qu’eux-mêmes n’ont jamais été si nombreux. Cette légère décroissance entraînerait, c’est vrai, un inévitable vieillissement de la population, auquel on a parfaitement les moyens de faire face, qui n’implique en rien le moindre empêchement de faire des enfants ou la disparition de la jeunesse mais qui pourrait, n’était la Grande Déculturation, être l’occasion d’un progrès de la vie de l’esprit.

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  • L’indemnisation chômage au bord de l’implosion

    Alors que le nombre de chômeurs n’a jamais été aussi haut, les partenaires sociaux sont priés de trouver des économies. Vite, car le système menace d’imposer sous le poids de la dette.

    Le gouvernement aux abois met la pression sur les partenaires sociaux pour trouver des économies dans le régime d’indemnisation chômage. L’UNEDIC croule en effet sous le poids de ses 8,1 milliards d’euros de déficit. Sa dette a doublé en cinq ans et devrait atteindre 29 milliards d’euros d’ici la fin de l’année.
    En cause, la fameuse courbe du chômage qui n’a cessé de flirter avec les records, négatifs bien sûr. Rien que sur les deux dernières années, ce sont 280.000 chômeurs supplémentaires qui ont dû être pris en charge et l’on compte 3,59 millions de demandeurs d’emploi sans activité en métropole fin 2015.

    Alors qu’il revient aux partenaires sociaux de définir le mode d’indemnisation des chômeurs, la ministre du Travail Myriam El Khomri s’invite dans le débat pour remettre sur la table une option controversée, la dégressivité des allocations. « Cela fait partie des choses qui seront discutées par les partenaires sociaux », a renchéri Michel Sapin, ministre des Finances. Emmanuel Macron, ministre de l’Économie en a remis une couche en précisant que « la dégressivité » des allocations chômage faisait partie des options « dont les partenaires sociaux auront à discuter ».
    Les règles d’indemnisation arrivent à échéance le 1er juillet. Syndicats et patronat, qui se retrouvent autour du 20 février pour négocier la prochaine convention, sont pour une fois unanimes : que le gouvernement nous laisse négocier en paix.

    L’option de la dégressivité des allocations chômage, déjà expérimentée avant entre 1992 et 2001, n’a pas démontré son efficacité : en septembre 2001, une étude de l’Insee a conclu qu’elle avait ralenti le retour à l’emploi, indépendamment de la conjoncture économique. À la CFDT, Véronique Descacq tacle la mesure « La dégressivité pourrait avoir un effet incitatif dans une période de plein emploi, mais avec notre chômage élevé, c’est humainement stupide et économiquement un non-sens ».

    Aujourd’hui, les demandeurs d’emploi bénéficient d’une allocation fixe (environ 57 % de l’ancien salaire brut, 70 % du net) tout au long de leur indemnisation (pour un montant moyen de 1 057 € net par mois fin 2014), qui peut durer jusqu’à deux ans, et trois ans pour les seniors, avant de basculer dans le régime de solidarité financé par l’État. Un système qui est supposé généreux, mais seuls quatre chômeurs sur dix (43,1 %) sont actuellement indemnisés, une proportion en net recul, rappellent les syndicats.

    À défaut de favoriser l’emploi, le gouvernement en est donc réduit à faire pression sur les partenaires sociaux pour faire des économies. Bercy a prévu, avant même de connaître l’issue des négociations, que l’assurance chômage devait économiser 800 M€ cette année. Une contribution réclamée au régime des chômeurs, pour réduire le déficit public de la France à 3,3 % du PIB et montrer patte blanche à Bruxelles. Le risque, pour le gouvernement, serait que les négociateurs se déchirent sans aboutir, laissant à Manuel Valls le soin de prendre la main pour décider, lui-même, d’un tour de vis aux chômeurs à quelques mois de l’élection présidentielle…

    http://fr.novopress.info/197722/lindemnisation-chomage-au-bord-limplosion/#more-197722

  • Au sujet du coup de poignard infligé à l'institut Civitas.

    Une fois de plus, la mouvance est lâchement attaquée. Cette fois ci, c'est l'institut Civitas qui est lâchement attaqué. Alain Escada, président de Civitas a besoin d'aide.
    Dès que j'ai su le fait, j'ai par sympathie, immédiatement adhéré à Civitas. J'invite le lectorat à faire de même ou à faire un don
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    Civitas: le site
    Philippe Delbauvre (Voxnr)
    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVukEAulkSLpVCiCn.shtml