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  • Déjeuner-débat avec Roger Holeindre à Ailly-le-Haut-Clocher (80) samedi 23 avril 2016

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    A l’invitation du Parti de la France, dont il est le Président d’Honneur, et du NON (au changement de peuple et de civilisation), Roger Holeindre, Président du Cercle National des Combattants, militant historique de la droite nationale, sera, samedi 23 avril à 12h30, à Ailly-le-Haut-Clocher dans la Somme (entre Amiens et Abbeville) pour un déjeuner-débat où il dédicacera également ses livres.

    La participation aux frais est de 25 € (payable sur place)

    La réservation est obligatoire au 07.81.69.58.73 ou davidmartin280574@gmail.com

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/dejeuner-debat-avec-roger-holeindre-a-ailly-le-haut-clocher-80-samedi-23-avril-2016_156703.html#more-156703

  • Déchéances

    Il y a quatre mois, sous le choc des attentats parisiens du 13 novembre, députés et sénateurs réunis à Versailles entonnaient la Marseillaise et applaudissaient chaleureusement François Hollande à l’issue de son discours ou il se prononçait pour la déchéance de la nationalité française à l’endroit des binationaux terroristes. Une mesure certes symbolique, prônée de longue date par le FN, plébiscitée par les Français mais qui a vite suscité l’émoi et l’hostilité d’une partie de la gauche et de la droite reprenant très vite ses vieux réflexes politiciens. La raison avancée par les opposants, outre quelques arguties juridiques, certes parfois non dénuées de fondements d’un strict point de vue technique, était principalement le refus, la peur de stigmatiser l’autre, l’étranger. Pour tenter d'arracher le vote des trois cinquième  des parlementaires, étiage nécessaire pour toute modification de la Constitution, Manuel Valls a pourtant même été jusqu’à vider cette mesure de sa substance, en faisant disparaître toute mention des binationaux.

    Hier, salué par les tweets emphatiques au style pompier de Christiane Taubira, François Hollande, prenant acte de l’incapacité des députés et sénateurs à se mettre d’accord, a annoncé l’abandon de la déchéance de nationalité. Les Français eux sont consternés devant ce spectacle. Une nouvelle incarnation de l’impuissance, des atermoiements de politiciens, qui du Front de Gauche à LR, discutent du sexe des anges dans Byzance assiégée, dans une Europe dont les frontières craquent sous la pression de millions de  migrants, frappée en son cœur par le terrorisme, où les mini-Kosovo se multiplient…sur fond de campagne gouvernementale contre le racisme des méchants blancs-de souche-autochtones…

    Le site d’Europe 1 reprenait une analyse partagée par la plupart des médias : «En politique on n’est jamais mort, et surtout pas François Hollande» , mais « Dans les couloirs du Palais on murmure que le président de la République est fini. (…) L’abandon de la déchéance est vécu à l’Élysée comme le coup de grâce d’un chemin de croix de quatre mois. Révision constitutionnelle enterrée, remaniement mal orchestré, loi El Khomri mal maîtrisée. Trois échecs, et un seul responsable : François Hollande.»

    Pour autant, «paradoxalement, la candidature de François Hollande en 2017 n’a jamais été aussi probable, pour ne pas dire certaine. Pourquoi ? Parce que ses concurrents, Martine Aubry, Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, les frondeurs tous ont une certitude : la gauche sera défaite en 2017. Selon un sondage du Cevipof paru jeudi dans Le Monde, l’ensemble de la gauche ne pourrait cumuler au premier tour que 33% des voix au maximum (et Marine Le Pen est présente au second tour dans tous les cas de figure, NDLR). Un score désastreux. Certes, un sondage est la photographie d’un instant T, mais là c’est la photo d’une déroute annoncée.»

    Déroute qui est aussi celle d’une certaine justice. Mercredi soir le procureur de la République de Paris, François Molins annonçait que l’arrestation jeudi dernier à Courbevoie (Hauts-de-Seine) de Reda Kriket, mis en examen pour des infractions criminelles en relation avec une entreprise terroriste, a certainement évité des attentats imminents. La perquisition de « l’appartement conspiratif » de ce dernier à Argenteuil (Val d’Oise), a permis la découverte de passeports français volés, et du matériel nécessaire pour confectionner des bombes : détonateurs, explosifs, acide, milliers de billes d’acier pour mutiler et déchiqueter les chairs plus sûrement…

    Notons que notre pays dans sa grande générosité a accordé la nationalité française à Reda Kriket, comme à Miloud F., un Franco-Algérien, déjà condamné pour ses liens avec al Qaïda et Aqmi. Celui-ci a été mis en examen en novembre et son arrestation cet automne en Turquie a permis à la la DGSI de démanteler cette cellule. Autre pion dans ce dispositif, un autre ami de Reda Kriket, Anis Bahri, qui comme lui a un passé de délinquant de droit commun converti au djihadisme en Syrie. Bahri avait été condamné deux fois par la cour d’assises de Paris pour des vols avec violence. Ses trois hommes ont à chaque fois été relâchés à l’issue de peines à l’évidence trop courtes et pas assez dissuasives, maintenus sur le territoire national…

    Dans son livre, qui vient de sortir, Tout ce qu’il ne faut pas dire, évoquant «30 ans de manque de courage politique, et de mollesse des gouvernements», le général de corps d’armée, directeur de la gendarmerie Bertrand Soubelet souligne souvent avec justesse les inquiétantes faiblesses de l’Etat  aux conséquences dramatiques. Il écrit par exemple qu’ «en 2009, sous la pression conjuguée des politiques, de la CNIL et de certains groupes de pression, la gendarmerie a été contrainte de détruire en urgence son fichier alphabétique, dans toutes ses unités de France. (…) Personne ne peut dire aujourd’hui combien de nos actuels djihadistes figuraient dans ces fichiers…»

    On se souviendra que le général Soubelet avait été soutenu par le FN quand il avait osé décrire, dans une audition filmée devant une commission de l’Assemblée nationale en décembre 2013,  l’état des lieux peu rassurant de la sécurité en France, ce qui lui avait valu certains déboires.

    Dans un entretien accordé à Paris-Match, mis en ligne le 28 mars sur le site de l’hebdomadaire, le militaire prend cependant bien soin de hiérarchiser ses peurs :«( je ne suis) Pas du tout d’extrême droite » confie-t-il. « Je me retrouve même parfois davantage dans les idées de gauche que de droite. Et quand je constate qu’aux dernières régionales, six millions de français ont voté FN, cela me glace le sang.»

    Ce qui glace surtout le sang des Français affirme Bruno Gollnisch, ce sont les menaces et les impuissances  décrites par ce général.  Il est tout aussi inquiétant que son  sang se glace quand des millions de nos compatriotes, tirant notamment les conclusions de ce qu’il condamne, se saisissent de l’arme du vote pour réclamer le retour d’un Etat fort, stratège, souverain, assurant pleinement ses fonctions régaliennes; pour dire leur refus de disparaître, de courber l’échine, pour clamer leur fierté nationale leur goût de la liberté.

    La guerre est une chose trop grave pour être confiée à des militaires affirmait Clemenceau dans une célèbre boutade. La réflexion vaut certainement aussi pour la politique. Fort heureusement,  il existe des exceptions heureuses, sachant aussi que la grande muette ne partage pas toujours, très loin s’en faut, une frilosité politiquement correcte qui est aussi une déchéance.

    http://gollnisch.com/2016/03/31/decheances/

  • Autriche : un sondage donne le candidat du FPÖ au second tour de la présidentielle

    AUTRICHE (NOVOpress) : A un mois du scrutin, un sondage Gallup pour Österreich, réalisé du 22 au 24 mars 2016, donne Norbert Hofer, le candidat du FPÖ (Parti de la liberté) à l’élection présidentielle, deuxième avec 21 % des suffrages derrière le candidat écologiste Alexander Van der Bellen (25 %) et devant la candidate indépendante Irmgard Griss (19 %) rapporte Lionel Baland sur son blog. Le candidat social-démocrate (SPÖ) Rudolf Hundstorfer (17 %) est donné quatrième et le candidat conservateur/social-chrétien (ÖVP), Andreas Khol (13 %), cinquième.

    Cette enquête confirme les tendances indiquées par les autres instituts, qui donnent tous Norbert Hofer entre 18 et 22 % des voix, au coude à coude avec Alexander Van der Bellen et Rudolf Hundstorfer. S’il accédait au second tour, le candidat du FPÖ (Parti de la liberté) est donné perdant dans tous les cas de figure mais une étude lui accordait, début mars, 45 % des voix dans un duel face à au candidat écologiste.

    Le président de la République autrichienne, dont les pouvoirs sont limités, est élu au suffrage universel direct – comme en France – pour un mandat de six ans renouvelable une fois. Le premier tour de l’élection présidentielle doit avoir lieu le 24 avril prochain et le second tour, qui opposera les deux candidats arrivés en tête, est fixé au 22 mai.

    L’Autriche est actuellement présidée par le social-démocrate Heinz Fischer, qui avait été réélu en 2000 dès le premier tour avec 79,33 % contre 15,24 % à Barbara Rosenkranz, du FPÖ, et 5,23 % à un candidat du Parti chrétien d’Autriche. On s’achemine en tout vers un record pour le candidat du FPÖ, dont le candidat n’a jamais dépassé 16,9 % à une élection présidentielle, et c’était en 1980.

    http://fr.novopress.info/

  • La bourgmestre de Molenbeek préfère-t-elle les islamistes aux identitaires ?

  • Les derniers mots de l’officier russe mort en héros à Palmyre (Syrie) - Alexandre Prokhorenko

  • Henri Poincaré, « le dernier grand savant universel »

    Jules Henri Poincaré est né le 29 avril 1854 à Nancy et mort le 17 juillet 1912 à Paris. Il fut un mathématicien hors pair, physicien, philosophe et ingénieur. Il a réalisé des travaux d’importance majeure en optique et en calcul infinitésimal.

    Ses avancées sur le problème des trois corps en font un fondateur de l’étude qualitative des systèmes d’équations différentielles et de la théorie du chaos ; il est aussi un précurseur majeur de la théorie de la relativité restreinte et de la théorie des systèmes dynamiques. Enfin, il est aussi connu des physiciens pour ses études sur la stabilité du système solaire, mais aussi des cercles philosophiques pour ses réflexions sur les fondements des sciences.

    Les études de Poincaré sont brillantes: plusieurs fois premier prix au Concours Général, bachelier ès lettres, bachelier ès sciences. En Mathématiques Spéciales, il se lie d’amitié avec Paul Appell, qui deviendra lui aussi un très bon mathématicien. Reçu à l’École Normale Supérieure, et à l’École Polytechnique, il opte pour cette dernière.

    Sorti ingénieur des Mines, Poincaré se consacre toutefois à la rédaction d’une thèse de doctorat qu’il défend le 1er octobre 1879. Le 20 avril 1881, Henri épouse Louise Poulain d’Andecy, avec qui il aura 3 filles et un fils. Le couple s’établit à Paris car Henri vient d’être nommé maître de conférences à la Sorbonne. C’est le début d’une intense activité scientifique pour Poincaré.

    C’est en 1889 que le nom d’Henri Poincaré devient vraiment connu de tous. Il reçoit en effet le prix du roi Oscar de Norvège et de Suède, un passionné de mathématiques, pour un brillant mémoire sur le problème des trois corps.

    En physique proprement dite, il s’est notamment penché sur la polarisation de la lumière par diffraction, les ondes hertziennes et la théorie de Lorentz, où il préfigure certains aspects de la relativité restreinte. Il possède tous les éléments de cette théorie en 1904, à la veille des travaux décisifs d’Albert Einstein. Il adhère pleinement au principe de relativité comme loi générale de la nature. Mais, s’il s’approche des conceptions d’Einstein, il n’a pas l’audace nécessaire pour franchir le pas et nier par exemple la simultanéité absolue, à distance, des phénomènes.

    En 30 ans, il publie une trentaine de volumes, et près de 500 notes, articles ou longs mémoires. Ses travaux changeront totalement le paysage mathématique de son époque. Il crée notamment de toutes pièces la théorie des fonctions fuchsiennes, révolutionne l’étude des équations différentielles par ses études qualitatives de solutions.

    Poincaré était également un philosophe des sciences reconnu. Dans « La Science et l’hypothèse« , publié en 1902, il affirme le rôle essentiel du principe de récurrence. Plus tard, il interviendra dans la crise des fondements des mathématiques, s’opposant aux idées de Hilbert et de Russell. Le 28 juin 1909, il entre à l’Académie Française, privilège rare pour un scientifique.

    Bibmath, Le Larousse & les articles de Keswani dans The British Journal for the Philosophy of Science

    http://www.fdesouche.com/711213-ces-francais-extraordinaires-henri-poincare-le-dernier-grand-savant-universel

  • Établissements scolaires hors contrat : un signe de défiance envers l’école publique

    Les écoles hors contrat, confessionnelles ou non (environ 1.300 dont 300 confessionnelles), continuent leur extension.

    Si le Code de l’éducation précise que « l’instruction est obligatoire pour les enfants des deux sexes, français et étrangers, entre six et seize ans », il prévoit aussi que cette instruction peut être donnée dans des établissements privés ou dans les familles, à certaines conditions. Parmi les écoles privées, les écoles hors contrat, confessionnelles ou non (environ 1.300 dont 300 confessionnelles), continuent leur extension.

    Des inspections doivent, en principe, y être effectuées pour vérifier que l’enseignement dispensé n’est pas contraire à la morale, à la Constitution, ni aux lois, ou que les impératifs de salubrité et d’hygiène sont respectés. Selon Le Figaro du 29 mars, des inspections menées en novembre et décembre 2015 dans une vingtaine d’établissements hors contrat, dont la moitié musulmans, auraient révélé « la pauvreté pédagogique » des enseignements dans quelques écoles. Dans le collimateur : des établissements musulmans soupçonnés de contribuer à la radicalisation.

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  • RÉINFO DU 28 MARS 2016


    Au sommaire de ce numéro :

    • Le prélèvement à la source. L’impôt sur le revenu prélevé à la source, c’est le nouveau projet du gouvernement socialiste pour soi-disant faciliter la vie des Français. Une fausse bonne idée et une méthode mal ficelée qui va transformer les chefs d’entreprise en percepteur en les mettant en première ligne face aux contribuables. Un projet qui révèle bien, la réalité du courage de ce gouvernement.

    • Lettre ouverte sur le 19 mars 1962. La commémoration rendue officielle par François Hollande, du 19 mars, a fait sortir Roger Holeindre de ses gonds. Il s’est donc fendu d’une lettre ouverte, afin de lui rappeler la réalité d’une histoire que le président de la république semble avoir oubliée.

    • Focus sur les élections régionales allemandes. L’émergence d’un nouveau parti politique, l’AFD, en Allemagne a créé la surprise lors des dernières élections régionales allemandes. Malgré cet avertissement électoral incontestable, les dirigeants européens semblent rester sourds en s’enfermant dans un déni de réalité.

    • Situation en Syrie. Les troupes russes quittent la Syrie depuis le 15 mars. L’occasion pour nous, de faire le bilan de cette intervention et de revenir sur le travail diplomatique remarquable, dont a fait preuve la Russie.

    Et pour finir, l’actualité du parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Philippe de Villiers : « La France est dans une sorte d’assoupissement

    Philippe de Villiers a accordé au Rouge & Le Noir un long entretien dans lequel il revient sur l’incroyable rapatriement en France de l’anneau de Jeanne d’Arc. Il espère que ce morceau d’histoire saura réveiller la France chrétienne et inspirer au sein de la nouvelle génération des héros et des saints. 

    R&N : L’anneau de Sainte Jeanne d’Arc a été rapatrié en France récemment, grâce aux bons soins de la Fondation du Puy du Fou. Comment s’est déroulé ce rapatriement ?

    Philippe de Villiers : Le rapatriement s’est déroulé en deux parties. Il y a eu la mise aux enchères à Londres où se trouvaient en présence des compétiteurs américains, japonais, chinois, anglais, ... mais aucune institution française d’ordre spirituel ou d’ordre temporel.

    R&N : Comment expliquer cette absence de toute institution française ?

    Philippe de Villiers : Je pense que les grandeurs d’établissement ont toujours eu un problème avec Jeanne d’Arc. Je pense qu’il y a ceux qui l’ont livrée, ceux qui l’ont condamnée, ceux qui l’ont brûlée, ceux qui ont tenté de la faire oublier. Et donc aujourd’hui encore Jeanne d’Arc pose un problème. Tout simplement parce qu’elle sort du cadre de ceux qui ne croient qu’au spirituel et du cadre de ceux qui ne croient qu’au temporel ; puisqu’elle est dans l’histoire de France le plus beau et sans doute le seul trait d’union entre le ciel et la terre, ; puisqu’elle est guidée par ses voix. Ceux qui ne croient plus aux voix de Jeanne d’Arc, - et ils sont évidement dans les élites plus que majoritaires - n’ont aucune raison de se déplacer à Londres pour aller racheter ce qui est une relique, ce qui n’est qu’un objet du passé pour ceux qui ne croient plus au patrimoine spirituel et culturel français. D’ailleurs il y a là un signe parce que c’est quelque chose de traumatisant que de savoir que l’acquéreur est le petit Puy du Fou, une association loi 1901 à but non lucratif, sans moyens puisque nous ne sommes pas adossés à une collectivité publique - et encore moins à l’État - et que nous n’avons pas la caisse des dépôts derrière nous comme tous les autres parcs de loisirs, et que nous n’avons pas non plus d’actionnaires derrière nous. Il a fallu trouver 350 000€ et donc nous nous sommes cotisés, et notre fondation, la fondation Puy du Fou Espérance, a mis un peu de moyens. C’est la première étape. On a gagné l’enchère.

    Et puis l’anneau est revenu, et la deuxième étape fut la réception de l’anneau dans la cour du château du Puy du Fou, qui a été dessinée par Catherine du Puy du Fou, sur les plans du Primatice, le grand architecte italien. Et là il y a eu la grande cérémonie de dimanche, avec les saint-cyriens, avec la musique de « la Région Terre Nord-Ouest », et tous les Puyfolais. Ce fut une cérémonie émouvante, poignante et marquante.

    R&N : Vous avez justement fait cette annonce que les Anglais en réclament le retour ? Est-ce une demande purement administrative ou faut-il y voir une véritable volonté politique ?

    Philippe de Villiers : On a la réponse aujourd’hui ; c’est apparemment une question de formalité, mais dans le fond - les Anglais nous l’ont dit carrément, franchement - il s’agit de récupérer l’anneau pour le préempter et l’installer dans une institution muséale anglaise. Donc c’est assez étonnant de voir qu’en France on a parmi les élites, les historiens bourguignons, l’Université, les médias, et beaucoup d’autorités qui disent "non, non, ce n’est pas l’anneau de Jeanne d’Arc". Donc en France on doute, mais en Angleterre, ils veulent récupérer l’anneau de Jeanne. Et c’est d’ailleurs tout à fait intéressant de voir que, depuis dimanche, depuis que j’ai annoncé cela, il n’y a pas une autorité en France qui s’en est émue. Tout le monde s’en fout. Il faut que vos lecteurs sachent que nous ressentons au Puy du Fou une solitude terrible face à tous les assauts qui viennent de tous les cotés. [....]

    La suite sur Le Rouge & Le Noir

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Philippe-de-Villiers-La-France-est