Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 26

  • Brexit, la grande peur des eurobéats

    La stratégie de la peur est contre-productive.

    Pour persuader nos voisins britanniques de rester dans l'Union européenne, médias et politiques du monde entier multiplient menaces et prophéties apocalyptiques. Par le passé, cette stratégie n'a pourtant jamais influencé la vox populi, sinon en sens contraire... C'est ce que David Desgouilles a exposé avec talent et pertinence dans Causeur [29.04]. Nous partageons d'autant plus volontiers son analyse - reprise ici - que, selon nous, avec ou sans Brexit, la Grande Bretagne a toujours été, est et sera toujours de toute façon hors del'Union Européenne. Quel que soit son vote, le 23 juin prochain. Ce qui ne veut pas dire qu'il sera sans importance ni signification.  LFAR

    Le Brexit fait peur. Ou on nous fait peur avec le Brexit. Il y a quelques jours, le journal de France 2 nous concoctait un petit reportage comme il en a le secret. On nous annonçait l’Apocalypse au cas où les sujets de Sa Gracieuse Majesté décidaient de quitter l’Union européenne en juin prochain. L’OCDE, le FMI et tous les cabinets de consultants économiques qui ne se trompent jamais – d’ailleurs, tous ces gens avaient prévu la crise financière de 2008 - l’indiquaient avec force : le Brexit serait une catastrophe pour les Britanniques. Chute de la croissance, chômage, sécession de l’Ecosse, marginalisation de la City… La rédaction de France 2 est restée modérée ; elle n’a pas mentionné les invasions de criquets, les rivières de sang, les séismes et l’envahissement par les eaux de toute la surface de la Grande-Bretagne. Nous sommes habitués. En 1992 puis en 2005, alors que nous devions nous prononcer sur le Traité de Maastricht et le TCE, nous mangions de ce genre de reportage matin, midi et soir. Cela ne nous a pas empêchés de maintenir le suspense jusqu’au bout en 1992 et de dire Non massivement en 2005. Ce qui est curieux, c’est que France 2 et les autres tentent de nous convaincre, nous pauvres Français, alors que ce sont les Britanniques qui devront se prononcer. L’habitude, sans doute…

    Le week-end dernier, Barack Obama himself est venu faire la leçon à Londres. Voilà que le président américain manifeste son mécontentement devant la tentation du Brexit. Que ses cousins britanniques se le disent ! S’ils quittent l’UE, ils seront désavantagés dans les négociations commerciales du Traité transatlantique. Pourquoi ces menaces ? Les Etats-Unis craignent-ils de perdre leur fameux cheval de Troie au sein de l’Union européenne ? Ou redoutent-ils  la dislocation d’un ensemble qu’ils ont toujours couvé tant il leur paraissait docile ? Les menaces ne viennent d’ailleurs pas que de Barack Obama. L’immense Emmanuel Macron les a aussi menacés. Si les Britanniques votaient le Brexit, nous Français laisserions passer tous les migrants en Angleterre, a-t-il juré. Pourtant, le Royaume-Uni n’est  pas dans l’Europe de Schengen et c’est le traité bilatéral franco-britannique du Touquet qui établit les règles en la matière. Bien entendu, la France pourrait le dénoncer en mesure de rétorsion mais il s’agirait dans ce cas de représailles que notre gouvernement devrait assumer en tant que telles. Pourquoi faire mine de croire que le Brexit annulerait automatiquement les dispositions d’un traité en rien concerné par une sortie d’un des deux pays de l’UE ?

    On se demande si ces rodomontades peuvent avoir une influence réelle sur les électeurs. Si elles n’auraient pas au contraire un effet contre-productif. Car enfin, Les Britanniques n’ont qu’à regarder autour d’eux : la Norvège a beau ne pas appartenir à l’UE, cela en fait-il un pays à mi-chemin entre le Venezuela de Maduro et l’Albanie d’Enver Hoxha ? La Suisse est-elle à ce point isolée que son système bancaire est le moins attractif du monde et la place financière de Zurich, complètement marginale ? La récente renonciation de l’Islande à l’adhésion à l’UE lui a-t-elle causé des dommages  économiques ? Les partisans du Brexit ont beau jeu de leur rappeler ces faits incontournables. On explique souvent que les adversaires de l’UE jouent sur les fantasmes. En l’occurrence, à chaque référendum, d’Athènes à Amsterdam et de Paris à Londres, ce sont ses partisans zélés qui usent à l’envi de l’argument de la peur.

    Soyons généreux ! Donnons un conseil amical aux défenseurs la sainte construction européenne. Si jamais le Brexit advenait et qu’aucune des prévisions alarmistes ne se réalisait, à l’avenir, changez de tactique en cas de référendum français sur le sujet ! 

    David Desgouilles
    est blogueur et auteur du roman "Le bruit de la douche"

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/05/12/brexit-la-grande-peur-des-eurobeats-5800997.html

  • François Belliot - La guerre en Syrie la manipulation médiatique des médias français - Meta TV 2/3

  • FN : Marine Le Pen refuse la démission de Bruno Gollnisch

    Elle refuse sa démission :

    "Conformément au souhait exprimé par le Bureau Politique le 2 mai, Bruno Gollnisch a remis ce jour à Marine Le Pen sa démission du Bureau Politique. Dans un souci d’apaisement celle-ci l’a refusée.

    Marine Le Pen rappelle que si le combat pour la France nécessite l’union de tous les patriotes de bonne volonté, ce combat ne peut néanmoins être efficace et gagnant que dans le respect de la discipline, condition sine qua non de l’appartenance à un mouvement politique et particulièrement à ses instances dirigeantes.

    Quant à Marie-Christine Arnautu, membre du Bureau Exécutif du Front National qui constitue le gouvernement resserré du mouvement, celle-ci ayant refusé de se soumettre à la motion du Bureau Politique du Front national, elle sera convoquée incessamment devant les instances disciplinaires."

    Bruno Gollnisch considère que l'incident est clos :

    "À la suite de la divergence d’interprétation au sujet de ma participation aux cérémonies du 1er mai et dans un souci de conciliation qui a toujours été ma ligne de conduite à l’intérieur de mon mouvement, j’ai présenté ma démission du Bureau Politique du Front National à la Présidente Marine Le Pen, qui l’a refusée. Je considère donc que l’incident est clos en ce qui me concerne.

    Quant aux questions politiques que j’ai formulées précédemment, je les évoquerai dans le cadre de cette instance."

    Michel Janva

  • Le nabab élyséen serait-il en train de disjoncter ?

    Dr Bernard Plouvier

    Certes, il existe une procédure pénale visant à réprimer les « injures au chef de l’État ». Encore faut-il que le « chef » respecte l’État et qu’il respecte le seul maître de cet État, soit la Nation, seule souveraine. Car, si d’aventure, le « chef » ne respectait plus le souverain, il serait coupable du crime de lèse-Nation ou de forfaiture, au choix – c’est affaire de spécialiste.

    Immédiatement après les attentats de novembre 2015 (soit 10 mois après les premiers, ceux de janvier, tellement spectaculaires que leur retentissement avait été quasi-planétaire), le chef – avec un beau mouvement de (double)-menton -, nous place en état d’urgence. Rien à dire. On se sent dirigés et protégés.

    On s’attend à un referendum sur le rétablissement de la peine de mort pour les terroristes et leurs commanditaires, à une nuée de descentes de police dans les salles de prière-salles de sports de combat (c’est une spécialité musulmane-djihadiste), à l’expulsion vers leurs pays d’origine de dizaines de milliers d’islamo-agités, à une interdiction d’immigration pour les musulmans… en bref on s’attend à ces mesures d’autodéfense et de protection de la Nation souveraine.

    Et rien ne vient, hormis des attaques policières contre des initiatives de courageux Français opposés à l’islamisation de la patrie. Premier dysfonctionnement majeur du « chef » et de son sémillant premier ministre, qui n’aboie qu’à propos d’un inexistant « péril fasciste ». Messieurs recyclez-vous ! Le fascisme (celui que vous fantasmez) est mort depuis 1943 ou 1945, au choix.

    Vient 2016 et sa cohorte d’indices économiques épouvantables. Le chômage a dépassé (catégories A, B et C additionnées) les 5 millions d’individus. Par divers coups de baguette magique, on en rabaisse les chiffres, grâce à des stages, à des retards de réinscriptions sur liste, etc… Il suffit de faire chuter les chiffres de 30 000 à 40 000 dans une catégorie pour qu’aussitôt, notre nabab crie au recul significatif  et même que « tout va mieux », que lui et son gouvernement « ont redressé la situation de la France » !

    Or statistiquement, un recul de moins de 1% n’a aucune valeur, et d’autant moins qu’il n’est obtenu que par des artifices de calcul. Ce n’est plus du dysfonctionnement, mais de la désinformation – soit en termes clairs : un mensonge au peuple souverain. Crime de lèse-Nation.  

    1916-2016, l’on commémore le centenaire de l’extraordinaire débauche d’énergie patriotique dépensée par des Français pour défendre la terre de leurs ancêtres et des Allemands pour faire triompher leur cause. L’on aurait trouvé naturel qu’un orchestre allemand soit invité pour jouer des œuvres de compositeurs français et un orchestre français pour des œuvres germaniques. Non, c’eût été une solution trop européenne. Le nabab décide d’inviter un rappeur d’origine africaine qui, depuis des années, casse les oreilles de ses auditeurs en éructant ses vomissures de haine anti-française, épicée de racisme anti-Blancs !

    Là, notre nabab va trop loin. Il insulte la mémoire de nos aïeux. On ne sait trop où il a trouvé l’inspiration de ce concert fou à Verdun. Qu’il l’ait puisée au chevet de sa énième conquête (notre Adonis élyséen est tellement beau, svelte, sportif qu’il est effectivement taillé pour le rôle de Don Juan), dans la cocaïne ou le haschich (puisque, dans son bord, l’on envisage la dépénalisation de la toxicomanie), dans l’excès de voyages exotiques (car, on peut l’affirmer : il se sera beaucoup baladé « aux frais de la princesse » - au fait, la princesse, c’est le petit monde des contribuables)… bref, qu’il l’ait trouvée en consultant le marc de café ou sa madame Irma préférée, on s’en moque : Monsieur le chef de l’État a disjoncté.  

    Le crachat sur la mémoire des victimes de la bataille de Verdun mérite un examen psychiatrique.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • François Belliot - La guerre en Syrie la manipulation médiatique des médias français - Meta TV 1/3

  • Hé oh, la gauche !

    Quand Macron annonce qu’il veut sortir du vieux clivage gauche-droite, il ne fait que répéter une très vieille antienne que Bayrou a reprise en son temps. Mais alors il faut aller jusqu’au bout… et renier un régime qui ne vit que de la lutte des partis. Chiche !

    La France attend l’homme fort. Les sondages, d’ailleurs, confirment, chez les Français, le dégoût du régime et l’attente d’une solution énergique ; pour certains, elle est même militaire, voire monarchique : un chef, un seul, en qui il soit possible d’avoir confiance et qui remette de l’ordre. Cette aspiration est aussi simple qu’essentielle. Il n’est pas besoin d’être grand clerc ni expert en matières politiques pour comprendre cet appel que lance l’âme française aujourd’hui, comme elle le fit déjà dans le passé, de siècle en siècle, chaque fois que le pays traversait une période d’anarchie, subissait l’invasion, allait de désastre en désastre et ne se reconnaissait pas dans de faux chefs qui profitaient de la situation pour s’emparer du pouvoir et pour en abuser. Oui, il est rassurant de penser que 85 % des Français ne font plus confiance aux hommes politiques, aux partis, aux syndicats, aux médias, en un mot au système ; ce mot que tout le monde comprend et emploie tant il est significatif. Nous n’avons plus d’État, nous n’avons qu’un système.

    La république oligarchique

    Certes, ces Français qui protestent en leur for intérieur, ne sont jamais entendus ; cependant, ce sont eux qui font marcher la France effectivement, qui font tourner ses usines, ses commerces, son agriculture, qui livrent des produits remarquables à l’exportation dont le gouvernement peut encore se flatter – avions, navires, sous-marins de haute performance –, qui lui donnent une armée, une gendarmerie, une police qui, en dépit des méfiances et des inepties du régime, effectuent leur service au mieux de leur possibilité. Un général Soubelet qui se fait démettre de ses fonctions, est un cas typique. Dans aucune instance officielle ces Français, en tant que tels, ne sont représentés ou ne peuvent faire valoir leurs justes demandes. Politiquement ils n’existent pas. Partis et syndicats se sont emparés de tous les leviers de pouvoir, de la représentation et des organes de décision.

    On fait croire au peuple que l’élection est un choix ; c’est évidemment archi-faux ; c’est au mieux un exutoire, on dirait maintenant un défouloir. Et, en ce moment, en Europe comme en Amérique, en Autriche dernièrement, irrités par l’incurie de leurs gouvernants, les peuples s’essayent à récuser les élites officielles. Mais ces réactions sont toujours précaires et nul ne sait où elles mènent vraiment. Le jeu électoral, surtout en France, est tel qu’il n’est en fin de compte réservé qu’aux seuls dignitaires du régime ou à ceux qui y font allégeance. Le Conseil constitutionnel, d’ailleurs, contrairement aux principes démocratiques, vient de valider la réforme électorale qui privilégie les candidats du système. Il est impossible d’en sortir. Des coups de boutoir sans doute et tant mieux, mais, comme l’expérience l’a prouvé à toutes les générations, le régime finit toujours par l’emporter. C’est la seule chose qu’il sache fort bien faire : se défendre.

    Quel est donc ce régime qui permet à un Hollande de devenir chef de l’État ? Voilà la vraie question qu’il faut se poser. Quelle est cette moulinette qui transforme les opinions profondes des Français en bouillies électorales dont se nourrissent indéfiniment les partis du système ? Et qui donnent au final une représentation faussée ? Il y a au cœur du problème français une question d’institutions. Chacun le sait fort bien mais personne ne veut le voir ni le dire.

    Cependant, le rejet en est si total que les médias en dissimulent la violence. On feint de croire à l’importance de révoltes gauchardes, comme Nuit debout, qui s’essayent à récupérer l’insupportable malaise français, alors que la Manif pour tous, les Veilleurs, toutes les vraies révoltes du pays réel ont été constamment occultées et vilipendées. Alain Finkielkraut a appris à ses dépens la sordide réalité de cette chienlit. On met en scène les moindres revendications catégorielles – en ce moment les intermittents du spectacle, les cheminots – sans même attacher le moindre regard aux usagers des transports qui pâtissent tous les jours ni à ceux qui triment à longueur de journées pour tenter de survivre.

    La CGT, entre autres, ne représente plus rien, mais c’est elle qui fait la loi. Elle publie une affiche qui insulte les forces de l’ordre ; le gouvernement ne proteste même pas. L’Unef n’est qu’une misérable officine où se concoctent les carrières des futurs élus de la gauche qui y apprennent tout à la fois et « le baratin » à servir pour réussir dans le système et la manière de rafler les mises, y compris financières ; telle était déjà l’Unef dans les années 60 qui a donné les apparatchiks actuels du parti socialiste, telle elle est encore aujourd’hui. Toute cette engeance qui ne vit que de la société et qui s’est installée au chaud dans de belles places garanties et bien payées, s’adonne au jeu de la révolution permanente, mais qui ne va jamais jusqu’à les remettre en cause eux-mêmes… évidemment ! Il n’est pire conservatisme que celui des stipendiés de la révolution totalitaire !

    La fin du régime ?

    L’État n’est plus qu’une administration sans âme dont la lourdeur pèse d’un poids accablant sur le pays : 57 % de la richesse produite est accaparée par un monstre qui ne remplit plus les hautes fonctions régaliennes, mais qui se mêle de tout avec des ministères et des secrétariats d’État aux appellations grotesques. Plus aucune autorité ne se dégage des institutions. Le chef de l’État n’est plus rien qu’un sujet de dérision et qui s’imagine encore être quelqu’un ; quand il s’exprime en public, comme dans sa dernière « prestation » télévisée, il est toujours pitoyable, incapable de s’élever à la hauteur de son rang ; on dirait d’un maquignon content de lui et qui discute du bout de gras. Avec toutes les dernières aventures législatives où l’incohérence le dispute à la pitrerie, de la déchéance de nationalité à la loi El Khomri, il devient de plus en plus légitime de se demander à quoi servent les parlementaires quand on sait comment sont fabriquées et votées les lois ?

    Chacun ne pense plus qu’à son élection ou sa réélection. Stéphane Le Foll lance au service de son chef de parti son dérisoire « Hé oh la gauche ! ». Valls répand la manne de l’État sur la jeunesse pour acquérir ses voix, RSA et bourses à volonté, puis il saupoudrera de subventions et d’augmentations les catégories que la gauche voudrait récupérer. Déjà on annonce, sur un seul chiffre mensuel, la baisse du chômage. On parle de libéraliser le cannabis. Macron fonde En marche pour se mettre à part et se définir comme au-dessus des partis.

    Dans cette atmosphère délétère, on oublie l’état d’urgence qui sera pourtant prolongé ; les forces de l’ordre sont harcelées, moquées, épuisées. Les risques n’ont pas diminué : les attentats, les vagues migratoires que nul au niveau de l’État n’envisage vraiment dans leur ampleur, la crise économique et sociale, peut-être bientôt financière et monétaire. Qui sait ce qui restera de l’Europe dans un mois, dans deux mois ? L’Angleterre ? La Grèce ? L’Allemagne elle-même ? Une question se pose, de plus en plus évidente : la France peut-elle survivre avec un tel régime ?  

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • S’en prendre à la famille, c’est saper le fondement de notre civilisation

    Le député MPF Véronique Besse est interrogé par Le Rouge et Le Noir. Extraits :

    "Quel regard portez-vous sur la politique familiale du gouvernement actuel ?

    Quel regard voulez-vous que je porte ? Je suis navrée, je suis outrée, je suis scandalisée par la politique familiale du gouvernement qui n’en est d’ailleurs pas une. Il s’agit d’une politique anti-familiale tant les spécificités, la vocation, la raison d’être de la famille, ses besoins et ses attentes sont niés. Le rôle d’éducateur des parents est effacé au profit de l’État avec, par exemple, une scolarisation conseillée de plus en plus précoce. Est nié également, le rôle de transmission de la famille, notamment de transmission de valeurs.

    Il serait trop long d’évoquer toutes les mesures élaborées contre la famille, lors du quinquennat. Elles ne se comptent plus : double abaissement du quotient familial, baisse de la prime de naissance et de l’aide à la garde d’enfant, réforme du congé parental ou encore fin de l’universalité des allocations familiales… A cela, il faut ajouter cette grande « réforme de civilisation », pour reprendre les mots de Christiane Taubira : le mariage de personnes de même sexe avec les conséquences logiques que l’on connait, PMA, GPA, etc. S’en prendre à la famille, c’est saper le fondement de notre civilisation. C’est d’ailleurs bien pour cela que la famille, en tant que pivot de la société, est attaquée de toute part.

    La politique familiale est présentée comme voulant inciter à toujours mieux concilier vie professionnelle et vie familiale. Mais les couples ont-ils vraiment le choix quand il faut souvent deux salaires pour élever ses enfants, ainsi qu’un logement adapté à la taille de la famille (particulièrement dans certaines régions) ?

    Non, malheureusement, les couples n’ont plus le choix, pour toutes les raisons que l’on connait : prix de l’immobilier, baisse du pouvoir d’achat des familles, baisse de l’aide de l’État et des collectivités, etc. Et c’est bien pour cela qu’il faut une politique familiale qui soit une vraie politique familiale.

    Pour ma part, en Vendée, j’ai fait le choix avec mon équipe municipale de faciliter en priorité la vie des familles dans ma commune des Herbiers. C’est du concret : diversité des modes de garde, soutien aux parents dans leur rôle d’éducateurs, accès encouragé à la propriété avec la construction d’un lotissement communal pour les jeunes familles et une maîtrise du coût du foncier mais aussi, dans un tout ordre d’idée et de manière plus ludique, développement des activités de loisir à vocation familiale, d’aires de jeux, etc. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La fuite des Blancs des grandes villes européennes s’accélère

    EUROPE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : C’est un phénomène à l’échelle européenne, pourtant massif, sur lequel les médias du système sont curieusement peu loquaces : le « white flight » ou fuite des Blancs. Les classes moyennes blanches quittent un quartier lorsque celui-ci connaît un afflux de populations immigrées. En clair : au‑delà d’un certain seuil, l’immigration provoque brutalement le départ des Blancs.

    Au Royaume‑Uni, selon le recensement de la population, entre 2001 et 2011, 620 000 Blancs ont quitté Londres, soit 14 % ! Alors que dans le même temps, le nombre d’habitants de Londres s’est accru d’un million… Cette « fuite des Blancs » aggrave la séparation et la concentration ethnique. D’autre part, elle témoigne aussi du remplacement de population en cours. Les Blancs britanniques sont devenus minoritaires à Londres, avec seulement 45 % de la population en 2011 contre 58 % en 2001. Difficile de ne pas faire le lien avec l’élection de Sadiq Khan, nouveau maire de Londres, musulman d’origine pakistanaise…

    Pourtant, face à cet afflux massif des années 2000, l’immigration étrangère est devenue l’une des préoccupations majeures des Britanniques comme le montrent les résultats électoraux croissants de l’Ukip, le parti nationaliste britannique. Durant la décennie, la population d’Angleterre et de Galles née à l’étranger a augmenté de trois millions de personnes (+ 63 % !). Et l’aggravation de la crise migratoire depuis deux ans ne permet pas d’imaginer que ce phénomène de fuite des Blancs ait diminué…

    Ce phénomène existe aussi en France, en particulier à Paris. L’arrivée des populations étrangères a souvent dégradé la qualité de vie,  en proche banlieue, dans le nord et l’est de l’agglomération parisienne. Cela a entraîné le départ massif des populations actives blanches vers la grande banlieue, quand ce n’est pas pour d’autres régions, moins touchées. Ainsi, 180 000 personnes quittent l’Ile‑de‑France chaque année depuis 1995. Difficile d’évaluer la part des Français de souche, faute de statistiques ethniques, mais il s’agit en particulier de familles  d’actifs avec enfants.

    Cela rejoint le constat douloureux effectué dans le livre de Jean‑Yves Le Gallou,Immigration, la catastrophe (éd. Via Romana)…

    http://fr.novopress.info/

  • Moscovici-Ramadan, même combat !

    Quoi de plus normal de s’entendre dire que l’Europe n’est pas d’ascendance chrétienne ?

    Dans un monde où l’on fait semblant de découvrir, stupéfait, un lien entre l’eau et l’humidité, le feu et la chaleur, le gel et le froid, ou alors où l’on vous expose le contraire, que l’eau ne peut mouiller ni la flamme brûler, quoi de plus normal de s’entendre dire que l’Europe n’est pas d’ascendance chrétienne ? Il n’est écrit nulle part que Pierre Moscovici appartient à l’une ou l’autre loge, nous savons qu’il fréquenta Bilderberg et cela suffit pour le soupçonner d’être un fanatique défricheur identitaire, un extracteur de racines, un mondialiste démolisseur de murs, un pourfendeur de frontières, bref, un maçon européen, « Boa constructor » européen, enfant du serpent monétaire international.

    Bien sûr, Pierrot, bien sûr, un continent couvert de cathédrales, d’églises, de monastères et de tant de témoignages d’un passé chrétien ne peut être d’ascendance chrétienne.

    C’est vrai, en un sens, il a raison le Pierrot, les véritables racines du christianisme se situent au Moyen-Orient (on se calme, Pierrot, je ne vous parle pas du Grand Orient, je vous parle du vrai Orient).

    Lire la suite