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  • Déliquescence française

    Dr Bernard Plouvier

    Depuis le début des années 1970, il n’a pas existé de semestre dans la vie publique de la France sans que soient dénoncées la corruption ou les débauches sexuelles d’un élu. Au-delà des attaques ad hominem - parfois curieuses quand elles proviennent de concurrents politiciens qui sont rarement à l’abri de tout reproche -, il paraît utile de réfléchir au soubassement social des tares de nos glorieux élus.

    La corruption est aussi vieille que l’organisation des sociétés en États : Périclès et Jules César ont été largement accusés, en leurs temps, de puiser dans les caisses publiques. Pour la France, ni les régimes monarchiques (la monarchie de Juillet fut très corrompue), ni les deux Empires et moins encore nos cinq Républiques, n’ont été – ne sont – exempts de corruption… seul un vilain « révisionniste » oserait affirmer que l’État français dit « de Vichy » fut probablement le moins corrompu de toute notre histoire !

    Quant aux débauches sexuelles, force est de reconnaître que ce n’est pas à un vieux singe – comme peut être considérée, en certains domaines, l’espèce Homo sapiens sapiens dans son ensemble – que l’on apprend à faire des grimaces. Et si l’on a pris l’exemple des singes, c’est en raison de la perversité générale de leurs comportements sexuels ; les chiens eussent également fait l’affaire, mais guère les cochons, alors que, pour la vox populi, les frasques sexuelles des humains sont des « cochonneries ».

    Un élu ne vaut pas mieux que la majorité de ses électeurs. Et pour une excellente raison. Si les majorités électorales étaient composées d’individus de grande conscience éthique, ils n’éliraient nullement des candidats à « gueule de débauché » et moins encore les démagogues, faciles à débusquer grâce à leurs arguments, qui, toujours et partout, ont fourni les grosses cohortes de concussionnaires, prévaricateurs et autres trafiquants d’influence.

    En clair, si les Français étaient majoritairement honnêtes et vertueux, ils n’auraient jamais envoyé aux Parlements (français & européen) la kyrielle d’incapables, de malhonnêtes et de pervers que l’on connaît. De même, la liste des chefs de l’État porterait très certainement d’autres noms que celle enregistrée pour la postérité… et pour notre plus grande honte.

    Plutôt que de crier « Haro » sur des canailles et des crapules – et encore ne peut-on le faire qu’après l’évidence apportée par des preuves -, il est plus sain, plus efficace de faire notre examen de conscience national.

    L’esprit de jouissance individuelle l’a très souvent emporté sur le goût pour le travail et l’intérêt collectif. On l’a constaté au XVIIIe siècle, le réveil étant brutal, par le contact avec la dure réalité des bacchanales révolutionnaires. Le Second Empire fut une époque odieuse pour le prolétariat et une vie de noce pour une soi-disant élite qui conduisit la Nation à la raclée de 1870.

    Après le dernier grand sursaut national, celui de 1914-18 (absurde en valeur absolue, mais grandiose au plan de l’unité nationale), la Nation – envahie de trop de parasites, soit des immigrants venus s’enrichir rapidement, par tous les moyens, ou exercer leur capacité de nuisance sociale, à la différence des émigrés venus travailler honnêtement et s’intégrer à la société française – s’est laissée tenter par le mirage de l’État-Providence. Durant les années 1950-73, la Nation, encore européenne de fait, se montra de nouveau à la hauteur, honorant plus que jamais les valeurs du Travail et de la Famille.

    Le poison cosmopolite l’a, depuis, aveulie. Notre Nation s’est laissée imposer une propagande absurde, niaise, mollasse. Tiers-mondisme, féminisme et humanitarisme de pacotille ont fait passer une majorité de Français à l’état de veaux (version gaullienne) ou de porcs à l’engrais. Au XVIIIe siècle, l’on considérait que le peuple français était le plus spirituel de l’univers européen. De nos jours, il est devenu platement matérialiste et mou, très mou, tellement mou qu’il se laisse envahir, sans réagir notablement, par des hordes d’immigrés conquérants, mâles et dominateurs.

    Comment s’étonner, dans ces conditions que nos politiciens soient des « pourris » et « de gros dégueu… » ? Notre responsabilité est, sur ce point, aussi grande que pour ce qui est du déclin de la natalité autochtone ou de l’absence de lutte contre l’islam djihadiste. L’alternative est simple : la Nation française redevient dynamique et conquérante ou elle continue à se vautrer dans la bassesse.

    Ce ne sont pas les manifestants potaches avec leur mentalité de petits fonctionnaires, envisageant frileusement un médiocre avenir sous tutelle de l’État, non plus Providence, mais Cocon, qui vont diriger le mouvement de redressement national.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/05/11/deliquescence-francaise-5800347.html

  • Marie-Christine Arnautu dénonce les attaques contre la famille au Parlement européen [Vidéo censurée par le FN]

    Reconnaissance de la GPA, attaques contre l'Institution du mariage, adoption par les couples de même sexe : Marie-Christine Arnautu (FN) dénonce les atteintes à la famille qui mettent en péril nos enfants et notre avenir. 

    Addendum : cette vidéo, visible sur le site du FN (page en cache) a été censurée. Défendre la famille pose un problème au FN ?

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/05/marie-christine-arnautu-d%C3%A9nonce-les-attaques-contre-la-famille-au-parlement-europ%C3%A9en.html

  • À Montpellier, on entonne la Marseillaise ! #AbolitionGPA

  • Attaquer, oui, mais en tête ! par Gabriele ADINOLFI

    Que l’Institut Iliade non seulement existe, mais qu’il soit en unissant dynamisme et qualité, réussissant à impliquer des effectifs importants (ainsi, plus de mille participants payants lors d’une réunion tenue en avril 2016), est l’une des meilleures nouvelles de ces dernières années. 

    Une nouvelle tellement bonne que, dans l’édification du projet européen tripartite (think-tank,existentialisme militant et écomomie) que j’anime, j’ai tenu à affirmer immédiatement une volonté de collaborer de manière organique et dans le respect mutuel. 

    Iliade a, entre autres qualités, celle de concentrer les meilleures énergies et de leur donner une visibilité meilleure que celle qu’elles ont dans leur pays d’origine ou en Europe, comme c’est le cas pour l’Autrichien Philip Stein, dont le texte, résumé dans Il Primato nazionale, qui exprime une thèse que nous pourrions qualifier de « rupture », mais recoupant pleinement la ligne d’Iliade, sera publié en France dans la revueKrisis, très proche d’Alain de Benoist.

    Thèse de rupture, disions-nous, que l’on pourrait résumer de la façon suivante : « C’en est assez des nationalismes du passé; construisons l’Europe ! » 

    Je partage la critique que Stein fait aux souverainistes nationaux-populistes et qui recoupe parfaitement celle qu’a présenté, lors de la dernière rencontre de Polaris, le 23 mars 2016 à Milan, Gérard Dussouy, auteur de Fonder l’État européen contre Bruxelles, édité en Italie par Controcorrente. Non seulement je partage cette critique, mais, en somme, je pousse un soupir de soulagement en remarquant que tout ce que j’affirme depuis 2002, souvent seul contre ceux qui m’entourent, est en train de s’imposer. 

    Et si c’est en train de s’imposer, c’est pour trois raisons : 

    La première provient du fait qu’une certaine Foi est toujours présente, je dirais une Fidélité à l’Idée qui enflamma les peuples et les guerriers durant un court siècle, une Idée qui s’appela Europe et ne pourra jamais s’appeller autrement. 

    La seconde est que les forces réactionnaires, comme à chaque fois, manquent de hauteur et de perspectives, parce que l’Histoire nous enseigne que l’on ne revient jamais en arrière et que chaque tentative pour la bloquer se révèle un accélérateur de la décadence. Il ne faut pas chercher à la bloquer, mais à en changer le signe. Telle est la leçon qui revient régulièrement depuis l’époque de César, alors que chaque Sainte-Alliance, quant à elle, lorsqu’elle veut restaurer le passé, ne sert en fait que les intérêts des Rothschild. De sorte que, qui joue contre l’UE – que personne n’entend ici défendre -, comme ceux qui s’opposaient à Napoléon, ou comme la droite anti-mussolinienne, se retrouve immanquablement à chanter sur une partition du CFR dans le chœur des banques anglo-américaines.

    Enfin, il existe un troisième motif, souvent non avoué, parce que l’on craint de plus en plus d’utiliser des termes faisant référence aux racines, qui veut que, dans les rapports démographiques actuels et avec les continuelles menaces biologiques, on ne peut trouver la force de faire face que si on la recherche dans la profondeur des temps, dans les origines, dans nos racines, soit autant dans le Mythe que dans la Préhistoire. Une force ancestrale que l’on retrouve, dès lors que le passé renoue avec l’avenir.

    Cela signifie-t-il qu’il faille en finir avec l’esprit du Risorgimento, avec l’italianité, avec la Nation ? Absolument pas, puisque la démarche proposée est au contraire la seule qui, à mon avis, soit en mesure de faire renaître ces valeurs, assassinées il y a soixante-treize ans. La Nation n’est pas seulement le fait de frontières, et moins encore d’institutions, qu’elle précède largement. L’italianité est identifiable au moins huit siècles avant l’Unité et, si l’on va plus au fond, on ne réussit pas à définir exactement quand elle a commencé à se manifester, exprimant une version gréco-méditerranéenne du proto-germanisme latin et une interprétation de la Romanité qui fut, et est, synonyme de Ius, d’Imperium, de Civilisation et d’Europe. 

    Dans l’ère des satellites, qui ont produit l’effet « temps zéro », qui ont imposé un nouveau Nomos à la géopolitique dont il a bouleversé les canons, dans l’ère de la mondialisation et de l’explosion démographique, il est impossible de concevoir une quelconque souveraineté sans adosser celle-ci à un espace vital, à une force démographique coordonnée dans le cadre d’une unité militaire, monétaire et fiscale, mais aussi et surtout à la maîtrise d’une gestion satellitaire. Par conséquent, si l’on doit parler de souveraineté, on doit aussi lui donner des fondements solides, ce qui n’est possible que dans une dimension européenne. 

    Le point à souligner est que, en construisant l’Europe, nous devrons prendre garde d’abandonner les préjugés démocratiques du fédéralisme et du consensus intergouvernemental. On n’est pas ici dans un système d’équivalence généralisée : le poids historique et matériel de chaque composante n’est pas le même que celui d’une autre. Par conséquent, nous devrons être conscients que, pour révolutionner l’Europe dans le bon sens, il faudra le faire en s’appuyant sur les vocations éternelles et stables. La construction de l’Europe autour de l’axe romano-germanique, où la conscience de Rome (celle de l’Antiquité, et non celle d’aujourd’hui) apporte la lumière à la vitalité germanique, demeure, encore et toujours, notre presque unique espoir de survivance. Un axe qui prend sa source dans cette philosophie grecque que la Romanité s’est appropriée. Et qui doit s’affirmer sous une forme qui, ni fédérale, ni du XIXe siècle, se situe pleinement dans la logique de l’Imperium, laquelle sous-tend une unité indestructible, en même temps que la pleine autonomie des peuples, en dehors de toute référence à des institutions formelles. C’est ainsi que, dans la conception impériale, l’indépendance des individus, des communautés, des régions et des nations en vient à être exaltée. À tout ceci, j’ai dédié un essai de la collection « Orientations et Recherche », appelé justementL’Europe, qui répond de manière systématique aux questions qui se posent concernant la façon de bâtir un programme et d’agir en conséquence, ainsi que le premier des Cahiers Lansquenets, justement appelé « Imperium », traduit en quatre langues.

    Enfin, il n’y a que l’Europe impériale qui nous restituera aussi l’Italie.

    Pour toutes ces raisons, en m’appuyant sur les directions majeures définies par Stein et Dussouy, et avant eux par Drieu La Rochelle, Adriano Romualdi et Jean Thiriart, j’invite à cesser d’attaquer l’Allemagne et de la confondre avec l’ensemble de l’UE. Elle est, en effet, la seule puissance qui puisse nous permettre de réaffirmer notre droit à survivre et, pourquoi pas, à dominer, et représente également le seul point sur lequel pourrait s’appuyer un levier visant à nous émanciper de la tutelle des États-Unis, bien plus que la Russie, laquelle, tout au plus, cherche à se débrouiller dans le chaos actuel, et qu’il faudrait convaincre, voire même contraindre, d’être un prolongement de l’Europe plutôt que le garant de l’équilibre d’un nouveau Yalta.

    Cela ne signifie pas que nous ne devions renoncer à combattre la technocratie de l’UE, avec cette excuse que – ne le répétez pas à Salvini et à la Meloni – l’on pourrait trouver bien pire; au contraire, cela doit nous conduire à nous enrôler vraiment pour la ligne de front, à révolutionner l’Europe et à chasser ceux qui, tels les « prétendants » de l’Odyssée, banquettent à proximité d’Aix-la-Chapelle. Étant précisé que, ce n’est pas en lui disant « Non » que l’on combat ce que l’on refuse, mais en affirmant autre chose, non pas, notons-le bien, comme une alternative éventuelle, mais comme la seule solution possible. Et laisser ce soin à d’autres reviendrait à leur laisser le choix de la réaction.

    D’où mon choix sur le plan symbolique : alors que presque tous mettaient un « X » sur le drapeau de l’UE, comme on le fait pour un panneau « Défense de fumer », j’ai fait dessiner un autre drapeau, où les étoiles forment une croix celtique.

    Pour attaquer, oui, mais en tête !

    Gabriele Adinolfi

    • D’abord mis en ligne sur le site personnel de l’auteur (http://fr.gabrieleadinolfi.eu), le 26 avril 2016.

    http://www.europemaxima.com/

  • Bruno Gollnisch : 1er mai : je considère que l’incident est clos

    Communiqué de presse de Bruno Gollnisch,
    Député européen, membre du bureau politique du Front National
    Strasbourg, le 12 mai 2016

    À la suite de la divergence d’interprétation au sujet de ma participation aux cérémonies du 1er mai et dans un souci de conciliation qui a toujours été ma ligne de conduite à l’intérieur de mon mouvement, j’ai présenté ma démission du Bureau Politique du Front National à la Présidente Marine Le Pen, qui l’a refusée. Je considère donc que l’incident est clos en ce qui me concerne.

    Quant aux questions politiques que j’ai formulées précédemment, je les évoquerai dans le cadre de cette instance.

    http://gollnisch.com/2016/05/12/1er-mai-incident-est-clos/

  • Bordeaux : des élus FN mobilisés contre la GPA

    Communiqué Gonzague Malherbe et Bruno Paluteau, élus régionaux du Front National, présents à la manifestation organisée à l'initiative de LMPT Gironde.

    6a00d83451619c69e201b8d1e2637f970c-250wi.jpg"Nous réclamons la suppression de la circulaire Taubira, clairement incitative d'actes de Gestation Par Autrui à l'étranger, alors même que cette pratique est parfaitement interdite en France. Louer son ventre ou acheter un enfant n'est en aucun cas signe de progrès pour la Femme, bien au contraire. C'est la porte ouverte à toutes les dérives de marchandisation du Corps et à l'exploitation de la détresse des femmes les plus modestes par les personnes les plus riches.

    Seul le FN rappelle aujourd'hui son opposition à ces principes surréalistes qui voudraient faire de l'enfant une simple marchandise, un objet de droit et de la femme, un outil.

    Seul le Front National réitère sa volonté de supprimer la loi Taubira dès son accession au pouvoir.

    Seul le Front National rappelle son attachement à la famille traditionnelle composée d'un père et d'une mère comme étant la cellule la plus propice à l'accueil des enfants.

    Quant à la droite, très mal à l'aise sur ces sujets, elle semble désormais marcher en sens commun avec la gauche, puisqu'aucun élu n'a daigné se déplacer pour soutenir l'initiative de la Manif Pour tous, initiative que cette même droite a pourtant chercher à récupérer politiquement ces dernières années avant chaque élection.

    Les choses sont claires désormais !"

    Michel Janva

  • Mobilisation contre la profanation de Verdun par le rappeur antiblanc BlackM

  • Alain Juppé : le pire d’entre nous !

    Alain Juppé ? Fossoyeur venu mettre la dernière touche de vernis à la sépulture d’un peuple qu’il n’aura pas été le dernier à enterrer.

    Indubitablement, Alain Juppé est un excellent maire de Bordeaux, tout comme Philippe de Villiers n’a pas son pareil pour animer les parcs d’attractions et que François Hollande, dans le registre du sosie officiel de Casimir, demeure assez imbattable. Après, cela suffit-il pour faire de la politique au niveau national ?

    Alain Juppé semble le croire, porté par des sondages le plaçant dans la position d’un Édouard Balladur, millésime 1994. Mieux : il plairait autant, voire plus, à l’électorat de gauche qu’à celui de droite. Lors d’un meeting tenu ce mardi au Palais des Congrès, à Paris, il a annoncé la couleur : « Je vous préviens, ça ne va pas être rock and roll, ce que je vais vous dire ! » Sans blague, des fois qu’on ait pu le confondre avec Jimmy Page…

  • Les réfugiés chrétiens persécutés par les musulmans : cela se passe en Europe !

    Persécutés au Moyen-Orient, les chrétiens orientaux qui fuient les massacres, les réductions à l’esclavage et les égorgements des fous d’Allah, des combattants au drapeau noir ne trouvent pas la paix en Europe ! Ils se retrouvent soumis aux persécutions, moins meurtrières, mais persécutions tout de même, dans les fameux camps de « réfugiés » contrôlés et habités en majorité par les mahométans. !

    Insultes, vexations, coups, menaces de mort, 90% des réfugiés chrétiens y sont confrontés dans les centres d’hébergement et d’accueil, selon une enquête menée en Allemagne par l’ONG Open Doors Germany qui a présenté un rapport à Berlin au titre significatif :« Persécutions des chrétiens en Allemagne ». Les différentes associations de défense des droits humains parlent de 40 000 réfugiés chrétiens soumis aux persécutions dans les camps. Selon le responsable de l’association, Markus Rode, ces chiffres ne sont que « la pointe émergée de l’iceberg ».

    Parmi les épisodes cités, celui des chrétiens qui ont refusé de prendre part à des prières collectives imposées par les musulmans dans les centres  ont été menacés.  Selon Paulus Kurt du Centre allemand pour les Chrétiens d’Orient, certaines familles ont décidé de repartir dans leur pays d’origine à cause de ces persécutions actives en Europe. Et d’après, Karl Hafen ,de l’International Society for Human Rights, des chrétiens qui ont fui l’État islamique à Raqqa, ont retrouvé leurs persécuteurs syriens à l’intérieur des camps de réfugiés.

    Malheureusement, à cause des autorités politiques et religieuses qui veulent imposer aux peuples européens le Grand Remplacement au nom d’une nouvelle humanité plus belle, plus bonne, plus tout, ces persécutions systématiques de chrétiens par les musulmans, non plus en terre d’Islam mais en terre chrétienne, sont trop souvent enterrées. 

    Pourtant c’est une véritable persécution des chrétiens orientaux qui existe bel et bien dans les camps de réfugiés en Allemagne et certainement dans tous les centre d’accueil disséminés dans toute l’Europe.  Mais le dire, l’écrire, en parler, c’est porter atteinte au bien-fondé de l’idéologie multi-culturaliste, multi-religieuse, multi-ethnique défendue par tous les humanitaristes et philanthropes modernes, pape François en tête…

    Les utopies sont terribles !

    Francesca de Villasmundo

    http://www.occhidellaguerra.it/germania-profughi-cristiani-perseguitati-nei-campi/

    http://www.secoloditalia.it/2016/05/i-profughi-musulmani-fanno-violenze-sui-profughi-cristiani-allarme/

    http://www.dw.com/en/german-activists-decry-attacks-on-christian-refugees-in-asylum-centers/a-19244927

    http://www.medias-presse.info/les-refugies-chretiens-persecutes-par-les-musulmans-cela-se-passe-en-europe/54246