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Attentats islamistes du 13 novembre: les familles doivent payer les impôts des victimes
Les familles des victimes du 13 novembre ont eu un coup dur ces derniers jours avec la réception de l’avis d’imposition de leur proche disparu.
La loi prévoit que les impôts d’une personne décédée soient payés par la famille. Mais alors que le processus d’indemnisation est toujours en cours, les proches des victimes réclament un traitement particulier.La mère d’une victime témoigne :
De nous demander de payer des impôts pour un enfant qui a été assassiné. Je trouve ça inadmissible !
L’association “13 novembre” a sollicité un rendez-vous au ministère des Finances, resté pour l’instant sans réponse. Pendant ce temps, les frais d’avocat de Salah Abdeslam seront pris en charge par le contribuable…
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Gollnisch ne sera pas exclu du bureau politique du FN
L'info est tombée hier sur RTL. A confirmer.
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Roger Holeindre et le Choeur Montjoie Saint Denis viennent de sortir un CD pour évoquer l'Indochine et l'Algérie
Lorsque « Servir Dieu, l’Église et la Patrie » des scouts se conjugue avec le « Qui ose gagne » des paras et du bon sang corse, cela peut produire un mélange explosif : un engagement total, c’est-à-dire de toute une vie, droite, riche d’aventures audacieuses, une vie de combattant.
Les douze poèmes de Roger, ici rassemblés, ont été écrits au Vietnam, en Algérie et en prison, dans les années cinquante et soixante. Ils racontent ces engagements et des cicatrices encore douloureuses pour ceux qui sont revenus de ces guerres.
Roger les déclame lui-même, avec sa voix passionnée et chaleureuse qui a enflammé tant d’auditoires depuis plus d’un demi-siècle.
Et ces textes de feu sont illustrés par des chants des bérets rouges, verts ou bleu marine des troupes de Marine ou des scouts, interprétés fort à propos par le Choeur Montjoie.
Près d’une heure avec le sergent Antoine, tombé à Dien Bien Phu, avec Tong et Dinh, de Phủ Lý, avec le sergent-chef Brahim de la harka de Lanoix, assassiné par les rebelles du FLN.
Près d’une heure avec Roger Holeindre et le Choeur Montjoie Saint Denis...
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« Gloire à Allah » sur les bus londoniens… et d’autres villes
Sous couvert de campagne humanitaire envers les réfugiés syriens, le lendemain même de l’élection de Sadiq Khan, l’association Islamic Relief, une ONG d’aide internationale, avec l’accord de la société londonienne, va placarder les flancs de 640 bus d’un énorme « Subhan Allah ». En français : Gloire à Allah. Pendant deux mois, c’est-à-dire durant toute la durée du ramadan. Aucun risque, dans ces conditions, d’échapper aux nouveaux repères…
Des bus islamisés à Londres, mais pas seulement… Manchester, Leicester, Birmingham, Bradford ne seront pas en reste.
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Commandant Kieffer chef des troupes françaises du débarquement
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Journal du Mercredi 11 Mai 2016 : Société / Un rappeur à Verdun, l’insulte aux morts
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La Semaine de MAGISTRO, une tribune d'information civique et politique
La Semaine de MAGISTRO - Adossée à des fondamentaux politiques avérés, Magistro, une tribune critique de bon sens, raisonnée et libre, d'information civique et politique.
A tout un chacun• Arnaud TEYSSIER Historien "Pourquoi les français se plaisent à rêver d'un Macron ou d'un Juppé ?"
Du côté des élites• Christine SOURGINS Historienne de l'art, essayiste L'Etat perd de vue 23 000 œuvres d'art
• Maxime TANDONNET Haut fonctionnaire, ancien conseiller pour les affaires intérieures et l’immigration au cabinet du Président de la République
- Présidentielle : prolifération de candidatures et désintégration de la politique
- Église de Mossoul : la destruction ignorée
En France• Jacques BICHOT Economiste, démographe, Professeur émérite à l'Université Lyon 3 - Ancien président de Familles de France Naissances : nouvelle baisse au 1er trimestre 2016
Avec l'Europe• Eric ZEMMOUR Journaliste politique, écrivain Encore et toujours l’axe germano-américain
• Jean-Luc BASLE Economiste, ancien directeur de Citigroup New York L’euro survivra-t-il ?
De par le monde• Roland HUREAUX Essayiste Candidature d'Hillary Clinton : on ne saurait oublier combien la présidence Clinton fut défavorable aux intérêts français
• François JOURDIER Officier, amiral (2S) COP 21, la fausse menace
• Yves GAZZO Ambassadeur de l'Ordre souverain de Malte auprès de l'Union européenne Problématique de l'eau dans le bassin méditerranéen : entre COP21 et COP22
Au-delà• Henri HUDE Philosophe - Directeur du Pôle d’éthique au Centre de recherches des Ecoles de Saint-Cyr Coëtquidan Quelques pensées sur "La joie de l'amour" (3)
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Pas besoin d’être Mme Irma pour prédire ce qui arrivera dans un an
Le ministre de l’Intérieur vient d’annoncer les dates de l’élection présidentielle : les 23 avril et 7 mai 2017. Si les sondages se confirment, Marine Le Pen sera probablement largement en tête au premier tour, sinon en deuxième position, et accédera au duel final.
Bien évidemment, d’ici là, le camp des patriotes devra, dans un premier temps, faire le dos rond, puis résister à la tempête prévisible. Facile, d’abord, de prévoir les programmes de télévision dans les derniers mois. Rediffusion tout à fait fortuite des séries de documentaires sur la Seconde Guerre mondiale et les horreurs du nazisme. Le vivre ensemble mis à toutes les sauces dans les émissions de divertissement, les reportages, Plus belle la vie, évidemment.
Chaque geste, parole ou tweet d’un représentant du FN sera épié, grossi, déformé, travesti. Le buzz, qu’on vous dit ! Les journalistes chercheront avec malice à réveiller les tensions avec le camp de Jean-Marie Le Pen, éventuellement en le titillant sur sa vision de l’Histoire. Les questions sur les propositions économiques attendront… Et si ce n’est avec l’ex-président du mouvement, ils chercheront à le faire avec Marion Maréchal-Le Pen, comme c’est déjà le cas actuellement.
On révèlera dans la presse que le ticket de caisse de boîtes de trombones au siège du FN reste introuvable, et qu’il s’agit là évidemment d’un grave délit financier, que ce parti a décidément des pratiques occultes inquiétantes. Pourvu que les trombones ne viennent pas du Panama !
Cette fois-ci, le cirque autour des parrainages ne devrait logiquement pas avoir lieu, le nombre de signataires potentiels étant d’ores et déjà presque suffisant.
Arrivera le premier tour. La joie d’être qualifié pour le second sera doublée de celle de revoir les larmes de Martine Aubry, ou les mines déconfites des jeunes bobos rue de Solférino. « La République est en danger », ânonnera Najat Belkacem, alors que Cambadélis hurlera au fascisme. Le candidat de la fausse droite, probablement lui aussi qualifié, appellera les forces républicaines et démocrates de gauche à le rejoindre, promettant l’ouverture, voire un gouvernement d’union nationale. Tout en jurant avoir entendu les électeurs, notamment sur le grave sujet de l’immigration. D’autres se lamenteront ou s’étonneront que les gens n’aient pas compris leur politique. Mais qu’ils ont bien reçu le message de désespoir et de colère des électeurs, et que, promis…
Sur les plateaux arriveront alors les fameux spécialistes en sciences politiques ou en études statistiques. Ils expliqueront, l’air sérieux, dès 20 h 35, que les électeurs qui ont voté FN sont, au choix, des abrutis avinés, des sous-diplômés qui n’ont pas lu trois lignes du programme, des gens peut-être normaux mais qui ont été cambriolés par des Roms et qui sont en colère. Parfois tout à la fois. Les vraies études, celles qui montreront que ce sont les victimes économiques de la mondialisation, le tiers des jeunes, les agriculteurs qui meurent à petit feu, les employés de banlieue qui cherchent de plus en plus loin la tranquillité, elles, sortiront six mois plus tard.
Suivront deux semaines de pressions de toutes sortes, de manifestations pour sauver la liberté, la démocratie, la République bien sûr. Les artistes en mal de reconnaissance se croiront obligés de nous ressortir le « J’ai mal à ma France ».
Le scénario est écrit. Christophe Barbier a commencé le tour de chauffe avec son numéro de L’Express : « Comment démolir le FN ? »
Pour survivre à ce long procès en sorcellerie médiatico-politique, il faudra parfois tout couper et se mettre un bon film. Mieux : prendre un livre. Tiens, par exemple, de Trémolet de Villers, l’excellent Jeanne d’Arc : le procès de Rouen (1)Boulevard Voltaire :: lien
http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuyklEyEEFqdVpsxIp.shtml
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Projets radicaux pour détruire les banlieues blanches aux États-Unis
Le ministre américain du Logement, Julian Castro, dont il se murmure qu’il pourrait être le colistier d’Hillary Clinton à la présidentielle, prépare le relancement d’un programme de logement qui cherche à forcer la présence de non-blancs dans les banlieues blanches à travers les États-Unis.
Le plan implique des subsides étatiques spéciaux detinés à aider les « pauvres urbains » à payer des locations plus chères dans les zones aisés, tout en nommant des agents immobliers gouvernement appelés « conseillers en mobilité » pour acheter des logements dans ces quartiers.
D’après un article du New York Post intitulé « La dernière action d’Obama est de forcer les banlieues à être moins blanches et moins riches » (en), Castro de prévoit de redémarrer le programme de section 8, bien qu’un programme semblable testé il y a quelques années à Dallas ait provoqué un déplacement de la criminalité violente vers les quartiers aisés.
Ce programme fait parti d’un « grand projet pour déségréguer de force les centre-villes et intégrer les banlieues », écrit le New York Post.
Le mois dernier, Castro a menacé les propriétaires des banlieues de discrimination s’ils refusent des locataires section 8 dotés d’un casier judicaire.
L’an dernier, il a aussi mis en place une nouvelle réglementation – « Poursuivre Positivement le Logement Équitable » – qui met sous pression tous les comtés de banlieue, pour toucher des subventions fédérales afin de changer les lois de zonages locales pour bâtir davantage de logements sociaux.
Les propriétaires de tels logements ont maintenant pour obligation d’accepter les bénéficiaires de la section 8.
Il est prévu que Castro finisse cette nouvelle réglementation, connue sous le nom de « Locations Équitables au [prix du] Marché des Petites Zones » cet octobre, dans les derniers moments de la présidence Obama.
Les limites d’allocations locatives sont actuellement définies par zone métropolitaine, ce qui rend les payements assez faible. Avec le nouveau projet, elles seraient établies par code postal.
Par exemple, le loyer équitable pour un studio à New York est d’environ 1250 dollars, ce qui ne couvrirait pas les frais locatifs des zones les plus riches du Comté de Westchester, comme Mamaroneck, « où Castro et ses sociologues veulent agressivement réinstaller des bénéficiaires de la setion 8 », indique le New York Post.
Dans les zones les plus chères, le projet de Castro – qui ne nécessite pas d’approbation du parlement – ferait plus que doubler les allocations, tout en couvrant les charges.
Dans le même temps, il entend réduire les aides pour ceux qui choisissent de rester dans les zones urbaines pauvres, comme Brooklyn. Donc les bénéficiaires de la section 8 ne seront pas seulement attirés dans les banlieues, ils y seront aussi poussés.
« Nous voulons utiliser nos allocations de choix de logement pour garantir que nous n’avons pas une concentration de pauvreté et l’aggrégation de minorités raciales dans une partie de la vile, la partie pauvre de la ville », a déclaré le chef de l’HUD, ajoutant qu’il essaye de défaire le « résultat de politiques et pratiques discriminatoires dans le passé, et parfois même maintenant ».
Une version préliminaire des nouvelles règles anticipe que plus de 350.000 bénéficiaires de la section 8 seront initialement réinstallés sous ce nouveau programme. Sous la présidence Obama, le nombre total de foyers touchant une aide au logement s’est accru à plus de 2,2 millions.
Le document argue que ces allocations plus importantes permettront aux familles urbaines pauvres de « déménager dans des endroits qui ont potentiellement un meilleur accès aux emplois, aux transports, aux services et à l’éducation ».
La théorie est que leur offrir davantage d’argent pour déménager dans des banlieues aisées va « améliorer leur situation ».
Mais comme le New York Post l’a signalé, les propres études du ministère du Logement prouvent que cette théorie ne correspond pas à la réalité.
En 1994, le président Bill Clinton avait lancé un programme semblable intitulé « Déménager vers l’Opportunité », qui a déplacé des milliers de noirs vers des maisons de plus haute qualité dans des quartiers plus sûrs et plus ségrégués racialement dans plusieurs comtés à travers le pays.
L’expérience de 15 ans a été un échec total : une étude de 2011 financée par le ministère du Logement a découvert que les adultes ayant utilisé les bons de section 8 les plus généreux n’ont pas obtenu de meilleurs emplois ni ne sont sortis de la dépendance à l’aide publique.
En fait, davantage ont eu recours aux bons alimentaires. Et leurs enfants n’ont pas fait mieux dans leurs nouvelles écoles.
Pire, la criminalité les a tout simplement suivi dans leurs nouveaux quartiers plus sûrs, ruinant la qualité de vie des résidents existants.
« Les hommes […] ont été arrêtés plus souvent que ceux dans le groupe de contrôle, principalement pour des vols », a découvert l’étude.
Dubuque en Iowa a par exemple reçu un afflux de bénéficiaires de bons venant de Chicago – et a un problème de criminalité depuis lors. Une étude récente a directement établi le lien entre la criminalité à Dubuque et la vague de logements section 8.
Le ministère du Logement a alors décidé qu’il fallait non pas arrêter le programme, mais le rendre plus agressif. Ils ont conclu qu’ils pourraient obtenir le résultat désiré s’ils plaçaient les pauvres urbains dans des zones encores plus aisées.
Le ministère du Logement a testé cette nouvelle théorie à Dallas, avec des résultats désastreux.
À partir de 2012, l’agence a rendu plus intéressant les bons de section 8, et a orienté ses bénéficiaires de centre-ville [ndt : les centre-villes américains sont colonisés par les non-blancs, et de ce fait, pauvres] aux comtés éloigns entourant Dalas.
Tandis que les locations financées par le gouvernement se répartissaient dans toutes l’aire métropolotaine de Dallas, la criminalité a fait de même.
Dallas a désormais l’un des taux d’homicide les plus élevés des États-Unis, et a récemment fait appel aux troupes de l’État pour aider la police à le contrôler.
Pour la première fois, la criminalité violente s’est déplacée vers les communauts du Nord de la ville. Les trois banlieues qui ont vu le plus de transferts de section 8 – Frisco, Plano et McKinney – ont subi des pics sans précédent de viols, d’agressions et de cambriolages.
Castro veut désormais déployer ce programme à l’échel du pays. Bientôt, il donnera aux bénéficiaires de section 8 l’argent pour payer une location où ils veulent – et s’ils ne veulent pas déménager, il va leur faire une offre qu’ils ne pourront pas refuser, indique le New York Post.
Ironiquement, la ville natale d’Hillary Clinton, Chappaqua, combat contre les logements section 8 à cause de leurs rapports à la drogue, à la criminalité et à d’autres problèmes.
Caelum non animum mutant qui trans mare currunt. « De ciel mais non d’esprit changent ceux qui franchissent la mer », écrivait Horace il y a deux millénaires.
On le voit bien avec les « migrants » qui franchissent la Méditerranée pour arriver en Europe, mais on le voit tout autant avec tous ces non-blancs déplacés dans des quartiers de blancs : ils ne se transforment pas soudain en blancs. Les causes profondes de leurs problèmes sont raciales.
Que le gouvernement Obama persiste avec ce projet en dépit des essais catastrophiques démontre au-delà de tout doute raisonnable que l’objectif n’est pas d’améliorer les conditions de vie des non-blancs, mais de dégrader celles des blancs et de faire en sorte qu’il n’y ait pas un seul endroit qui soit entièrement blanc. Pas une ville, pas un quartier qui soit autorisé à rester entièrement blanc.
L’objectif est très clair : c’est la destruction de la race blanche.
Le côté positif, c’est qu’une action aussi brutale et dénuée d’ambiguité ne pourra qu’ouvrir les yeux de centaines de milliers de blancs.
Traduction de l’article de New Observer.
http://www.blancheurope.com/2016/05/11/projets-radicaux-detruire-banlieues-blanches-aux-etats-unis/
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