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Abolir le système d’éducation socialisé pour libérer la jeunesse autochtone du fardeau islamo-immigré
Je lis que l’aile droite du groupe parlementaire dit des “Républicains” propose de soumettre au strict contrôle du gouvernement l’ouverture d’écoles dites “hors contrat”. Une proposition de loi a été déposée en ce sens (lire ici). Il s’agit, selon les initiateurs, de lutter contre la constitution d’un enseignement parallèle de nature islamiste.
Je cite un extrait :
Il existe en France 1 300 écoles privées hors contrat. Parmi celles-ci, il existe 300 établissements confessionnels. 56 000 enfants et adolescents y sont scolarisés, dont 4 000 à 5 000 dans des structures musulmanes.
Le contrôle de l’État sur ces écoles apparaît largement insuffisant : ouvrir un établissement d’enseignement répond à un régime déclaratif sans qu’un contrôle exhaustif ne soit systématiquement réalisé.
Cette situation est intolérable. Les lieux d’enseignements doivent rester des sanctuaires préservés de toute influence idéologique ou politique contraire aux valeurs républicaines et doivent poursuivre un projet commun : celui de la construction d’une communauté nationale. Les écoles doivent demeurer des lieux où se transmettent les savoirs et non les idéologies.
Ces déclarations appellent quelques observations.
Tout d’abord, ce que l’on nomme “la droite républicaine” continue de développer des théories constructivistes propres à la gauche socialiste ou marxiste. Théories depuis longtemps convaincues d’absurdité. On ne “construit pas” culturellement une nation : elle existe ou non.
Il s’agit là du problème récurrent de la pensée politique hexagonale : la confusion entre le gouvernement – appelé en France “l’État” – et la nationalité, qui est une communauté ethnique. Autant dire que la “construction” d’une “communauté nationale” avec un salmigondis de peuplades du tiers-monde relève, au mieux, d’une naïveté confondante.
Les parlementaires évoquent des “sanctuaires préservés de toute influence idéologique ou politique contraire aux valeurs républicaines”. Il y a là une contradiction dans les termes. Soit les écoles sont neutres, soit elles sont des instruments d’embrigadement idéologique afin de façonner la vision du monde de la jeunesse.
En évoquant les “valeurs républicaines”, il est évident que cette neutralité n’existe pas. Au demeurant, nul ne sait ce que sont ces “valeurs républicaines” si ce n’est un appel permanent, de la part du gouvernement, à une soumission aveugle au pouvoir politique. L’indigence intellectuelle est là encore la règle d’un système en bout de course.
Ensuite, les écoles du régime républicain ont été historiquement conçues pour détruire l’influence catholique en France et sont donc, depuis Jules Ferry, des outils de guerre idéologique au service de l’idéologie révolutionnaire.
Enfin, parler de “neutralité” quand on évoque les écoles du système français est littéralement se moquer des gens : c’est le foyer le plus radical du socialisme en France. Il suffit à n’importe qui d’aller faire une visite de courtoisie dans une salle de professeurs pour mesurer la “neutralité” idéologique de ce ramassis de communistes.
L’immigration musulmane accouche d’une tyrannie
Comme il est précisément impossible de “construire une communauté nationale”, puisqu’elle n’est pas naturelle, il faut donc user de la coercition. C’est là une contradiction interne propre au système hexagonal actuel : nier les réalités ethno-culturelles, raciales, religieuses et tenter, à toute force, de poursuivre ce rêve socialiste d’une république abstraite, déracinée et universelle.
Désolé, mais ce projet faustien est et restera inaccessible aux migrants sénégalais ou algériens.
Les élites du système vont logiquement continuer de vouloir faire mentir la nature et ses lois par des dispositions gouvernementales de plus en plus autoritaires. Puisque les Blancs et les afro-musulmans ne veulent ni ne peuvent vivre ensemble, on va les forcer à vivre ensemble, y compris sous la menace. Ce qui loin de faire baisser la pression sur le système va l’accroître, accélérant dialectiquement sa chute.
Pour être politiquement corrects et constitutionnellement dans les clous, les parlementaires de la “droite républicaine” veulent donc créer une une loi s’appliquant à tout le monde à défaut de cibler les musulmans. Ce qui reviendra à s’appliquer, en pratique, aux établissements hors-contrat “non-conformes”, peuplés de jeunes de souche européenne.
Il s’agit là d’un nouvel exemple de réduction de liberté induite par l’immigration musulmane au détriment des populations autochtones. Les états multiraciaux évoluent tous fatalement vers des tyrannies car seule la répression peut maintenir un semblant d’unité politique. En définitive, le gouvernement ne pense qu’à sa préservation et non pas aux intérêts du peuple. C’est-à-dire, des vôtres.
Comme je l’ai déjà dit, si “l’islam républicain” est une fiction pour faibles d’esprit, l’hypothèse d’une république islamique coercitive se dessine un peu plus chaque jour.
Libérer la jeunesse d’origine européenne de l’éducation socialisée
Le principe de base : ils ne veulent pas de nous, nous ne voulons pas d’eux. Dès lors que nous n’avons aucun destin en commun, nous n’avons aucun devoir de solidarité de quelque ordre que ce soit vis-à-vis des allogènes.
Cette réaction naturelle est d’ailleurs celle de la bourgeoisie de gauche qui cherche systématiquement à protéger sa progéniture de la “diversité” raciale et religieuse, véritable frein au développement des enfants blancs, en l’inscrivant dans des établissements privés.
Des propositions simples et radicales : abolition du système socialisé d’éducation, privatisation globale via, notamment, un “chèque éducation” et fédéralisation territoriale du système. Sans le démantèlement de ce système d’embrigadement de type soviétique, le niveau moyen des jeunes de souche européenne continuera de chuter tandis que le prolétariat blanc paiera toujours plus pour offrir un système de garderie à des millions d’analphabètes allogènes, de 3 à 16 ans.
Tant que le gouvernement central continuera d’avoir pour seule priorité la défense de son propre pouvoir, il continuera de vouloir maintenir cette fiction qu’est la “construction d’une communauté nationale” payée par les Blancs. Formulé autrement, le gouvernement continuera, pour se maintenir, de mener des politiques qui portent atteinte aux intérêts et droits fondamentaux des populations de souche.
Il en va de même de la corporation socialiste du ministère concerné, à savoir l’énorme masse des professeurs et autres personnels dits “d’éducation” dont le seul soucis est la défense petite-bourgeoise de leurs exorbitants privilèges de caste. Privilèges pudiquement nommés “acquis sociaux” par le système.
La fin de l’état social – et son volet crucial qu’est la libéralisation massive de l’enseignement d’état – est une condition incontournable de la libération des populations autochtones du fardeau de l’immigration extra-européenne. Les illégitimes transferts de fonds “républicains” vers les allogènes, notamment dans le secteur dit “de l’éducation”, ne faisant qu’alimenter des éléments inaptes et improductifs qui, au surplus, colonisent un territoire où ils n’ont pas lieu de vivre.
En résumé, la mesure de la “droite républicaine” est en réalité d’essence socialo-marxiste et cosmopolite, contribuant à priver d’avenir les nouvelles générations de souche européenne.
Bonne nouvelle : l’état-providence républicain est en banqueroute et son effondrement, inéluctable. Faute d’une libération volontaire, elle se fera par le fait accompli.
En conclusion
Un certain nombre de lecteurs seront en proie au doute. Alors, plutôt que des mots, des images. Celles du tonneau des Danaïdes de la garderie en faveur du tiers-monde. Ci-dessous, un reportage sur les “internats d’excellence”, terme mensonger marqué du sceau de l’hypocrisie traditionnelle du personnel politique républicain. Ces internats concentrent les ratés allogènes dont le système, gouverné par l’idéologie antiraciste, a entrepris le sauvetage pendant que des petits Gaulois de souche anonymes se débrouillent seuls dans les profondeurs de l’Auvergne ou de la Bourgogne :
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Du défilé d’hommage à Ste Jeanne d’Arc organisé par Civitas à la convergence des patriotes contre le mondialisme
Le journal Libération, naguère défenseur de la pédophilie et aujourd’hui propriété de l’homme d’affaires israélien Patrick Drahi, publiait le 6 mai un article sur commande annonçant la soi-disant “chute” de Civitas.Deux jours après, le dimanche 8 mai, Civitas organisait un hommage unitaire à Sainte Jeanne d’Arc qui rassembla plus de deux mille personnes dans un esprit de convergence des mouvements insoumis au nouvel ordre mondial. Aux côtés de Civitas se retrouvaient des délégations du Cercle National des Combattants, du Renouveau Français, du Parti de la France, de Synthèse Nationale, de l’Alliance for Peace and Freedom, des Caryatides, du Parti Nationaliste Français, de la Dissidence Française et d’Egalité & Réconciliation, tous réunis pour rendre honneur à la sainte de la patrie, patronne secondaire de la France.Dès 12h30, place Saint Augustin, animations et discours se sont succédés. Cette journée ayant une dimension familiale, petits et grands ont pu observer les démonstrations d’un cracheur de feu suivi d’un jongleur pas comme les autres en la personne d’un frère bénédictin. Tandis que des Guides proposaient de quoi se nourrir, le public apprécia le mini-concert offert par la chanteuse Epona. Le Chœur Montjoie Saint Denis était également de la partie. Marion Sigaut, Roger Holeindre, Carl Lang, Thibaut de Chassey, Pierre Sidos, Marie d’Herbais, Jany Le Pen, Roland Hélie et Damien Viguier ont tour à tour pris la parole pour encourager les participants à résister aux fléaux qui s’abattent sur la France. Ensuite, Dom Cyprien, Prieur du Monastère Notre-Dame de Guadalupe (Etats-Unis), a procédé à la bénédiction des étendards.La foule s’est alors mise en marche, avec en tête du défilé trois cavaliers en armure dont une jeune fille symbolisant Jeanne d’Arc, tenant à la main la réplique du majestueux étendard avec lequel la sainte est entrée à Orléans le 8 mai 1429.Alternant litanies de Sainte Jeanne d’Arc, chants et slogans, le défilé a atteint la place des Pyramides où, après un dépôt de fleurs aux pieds de la statue de Jeanne d’Arc pendant que le Chœur Montjoie chantait la Prière des Paras, les trois derniers discours ont été prononcés par Pierre Hillard, Alain Escada et l’abbé Xavier Beauvais, afin de rappeler la véritable mission de Sainte Jeanne d’Arc et la façon de tenter d’en être de dignes héritiers pour restaurer la France et la Chrétienté. -
Journal du Vendredi 13 Mai 2016 : Société / Verdun sans Black M : la victoire des Français
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Rappel : La France a payé 58 millions de dollars à Al-Qaïda depuis 2008
Selon une enquête du New York Times du 29 juillet 2014, Al Quaïda a reçu depuis 2008, plus de 125 millions de dollars !!! Quoi ? Comment ? Et oui, 125 millions de dollars récoltés uniquement grâce aux rançons payés par les occidentaux pour obtenir la libération de leurs otages.Toujours selon cette enquête, la France est le principal pourvoyeur de fonds de l’organisation terroriste. Elle aurait versé à elle seule 58 millions de dollars. Ces sommes, toujours selon le New York Times seraient versées directement par l’état ou alors par des intermédiaires comme Areva ou les pays amis du golf, au premier rang desquels le Qatar.Dans cet article, Vicki Huddleston, ancienne ambassadrice des États-Unis au Mali dénonce : « Les Européens ont beaucoup de comptes à rendre. Ils mènent une politique hypocrite. Ils paient des rançons et ensuite nient les avoir payées. Le danger n’est pas seulement que ça fait grandir le mouvement terroriste, c’est aussi que ça rend tous nos citoyens vulnérables ». Déclaration effroyablement prémonitoire. Le 13 septembre 2014, très énervé par l’exécution de 3 otages anglo-saxons, Barack Obama lui-même confirme: « Le président français, François Hollande, dit que son pays ne paie pas de rançons aux terroristes, alors qu’en réalité, il le fait »Dimanche, la plupart des dirigeants européens vont venir verser des larmes de crocodile sur les morts provoqués par des mouvements terroristes qu’ils ont largement contribué à financer. François Hollande, accusé par Obama de payer des rançons aux terroristes sera à la tête de cette grande marche contre… le terrorisme. Comprenne qui pourra.Inconséquence ou incompétence ?Quoi que… Cette fois, ce n’est pas seulement une minute de silence qu’on va nous demander, mais plutôt 2 ans et demi de silence, le temps d’arriver aux prochaines élections. Avec un « Patriot Act » à la française si besoin. Hollande n’est pas plus bête que Bush et les français ne sont pas plus intelligents que les américains.Nous sommes tous des charlots. -
Un petit coup de rouge et un morceau de cochon pour fêter la dérouillée de #BlackM
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Tout avortement est toujours évitable et la loi Veil doit être remise en cause
Dans L'Homme Nouveau, Thibaud Collin revient sur l'ouvrage Adieu mademoiselle d'Eugénie Bastié. Extrait :
"Son ouvrage est une critique en règle du « néo-féminisme » et, à ce titre, récuse la volonté de faire de l’avortement un « droit fondamental ». Pour dénoncer cette « fondamentalisation », elle a recours aux paroles par lesquelles Simone Veil exprimait l’esprit de la loi répondant à un « enjeu de santé publique » : «Je le dis avec toute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. » Et Eugénie Bastié de saluer cette « loi de concession au réel », cette « loi d’accompagnement et d’ajustement au regard du moindre mal qui l’oblige à s’en remettre à la sagesse des générations futures pour en conserver l’esprit ». Et de constater que, bien sûr, il n’en a rien été. Et pour cause ! Comment penser qu’un « compromis » soit possible sur un tel sujet ? La suppression d’une vie humaine innocente ne peut être tolérée comme un moindre mal. Soit c’est un mal intrinsèque, à proscrire absolument ; soit ce n’est pas un mal et alors cet acte peut devenir un droit, conséquence de la libre disposition que la femme aurait de son corps.
Eugénie Bastié a certes bien saisi que la loi Veil a été l’objet d’un compromis politique, mais elle semble oublier que, par définition, un tel compromis s’inscrit dans un moment historique déterminé. Tout l’art de Giscard, Chirac et Veil a consisté à faire accepter un tel texte, très dans l’air post-68, à un Parlement encore réticent. D’où les soi-disant verrous que posaient les conditions restreignant l’accès à cet acte encore fortement culpabilisé à l’époque. Le vote enfin effectué, et réitéré en 1979, le véritable esprit du texte a pu se déployer selon sa logique [...].
Lorsqu’Eugénie Bastié défend cette thèse du compromis alors qu’elle affirme que l’avortement est « toujours un échec et une tragédie », elle se bat pour la pérennisation de la loi Veil, telle qu’elle a été vue et donc votée en 1975 par ces députés opposés par « conviction » mais sachant cependant assumer leur « responsabilité » politique. « Il faut, écrit-elle, que nous arrivions à penser l’avortement comme un phénomène social, que nous déchaussions nos lunettes idéologiques, libérales ou conservatrices, pour en finir avec ce double aveuglement, pour enfin voir en face la réalité d’un acte violent, parfois inévitable mais jamais triomphant. » Ce geste rhétorique, digne de vieux politiciens habiles, de renvoyer dos à dos les deux camps ultras nous apparaît incongru sous la plume d’une jeune femme par ailleurs si clairvoyante et courageuse.
Il est évident qu’« aujourd’hui » le texte de la loi Veil pris au pied de la lettre représenterait une nette amélioration en comparaison de la situation actuelle et, à ce titre, devrait être défendu au Parlement. Mais de là à considérer que le réalisme politique ne peut nous conduire plus loin, il y a un abîme. Non, la loi Veil n’est pas sur la question de l’avortement l’horizon politique indépassable. Certes l’avortement a toujours existé et son interdiction légale ne signifierait pas la fin de la destruction d’enfants à naître. Certes, comme le montre le sociologue Luc Boltanski (dans La Condition fœtale) l’avortement dans de très nombreuses sociétés est à la fois interdit et toléré. Mais justement le politique n’est pas le sociologue. Il n’a pas à dire ce qui est mais ce qui doit être. Dire que l’avortement est « parfois inévitable », c’est comme dire que dans une société le vol est inévitable, le viol également etc. Comment le nier ?, les hommes ne sont pas tous parfaits. Et le dogme du péché originel peut offrir aux catholiques une lucidité sur la condition humaine déchue. Mais de là, que peut-on conclure ? Certainement pas que le viol et le vol doivent être dépénalisés. On objectera que la loi Veil n’a pas été faite pour tuer des enfants à naître, car ils l’étaient déjà avant cette date, mais pour éviter que leurs mères meurent aussi. D’où la thèse du moindre mal et l’ébranlement qu’elle engendre chez le généreux mais naïf militant « pro-vie », intimidé par la complexité du réel social enfin mise sous ses yeux.
Tout avortement est toujours évitable ; voilà ce d’où il faut repartir pour penser politiquement un tel problème. Aucune personne humaine ne doit jamais être vue comme ne pouvant éviter de poser un acte mauvais. Il existe bien sûr de nombreux conditionnements obscurcissant la conscience et disposant à ce type d’acte ; et ils doivent être pris en compte dans une évaluation morale et judiciaire de la responsabilité des personnes. Mais l’éventuelle non-imputabilité subjective ne peut jamais être le fondement d’une loi, par définition commune et objective, autorisant un tel acte, même sous conditions très restrictives. Car si tel est le cas, la loi toujours porteuse de normativité, même dans un système libéral permissif, continue d’exercer sa causalité sur les mentalités : l’avortement est rapidement vu et vécu comme légitime et donc comme banal. De plus, une telle loi est une négation du politique. [...]"
Au fond l'argument d'Eugénie Bastié (qui considère que ceux qui veulent remettre en cause la loi Veil sont des illuminés) rejoint celui, plus actuel, de ceux qui veulent légaliser la GPA (ou l'euthanasie) afin de l'encadrer, car la GPA (ou l'euthanasie) existe et qu'il faut bien prendre en compte le réel même si on y est défavorable...
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François Belliot - La guerre en Syrie la manipulation médiatique des médias français - Meta TV 3/3
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La mairie de Verdun annule le concert du rappeur Black M
La très forte mobilisation des patriotes français a payé : le concert que le pitoyable Black M devait donner le 29 mai prochain en clôture des commémorations des 100 ans de la Bataille de Verdun, vient d’être annulé par la mairie.
Dans un communiqué, la mairie invoque des « risques forts de troubles à l’ordre public » (ce qui n’est pas faux, même si ce sont les pouvoirs publics qui sont les véritables fauteurs de trouble), en raison d’une « polémique d’ampleur sans précédent ». Le standard de la mairie n’a pas cessé de sonner pendant plusieurs jours.
« La majorité municipale et le maire de Verdun, en concertation avec la région et le Département, sont contraints d’annuler le concert », précisé le maire (PS) Samuel Hazard.Lire l’article de L’Est Républicain
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Seselj : 2 – Mondialisme : 0 par Georges FELTIN-TRACOL
Ces dernières semaines, l’homme politique serbe, Vojislav Seselj (prononcez « Chéchell »), a remporté coup sur coup deux magnifiques succès contre les agents du mondialisme toujours en action dans les Balkans.
Le 24 avril 2014, des élections législatives se tenaient en Serbie. Entérinant la demande du Premier ministre Aleksandar Vucic, le chef de l’État serbe, Tomislav Nikolic, prononçait la dissolution de l’Assemblée nationale où leur formation, le Parti serbe du Progrès (SNS), disposait d’une majorité confortable (170 élus sur 250), allié, qui plus est, au Parti socialiste de Serbie d’Ivica Dacic, lui-même associé aux nationalistes deSerbie unie.
Les résultats furent mitigés. Bien sûr, le SNS obtint 48,25 % et 131 sièges tandis que ses alliés socialistes et nationalistes, avec 10,95 %, en conservaient 29. Éparpillée en plusieurs mouvements concurrents, l’opposition libérale-démocratique parvint à franchir le seuil de représentativité fixé à 5% et gagna 45 élus. Toutefois, le gouvernement se vit déborder sur sa droite. Après huit années d’absence, le Parti radical serbe(SRS) revint enfin au Parlement (22 députés et 8,10 %).
Il faut reconnaître qu’outre la crise économique et l’afflux en Serbie des fameux « migrants » dont la présence n’est qu’un plaisant début, de nombreux Serbes furent (re)conquis par le charisme intact du président-fondateur du SRS, Vojislav Seselj. Quatre ans plus tôt, à la présidentielle, son épouse ne recueillait que 3,78 % des suffrages. Tribun hors-pair et d’une remarquable intelligence, Seselj redevient la mauvaise conscience de ses anciens camarades Nikolic et Vucic. En effet, les deux principaux personnages de l’État ont longtemps milité au SRS, issu en 1991 de la fusion du Parti radical populaire avec leMouvement tchetnik serbe de Seselj.
Partisan de la « Grande Serbie »
Très tôt défenseur de l’idée panserbe en Yougoslavie communiste autogestionnaire, Vojislav Seselj, né en 1954, fréquenta les milieux dissidents anti-communistes, méprisa l’œuvre étatique de Tito et fut même condamné dans la décennie 1980 à de la prison pour des raisons politiques. Quand , au début des années 1990, explose la deuxième Yougoslavie, fondée en 1945, il approuve l’action nationale-communiste de Slobodan Milosevic au Kossovo et en Bosnie-Herzégovine. Le président-poète Radovan Karadzic dirigera d’ailleurs l’équivalent du SRS en Bosnie. De nombreux militants radicaux répondirent à l’appel de leurs frères serbes de Bosnie. Jugeant la politique de Milosevic trop conciliante, parfois timorée et souvent complaisante à l’égard des puissances occidentales, Vojislav Seselj dénonce avec force les compromissions ainsi que les ingérences répétées de l’ONU, de l’OSCE, de l’UE et de l’OTAN. Sa notoriété au sein de la société serbe inquiète bientôt Bruxelles, Berlin, Paris, Londres et Washington d’autant que le SRS participe par intermittence – au gré des retournements politiques de Milosevic – à ses gouvernements.
L’indéniable popularité de Seselj agace les Occidentaux qui établissent en 1993 via une lamentable résolution du Conseil de sécurité de l’ONU, un « Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie » (TPIY). Pur héritier de ceux de Nuremberg et de Tokyo, cette instance entend poursuivre, juger et condamner de soi-disant « criminels de guerre », en particulier s’ils sont serbes et croates. Soutenu par un Occident amnésique et déjà bien dégénéré, ce TPIY devient un instrument redoutable contre les affirmations nationales et populaires renaissantes. « Nulle neutralité à en attendre : un tel tribunal ne saurait se détacher du politique et donc œuvrer à une paix équilibrée. Bien au contraire, en niant la part irrésistible du politique dans les relations internationales, une institution judiciaire aboutirait à des résultats opposés à ses attentes. Il n’y aurait aucune impartialité à espérer d’un tel objet juridique, immanquablement manipulé par ceux ayant les moyens de le faire (1). » Le procureur auprès du TPIY émet un mandat d’arrêt contre Seselj qui, en février 2003, choisit (à la surprise générale !) de se rendre à La Haye aux Pays-Bas, siège du TPIY. Un internement préventif d’une douzaine d’années commence dans la prison ultra-sécurisée de Scheveningen.
Avant d’aller à La Haye, Vojislav Seselj organisa un triumvirat constitué de son épouse, de Tomislav Nikolic et d’Aleksandar Vucic pour diriger le parti. Or, en 2008, las d’être toujours battu aux élections, Nikolic et Vucic fomentent une scission et fondent le SNS qui se définit national-conservateur pro-européen. La modération revendiquée du nouveau parti est appréciée par les Serbes qui élisent en 2012 Nikolic à la présidence, puis portent au pouvoir Vucic deux ans plus tard.
Une parodie de justice
Il est très probable que cette trahison a décuplé l’ardeur de Vojislav Seselj devant ses juges mondialistes. Juriste et enseignant de droit, l’ancien maire de Zemun, une commune de la banlieue de Belgrade, entre 1996 et 1998 met en œuvre une véritable défense de rupture. Cette stratégie de prétoire fut théorisée par l’avocat français Jacques Vergès. Celui-ci estimait que « la stratégie de rupture s’oppose fondamentalement à la stratégie de connivence. […] Le procès de connivence est le procès classique. C’est le procès dans lequel juges, accusé, accusateur public sont d’accord sur les principes. Par rapport à ceux-ci, il s’agit donc seulement de discuter du degré de responsabilité de l’accusé. […] À aucun moment, il n’est question de discuter du bien-fondé des principes que la société invoque pour condamner le racolage, le vol ou le meurtre. Or, par rapport à cela, il y a des moments dans l’histoire d’une société où le conflit est plus fondamental. C’est le cas chaque fois que l’accusé rejette les principes que partagent l’immense majorité des membres de la société où il se trouve (2) ». Vojislav Seselj est un extraordinaire exemple pour tous les futurs accusés d’opinion à venir de l’Occident « totalimaire », de la pseudo-UE et de l’Hexagone libéral-sociétaliste.
Cette lutte inégale, digne du combat entre David et Goliath – Moloch mondialiste, prouve l’inanité d’un système judiciaire à vocation internationale. Il fut déjà dénoncé par Maurice Bardèche dans Nuremberg ou la Terre promise (1948) et Nuremberg ou Les Faux-Monnayeurs (1950). Plus récemment, d’autres juristes s’indignèrent du fonctionnement de ce pitoyable machin judiciaire. Pour preuve, « le contenu du règlement révèle des atteintes inadmissibles aux principes les plus élémentaires de la procédure pénale, s’indigne François Terré. Maintes dispositions exorbitantes caractérisent la procédure retenue, par exemple quant à la protection des témoins (3) ». L’auteur évoque aussi « le recours à des démarches indignes : dissimulation de documents, tromperies et ruses pour attirer des personnages prêts à coopérer à l’œuvre dite de justice […]. Pis : marchandage avec un gouvernement consistant à promettre, en quelque sorte, une “ rançon ” pour la livraison de Milosevic. Si la Yougoslavie, ou ce qui en restait, n’avait pas été aux abois, elle n’aurait probablement pas aidé le transfert de Milosevic. La justice a ses raisons que l’argent ne comprend pas (4) ».
En détention, Vojislav Seselj se joue de ses accusateurs publics. Récusant tout avocat et exigeant au contraire de se défendre lui-même, il contraint par une sévère grève de la faim en novembre 2006 le TPIY à accepter sa revendication légitime. Il ose ainsi affronter un « droit international pénal [… qui] vise l’universalisme abstrait d’un nouvel ordre international prétendument pacifié sous couvert de criminalisation de la guerre dite d’agression (5) ». Vojislav Seselj entreprend une véritable guérilla juridique et extra-judiciaire. « Dans le prétoire, où il se trouvait en tant qu’accusé mais aussi en qualité d’avocat, il a très clairement expliqué sa position, rapporte la journaliste étatsunienne Marlise Simons. Depuis sa reddition en 2003, il n’a eu de cesse de répéter qu’il utilisait la Cour comme une tribune politique parce qu’elle était “ avant tout un tribunal politique ” créé par l’Occident pour punir la Serbie. “ Le seul moyen de vous affronter est donc de présenter des discours politiques plus intelligents que les vôtres ”, ajoutait-il (6). » Seselj méprise les représentants judiciaires du mondialisme occidental : il ne se lève pas à leur entrée puisqu’il ne reconnaît pas leur légitimité et leut tient tête au point d’être condamné à diverses reprises à un total de cinquante mois de prison pour « offenses à la Cour ».
Une intense et belle guérilla judiciaire
Cette attitude conflictuelle renforce sans cesse un Vojislav Seselj atteint d’un cancer du colon. « Je méprise cette Cour. Je suis là pour vous briser. […] Ma santé en pâtira sans doute, mais je me délecte. Je m’amuse comme jamais (7). » Il oppose à ses détracteurs de si solides arguments qu’en novembre 2014, le TPIY le libère enfin. Les habituelles ligues de (petite) vertu droit-de-l’hommiste, d’habitude si promptes à fustiger une supposée sévérité judiciaire à l’encontre de telle ou telle racaille des banlieues de l’immigration, conservent un pesant silence à propos de cet innocent embastillé. Ces associations subventionnées anti-discriminatoires se félicitent de l’application croissante d’une scandaleuse discrimination. Après 1919, « le droit international est détourné par le droit pénal puisque dans le Pacte de la SdN l’ennemi est désigné comme agresseur. Ce qui veut dire que les concepts du droit international s’imprègnent de droit pénal et criminel. C’est une logique discriminatoire qui l’emporte, alors que la logique du jus publicum europaeum était non-discriminatoire. L’agresseur devient un criminel (8.) ».
Le cas de Vojislav Seselj démontre surtout que « la justice internationale que nous avons instituée définit bien les crimes soumis à sa juridiction (crimes contre l’humanité, génocides, crimes de guerre), mais elle ne poursuit pas, loin s’en faut, tous les criminels sur lesquels pèse cette charge : elle poursuit seulement ceux que les circonstances diplomatiques lui permettent de saisir, et ceux dont le crime provoque dans l’opinion occidentale le plus d’indignation (9) ». Chantal Delsol prolonge les pertinentes remarques de son professeur Julien Freund qui proclamait dès 1965 qu’« il y a de l’imposture dans cette justice politique qui fait de tous les hommes, suivant qu’ils appartiennent à l’une ou l’autre catégorie sociale, ou bien des innocents ou bien des coupables. Non seulement “ aucun politique peut se flatter d’être innocent ” (Merleau-Ponty), mais aucun pays ne peut en remontrer aux autres sur le chapitre de ce qu’on appelle la morale collective ou sociale. Il est donc bien vrai que la culpabilité est surtout une arme politique servant à dégrader l’homme dans l’ennemi (10) ». Julien Freund craignait que « cette méthode des condamnations actuellement en l’honneur dans les relations internationales ne tourne pas à une parodie de justice (11) ». Or le procès de Vojislav Seselj fut une incroyable farce nuisible et coûteuse. La justice internationale avec le TPIY et la Cour pénale internationale (CPI), pratique l’impolitique. Pourquoi ? « Parce qu’elle est le tribunal de la morale davantage que du droit (12). » C’est donc avec raison que Vojislav Seselj « se présente comme l’homme qui a vaincu la justice internationale, “ une justice anti-serbe ” (13) ».
Les coups de butoir qu’il a affligés aux juges confirme ce qu’avançait Jacques Vergès : « Un procès de rupture à caractère politique éclaire les contradictions profondes de la société. Il sème le doute auprès de ses membres et entrave ainsi son bon fonctionnement (14). » Cette magistrale guérilla porte finalement ses fruits : le 31 mars 2016, le TPIY l’acquitte de tous les chefs d’inculpation. Certes, le parquet fit aussitôt appel. Il n’empêche qu’une très belle estocade venait d’être donné. Par une résistance quotidienne tenace, le nouvel acquitté, encore traité de « détenu » dans L’Obs du 28 avril 2016 (le contraire aurait étonné de la part des Drahi’s Boys), repousse seul « le désir d’instaurer un tribunal mondial et plus loin un gouvernement mondial répond à la nécessité de briser la puissance des gouvernements particuliers, en cas de crimes d’État (15) ». Il empêche de faire « perdre à la notion de guerre toute signification, parce qu’elle cesse d’être un acte d’hostilité politique pour devenir une entreprise policière (16) ». Son succès à La Haye, confirmée à Belgrade par les valeureux électeurs serbes, signifie une claque retentissante aux Oligarchies.
« Avec la justice internationale apparaissent des instances dotées de légitimité pour enlever les citoyens à la protection et à l’autorité de leur État, prévient Chantal Delsol. Les États perdent le monopole du commandement et du jugement (17). » Par une défense de rupture intégrale qui s’est révélée payante, le chef du SRS montre une voie difficile, héroïque et d’opposition complète à tout mondialisme, à toute « gouvernance planétaire », à tout cosmopolitisme mortifère. Il est indispensable de combattre le TPIY, la CPI et les autres tribunaux internationaux. N’oublions jamais qu’« un gouvernement mondial ne signifierait pas seulement la fin de la politique stricto sensu, comme gouvernement de la liberté des points de vue, mais aussi, et d’une autre manière, la fin de la politique lato sensu, comme gouvernement doté d’un monopole de la force légitime (18) ». Grâce à Vojislav Seselj, cette sinistre perspective est pour un temps freinée. Honneur à lui !
Georges Feltin-Tracol
Notes
1 : Julian Fernandez, « Du côté sombre de la Cour pénale internationale : revenir à Carl Schmitt ? », dans Serge Sur (sous la direction de), Carl Schmitt. Concepts et usages, CNRS Éditions, coll. « Biblis – Inédit », 2014, p. 161.
2 : « De la stratégie judiciaire », entretien avec Jacques Vergès, dans Krisis, « Stratégies ? », n° 10 – 11, avril 1992, pp. 54 – 55.
3 : François Terré, « Comment le TPI a permis à Milosevic de se poser en victime », dans Le Figaro, le 14 mars 2006.
4 : Idem.
5 : Valéry Prat, « De la criminalisation de la guerre : Carl Schmitt à Nuremberg, Carl Schmitt et Nuremberg », dans Carl Schmitt. Concepts et usages, op. cit., p. 136.
6 : Marlise Simons, « La Cour pénale internationale s’interroge sur ses procédures », supplément en français de The New York Times, dans Le Figaro, le 27 avril 2012.
7 : Idem.
8 : Valéry Prat, art. cit., p. 137. C’est nous qui soulignons.
9 : Chantal Delsol, La grande méprise, La Table ronde, coll. « Contretemps », 2004, pp. 17 – 18.
10 : Julien Freund, L’Essence du politique, Dalloz, 2004, p. 505.
11 : Idem.
12 : Chantal Delsol, op. cit., p. 62.
13 : Hélène Despic-Popovic, « Vojislav Seselj. L’encombrant boutefeu du nationalisme serbe », dansLibération, le 14 juillet 2015.
14 : Jacques Vergès, art. cit., p. 60.
15 : Chantal Delsol, op. cit., p. 65.
16 : Julien Freund, op. cit., p. 618.
17 : Chantal Delsol, op. cit., p. 127.
18 : Idem, p. 65.