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  • Le grand gagnant de la primaire est… Marine Le Pen !

    Le système des primaires recrée une république oligarchique et censitaire.

    De nombreuses voix ont judicieusement dénoncé, sur Boulevard Voltaire, la dénaturation de la Constitution gaullienne de 1958 qu’opère le système de la primaire, avec le contournement du suffrage universel direct.

    Certes, les médias ont essayé de nous convaincre que ce système passionnait les Français car le deuxième débat aurait rassemblé cinq millions de téléspectateurs. Certes, on nous prédit la participation de 3 à 4 millions de votants. Mais cela ne représente qu’une petite minorité du corps électoral : 10 % maximum.

    Surtout, les sondeurs et les politologues, comme M. Fourquet dans Le Figaro, commencent à reconnaître le décalage sociologique important entre cette minorité mobilisée par la primaire et le corps électoral entier. Une minorité où les retraités et les classes supérieures aisées sont surreprésentées.

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  • Comment répondre aux mensonges autour des attentats islamistes (argumentaire III) ?

    Les Identitaires publient des fiches argumentaires sur leur site web. Voici un extrait d’un troisième document qui propose de répondre aux mensonges autour des attentats islamistes. Il s’agit de répondre à l’assertion selon laquelle la majorité des musulmans sont modérés

    Ils disent souvent « La majorité des musulmans sont modérés ». Mais pourquoi le disent-ils ?

    Répétée tel un exorcisme, cette affirmation n’a jamais été prouvée. Elle vise à faire croire qu’il n’y aucune sympathie dans la communauté musulmane pour les motivations des terroristes ou les thèses islamistes. Cet argument permet de dissocier l’immigration et le djihadisme, en
    opposant «musulmans» et «islamistes». Pourtant, l’équation est simple : sans immigration musulmane, pas d’islamistes en France.

    Pourquoi c’est faux ? Dans les études d’opinion : 54% des musulmans de France sont pour une application «totale» ou «partielle» de la charia en France. Presque 30% d’entre eux souhaitent son application intégrale.

    Découvrir cette fiche-argumentaire : http://www.les-identitaires.com/2016/10/argumentaire-iii-majorite-musulmans-moderes

    http://fr.novopress.info/

  • Theresa May : "Les parlementaires doivent accepter ce que le peuple a décidé"

    C'est la moindre des choses mais cela va mieux en le disant :

    "La première ministre britannique Theresa May a mis en garde les parlementaires de son pays contre un blocage du Brexit, dans des déclarations publiées dimanche 6 novembre, après que la Haute Cour de Londres a jugé qu’ils devaient être consultés.

    Après cette décision rendue jeudi, le gouvernement conservateur a annoncé qu’il ferait appel devant la Cour suprême, et Mme May a affirmé maintenir son calendrier « inchangé ».

    « Le résultat a été clair. Il est légitime. Les parlementaires qui regrettent les résultats du référendum doivent accepter ce que le peuple a décidé », a déclaré Mme May, avant une visite en Inde.

    Impensable en France où Nicolas Sarkozy s'est assis sur le résultat du référendum de 2005 !

    Philippe Carhon

  • Guerre en Libye, terrorisme, crise des migrants, élections américaines, toutes les révélations de Julian Assange, le fondateur de WikiliLeaks

    « Mon analyse ? A Trump, il ne sera pas permis de gagner » explique Julian Assange dans une longue interview exclusive accordée à John Pilger, retransmise par Russia Today. « Parce que Trump a contre lui tout l’establishment, à l’exception des Évangélistes peut-être. »

    « Les banques, l’Intelligence, les fabricants d’armes, les dollars étrangers… tous ils soutiennent Hillary Clinton. Et aussi les médias, les propriétaires des médias et les journalistes eux-mêmes. »

    Dans ce long entretien, il revient également sur la guerre en Libye et le rôle déterminant d’Hillary Clinton dans son déclenchement, sur le soutien de l’Arabie Saoudite et du Qatar, alliés au Moyen-Orient de Washington, à Daesh qu’ils financent d’une main et à la Fondation Clinton qu’ils financent de l’autre, sur les interconnections entre eux tous.

    Julian Assange, fondateur de WikiLeaks, le lanceur d’alertes, vit depuis 2012 comme un réfugié à l’Ambassade d’Équateur à Londres. Condamné à ne pas sortir de l’ambassade pour se protéger des persécutions des États-Unis et des lourdes poursuites judiciaires engagées contre lui, il termine en beauté en énonçant une vérité qui contrevient à la pensée unique  :

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  • Dans le nouveau numéro (n°44, sortie mardi prochain) de Synthèse nationale : un entretien avec Steven Bissuel, porte parole du GUD

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  • L’élection présidentielle US pourrait-elle se dérouler en trois temps ?

    Bernard Plouvier

    En dehors des USA et à quelques jours du scrutin, toutes les opinions publiques semblent accorder du crédit aux sondages tirés des intentions de vote recueillies auprès de citoyens US interrogés de-ci de-là. Pourtant, le nombre total de suffrages apportés à un candidat par l’ensemble de la Nation US ne compte pas en pratique : c’est le vote à l’intérieur de chacun des 50 États de l’Union qui, seul, importe.

    Et ce jeu se joue en deux temps… avec la possibilité, cette fois-ci, d’un troisième, qui servirait d’illustration à un proverbe bien connu : « La vengeance est un plat qui se mange froid ».

    Le 8 novembre, dans chaque État de l’Union, devrait être désigné par une majorité de citoyens un ticket gagnant (présidentiable et vice-présidentiable). Toutefois, le système électoral US étant tout sauf simple, c’est le 3 janvier 2017 que les gouverneurs de chaque État présideront l’assemblée des grands électeurs qui feront connaître leur choix, conforme en théorie au vote majoritaire… sauf gros scandale avéré !

    Et c’est là que le bât blesse. Outre le fait que Dame Hillary est manifestement malade - ses malaises peuvent évoquer une maladie cardiaque ou neurologique responsable d’une hypotension artérielle orthostatique, ce qui, vu son âge, pourrait faire redouter un accident vasculaire cérébral à échéance indéterminée (scénario du 2e mandat de Thomas Woodrow Wilson ou du 4e de Franklin Delano Roosevelt) -, la candidate est très fortement suspectée de culpabilité dans deux affaires jugées monstrueuses aux States.

    La première (dans laquelle la légèreté d’Obama semble impliquée) correspond à de graves indiscrétions, et de façon répétée, à propos de secrets d’État. Il est possible que la quasi-Présidente se soit comportée comme une vulgaire femelle indiscrète, mais ce qui n’est que faiblement ou moyennement important en matière de secrets privés peut s’avérer d’une gravité capitale en ce qui concerne les affaires d’État en une période de très forte tension avec le monde mahométan, la Chine et la Russie… excusez du peu !

    La seconde, plus canaille encore, est l’abus de bien social – une banalité dans les mœurs de la Ve Ripoublique française, on le reconnait volontiers, mais l’opinion publique US adore se comporter en moralisatrice. En l’occurrence, l’accusation est celle de détournement à des fins privées (notamment pour le financement de campagnes électorales) de fonds provenant d’œuvres caritatives.

    Si le scandale passe de l’état de rumeur à celui de certitude, rien n’empêche les grands électeurs, le 3 janvier 2017, de déclasser Dame Hillary au profit de son colistier, le falot (il a été choisi à dessein) Timothy Kaine, catholique à la fois libéral et traditionnaliste selon les sujets, réputé honnête, adoré des Latinos et bon père de famille. Sauf imprévisible mutation en homme d’État d’un juriste intelligent (et délicieusement roublard), mais fort piètre communicateur, le Congrès se ferait une joie de transformer ce Président au rabais en inaugurateur des chrysanthèmes.

    Si d’aventure Dame Hillary était néanmoins élue Présidente, pourrait alors se jouer le 3e temps du match. Le Congrès pourrait déclencher une procédure d’Impeachment… ce qui est licite dès le premier jour d’exercice du Président et même entre sa proclamation et son entrée en fonction !

    Le Parti de l’éléphant compte nombre d’honorables parlementaires dotés d’une excellente mémoire. Après tout, Richard Nixon, qui fut objectivement un excellent Président, a été victime d’un Impeachment pour une pratique d’usage très courant en France depuis le Front Populaire : le brave Léon Blum avait placé sur table d’écoutes non seulement les lignes téléphoniques de ses adversaires politiques, mais aussi celles de certains de ses ministres… on a fait beaucoup mieux depuis.

    En résumé, l’élection US, capitale pour l’avenir européen immédiat, est beaucoup moins simple qu’il n’y paraît et semble pouvoir nous réserver quelques surprises.

    Pour amateurs : U.S. News – CNN.com et U.S. News – NBC News ; on y trouve le pire de la propagande globalo-mondialiste, mais aussi, de loin en loin, quelques réflexions intéressantes.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Corruption et impunité : le livre qui accuse l’ONU

    Livre-Corruption-ONU-220x350.jpgFRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie: Un récent livre, UNsilenced :UNmasking the United Nations’ Culture of Cover-ups, Corruption and Impunity (AuthorHouseUk) dénonce l’impunité dont bénéficie l’ONU face à la corruption qui règne à tous les étages de l’organisme international.

    Son auteur, Rasna Warah, écrivain et journaliste kényane, a été attaché de rédaction à l’ONU de 1994 à 2009. Elle connaît donc la maison de l’intérieur. Dans le cadre de sa mission, elle a pu constater que des services de l’ONU « fabriquent des données » afin de justifier leur travail au sein de l’organisme international. Preuves à l’appui, la journaliste affirme par exemple que des rapports sur les « famines » en Somalie ont été créés de toutes pièces par l’organisme international qui s’est ensuite servi de ce qu’elle appelle « l’effet CNN » pour orienter judicieusement l’action des politiques et créer ainsi un financement de masse, avec de substantiels détournements afférents.

    Les agences de l’ONU profitent du malheur des populations, quand elles ne le créent pas. Ces agences ont ainsi l’habitude d’inonder les marchés africains de denrées gratuites au moment de la récolte, ce qui fait chuter les prix et incite les producteurs locaux à aller faire autre chose. Avec, au bout du compte, une dépendance accrue des populations, non seulement par rapport à ces agences, financées par le contribuable occidental, mais aussi, et c’est sans doute le but final, par rapport aux grands groupes internationaux de distribution.

    Rasna Warah raconte dans son livre, comment on a tenté de la faire taire.Attaques, menaces, intimidations, humiliations publiques, tous les moyens ont été bons pour la dissuader de dénoncer publiquement les malversations dont elle a été témoin. L’ONU agit de la même manière à l’encontre de tous les lanceurs d’alerte qui la mettent en cause, affirme Mme Warah. Ainsi, d’Anders Kompass, après qu’il avait révélé de nombreux cas de viols d’enfants par des « soldats de la paix » en Afrique. Mme Warah, qui se qualifie elle‑même « de gauche » note que bien des médias refusent de critiquer l’ONU, de peur d’être assimilés à l’« extrême droite ».

    http://fr.novopress.info/