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  • Le faux scud de la protection sociale

    Chef de gouvernement par intérim, Bernard Cazeneuve a prononcé ce 13 décembre, un discours dit de politique générale. Puis, sans que la constitution lui en face l'obligation il a posé la question de confiance aux parlementaires. Quoique biodégradable en 130 jours, ce vote lui fut largement favorable.

    Tout son argumentaire positif avait reposé sur l'apologie sans faille d'un quinquennat, pourtant calamiteux. Et malgré cela, il a reçu le soutien de députés que l'on étiquette comme frondeurs.

    C'est qu'en réalité le véritable contexte de cette intervention l'inscrit dans la campagne présidentielle. Il s'agit, surtout, d'une une opération de survie de la gauche et du parti socialiste.

    L'épisode électoral est commencé : à droite et chez Mélenchon, au FN comme chez Macron. Reste la cinquième roue du carrosse politique : celle qui s'identifie encore à Hollande, à Valls et aux restes du parti d'Épinay.

    Or le nouveau premier ministre, un homme qui passe pour courtois et fin, en privé, d'origine radicale socialiste, frère humaniste salué, par Valls, de ce titre bien symbolique le 6 décembre, lors de la passation de pouvoirs à Matignon a désigné sa cible de façon très lourde, pour ne pas dire grossière.

    L'attaque est venue sur un aspect, d'ailleurs, ponctuel de la question de la protection sociale. On doit se souvenir que Chirac en septembre 1995 avait formulé le dogme de son rôle prétendument fondateur de l'identité française, dogme central de tous les immobilismes.

    Et c'est naturellement sur le candidat de la droite que l'on va voir se concentrer désormais les attaques de la gauche et, plus généralement, de ce grand parti immobiliste français, le premier parti de France depuis le regretté Queuille (1884-1970), le modèle de Chirac, l'ami de Mitterrand, et de quelques autres grands Corréziens.

    Plébiscité, sur son programme, par les électeurs qui se sont déplacés les 20 et 27 novembre, vainqueur imprévu des sondages, Fillon n'a cependant pas tardé à se voir caricaturé.

    Les attaques sournoises des scuds ont été lancées aussi bien par les artilleurs de la gauche que par les sous-mariniers qui naviguent encore dans les eaux troubles du post-chiraquisme. Les vieux crocodiles qui se sont camouflés dans ces marigots stagnants sont plus faciles à identifier qu'on le croit. Dans leur ambiguïté même les propos de Juppé, ralliant du bout des lèvres son vainqueur au soir du 27 novembre, se révélaient d'une clarté aussi lumineuse que perverse. Son combat continue, en effet, pour sauver l'immobilité au nom de ce qu'il appelle l'identité heureuse.

    Les jours précédents, le Juppé n'avait pas hésité à lancer un scud parfaitement malhonnête, cherchant à diviser la droite. Accusé d’ambiguïté sur l’avortement, n’appréciant pas les attaques "inqualifiables" portées par son rival, Fillon avait déjà déploré qu’Alain Juppé "tombe aussi bas" et lui a répondu dans des termes qui semblent avoir convaincu les électeurs de droite.

    François Fillon doit certainement savoir qu'il va affronter bien pire et le scud sur la sécurité sociale n'est sans doute qu'un hors-d’œuvre. Qu'il démine le terrain se comprend, qu'il recule sur d'autres terrains serait difficilement admissible.

    Avant même d'être attaqué par le premier ministre, avant même l'énormité de la réduction à "quelques mois" selon Cazeneuve d'une nécessaire diminution d'effectifs des trois fonctions publiques prévue, dans le programme de la droite, pour être étalée sur 5 ans, ce même programme avait été descendu en flèche par Macron dans son meeting survolté de la Porte de Versailles.

    L'ancien collègue de Marisol Touraine s'est cru autorisé à promettre : "Pas un seul soin utile ne sera déremboursé". Ah ! comme on aurait aimé entendre aussi : "Pas un seul soin inutile ne sera plus remboursé".

    Tous ces laudateurs du système ont beaucoup de chance. Ou bien ils bénéficient de généreuses assurances complémentaires abondées par leurs entreprises, ou bien ils n'ont besoin ni de lunettes ni de prothèses dentaires.

    Au moment où se lance l'action de groupe contre le scandale de la Dépakine il pourrait paraître surprenant de présenter comme infaillible un système qui prend eau de toutes parts.

    Et pourtant cette forme d'imbécillité et d'imposture, parfois ça peut marcher. Les Français n'ont-ils pas élu Hollande en 2012 ?

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/

  • GéoPôles N°10 La France face à la nouvelle géopolitique du monde actuel avec Bernard Antony

  • Angela Merkel enfin mise à nu

    Angela Merkel sème le vent en Europe et récolte la tempête. La lubie migratoire de la chancelière en fer blanc s’est transformée an dictature multiculturelle obligatoire (les allemands doivent s’adapter, pas l’inverse) dans la logique Soros-Obama, même si cette hydre à deux têtes est maintenant à l’agonie.

    Angela Merkel est une énigme. Voyez la vie de son père, venu de l’ouest pour jouer au pasteur à l’est, qui disposait de deux voitures de fonction et d’une totale liberté de mouvement. Pion communiste, Merkel ensuite joue à la chrétienne démocrate, avant de trahir Helmut Kohl et de s’imposer comme candidat néocon aux ordres de Washington, alors que son second mari bosse pour une boîte (Accelrys) liée au Pentagone et cotée au Nasdaq. Tout cela se vérifie sur Wikipédia, pas besoin de faire jouer la théorie de la transpiration qu’on laissera à la presse-système.

    Qui veut comprendre Merkel doit lire sa lettre au Washington Post, publiée le 20 février 2003. Je cite la future qui écrit en anglais. Merkel, télécommandée par le méphitique agent d’influence Jeffrey Gedmin, y étale son adoration pour Bush et menace la France trop rebelle de Jacques Chirac et Dominique de Villepin.

    “The United States is the only remaining superpower, but even so it will have to rely on dependable partners over the long term. Germany needs its friendship with France, but the benefits of that friendship can be realized only in close association with our old and new European partners, and within the transatlantic alliance with the United States.”

    La caporale reprend le lemme du vétuste modèle thatchérien (There is no alternative) :

    « There is no acceptable alternative to this way forward at the beginning of this new epoch.”

    La Merkel devait saboter le lien entre Paris, Berlin et Moscou, et c’est pourquoi elle fut mise au pouvoir, alors qu’impopulaire elle n’avait pas gagné les élections. Depuis elle fut réélue grâce aux résultats économiques des réformes adoptées en leur temps par le chancelier Schroeder, ami de la Russie d’ailleurs !

    Autoritaire et humanitaire (ça va ensemble), Merkel incarne le péril féministe ; voyez L’Express qui évoque dans une manchette débile ces femmes qui sauvent le monde. En réalité si nous avions eu Hillary Clinton au pouvoir, nous aurions déjà la guerre mondiale. Merkel incarne l’esprit de la nursery décrit en 1921 par Chesterton lors de son voyage en Amérique (What I saw in America, voyez sur Gutenberg.org). Pour Chesterton la féministe (la fasciste ou la bolchéviste au féminin) considère le citoyen comme un enfant, plus comme un citoyen.

    Je cite le maître qui s’exprime dans un anglais de gazette :

    “And as there can be no laws or liberties in a nursery, the extension of feminism means that there shall be no more laws or liberties in a state than there are in a nursery. The woman does not really regard men as citizens but as children. She may, if she is a humanitarian, love all mankind; but she does not respect it.

    La trique dans une main, les rares sucreries dans l’autre. Les peuples en Europe sont en effet toujours traités comme des enfants, et menacés s’ils se montrent récalcitrants. Les arguments de nos élites reproduisent en continu cet insupportable schéma matriarcal (matriarcal et non maternel comme on va voir).

    Lagarde est là pour financer l’Ukraine, Clinton la guerre, Merkel incarne la soumission et le TTIP ; Theresa May est mise là pour liquider le Brexit. Le fascisme à la sauce mondiale prend un visage féministe. Car le féminisme est une métastase du totalitarisme postmoderne. On retrouve comme toujours Tocqueville et son pouvoir prévoyant, tutélaire et doux, qui cherche à nous fixer dans l’enfance. Ces froides fonctionnaires sans enfant remplissent nûment leur tâche ingrate, oubliant au passage que l’homme a été créé égal à la femme !

    On espère se débarrasser de Merkel en 2017 avec M. Seehofer. L’analyste américain Wayne Madsen écrivait à ce propos :

    « Avec les rêves euro-atlantistes des mondialistes quotidiennement brisés, Seehofer voit évidemment sa chance de prendre la barre de l’Allemagne des mains d’une Merkel de plus en plus impopulaire et de diriger le pays vers un «atterrissage en douceur» à la suite de la dissolution de l’UE.»

    Et ce n’est pas encore fait hélas. Le système étatique allemand accable les contribuables, poursuit les internautes, persécute les familles, relâche les violeurs (voyez l’intervention de Poutine à ce sujet). Il devient tyrannique pour appuyer la dérive de la chancelière muée en femme la plus impuissante du monde, car les gros animaux blessés sont les plus dangereux.

    Le système Juncker-Merkel-Schultz (Schultz est le « kapo » de Silvio Berlusconi, dernier PM élu en Italie) repose sur l’anéantissement de la citoyenneté. Il n’est pas encore aplati. Espérons que les Allemands se réveillent pour la liberté européenne, celle qui repose sur la solidarité des peuples et l’amitié avec la Russie, pas sur la guerre avec Moscou et une bureaucratie de bunker.

    http://www.voxnr.com/7176/angela-merkel-enfin-mise-a-nu

  • Résistance des crèches : Wauquiez et la christianophobie

    8758-20161217.jpgTrépignant de colère et brandissant la menace du tribunal, les enragés de la fausse laïcité (mais authentique christianophobie) se déchaînent depuis mardi contre le nouveau président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez. Son « crime » ? Avoir osé installer une crèche de 14 m2 au pied du sapin de Noël, dans le hall d’entrée de l’hôtel de région à Lyon.

    On aurait pu penser que le spectacle – véritable ravissement pour les yeux – de cette centaine de petits santons vaquant à leurs occupations au milieu de la reconstitution d’un village provençal typique aurait pu, à lui seul, attendrir un tant soit peu même les plus excités des « bouffeurs de curés ». Mais c’était oublier bien vite que, comme les djihadistes de l’EI dynamitant les symboles chrétiens en Orient, certains héritiers des sans-culottes aimeraient bien en faire autant en France.

    Véritable « provocation » pour les élus du groupe socialiste, dont le président Jean-François Debat s’est même exclamé : « Cette crèche n’a rien à faire là » !« Caprice en même temps qu’une provocation à la laïcité et à la loi de 1905 », pour les élus du PRG… Chacun y est allé de sa petite condamnation fielleuse. Et jusqu’au secrétaire d’Etat Juliette Méadel, qui a estimé jeudi que Wauquiez avait « perdu la raison », avant de rappeler que « jusqu’à nouvel ordre, la laïcité fait que dans l’espace public, il n’y a pas de manifestations religieuses ».

    Autant de gens qui, étrangement, restent silencieux lorsqu’Anne Hidalgo fête chaque année, à la mairie de Paris et avec l’argent public, le Ramadan ou encore Roch Hachana !

    La menace sur la laïcité, c’est le salafisme

    Cependant, à trop vouloir démontrer la prétendue illégalité de cette crèche, certains laïcistes se sont ridiculisés eux-mêmes. Comme Sarah Boukaala, la présidente du groupe PRG qui, citant l’arrêt rendu en novembre dernier par le Conseil d’Etat, s’est vue répondre par Laurent Wauquiez : « Le Conseil d’Etat a lui-même indiqué qu’on avait parfaitement la possibilité [d’installer une crèche dans un lieu public] dès lors que c’était dans une dimension culturelle, ce qui est notre cas, dans une dimension historique, ce qui est notre cas, en plongeant dans les racines de notre région, ce qui est notre cas. » Et Wauquiez de demander alors très justement : « Au nom de quoi est-ce qu’on va s’excuser de nos traditions ? »

    Mieux : réaffirmant pour ceux qui font mine de l’ignorer que la crèche de Noël ne constitue en rien une « menace pour la laïcité », le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes a alors judicieusement rappelé que

    « la menace sur la laïcité en France, c’est la burqa, le salafisme, les femmes dans les quartiers qui font l’objet d’oppression. »

    Franck Deletraz

    Article et dessin parus dans Présent daté du 18 décembre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Gardez-nous de la "droite". Quant aux gauchistes, on s'en charge

    De François Billot de Lochner à propos de la droite liberticide :

    "La droite française, à tort ou à raison, a la réputation d’être la plus bête du monde. Est-elle aussi la plus liberticide ? Les dernières péripéties relatives à l’information concernant l’avortement tend à le démontrer de façon implacable, mais commençons par le commencement.

    Piqué par on ne sait quelle mouche liberticidement venimeuse, le bon Pleven, ministre droitier du conservateur Pompidou, fit voter en 1972 une loi objectivement liberticide, car ouvrant de nouveaux volets répressifs concernant la liberté d’expression. Comme la loi ne définissait pas précisément le contenu des actes répréhensibles, elle permettait  tous les abus en termes de répression. Loi de droite, mais exception bien française dans les pays développés.

    La mouche venimeuse n’ayant pas rendu l’âme, elle se précipita sur le bon Raffarin, ministre droitier d’un Jacques Chirac théoriquement droitier, et le piqua de son venin communément appelé liberticidor. Notre Raffarin fit donc voter dans l’urgence, en 2004, une loi également liberticide. Au moment du vote, le rédacteur en chef du Nouvel Observateur expliqua fort justement qu’il s’agissait d’une loi unique en son genre dans le monde, mis à part dans les pays de dictature. Cette loi inique comprenait un volet que n’aurait pas renié le bon Joseph, dit Petit Père des Peuples : la création de la sinistrissime Halde, sorte de Tribunal illégitime présidé par le sombrissime Louis Schweitzer. La Halde, pure aberration idéologique, sera certes amendée ultérieurement, mais sera laissé intact le reste de la loi. Loi de droite, mais exception bien française dans les pays développés.

    La droite ne pouvait en rester là : toujours plus loin, toujours plus fort. L’on vit donc le Sénat, de droite, avaliser récemment la pire loi que l’on puisse imaginer en matière de liberté d’expression. De façon schématique : ceux qui informeront dans un sens, même s’ils disent la vérité, seront poursuivis et condamnés ; ceux qui informeront en sens inverse, même si ce qu’ils disent est faux, ne seront pas poursuivis. Il s’agit, bien sûr, de l’invraisemblable loi relative à l’information sur l’avortement. Le Sénat, de droite, pouvait s’y opposer : il a voté la loi, exception bien française dans les pays développés…

    Pour achever ce panorama dans la joie et la bonne humeur, la justice vient d’interdire d’interdire le film pornographique Sausage party : allez, les douze ans, régalez-vous librement de toutes les perversités sexuelles possibles. Et le catholique  Retailleau, l’un des principaux collaborateurs de Fillon, vient d’interdire une crèche dans l’hôtel du département de Vendée : moi, Retailleau, décrète qu’il n’y a pas de liberté pour les chrétiens d’extérioriser Noël, même en Vendée !

    Une « droite » stupide, peut-être, liberticide, très certainement : avec de tels amis, inutile de se chercher des ennemis…"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Qui a laissé Daech regrouper 5.000 djihadistes près de Palmyre… en passant inaperçus?

    Après avoir regroupé leurs forces, plus de 5000 djihadistes, dont certains en provenance de Mossoul, sont entrés dans Palmyre en utilisant des voitures piégées et des kamikazes. Le directeur de l'Institut des études stratégiques de Damas dévoile à Sputnik à qui sont les satellites et le matériel militaire qui leur ont permis d'entrer dans la ville. 
    Plus de 5 000 djihadistes, avançant dans trois directions, du nord, de l'est et du sud, sont entrés dans Palmyre, une cité reprise à Daech en mars 2016. La manœuvre de djihadistes est devenue possible notamment parce que les frappes de la coalition sur Raqqa ont été suspendues cette semaine.
    À l'heure actuelle, l'armée syrienne se trouve près de la ville, les forces gouvernementales ayant également réussi à évacuer la plupart des civils de Palmyre et se regrouper. Les troupes syriennes mènent en ce moment des combats défensifs et dans les heures qui viennent l’armée va passer à la contre-attaque, raconte à Sputnik le Dr Taleb Ibrahim, directeur adjoint de l'Institut des études stratégiques de Damas.
    Même si la plupart des civils ont été évacués par l’armée gouvernementale, il reste selon ses estimations entre 300 et 500 personnes sur place.
    D’où viennent ces 5 000 djihadistes? 
    Les terroristes se sont réunis près de Palmyre en provenance de lieux différents, y compris de Mossoul, une ville qui n'a d’ailleurs pas encore été reprise par la coalition menée par les États-Unis alors même qu'ils projetaient d'y lever le drapeau du vainqueur le 8 novembre, jour de l’élection américaine, et l'envisagent maintenant pour le 20 janvier, jour de l’investiture de Donald Trump. Du coup, détail intéressant pour les terroristes s’abritant dans Palmyre, la coalition a ouvert un corridor grâce auquel ils se sont retrouvés… justement dans Palmyre.
    Quant à l’attaque, elle a été soudaine selon le spécialiste. Près de 5 000 combattants de Daech sont entrés dans la ville et l’armée syrienne s'est montrée incapable de repousser l’attaque tout de suite, toutes ses forces étant centrées sur Alep.
    Mais le facteur principal de la défaite a été, selon Taleb Ibrahim, la stratégie de Daech: les djihadistes l’appellent « l’attaque des frelons ». Au début, ils forment de petits groupes pour ensuite entamer des séries d’attaques jusqu’à ce qu’ils prennent le contrôle de l’armée.
    Mais alors que Daech est confronté à au moins deux grandes offensives dans Mossoul, au nord de l’Irak et à Raqqa, la « capitale » des terroristes en Syrie, d’où viennent ces 5 000 combattants ? 
    « Je crois que Daech coopère avec le renseignement. Il y a quelques jours seulement, ils n'auraient pas pu organiser une telle offensive. Tout le monde sait que les Forces démocratiques syriennes s’apprêtaient à attaquer Raqqa. Alors, ils ont organisé une rencontre avec les représentants des États-Unis pour discuter d'un plan d’action. Et soudain, tout a été annulé et Daech a reçu le feu vert pour la prendre Palmyre. 
    Et d’ajouter: « Je pense que l'attaque contre Raqqa a été annulée suite à l’ordre de quelqu'un au sein des services de renseignement américain ou du Moyen-Orient ».
    « Entre 4 et 5 000 personnes ainsi que des centaines de chars et de matériel militaire ont été impliqués dans l’offensive. Mais c’était impossible à faire, car des avions, des satellites et d'autres outils d'observation de la coalition se trouvaient à Raqqa. Comment les combattant de Daech ont-ils réussi à passer inaperçus? Je suis sûr que Daech coopère avec la CIA et d'autres agences de renseignement au Moyen-Orient », conclut le directeur adjoint de l'Institut des études stratégiques de Damas. 
    Source
    http://www.oragesdacier.info/2016/12/qui-laisse-daech-regrouper-5000.html

  • Livre Libre - G.Collard / Alain Paucard : Manuel de résistance à l'art contemporain