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#LeVraiFillon : quand François Fillon efface son programme...
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Avortement : Marion Maréchal Le Pen ne lâche rien
Invitée d'Europe 1, Marion Maréchal-Le Pen est revenue sur la question du remboursement de l'avortement, qui provoque l'hystérie du système politico-médiatique et de Florian Philippot.
"Je m’en tiens à la position qui était celle du Front national en 2012. Et à partir de là, c’est l’occasion pour Marine Le Pen de rappeler qu’elle ne souhaitait pas intégrer cette partie-là à son programme, voulant éviter, je pense, et probablement à juste titre, un sujet qui est malheureusement profondément tabou en France". "J’ai des convictions, je n’en changerai pas, même si elles ne sont pas forcément majoritaires en France". "Je ne pense pas que Marine Le Pen ait changé de position".
Marion Maréchal-Le Pen : "Je ne pense pas que... par Europe1fr -
Syrie : les rebelles capitulent et évacuent Alep
Acculés, les rebelles d’Alep ont accepté un accord de cessez-le-feu avec les forces loyalistes qui leur permet de quitter la ville avec leurs armes.
LES COMBATTANTS rebelles d’Alep-Est ont fini par plier. Après quatre semaines de combats, soumis aux pilonnages de l’artillerie et à des bombardements intensifs de l’aviation russe, les insurgés avaient perdu tout espoir de résister militairement plus longtemps à l’offensive des forces loyalistes. Ils ont accepté, ce mardi d’évacuer les derniers quartiers qu’ils contrôlaient encore, en échange d’un sauf-conduit. L’accord, annoncé mardi soir, a été conclu sous la houlette de la Russie et de la Turquie, soutiens respectifs du régime de Bachar al-Assad et de la rébellion. Le cessez-le-feu est entré en vigueur dès ce mardi soir, et les premières évacuations sont prévues pendant la nuit. Les civils et les blessés devraient être évacués en premier, suivis par les combattants rebelles, qui seront autorisés à conserver leurs armes individuelles. Les civils et les blessés devaient être évacués en premier, suivis par les combattants rebelles, qui seront autorisés à conserver leurs armes individuelles. Ils pourront ensuite choisir d’aller dans les parties de la province d’Alep encore aux mains de la rébellion ou bien vers la province d’Idlib, dans le Nord, tenue par une coalition de groupes djihadistes.
Ahrar al-Cham, autre influent groupe rebelle islamiste, a confirmé l’accord d’évacuation en précisant que les civils puis les rebelles seraient transportés en bus vers ces régions. Cette évacuation met un terme à une bataille longue de six ans pour le contrôle de la deuxième ville de Syrie, qui avait commencé en juillet 2012 avec l’entrée des rebelles dans les quartiers Est de l’agglomération.[....]
La suite sur Le Figaro.fr
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Syrie-les-rebelles-capitulent-et
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Le traitement des clandestins n’est pas le même en Algérie qu’en France
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Le tabou majeur du politiquement correct : l'avortement
D'Eric Letty dans le dernier numéro de Monde & Vie :
"La « vérité » démocratique est si relative, évolutive et changeante, qu’un acte comme l’avortement, qui voilà quarante ans était considéré et puni comme un crime, est regardé aujourd’hui comme un droit « fondamental », si précieux que non seulement l’opposition, mais la simple recherche d’une alternative à la mort de l’enfant devient délictueuse. Ce « sujet de société », qui est un enjeu de civilisation, représente aujourd’hui le tabou majeur du politiquement correct.
Lors de la primaire de la droite, Alain Juppé, fort de l’appui du tribunal médiatique, a agressé sur ce thème François Fillon, qui jurait pourtant, la main sur le cœur, avoir voté toutes les lois socialistes aggravant le carnage des enfants français. Malgré ces gages, il s’était rendu suspect en déclarant que « philosophiquement » et « compte tenu de [sa] foi personnelle » il n’approuvait pas l’avortement, sans pour autant vouloir y porter atteinte: « Je suis capable de faire une différence entre ces convictions et l’intérêt général ». En somme, l’ancien premier ministre est convaincu en son for interne que cet acte est intrinsèquement mauvais, mais non moins persuadé en son for externe – qui s’accorde merveilleusement avec sa carrière politique – qu’il est excellent pour l’intérêt général. Admirable grand écart ! En 1945, les accusés du procès de Nuremberg auraient dû penser à cette fine distinction : Auschwitz, j’étais contre, mais en mon for interne…
On a récemment vu aussi Marine Le Pen désavouer sa nièce Marion, « coupable » d’avoir annoncé qu’en cas de victoire à la présidentielle le Front national reviendrait sur le remboursement de l’avortement, qui range la grossesse au rang des maladies graves et traite l’enfant à naître comme une tumeur pernicieuse. « Que les choses soient très claires, je ne remettrai pas en cause l’accès à l’IVG, de quelque manière que ce soit », a rectifié sur TF1 la présidente du Front national. Nous en prenons note.
La gauche, elle, s’acharne contre la vie. En janvier dernier, elle avait supprimé le délai de réflexion qui précédait un avortement. Onze mois plus tard, elle fait voter une loi liberticide – une de plus –, condamnant le prétendu « délit d’entrave à l’avortement » sur Internet, pour censurer toute opposition à son idéologie mortifère et empêcher de dissuader les jeunes mères de laisser tuer leur enfant dans leur sein. Le caractère totalitaire de ce projet a inquiété même des journalistes de gauche aussi peu suspects d’être « pro-vie » que ceux de Charlie Hebdo.
Mgr Pontier, président de la Conférence des évêques de France, a également protesté dans une lettre adressée à François Hollande. Le gouvernement en déroute de ce président déchu est pourtant parvenu à faire voter ce texte par les chambres grâce à l’abstention de nombreux parlementaires prétendument de droite, tandis que les centristes bêlaient au cul des socialistes.
Cette nouvelle offensive coïncide avec le début de l’Avent. Est-ce un hasard ? La furie avec laquelle Marisol Touraine et Laurence Rossignol accomplissent leur œuvre létale ne peut pas s’expliquer seulement par des mobiles politiques. On devine là une intention religieuse. En organisant le massacre des innocents, c’est Dieu que ces hérodiennes cherchent à tuer. La marche pour la vie organisée le 22 janvier prochain donnera l’occasion aux défenseurs des enfants à naître de riposter en montrant qu’ils ne se laissent pas intimider. Dire non au totalitarisme, c’est déjà résister."
Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Rennes : Robert Ménard lundi prochain 19 décembre
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Le Génocide des Amérindiens - L'Histoire abrégée #10
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Chômeurs contre migrants à Croisilles, dans le Pas-de-Calais
Croisilles, ses 1 900 habitants, ses champs, ses migrants et Lilian Thuram… C’est avec stupeur que les habitants de la paisible commune ont appris lors du démantèlement de la Jungle de Calais que le maire socialiste du village avait donné son accord pour accueillir trente Soudanais dans un CAO (Centre d’accueil et d’orientation) implanté dans l’ancien EPHAD (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes). Prestataire retenu pour gérer ce centre, l’association loi de 1901 La Vie Active, deuxième employeur du Pas-de-Calais et gestionnaire du campement de la jungle de Calais, venant en aide aux personnes en difficultés sociales ou handicapées et qui aujourd’hui se recycle dans le marché très subventionné de l’accueil des « migrants ».
A Croisilles, la population s’est vite mobilisée contre l’implantation de ces illégaux. Une page Facebook a été créée, des manifestations organisées, le refus clairement exprimé devant les autorités municipales et préfectorales. Peine perdue, comme en Ile-de-France, la préfète passe outre et interdit les manifestations. Elle a même retourné le porte-parole du collectif Non aux migrants à Croisilles ! Le prêtre de la paroisse est aussi de la partie et va jusqu’à dénoncer, dans une réunion publique, un « pugilat » anti-migrants. La presse locale relaie pour s’en prendre aux « extrémistes », car la mobilisation populaire a reçu le soutien des mouvements identitaires.
Pour conforter tout ce beau monde, le 14 novembre, Manuel Valls, alors encore Premier ministre, est venu remettre le statut de réfugié à trois clandestins soudanais en déclarant : « L’immense majorité des personnes qui étaient à Calais obtiendront le statut de réfugié. » Lesquels sont réellement des réfugiés ? D’après la complaisante ONG Médecins du monde, seuls 13,7 % d’entre eux viennent de zones en conflit. Il paraît que les autres sont maintenant des « réfugiés climatiques »… un concept élastique bien pratique pour expliquer qu’il faut les accueillir à n’importe quel prix. Car ceux qui organisent des festivités pour l’arrivée des cars ne sont pas tous des bénévoles, mais majoritairement des salariés de ces organisations dites caritatives commandités pour lutter contre « la haine et la peur ».
Sans aucun sens de la mesure ni de la provocation, le 10 décembre, Lilian Thuram – un des footballeurs les mieux payés du monde avec 58 millions d’euros revendiqués en 2016 –, vient pour un match à Croisilles avec les Soudanais. Associations, ministre, footballeur, à croire que la commune est devenue une sorte de laboratoire expérimental pour l’implantation des clandestins. Dans la région de France la plus touchée par le chômage, les habitants de Croisilles ont juste le droit de se taire.
Clovis Just
Article paru dans Présent daté du 15 décembre 2016