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  • Clause Molière: C’est pas français que tu me causes, c’est de la peine

    La clause Molière,  ce« stratagème inventé par un élu d’Angoulême (Vincent You), pour contourner la directive Bolkestein » sur les travailleurs détachés fait débat au sein de la classe politique et à l’intérieur même des partis constate Eugénie Bastié dans Le Figaro. « Il s’agit d’un ajout dans les contrats de chantiers publics stipulant que les travailleurs doivent maîtriser le français, pour des raisons de sécurité, à moins de payer un interprète. Cela permet d’éviter le recours aux travailleurs détachés, sans subir l’accusation de discrimination ». « Elle est soutenue désormais par cinq régions de droite ( Pays de la Loire, Hauts-de-France, Normandie, Auvergne-Rhône-Alpes et Ile-de-France), une région de gauche (Centre Val-de-Loire), cinq départements et de nombreuses villes. (…) François Fillon va devoir faire un choix : Valérie Pécresse, Bruno Retailleau, Hervé Morin, Laurent Wauquiez et Xavier Bertrand  l’ont appliqué au niveau local. » Mais le député européen « Elisabeth Morin-Chartier somme François Fillon de ne pas l’intégrer dans son programme (…), elle lui demande de ne pas tomber dans le piège du repli nationaliste dans lequel le Front National veut enferrer notre pays. La France doit continuer à rayonner par son ouverture (sic), affirme cette proche de Raffarin.»

    Dans Les Echos, le très européiste éditorialiste Jean-Françis Pécresse s’inquiète lui aussi de cette exigence linguistique. Il est vrai que celui-ci expliquait très sérieusement dans un précédent éditorial malignement  titré (« Quand Le Pen ment à la terre », kolossale finesse…)  que les agriculteurs paupérisés, martyrisés, ruinés par nos gouvernements soumis à la politique bruxelloise seraient des abrutis finis de «suivre les prescriptions nationalistes de Marine Le Pen, laquelle a franchi une étape, hier, dans l’europhobie en promettant de  franciser  les aides versées dans le cadre de la politique agricole commune (PAC) ». M. Pécresse ferait bien de quitter son bureau, de franchir le périphérique et d’aller parler avec nos paysans, agriculteurs, éleveurs qui crèvent du fait de la politique antinationale menée par ses amis idéologiques plutôt  que de relayer poussivement  une vieille propagande déconnectée de la réalité.

    Pareillement, Jean-Françis Pécresse est vent debout contre la clause Molière qu’il baptise « clause Tartuffe » en ce qu’elle serait, horresco referens, « l’avatar d’un protectionnisme honteux qui gagne la droite aujourd’hui, comme hier la gauche de gouvernement, l’une et l’autre paraissant ainsi céder à ce populisme antieuropéen sur lequel prospère, pour sa part sans aucun complexe, l’extrême droite (…). Car ce qui se joue dans cette préférence nationale déguisée, que ne renierait pas Donald Trump, c’est bien le sort des libertés fondamentales sur lesquelles l’Europe s’est construite (sic), la liberté de circuler et de travailler dans cet espace commun que l’on appelle l’Union européenne (…). » Et l’éditorialiste d'évoquer de vieilles lunes : « plutôt que de participer au jeu de massacre européen, nos dirigeants politiques feraient mieux de prôner une solution européenne aux excès du travail détaché : c’est le but de la révision de la directive que de bannir (sic) le dumping social en égalisant les rémunérations, primes comprises. Améliorer l’Europe plutôt que de la rejeter, c’est ce qui doit toujours séparer la droite de l’extrême droite.»

    Bruno Gollnisch le notait il y a déjà plusieurs années, « après la concurrence avec le reste du monde, la concurrence entre entreprises, l’Europe consacre maintenant la concurrence entre travailleurs européens, indépendants ou salariés, et donc la concurrence entre systèmes sociaux. Elle va dans le mur. La véritable révolution consisterait, entre autres, à affirmer explicitement la primauté de l’application sur le territoire d’un État membre de son droit national, notamment de son droit du travail national, de ses droits social, pénal, fiscal nationaux. C’est-à-dire le principe du pays de destination, par opposition au principe du pays d’origine.. La révolution consisterait également à accepter que les États puissent poser des conditions à l’accès à certaines activités, comme la situation du marché de l’emploi ou des raisons d’aménagement du territoire. Ils n’ont pas cette possibilité. »

    Enfin, n'en déplaise au syndicat de faillite qui berce nos compatriotes avec sa longue plainte sur l’effacement inéluctable de la France dans le magma eurofédéraste, nous souhaitons nous aussi améliorer  l’Europe. Ce qui passe par la remise à plat de l’aberrante usine à gaz bruxelloise, une prison des peuples qui a mise à mal notre prospérité, notre sécurité, notre identité, notre souveraineté. Une Europe bruxelloise foncièrement, essentiellement antieuropéenne, étrangère à son génie. Alors oui, nous entendons refonder une Europe des patries, de la libre coopération, c’est en effet cela qui nous sépare d’un personnel politicien pusillanime, frileux, soumis, par renoncement ou consentement, aux oukases euromondialistes.

    Invité hier après-midi sur France Inter de l’émission des bobos occupant cette tranche horaire, Charline Vanhoenacker et Alex Vizorek, Bernard Pivot a accepté de bonne grâce de fustiger lui aussi, par grégarisme (?), cette clause Molière  dont la langue est aussi celle de  275 millions de francophones de par  le monde. L’ancien animateur d’Apostrophes  n’a pas eu d’autre choix que de dénoncer cette odieux cache-sexe de la « préférence nationale », rebaptisé « clause Pétain » par M. Vizorek, « clause Louis-Ferdinand Céline » par Mme Vanhoenacker. Tant de conformisme idiot, de bêtise crasse laisse sans voix. Deux journalistes certes assez caricaturaux de ce « goût du faux, du bidon, de la farcie connerie » que Céline dénonçait chez ses contemporains,  dans les foules modernes, mais qui est répandue, ô combien,  chez les prescripteurs d’opinions souvent assez incultes,  qui ingurgitent  la doxa officielle pour mieux la recracher; « ce sont les surfaces les plus lisses qui prennent le mieux la peinture » notait aussi l’écrivain-docteur Destouches…

    https://gollnisch.com/2017/03/15/clause-moliere-cest-francais-me-causes-cest-de-peine/

  • "Affaire Méric" : les patriotes bientôt au tribunal

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    Quatre ans après les faits, à savoir l'agression commise par une bande de nervis gauchistes contre des jeunes patriotes à Paris en juin 2013, l'affaire revient sur le devant de l'actualité. Estéban, victime du déchainement de la presse aux ordres et de la bien-pensance institutionnalisée, et trois de ses amis, vont bientôt être jugés.

    Rappelons que ce jeune, qualifié de skin par la presse, a déjà passé quinze mois en prison. Clément Méric, l'un des agresseurs "antifas", conditionnés par la police de la pensée, est décédé en tombant accidentellement sur un poteau. Voilà où mène le bourrage de crâne des médias "politiquement corrects".

    Nous vous tiendrons informés de la suite des événements et nous renouvelons notre entière solidarité avec nos camarades victimes de la répression du Système.

    Retour sur l'affaire cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les syndicats et les grands patrons d’accord pour s’opposer à la protection du travail des Français

    Les frères ennemis main dans la main pour refuser vigoureusement de protéger le travail des Français sur les chantiers. Alors que les dirigeants des multinationales n’ont jamais caché vouloir réduire les coûts et prioriser l’embauche étrangère, les syndicats font mine de vouloir protéger les travailleurs face à l’avidité des grands groupes. Mais lorsqu’une mesure de bon sens s’impose, les ennemis d’un jour se réunissent pour lutter ensemble contre le patriotisme économique.

    Paris – Le débat sur la « clause Molière », qui vise à imposer le français sur les chantiers dans certaines régions, a pris de l’ampleur mardi à quelques semaines de la présidentielle avec la prise de position du Medef et de plusieurs syndicats qui dénoncent une mesure « nationaliste ».

    Plusieurs régions principalement de droite (Ile-de-France, Hauts-de-France, Normandie, Auvergne-Rhône-Alpes…), mais aussi des villes ou départements (Haut-Rhin), ont imposé l’usage de la langue de Molière sur les chantiers dont ils sont maîtres d’oeuvre.

    L’obligation pour les ouvriers de parler français, ou pour les entreprises d’employer un traducteur, est présentée comme un moyen de réduire la distorsion de concurrence entre les entreprises nationales et étrangères, rendue possible par le travail détaché.  

    Dans le BTP, « une entreprise gagne un marché en faisant des prix anormalement bas puis fait appel à des sous-traitants étrangers pour pouvoir s’en sortir » , s’est ainsi justifié Hervé Morin, président UDI de la Normandie. Si la mesure est saluée par la Capeb (artisans du bâtiment), au nom de la lutte contre le « dumping social » , elle est en revanche contestée par le Medef.

    « Vous commencez comme ça, et puis après vous commencez à faire du favoritisme, et puis ensuite vous fermez les frontières françaises, et puis vous finissez par sortir de l’euro », a averti mardi Pierre Gattaz, conspuant les dérives « communautaire ou nationaliste».

    « La santé et la sécurité des salariés sont instrumentalisées » par les collectivités territoriales, avec une mesure qui « ne règle en rien la question du travail illégal » , a appuyé la CFDT. La CGT a dénoncé une intention « purement électoraliste » visant à marcher sur « les traces du Front national » , partisan de la préférence nationale.

    Il est « dommageable et même périlleux que ceux qui se prétendent de la droite républicaine suivent ces traces-là », a insisté mardi le numéro un de la CGT, Philippe Martinez.

    Source
    http://www.contre-info.com/les-syndicats-et-les-grands-patrons-daccord-pour-sopposer-a-la-protection-du-travail-des-francais#more-44080 |

  • Trump avait bien raison sur la Suède

    « Regardez ce qui s'est passé la nuit dernière (vendredi 17 février, NDLR) en Suède. La Suède ! Qui pourrait le croire ! la Suède ! Ils les ont accueillis en grand nombre, ils ont des problèmes qu'ils ne pensaient pas possibles ». Prononcée devant 3 à 4 000 fidèles rassemblés dans un hangar de Melbourne en Floride la phrase indicible de Trump a déclenché, d'un bout à l'autre de la planète les sarcasmes des média enchaînés contre ses "bobardsTrump invente un attentat en Suède » ricane La Croix avec des centaines d'autres canards.

    Karl Bild, habitué du Bilderberg, ancien Premier ministre Suédois, ancien délégué des Nations Unies en Bosnie, archétype de la droite la plus bête du monde twite aussitôt : « La Suède ? Un attentat ? Qu'est-ce qu'il a fumé ? ».

    Le Monde fantasme « Trump invente un attentat en Suède : le président des Etats-Unis a expliqué devant ses partisans qu'il était dangereux d'accueillir des réfugiés. Il a étayé ses propos en sous-entendant que la Suède, pays particulièrement accueillant, avait subi un attentat la veille au soir ». On voit bien qui ment et affabule nulle part Trump ne fait état d'attentat, de massacre ou de fusillade. Il dit simplement qu'il s'est passé quelque chose en Suède. Immédiatement tous les journaux du monde interrogent les porte-parole de la police, les responsables politiques et des journalistes du Système. Tous s'empressent d'affirmer qu'il ne s'est rien passé « hier soir » en Suède. En fait la seule erreur de Trump est d'avoir donné une date. Il se passe des incidents, tous les soirs, dans un grand nombre de quartiers des villes de Suède qui possèdent elles aussi leurs zones de non-droit - dénoncées par la bureaucratie et les média dominants comme inexistants, affabules par les idéologies racistes qui prétendent que les pompiers n'y entrent pas sans escorte policière et les policiers s'y font agresser.

    Tous les journaux qui se sont attaqués à Trump dans cette affaire et l'ont copieusement insulté pour avoir, prétendaient-ils, « inventé un attentat », ont cité une interview de Fox News. Tucker Carleson, journaliste très connu de la chaîne pour ses idées "conservatrices" - ce qui signifie dans le langage du Huffington Post, du New York Times ou du Washington Post qu'il privilégie les « faits alternatifs » ou la désinformation - avait invité un reporter du New York Times, Juif, sioniste convaincu ayant fait une partie de ses études en Israël, Ami Horowitz. Deux jours avant l'intervention de Trump, il expliqua donc qu'il s'était rendu en décembre en Suède afin de vérifier la réalité de ces territoires contrôlés par les immigrés, qu'il avait été interdit de tournage, menacé, insulté, tabassé dans la banlieue de Stockholm de Husby où se trouve implantée une forte communauté musulmane en provenance de l'Erythrée, de l'Afghanistan et de l'Irak. En août 2013 y éclatèrent des émeutes raciales. 129 automobiles y furent brûlées, des garages incendiés, de violentes échauffourées opposèrent immigrés et police.

    Or les propos de Horowitz furent contestés par les média, la classe politique et même la police, prétendant que tout se passait magnifiquement bien en Suède et que les immigrés s'assimilaient parfaitement. Il existe cependant sur Internet d'innombrables vidéos et cassettes audio qui montrent le degré de violence dans lequel ce pays a sombré depuis que l'immigration de masse a été instaurée, les frontières ouvertes à la migration islamique et les forces de l'ordre et la justice ont pour consigne impérative de prendre systématiquement la défense des populations en déshérence nouvellement arrivées.

    Un islamiste forcené

    Le Figaro titre « Donald Trump a sans doute inventé un attentat en Suède en regardant la Fox ». C'est le site Internet Vox.com qui est à l'origine de ce bobard médiatique. Vox a été créé par un ancien éditorialiste du quotidien gauchiste Washington Post, Ezra Klein, juif originaire du Brésil, qui à toujours évolué à l'extrême gauche du Parti Démocrate. C'est là que se situe Vox.com. En l'occurrence il diffusa ce qu'il présenta comme une intox « Si vous passez un peu de temps sur les sites extrémistes et islamophobes il y a une histoire très claire autour de la Suède: le nombre de viols de Suédoises par des immigrés musulmans aurait augmenté de façon considérable ». Prétendant que l'histoire avait été inventée par Breitbart.com « dirigé par le conseiller spécial de Trump », Steven Bannon, bien que celui-ci ait démissionné de son poste il y a plus de 7 mois. L'article explique que le commentateur de télévision Tucker Carlson, de la Fox (« Chaîne conservatrice ») « interviewait le journaliste du New York Times Ami Horowitz, lequel avait affirmé que "depuis le début de la crise des réfugiés, la Suède avait enregistré une hausse du nombre de viols et de violences par armes à feu"». Evidemment Vox.com est bien informé. Les viols imputés aux migrants sont inventés, il le sait. Il a ses sources. Par exemple le Globe&-Mail, quotidien canadien de référence, propriété des milliardaires Barons Thomson of Fket. Le directeur de l'édition britannique du G&M, Doug Saunders, est un solide islamophile modèle coranique. Il est d'ailleurs l'auteur d'un livre intitulé : « Le mythe de la marée islamique » dans lequel il soutient que « la démographie musulmane ne pose aucun problème aux pays dans lesquels les musulmans s'installent ». Que « les immigrants venus des pays islamiques ne risquent pas de nous submerger ». Qu'ils « ne deviendront jamais une majorité en Europe ». Qu'ils « ne seront jamais un groupe culturel d'étrangers dominants aux Etats-Unis ». Qu'en « Occident ils n'auront jamais les comportements arriérés qu'on leur connaît au Pakistan ou au Moyen Orient ». Certes « en Amérique ils feront passer leur religion avant leur pays. Mais cela ne sera pas plus un problème que pour les Chrétiens ». Face à ceux qui assurent que « les musulmans pauvres déferlent de régions surpeuplées vers l'Europe », Saunders conteste que ces légions soient surpeuplées. Il nie absolument que « les immigrants musulmans détestent les sociétés dans lesquelles ils s'installent ». Ou « qu'ils soutiennent le terrorisme ». Il reconnaît « qu'ils sont devenus si nombreux en Grande-Bretagne, que le prénom le plus répandu pour un nouveau né est Mohammed ». Mais ne considère pas que cela soit un problème.

    C'est donc le même théoricien qui conteste qu'il y ait quelque augmentation des violences en Suède depuis le début de la vague d'immigrants musulmans. En particulier dans le domaine des violences sexuelles où l'envolée spectaculaire des statistiques est aussitôt minimisée par les islamophiles et par les sociologues. L'ennui est que même la réalité des chiffres, aisément vérifiable sur Internet - au risque de passer pour complotiste - dit tout le contraire et donne raison àTrump.

    Les jeunes somaliens de Stockholm donnent raison à Trump

    En 2016 les crimes contre les personnes ont augmenté de 275 000 soit 7 %. Mais les experts disent que ces données n'ont pas de valeur et qu'il faut calculer sur des périodes de 10 à 20 ans. Soit : prenons les viols qui en 2016 ont augmenté de 13 % pour atteindre 6 560 (On imagine sans peine qu'il y a plus de Suédoises blanches violées par des Somaliens que de femmes somaliennes violées par des Blancs.). En 2014 on comptait 6700 viols. Mais 5920 (-12 % en 2015). Sauf que, au cours de la dernière décennie, entre 2006 et 2016, les viols sont passés de 4208 à 6560 annuellement. C'est là qu'interviennent nos providentiels experts afin de démontrer que l'implosion des migrants musulmans - dont par ailleurs les mêmes nous expliquent qu'il est normal qu'il y ait plus de violeurs parmi eux parce qu'ils sont jeunes, célibataires et sans le sou, n'est pas la cause de cette croissance exponentielle des violences. C'est parce que de nouvelles lois ont entretemps élargi la définition du viol. Et c'est la même raison qui expliquerait la multiplication des agressions sexuelles qui au cours de la même période ont crû de 20 % - passant de 8 840 à 10 500, alors qu'en 2014 elles atteignaient 9 640.

    « En 2016, nous explique-t-on, il y a eu énormément de débats sur les attaques sexuelles et sur les attaques sexuelles et l'immigration. Nous avons appris grâce à la recherche que, dans ces années où il y a plus de débats sur ces sujets, le nombre de crimes déclarés augmente ». C'est simple. Il suffisait d'y penser. Ce n'est pas qu'il y a plus de viols. C'est que les victimes pensent à les déclarer.

    Au cours du même entretien, interrogé par Carleson sur les raisons qui ont poussé les Suédois à accueillir de telles masses de "réfugiés", Horowitz répond sans hésitation « Ils se prennent pour une superpuissance humanitaire... Ils considèrent qu'ils ont un devoir moral d'ouvrir leurs frontières à tous ceux qui désirent venir chez eux ».

    Deux jours après l'intervention de Trump, de violents troubles éclataient dans le quartier de Rinkeby à Stockholm à forte population musulmane. Des voitures et du mobilier urbain étaient brûlés, des magasins détruits et pillés, des forces de police et des pompiers harcelés par une centaine de jeunes Somaliens. La police dut tirer à balles réelles contre des émeu-tiers qui utilisaient des cocktails molotovs et jetaient sur elle toutes sortes de projectiles. Le plus cocasse est que le matin même le New York Times sortait avec ce titre qui résume mieux qu'un long article la justesse des critiques du président contre les média menteurs : « Trump poursuit ses attaques contre la Suède sans aucune preuve ».

    Le Washington Post qui appartient à Jeff Bezos, propriétaire d'Amazon, 5e fortune dans le monde - aussitôt prenait la défense des immigrants accusant Trump d'avoir par ses propos provoqué la colère des pauvres immigrés et d'être ainsi responsable des derniers événements. Une nouvelle stratégie se dessine. Désormais le seul fait de condamner les désordres qui s'étendent à toutes les villes multiraciales des pays d'origine européenne en voie de colonisation, suffit à faire des dirigeants de ces pays des racistes susceptibles de poursuites pour avoir susciter la réaction légitime des hors-la-loi qui se sont installés de force chez eux.

    Horowitz donnera de plus amples informations sur l'enquête qu'il aura menée dans différents quartiers immigrés de Suède dans lesquels il aura été pris à partie par ces derniers lui refusant de filmer. Bien entendu les responsables locaux, et en particulier la police, prétendirent qu'il avait largement exagéré les incidents. Il est cependant facile de visionner sur Internet des vidéos tournées par plusieurs cinéastes - notamment l'équipe australienne de Channel 9 de la journaliste Liz Hayes (« 60 minutes ») violemment prise à partie dans le quartier de Rinkeby (« Little Somaliland ») par une bande de jeunes somaliens. Un journaliste suédois de NRK, Anders Magnus, connut la même mésaventure au printemps dernier -. D'une manière générale les média de masse exercent une sorte d’omerta sur de tels événements en accord avec le gouvernement socialiste, selon le principe énoncé par Horowitz de « la superpuissance humanitaire ». D'où l'universelle condamnation qui a accompagné les propos de Trump.

    Mais la loi du silence est en train de craquer.

    Jim Reeves. Rivarol du 2 mars 2017

  • JEUDI PROCHAIN 16 MARS : SAMUEL MARTIN, DU QUOTIDIEN "PRÉSENT", INVITÉ DE SYNTHÈSE SUR RADIO LIBERTÉS

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  • Vive l'Europe - Yvan Benedetti et Daniel Conversano, le nationalisme et la Tradition

  • Je ne veux pas de vos 500 euros, Monsieur Macron, par Thibault Damilly

    Ce soir, j’ai trouvé un tract « Emmanuel Macron, le candidat du travail » dans ma boîte aux lettres. J’ai résisté au réflexe de le jeter immédiatement au feu et je l’ai ouvert. Pour Monsieur Macron, les Français (en a-t-il déjà vu ?) semblent n’avoir pas d’autre horizon que celui de l’argent gagné et aussitôt dépensé : ce tract ne parle que d’économie.En voici la première proposition :

    « Je supprimerai des cotisations payées par les salariés. Tous les travailleurs verront leurs revenus et leur pouvoir d’achat augmenter. Résultat : 250 € par an de gain de pouvoir d’achat pour un salarié au SMIC. Près de 500 € par an pour un salarié à 2000 € par mois. »

    J’ai bien lu ? Il me promet 500 € par an ? Lui qui déclare par ailleurs que l’immigration est une chance ?

    500€ par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de ce que me coûte l’école privée de ma fille pour lui éviter de connaître trop tôt les joies du vivre-ensemble ?

    500€ par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de ce que je paie pour une alarme avec intervention destinée à protéger ma maison des cambriolages qui touchent tout mon village ?

    500€ par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de la voiture que ma femme a dû acheter pour aller au travail depuis qu’elle ne veut plus prendre les transports en commun suite à une agression ?

    500 € par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de ce que je dois payer pour la moindre visite médicale dans une clinique qui ne ressemble pas à un hôpital du tiers-monde ?

    500 € par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de la semaine de vacances hors de prix que je paie à ma famille parce que la station balnéaire populaire de mon enfance est devenue aussi invivable que Trappes ?

    500€ par an enfin ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de l’emprunt sur 25 ans que j’ai dû contracter pour pouvoir vivre dans un coin où je ne me sente pas étranger dans mon propre pays ? Coin qui ne s’avère pas si tranquille puisque visiblement, on ne peut plus être tranquille nulle part en France !

    Tout Français a l’intuition que le coût global de l’immigration est exorbitant mais aucune des études sur le sujet ne s’accordent puisque toutes sont militantes, que ce soit pro ou anti-immigration. Mais une chose est sûre, chacun est capable de faire le bilan de ce que lui coûte cette stratégie permanente de l’évitement. Logement, école privée, assurances, alarme, porte blindée, santé, transports : ce coût est écrasant et une grande partie des Français ne peut tout simplement pas se le permettre.

    Monsieur Macron, je ne suis pas un mendiant qui vote pour un candidat qui lui promet quelques centaines d’euros à la fin de l’année. Non. Ce que j’attends de la personne qui va diriger la France est beaucoup plus simple et doit vous paraître fou, inouï, révolutionnaire : je veux vivre honnêtement de mon travail, paisiblement avec ma famille et dans un pays qui reste le mien.

    Thibault Damilly

    Texte publié par Les Identitaires

    http://fr.novopress.info/204239/je-ne-veux-pas-de-vos-500-euros-monsieur-macron-par-thibault-damilly-identitaires/

  • Si l'UNAF avait pris position pour la loi Taubira, la Cour des comptes lui reprocherait-elle d'avoir donné son avis?

    Dans un rapport sur l'UNAF, la Cour des Comptes critique sa prise de position :

    "Cette omniprésence conduit I'UNAF à délivrer des avis sur toutes sortes de sujets, dans de nombreux domaines. Elle intervient certes au premier chef sur tous les textes ayant trait à la famille, à son environnement ou aux aspects sociaux et fiscaux la concernant, mais aussi sur des projets de réforme qui peuvent apparaître parfois aux franges de celle-ci (substitution éventuelle d'une TVA sociale aux cotisations en vue de faire évoluer le financement de la protection sociale ; contributions dans le cadre de la préparation du projet de refondation de l'école ; projet de « mariage pour tous », qui a fait l'objet d'un avis négatif de sa part, etc.). Mais son champ d'intervention est très loin de se limiter à des thématiques familiales, même entendues de manière large."

    La définition du mariage serait "aux franges" des problématiques familiales ?!

    Entre le rabbin Bernheim, le cardinal Barbarin, Frigide Barjot... malheur à ceux qui se sont opposés à la loi Taubira. La gauche leur fera payer cher.

    Michel Janva

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