Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Des ex-musulmans devenus catholiques, écrivent à Sa Sainteté le pape François

    Des ex-musulmans devenus catholiques, et leurs amis, à Sa Sainteté le pape François, au sujet de son attitude vis-à-vis de l’islam.

    "Très Saint Père,

    Plusieurs d’entre nous, à maintes reprises, et depuis plusieurs années, avons cherché à vous contacter, et nous n’avons jamais reçu le moindre accusé de réception de nos lettres ou demandes de rencontre. Vous n’aimez pas les mondanités, et nous non plus, aussi permettez-nous de vous dire très franchement que nous ne comprenons pas votre enseignement au sujet de l’islam, tel que nous le lisons par exemple dans les paragraphes 252 et 253 de Evangelii gaudium, parce qu’il ne rend pas compte du fait que l’islam venant APRÈS le Christ, est, et ne peut être qu’un Antichrist (Cf. 1 Jn 2.22), et l’un des plus dangereux qui soient du fait qu’il se présente comme l’accomplissement de la Révélation (dont Jésus n’aurait été qu’un prophète). Si l’islam est en lui-même une bonne religion, comme vous semblez l’enseigner, pourquoi sommes-nous devenus catholiques ? Vos propos ne remettent-ils pas en cause le bienfondé du choix que nous avons fait… au péril de notre vie ? L’islam prescrit le meurtre des apostats (Coran 4.89 ; 8.7-11), l’ignorez-vous ? Comment est-il possible de comparer la violence islamique et la prétendue violence chrétienne ?! « Quel rapport entre le Christ et Satan ? Quelle union entre la lumière et les ténèbres ? Quelle association entre le fidèle et l’infidèle ?(2 Co 6.14-17) » Conformément à Son enseignement (Lc 14.26), nous L’avons préféré, Lui, le Christ, à notre propre vie. Ne sommes-nous pas bien placés pour vous parler de l’islam ?

    En réalité, du moment que l’islam veut que nous soyons son ennemi, nous le sommes, et toutes nos protestations d’amitié n’y pourront rien changer. En bon Antichrist, l’islam n’existe qu’en étant l’ennemi de tous : « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul ! (Coran 60.4) ». Pour le Coran, les chrétiens « ne sont qu’impureté (Coran 9.28) », « les pires de la Création (Coran 98.6) », tous condamnés à l’Enfer (Coran 4.48), aussi Allah doit-il les exterminer (Coran 9.30). Il ne faut pas se laisser abuser par les versets coraniques réputés tolérants, car ils ont tous été abrogés par le verset du Sabre (Coran 9.5). Alors que l’Évangile annonce la bonne nouvelle de Jésus mort et ressuscité pour le salut de tous, accomplissement de l’Alliance initiée dans le peuple hébreu, Allah n’a rien d’autre à proposer que la guerre et le meurtre des « infidèles » en échange de son paradis : « Ils combattent dans le chemin d’Allah, ils tuent et se font tuer. (Coran 9.111) ». Nous ne faisons pas d’amalgame entre islam et musulmans, mais si pour vous le « dialogue » est la voie de la paix, pour l’islam il est une autre façon de faire la guerre. Aussi, comme il l’a été face au nazisme et au communisme, l’angélisme face à l’islam est suicidaire et très dangereux. Comment parler de paix et cautionner l’islam, ainsi que vous semblez le faire : « Arracher de nos cœurs la maladie qui empoisonne nos vies (…) Que ceux qui sont chrétiens le fassent avec la Bible et que ceux qui sont musulmans le fassent avec le Coran. (Rome, 20 janvier 2014) » ? Que le Pape semble proposer le Coran comme voie de salut, n’est-ce pas inquiétant ? Devrions-nous retourner à l’islam ?

    Nous vous supplions de ne pas chercher en l’islam un allié dans le combat que vous menez contre les puissances qui qui veulent dominer et asservir le monde, car ils sont tous en réalité dans une même logique totalitaire, fondée sur le rejet de la royauté du Christ (Lc 4.7). Nous savons que la Bête de l’Apocalypse cherchant à dévorer la Femme et son Enfant, a plusieurs têtes… Allah défend d’ailleurs de telles alliances (Coran 5.51) ! Et surtout, les prophètes ont toujours reproché à Israël sa volonté d’alliance avec les puissances étrangères, au détriment de la confiance absolue qu’il faut avoir en Dieu. Certes, la tentation est forte de penser que tenir un discours islamophile épargnera un surcroît de souffrances aux chrétiens en pays devenus musulmans, mais outre que Jésus ne nous a jamais indiqué d’autre chemin que celui de la Croix, en sorte que nous devons y trouver notre joie, et non la fuir avec tous les damnés, nous ne doutons pas que seule la proclamation de la Vérité apporte avec le salut, la liberté (Jn 8.32). Notre devoir est de rendre témoignage à la vérité « à temps et à contretemps (2 Tm 4.2) », et notre gloire est de pouvoir dire avec saint Paul : « Je n’ai rien voulu savoir parmi vous, sinon Jésus Christ, et Jésus Christ crucifié. (1 Co 2.2) ». [Lire la suite]

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Immigration : 40 ans de trahisons pro-islamiques du Conseil d’Etat

    Sur toutes les questions liées à l’immigration et à l’islam, le Conseil d’État agit en institution islamo-gauchiste dédiée à la défense de l’immigration musulmane et à la défense du signe islamique en France. Et ce depuis quarante ans.
    1978Droit d’émigrer et de travailler en France sans contrat de travail. En 1978, le Conseil d’État a annulé la décision du gouvernement de lier le droit à immigrer en France à l’existence d’un contrat de travail. https://www.gisti.org/doc/plein-droit/53-54/j1.html
    1978Le droit au regroupement familial. Contre la décision du gouvernement qui entendait subordonner l’immigration aux fluctuations de la croissance, le Conseil d’État a jugé que les immigrés avaient le « droit à une vie de famille ». Les femmes et les enfants des travailleurs migrants ont donc été autorisés à venir, vivre et travailler en France comme s’ils étaient des citoyens français. À partir de cette date, le « regroupement familial » est devenue le principal vecteur d’une immigration de peuplement en France. https://www.gisti.org/doc/plein-droit/53-54/j2.html
    1980. Le droit à la polygamie. Le Conseil d’État estime que le fait de faire venir une seconde épouse ne heurte pas l’ordre public. Il faudra attendre 1993, pour qu’une loi annule l’arrêt dit Montcho du Conseil d’État. https://www.gisti.org/spip.php?article4160
    1985. Le droit à l’immigration illégale. Contre le gouvernement qui décide l’expulsion immédiate des travailleurs étrangers dont le contrat de travail a été annulé, le Conseil d’État impose un délai d’expulsion de 24 heures, suffisant pour permettre à un immigré légal de devenir un immigrant illégal permanent. https://www.gisti.org/doc/plein-droit/53-54/j4.html
    1989. Le voile islamique à l’école n’est pas « incompatible » avec la laïcité. En 1989, avec l’autorisation donnée aux écolières musulmanes de porter le voile islamique au collège, le Conseil d’État ouvre 15 ans de controverses. Il faudra attendre la loi de 2004 pour que le voile soit interdit à l’école. https://www.senat.fr/rap/l03-219/l03-2193.html
    2011. Le Conseil d’État fait la liste des cas (santé, économie…) ou l’argent public peut légalement être utilisé pour construire des mosquée, portant ainsi un coup de poignard quasi définitif à la loi de 1905 sur la laïcité. http://www.conseil-etat.fr/Actualites/Communiques/Le-Conseil-d-Etat-precise-l-interpretation-et-les-conditions-d-application-de-la-Loi-du-9-decembre-1905-concernant-la-separation-des-Eglises-et-de-l-Etat
    2013. Le Conseil d’État accorde aux mères voilées le droit de participer aux sorties scolaires. Les sorties scolaires étaient auparavant considérées comme une extension de l’école. La loi de 2004 qui interdit le voile islamique à l’école était donc appliquée aux mères voilées. En 2012, cependant, cette loi a été contournée et les mères voilées ont été autorisées à accompagner les élèves en sortie.http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/09/01/31001-20160901ARTFIG00123-sorties-scolaires-et-signes-religieux-la-lachete-de-najat-vallaud-belkacem.php
    2016. Le Conseil d’État a autorisé le port du burkini sur les plages toutes les fois où le risque de « trouble à l’ordre public » n’était pas avéré. Le Conseil d’État a ainsi estimé que le scandale suscité par une femme en burqini à Nice, quatre semaines après qu’un terroriste islamiste ait assassiné 82 personnes, n’était pas un désordre public.
    2016. Plus d’argent pour les « réfugiés ». Le Conseil d’État a jugé que l’État devait donner plus d’argent pour aider des dizaines de milliers de « réfugiés » à trouver un endroit pour dormir pendant que leurs dossiers étaient examinés par les agents d’immigration.
    2017. Une mégamosquée financée par le contribuable parisien à Paris. Le Conseil d’État a fourni une solution juridique au maire de Paris pour construire légalement une mosquée géante et en faire don pour 99 ans à une association islamique.http://www.ufal.org/laicite/mosquee-municipale-de-paris-18eme-quand-le-conseil-detat-suggere-de-contourner-la-loi/
    2017. Voile islamique dans les écoles d’infirmières. Le Conseil d’État a autorisé le port du voile islamique dans les établissements de formation des infirmières, annulant ainsi les règlements intérieurs qui interdisaient l’affichage ostensible de signes religieux.
    http://www.atlantico.fr/decryptage/port-voile-en-ecole-personnels-sante-conseil-etat-cede-nouvelle-fois-devant-ccif-guylain-chevrier-3130328.html
    2017. Douches publiques et toilettes pour les migrants. Le Conseil d’État a jugé que le gouvernement avait obligation de fournir des douches publiques et des toilettes publiques à Calais, où des milliers de jeunes hommes d’Afrique et du Moyen-Orient tentent chaque jour de traverser illégalement la Manche en direction de l’Angleterre. Cette décision est notamment fondée sur l’article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme, qui dispose que cette obligation ne vaut que pour les prisonniers de guerre. Le Conseil d’État considère-t-il l’Etat français comme un geôlier de migrants ?http://www.lavoixdunord.fr/205004/article/2017-08-16/l-etat-annonce-des-equipements-mobiles-calais
    La liste ci-dessus n’est pas exhaustive, mais les avis et arrêts du Conseil d’État en faveur de l’islam, de l’islamisme ainsi que les blocages de toute tentative de régulation de l’immigration ont eu et gardent un caractère systématique.
    Et vous vous demandez encore où est l’ennemi…
    Source 

    http://philippedelbauvre.blogspot.fr/

  • Politique / Légère baisse du chômage et polémique - Journal du Jeudi 28 Décembre 2017

  • La Vraie Droite contre-attaque !

    Recension du livre métapolitique de Daniel Friberg

    Ex: http://www.europemaxima.com

    2173318317.jpgÀ l’aube du XXIe siècle, certains s’imaginent, à tort, que la Gauche et la Droite sont deux clivages politiques dépassés. L’émergence de formations politiques ou métapolitiques transcourants pourrait en effet nous tromper. Pourtant il n’en n’est rien. Bien que des idées de gauche passent à droite et vice versa (1), il y aura toujours une Gauche et une Droite « éternelles », « métaphysiques »; une Gauche synonyme d’horizontalité et une Droite de verticalité.

    En cet âge sombre, où la confusion est reine, ces repères se trouvent donc parfois malmenés. Alors oui, il faut reconnaître que les frontières, dans certains cas, sont poreuses ou bien que le dialogue entre deux camps opposés est possible. L’histoire du Cercle Proudhon est d’ailleurs un bel exemple d’union sacrée. Néanmoins, il ne faut pas que le dialogue, ou l’emprunt de méthodes au camp adverse en vienne à modifier l’ADN des deux ensembles. Que Michel Onfray discute avec Alain de Benoist soit. Est-il devenu un homme de Droite pour autant ?

    Évoquer la Droite en France ramène toujours aux libéraux, au patronat, aux affairistes de tout poil, même s’ils présentent une pointe de conservatisme un peu réactionnaire aux yeux des plus progressistes. À ce titre, nombre de ténors de la Droite « classique » sont compatibles avec les idées sociétales du Parti socialisteet d’En Marche. Est-ce la Droite « classique » qui se rabat sur sa gauche ou n’est-elle pas, historiquement parlant, la véritable Gauche, celle qui naquit a de la Révolution bourgeoise de 1789 ?

    Dans ce cas-là, qu’en est-il de la véritable Droite ? Le Suédois Daniel Friberg, responsable des éditions Arktos, fondateur du groupe de réflexion métapolitique Motpol, et rédacteur européen de la plate-forme AltRight.com, s’est lui aussi posé cette question. Son livre, Le retour de la vraie droite, est désormais disponible en français. Ce petit recueil comporte six textes (en plus de la préface et de la postface) et d’un « dictionnaire métapolitique ».

    Dans son texte, « Le retour de la vraie Droite », l’auteur revient en premier lieu sur l’ascension culturelle de la Gauche et conqtate que « les idéaux de l’Occident ont subi une inversion totale, et des idées qui se situaient initialement à la périphérie de l’extrême gauche ont été élevées au rang de normes sociales qui prévalent aujourd’hui dans l’éducation, les médias, les institutions gouvernementales et les ONG privées (p. 2) ». Un tel résultat, nous explique l’auteur, n’aurait pas pu être possible sans « les sociologues et philosophes marxistes de l’Institut für Sozialforschung de Francfort [qui], au début du XXe siècle, visaient, au travers de la conception de la philosophie et leur analyse sociale sélective, à saper la confiance dans les valeurs et hiérarchies traditionnelles (p. 2) ». Sans doute que d’autres facteurs sont rentrés en ligne de compte concernant l’involution de l’Occident, et non pas uniquement des facteurs politiques, mais cela ne rentre peut-être pas dans la grille de lecture de l’auteur – ce qui n’enlève rien, par ailleurs, à la justesse de ses propos.

    Justement, Daniel Friberg souligne que cet essor de la Gauche culturelle (que l’on nomme parfois « marxisme culturel ») fut rendu possible par « trois facteurs principaux ». Tout d’abord, « après la Seconde Guerre mondiale, la Droite a été assimilée au camp des vaincus, en particulier au national-socialisme (p.5) ». Ensuite la « longue marche de la Gauche à travers les institutions […] s’est accélérée dans les années 1960 et 1970 et a culminé dans la mainmise sur les médias, les institutions culturelles et les systèmes éducatifs, c’est-à-dire sur les piliers de la société qui forment précisément les pensées et les opinions des gens (p. 5) ». Enfin, la « nouvelle Gauche a rejeté la classe ouvrière européenne, jugée incurablement réactionnaire par les minorités sexuelles et ethniques (p. 5) ». Mais le plus important reste que « cette évolution a coïncidé avec la montée de puissants nouveaux intérêts et courants économiques et politiques (p. 6) ». N’est-ce pas un résumé de la genèse du paradigme libéral-libertaire actuel ?

    Daniel Friberg relate ensuite brièvement l’émergence de la Nouvelle Droite. Est-ce bien nécessaire de revenir sur cet épisode sans doute bien connu du public français ? Dans tous les cas, son influence sur Daniel Friberg et certains de ses camarades déboucha sur la naissance de la Nouvelle Droite suédoise. « S’il fallait dater précisément le début de ces activités, écrit Friberg, on pourrait dire que la Nouvelle Droite suédoise est née en 2005, lorsqu’un petit groupe d’étudiants de droite a commencé à se former à Göteborg; il réunissait ceux d’entre nous qui s’étaient engagés avec enthousiasme dans la lecture d’un certain nombre d’ouvrages révolutionnaires, dont l’édition originale anglaise du livre New Culture, New Right de Michael O’Meara, ainsi que des essais d’Alain de Benoist, Guillaume Faye, Dominique Venner, Pierre Krebs et d’autres penseurs de la Nouvelle Droite continentale (p. 12). » Tout ce bouillonnement culturel « dextriste » donnera, le 10 juillet 2006, la création d’un cercle métapolitique nommé Motpol. D’autres projets alternatifs de Droite apparaîtront en Suède comme Fria Tider ou Avpixlat.

    À l’époque, la méthode de conquête finale du pouvoir envisagée par la Nouvelle Droite n’est pas nouvelle en soit, mais son usage par un mouvement de Droite reste inédit. Elle consiste en ce que certains ont appelé un « gramscisme de Droite » à cause de l’adaptation qu’elle fit des théories du communiste italien : préparer les esprits pour parachever la prise de pouvoir politique. Daniel Friberg, en bon disciple des ténors du mouvement susnommé mise lui aussi sur cette méthode. Presque cinquante ans après l’avènement du GRECE en France, le bilan est pourtant décevant, voir médiocre. L’influence de la Nouvelle Droite s’est faite sur les milieux de la Droite nationale, et ce, pour le meilleur (c’est du moins notre avis). Il faut également préciser l’influence préalable d’Europe Action et, dans un registre différent, de Jeune Europe. En revanche, son influence sur le peuple est quasi nul, la faute à une campagne médiatique dont le but fut l’instauration d’un cordon sanitaire entre le peuple et la Nouvelle Droite, mais aussi, à la teneur hautement intellectuelle des travaux et des productions du GRECE ou de la revue Nouvelle École. Ainsi nous sommes assez sceptique sur l’efficacité de la métapolitique à influencer le peuple. En revanche, nous croyons plus à la pertinence d’une initiative comme TV Libertés, ainsi qu’aux autres plate-formes opérant à un travail de ré-information.

    Dans le chapitre intitulé « Orientations » (sympathique clin d’œil à un philosophe italien), Daniel Friberg esquisse les grandes lignes de ce qu’il estime appartenir à une véritable pensée de Droite. Là encore le lecteur familier avec les idées de la Nouvelle Droite ne sera pas déstabilisé. Ethno-différencialisme, alter-européisme, anti-libéralisme, anti-impéralisme droit-de-l’hommiste, refus de l’uniformisation du monde et du mondialisme, refus de la méthode révolutionnaire empruntée à l’extrême gauche – « La vraie Droite ne devrait pas chercher à imiter cette stupidité, qui n’est que perte de temps (p. 35) » – figurent parmi ces orientations. Daniel Friberg réitère à propos de la méthode métapolitique qu’il qualifie à juste titre de « transformation graduelle ». La remarque qui nous vient immédiatement à l’esprit est « Avons-nous encore le temps ? » La réponse est sans doute non. Quels sont concrètement les succès de la métapolitique sur le peuple en France ? L’emploi dans les médias et par une infime frange du peuple des expressions comme « Français de souche » (2) et « Grand Remplacement » ? En outre, le discours métapolitique des cercles de réflexions issus de la Nouvelle Droite n’ont que très rarement concordé avec le Front national par exemple, alors qu’en face les gouvernements successifs œuvrent avec succès à notre neutralisation.

    Nonobstant ces critiques concernant l’emploi de la métapolitique prôné dans cet ouvrage, Le retour de la vraie droite de Daniel Friberg est surtout digne d’intérêt pour le néophyte. Son langage clair, ses propos synthétiques et son utile dictionnaire métapolitique constitueront un excellent point de départ pour de nombreux jeunes militants.

    Thierry Durolle

    Notes

    1 : Arnaud Imatz l’a parfaitement démontré dans son livre Droite / GauchePour sortir de l’équivoque. Histoire des idées et des valeurs non conformistes du XIXeau XXe siècle, Éditions Pierre-Guillaume de Roux, 2016.

    2 : L’un de nos objectifs devrait inclure la réhabilitation du concept de nationalité – et non plus de citoyenneté – française, avec comme tout premier prérequis, sa nature albo-européenne, c’est-à-dire le fait d’être Blanc. Pour cela le travail à effectuer ne concerne pas seulement le domaine bioculturel, mais s’accompagne aussi d’un travail de revalorisation de l’Histoire de France, ou bien encore par la mise en avant d’une philosophie politique adaptée à nos objectifs.

    • Daniel Friberg, Le retour de la vraie droite. Un manuel pour lvéritableOpposition, Arktos, 117 pages, 2017, 12,72 €.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2017/12/20/la-vraie-droite-contre-attaque-6010099.html

  • Stupéfiant !

    2464746001.jpg

    Heinz-Christian Strache (FPÖ) et Sebastian Kurz (ÖVP), nouveaux vice-chancelier et chancelier autrichiens, et le président Alexander Van der Bellen, lundi 18 décembre à Vienne sous l’imposant portrait de Marie-Thérèse d’Autriche  

    On savait Emmanuel Macron disciple du philosophe Paul Ricœur. On ignorait qu’il était, en même temps, adepte de l’école péripatéticienne.

    Aristote déambulait en dissertant avec ses disciples dans les allées du Lycée  ; notre président déambule dans les couloirs de l’Élysée, entouré de caméras, pour répondre aux questions complaisantes d’un journaliste de la télévision d’État, le tout enregistré le mardi pour être diffusé le dimanche suivant. On n’est jamais trop prudent  ! En marche… vers feu l’ORTF  ? Il ne s’agit que d’une anecdote, mais elle en dit long sur cet art de la communication qui, inauguré sous Giscard, a remplacé la parole régalienne. Certes, il n’y a rien à retenir de ce vrai-faux entretien déambulatoire. Sinon qu’il faudra encore attendre deux ans pour espérer voir la courbe du chômage s’inverser – Hollande, sors de ce corps  ! Qu’il est temps de rattraper notre retard en matière d’énergies renouvelables et qu’on peut compter sur lui pour voir partout surgir de terre des éoliennes défigurant le paysage. Qu’ayant fait le don de sa personne à la France, il fait «  le maximum pour [nous] protéger, pour éviter que les conflits n’adviennent, pour préparer [notre] avenir commun, pour préparer le meilleur futur  ». Ou encore, «  que d’ici mi, fin-février, on aura gagné la guerre en Syrie  » – Bachar el-Assad et Vladimir Poutine ont été soulagés de l’apprendre.

    Le culte du Moi

    Pourquoi cet entretien maintenant  ? Alors que jamais la France n’a été aussi inégalitaire, comme l’a montré une passionnante enquête récemment publiée dans Le Monde, l’exécutif est en hausse dans les sondages, dans une période calme, c’est vrai, de discussion budgétaire, dont les décisions, bientôt définitivement votées, n’ont évidemment pas encore pu faire sentir leurs effets, surtout sur les classes moyennes. Macron joue sur le front international, plus consensuel car plus éloigné des Français, tandis que le Gouvernement fait dans la com’  : envers la «  France périphérique  », en se déplaçant à Cahors, économique et identitaire, en annonçant durcir la lutte contre les faux réfugiés. Peut-être Macron a-t-il jugé nécessaire, à la veille de nouvelles réformes, de focaliser les caméras sur sa personne, dans un exercice sidérant de culte du Moi. Apprentissage, formation professionnelle et assurance chômage, asile et immigration, réforme des institutions, sans oublier les dossiers néo-calédonien et corse, la décision sur Notre-Dame-des-Landes ou la rupture démagogique avec un consensus vieux de quarante-cinq ans sur le 90 km/h sur route  : Macron veut continuer d’aller vite en 2018 et a besoin pour cela de saturer l’espace pour apparaître comme le deus ex machina des maux de la France. Ce que confirme encore cet anniversaire fêté à Chambord, le château construit par François Ier, le «  prince architecte  », après la victoire de Marignan. Ne cessant de singer la fonction royale, dans l’espoir que les Français soient dupes, et déjà maître des horloges, Macron se pense aussi en nouvel architecte de la France. Voire en sauveur de la planète au moment où nous sommes, paraît-il, en train de perdre la lutte contre le réchauffement climatique, comme Superman l’a seriné lors du raout écologique et financier international («  One Planet Summit  » dans le texte) qu’il avait réuni à Paris la semaine dernière.

    Car la France ou les affaires internationales ne sont jamais, pour lui, que l’occasion de parler de lui-même. Le propos le plus révélateur de son entretien sur France 2, d’un point de vue clinique s’entend, a été  : «  [Les Français] ont décidé en mai dernier d’élire un président de trente-neuf ans qui sortait de nulle part. La France a stupéfait [sic] l’Europe et le monde par son choix.  » Macron serait donc, de son propre aveu, une personnalité stupéfiante. Quant à «  sortir de nulle part  », à moins que l’Inspection des finances, la banque Rotschild, le secrétariat général de la Présidence de la République ou le ministère de l’Économie ne soient «  nulle part  », Macron, peut, en effet apparaître comme un homme neuf  ! Au sens non pas romain de l’homo novus, bien qu’il le soit en un certain sens, mais plus prosaïque de celui qui n’aurait aucune responsabilité dans les politiques conduites avant son arrivée. Ce qui est évidemment un mensonge. Deux exemples parmi tant d’autres  : outre le bradage de notre industrie – secrétaire général puis ministre de l’Économie, il a livré la branche énergie d’Alstom aux Américains, avant de livrer, devenu président de la République, sa branche transports aux Allemands –, il était au secrétariat général de la Présidence, chargé, qui plus est, des questions fiscales, quand a été concocté ce «  scandale d’État  » (dixit son successeur Bruno Le Maire à Bercy) qu’est la taxe sur les dividendes des grandes entreprises, mise en oeuvre sous Hollande et déclarée inconstitutionnelle  ; facture pour l’État  : 10 milliards d’euros. Une enquête interne l’a évidemment blanchi.

    La recette autrichienne

    Alors, stupéfiant, Macron  ? En tout cas moins modeste qu’un jeune chancelier autrichien, le plus jeune dirigeant du monde, pour le coup – il a trente et un ans – qui, sans penser avoir stupéfié le monde, lui, réussit en quelques semaines ce que Merkel, avec toute son expérience, ne réussit plus en Allemagne  : former une coalition. Il est vrai que c’est avec les populistes du FPÖ, qui ont obtenu pour la première fois trois ministères régaliens – Intérieur, Défense et Affaires étrangères –, alors que l’Autriche présidera le Conseil de l’Union européenne au second semestre 2018. Paris, avec sa morgue habituelle – Macron avait déjà donné des leçons à la Pologne –, compte sur le respect des sacro-saintes «  valeurs européennes  » par l’Autriche. Loiseau, la ministre de l’Europe, y sera même «  très attentive  ».

    Occasion de nous interroger sur les grandes manœuvres qui agitent la “droite” française au lendemain de la victoire de Wauquiez, que Macron a particulièrement ciblé, lors de son soliloque déambulatoire, car il sait que la vraie menace pourrait venir du retour d’une droite de conviction, dont Wauquiez semble, à tort ou à raison, l’incarnation. Seul un avenir, qu’on peut supposer proche, car Wauquiez aura bientôt à prendre des décisions tranchantes en matière de positionnement idéologique, nous dira si le costume n’est pas trop grand pour cet ancien bébé Barrot, que sa large victoire à la tête de son parti avec un taux de participation honorable devrait inciter à jouer la carte d’une droite qui n’a plus peur de son ombre et ne cherche plus, inlassablement, son droit moral à l’existence dans le jugement léonin d’une gauche dont l’empire idéologique commence, seulement, à s’effriter après avoir failli sur les plans où elle était la plus attendue, économique et social. Mais renverser plusieurs décennies de honte de soi ne sera pas aisé. Si nous assistons, comme le montre le succès d’un récent dictionnaire, à un retour du conservatisme, le caractère ambigu d’un tel phénomène n’est pas sans interroger. La victoire de Macron au printemps dernier en est le signe  : s’il s’est fait élire au nom d’un progressisme assurément ringard, c’est qu’il a su instrumentaliser le besoin de dégagisme en assimilant le personnel politique sortant, dont il fait pourtant partie, à un passé politicien lui-même identifié au conservatisme, au profit d’une société civile qui n’est qu’un slogan. Lorsque la bulle Macron éclatera, seule une droite inflexible sur la question migratoire, tournée vers la question sociale, intransigeante sur le respect de l’identité nationale et de notre souveraineté et ouvertement décomplexée en termes d’alliances pourra susciter quelque espoir. Ce fut en tout cas la recette autrichienne.   

  • Alban d'Arguin - Éoliennes, un scandale d'État - Entretien au Parlement Européen

  • JEUDI 28 DÉCEMBRE : PIERRE HAMEL INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

    RL 52 2017 12 28 PIERRE HAMEL.jpg

    Écouter Radio Libertés cliquez ici

    Acheter le livre de Pierre Hamel cliquez ici

    Les précédentes émissions Synthèse cliquez ici

  • Sur la droite du spectre politique, il y a ceux qui sont véritablement « de » droite et ceux qui ne sont (pour l’heure) qu’ « à » droite

    Suite de l'entretien (lire la partie 1) avec Guillaume Bernard, auteur de La Guerre des droites aura bien lieu. Le mouvement dextrogyre :

    6a00d83451619c69e201bb09e1b526970d-800wi.jpgLe spectre politique n’est donc pas quelque chose de statique. Vous insistez sur le fait que les forces politiques interagissent les une sur les autres. Comment ?

    C’est la question du positionnement d’une force sur le spectre politique. Albert Thibaudet a, dès les années 1930, mis en exergue que la vie politique française avait été marquée par un mouvement sinistrogyre. Depuis la Révolution, les nouvelles forces politiques son( apparues par la gauche : elles ont progressé (d’où le gauchissement du spectre politique) et ont repoussé vers la droite les organisations et les idéologies qui étaient nées antérieurement. Ainsi, le libéralisme est-il passé de gauche (au XVIIIe siècle) à droite (au XXe siècle) après avoir incarné le centre (au XIXe siècle). Le radicalisme a-t-il glissé de l’extrême-gauche au centre-gauche au cours de la IIIe République. Le conservatisme s’est, petit à petit, coloré de libéralisme au fur et à mesure de la progression du socialisme alors qu’il entretenait, à ses débuts, des liens assez étroits avec la pensée contre-révolutionnaire. Même le catholicisme social (philosophiquement classique) a été comme idéologiquement compressé par la démocratie chrétienne (assurément moderne) à partir du « Ralliement » (1892).

    Or, la pression idéologique venue par la gauche s’est brutalement tarie à partir de la décennie 1990 (chute du mur de Berlin, effondrement de l’Union soviétique). Cela ne signifie pas que la gauche ne domine pas encore dans les milieux culturels et médiatiques. Mais les idées qu’elle préconise (multiculturalisme, théorie du genre) sont déjà anciennes : elles datent des années 1970. Désormais, dans le contexte d’une mondialisation (financière et culturelle) incontrôlée ou encore d’une construction européenne en perte de repères (géographiques et culturels), la pression idéologique vient par la droite, ce que j’ai proposé d’appelé le « mouvement dextrogyre » : d’une part, les idées de droite se déploient à nouveau dans l’espace public (ce qui conduit le peuple de droite à se radicaliser ou se « redroitiser ») et, d’autre part, les idéologies glissent sur le spectre politique mais dans le sens inverse du courant précédent, c’est-à-dire de droite vers la gauche. Le libéralisme qui s’était retrouvé sur à droite dans le contexte du développement des idées socialistes (révolution bolchévique, affrontement Est-Ouest) est en passe de retourner à gauche. Il retrouve son unité intellectuelle (ce qu’a défendu Jean-Claude Michéa) par la réunification du libéralisme culturel (qui était resté à gauche) et du libéralisme économique (qui s’était déplacé à droite).

    La ligne de démarcation entre la droite et la gauche est donc relative à une situation historique mais elle ne serait pas philosophiquement subjective. Est-ce bien ce que vous défendez ?

    Effectivement. La position de la ligne du clivage entre la droite et la gauche a changé au fil du temps. Pour autant, il a toujours été possible de déterminer, sur le spectre politique, un côté droit et l’autre de gauche. Trois étapes, ayant chacune un critère de distinction, peuvent être identifiées. Au XIXe siècle (jusqu’à la mise en place de la IIIe République entre 1875-1879), le régime politique permettait de distinguer la droite (favorable à un exécutif fort) et la gauche (partisane d’un régime parlementaire). Au XXe siècle (jusqu’à la fin des Trente glorieuses), l’étendue de la fonction de la puissance publique a servi de curseur, la droite limitant le rôle de l’État aux fonctions régaliennes tandis que la gauche favorisait son intervention économique et sociale. Or, depuis une trentaine d’années, les forces communistes se sont effondrées tandis que le parti socialiste a, officieusement, fait son Bad-Godesberg. Le critère économique n’est donc plus significatif pour distinguer droite et gauche : entre le socialisme et le libéralisme (en passant par la social-démocratie et le social-libéralisme), les différences sont plus de degré que de nature. Libéralisme et socialisme reposent tous deux sur la même hypothèse (moderne) du pacte social, le premier affirmant que les individus doivent avoir la priorité parce que, sans eux, il n’y aurait pas de société, le second considérant que cette dernière, constituée par l’addition des individus, doit primer sur ceux-ci puisque le tout est plus grand que les parties.

    C’est désormais dans un autre domaine que droite et gauche peuvent être véritablement distinguées : dans la lignée de mai 68, elles s’opposent sur les questions identitaires (immigration, multiculturalisme) et civilisationnelles (mœurs, bioéthique). Ainsi, les corps sociaux (qu’il s’agisse de la famille ou de la nation) sont-ils des manifestations d’un ordre naturel des choses supérieur à l’homme (position classique) ou des constructions artificielles produites exclusivement par la volonté humaine (vision moderne) ? L’affrontement entre ces deux philosophies – le réalisme et l’idéalisme –, que d’aucuns auraient pu croire dépassé et relégué aux oubliettes de l’histoire, est de nouveau crucial. Dès lors et, ce, bien avant l’émergence et la victoire d’Emmanuel Macron, la ligne de fracture passe au sein du camp classé à droite, non pas entre les partis mais, de manière sinueuse, en leurs seins. Sur la droite du spectre politique, il y a ceux qui sont véritablement « de » droite et ceux qui ne sont (pour l’heure) qu’ « à » droite, l’avenir de ces derniers étant, sous la pression du mouvement dextrogyre, de retourner à gauche.

    A suivre

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • HAUTS FONCTIONNAIRES DE BERCY : VOUS VOUS SERREZ LA CEINTURE, ILS SE SUCRENT !

    France Culture rediffusait, l’autre nuit, une émission consacrée aux grands travaux mitterrandiens des années 90. Des travaux à « vocation culturelle », disait-on alors en se pâmant devant ce monarque bâtisseur qui hérissa la capitale de ses monuments à l’ésotérisme de carton-pâte, monuments qu’il fallut tous rafistoler dix ans plus tard parce que leurs façades en carrelage s’effondraient sur les Parisiens… mais cela est une autre histoire.

    Bref, parmi ces chefs-d’œuvre ruineux, l’un sortait du lot puisque n’étant pas à vocation culturelle : c’est le ministère des Finances, le bunker de Bercy. Architecte Paul Chemetov, un homme dont l’art est qualifié de « brutaliste ». Très inspiré par une carrière à l’ombre des HLM des banlieues rouges et du PC, il avait d’ailleurs spécifié dans sa note d’intention que le citoyen, levant les yeux vers le ministère, devait ressentir toute la rigueur et le poids de l’impôt. Sur ce plan, c’est parfaitement réussi.

    Voilà, donc, pour l’extérieur : lignes droites, architecture concentrationnaire, gigantesque pavé brisant net la perspective en bord de Seine. À l’intérieur, il semble que ce soit nettement plus rock’n’roll.

    C’est la Cour des comptes qui le dit dans un référé publié mercredi dernier et repris par L’Obs : les rémunérations des hauts fonctionnaires de l’auguste maison atteignent « un niveau élevé et difficile à justifier ». Notamment des écarts de salaire étranges avec le petit peuple des ministères. « La rémunération nette des AGFiP (administrateurs généraux des finances publiques) de classe exceptionnelle s’élevait, en 2015, en moyenne, à 202.456 euros […], celle des CBCM (contrôleurs budgétaires et comptables ministériels) à 174.979 euros », précise le référé, qui estime que le niveau de rémunération des administrateurs généraux « doit être mis en cohérence avec celui du reste de l’administration ». Ce qui fait, si je compte bien, un salaire de 16.870 € mensuels pour les premiers et 14.580 € pour les miséreux. 

    Toutefois, cela ne suffit pas à éponger leurs menus frais, en conséquence de quoi l’administration octroie aux administrateurs des finances publiques, le gratin du gratin de Bercy, une « indemnité différentielle ». En 2016, un petit plus de 256.000 euros pour seize agents, soit 16.000 euros par personne (un treizième mois, en somme), ramené à 150.000 euros cette année, a dit le ministre Darmanin. La Cour s’en accommoderait sans doute si cette indemnité et quelques autres n’étaient « sans fondement légal ».

    On lit cela d’un œil distrait. On a tort. Ces gens-là sont les gérants des finances publiques, c’est-à-dire de NOS finances. Les gestionnaires du patrimoine de l’État, c’est-à-dire NOTRE patrimoine. Et plus ils exigent qu’on se serre la ceinture, plus ils se sucrent !

    http://bvoltaire.com/hauts-fonctionnaires-de-bercy-serrez-ceinture-se-sucrent/