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Julien Langella : Fier d’être catholique et identitaire
Julien Langella, 30 ans, est l'un des fondateurs de Génération identitaire et anime avec beaucoup de conviction l’association Academia Christiana.
Dans « Catholiques et identitaires », Langella part d’un constat : de la tour de Babel à la théorie du genre, le même projet totalitaire traverse les siècles. Il s’agit de faire table rase de toutes les différences qui structurent le genre humain pour ériger un homme nouveau. Avortement, GPA, mondialisation sauvage et Grand remplacement…ces phénomènes mortifères ne sont que les multiples têtes d’un nouvel hydre de Lernes. Tranchez une tête et une deuxième repousse aussitôt.
Partant de cette constatation, Langella lance un appel aux catholiques et à tous les hommes de bonne volonté : contre les apprentis sorciers qui veulent redessiner les contours de l’humanité, il faut engager une résistance totale et une reconquête intégrale. En s’appuyant sur l’enseignement traditionnel de l’Eglise, l’auteur montre le lien évident qui unit le message chrétien au combat identitaire, et comment celui-ci pourrait bien être la condition de la survie de la Foi en Europe. Un témoignage passionnant enregistré récemment à Nantes par Nicolas Faure.
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LE SOUTIEN AU TERRORISME ISLAMISTE SUR NOTRE SOL
Trappes, sa mosquée, ses salafistes
Le développement de l’islamisme dans le département du Tarn n’est-il pas sans interroger certains observateurs…
Selon un rapport de la commission d’enquête du Sénat publié en avril 2015, le nombre d’individus à surveiller, à cette époque-là, était de 3.000 environ. Parmi eux, près de la moitié étaient, et sont encore pour certains d’entre eux, impliqués dans les filières syriennes. Les motivations de ces jeunes hommes et jeunes femmes ayant rejoint les zones de combat en Syrie ou en Irak ont longtemps été débattues. Elles ont même parfois été raillées, comme pour exorciser une démarche qui, à certains égards, paraissait effrayante. Partis de nos banlieues et parfois de nos villages, ces djihadistes français, instruits ou pas et issus de différentes classes sociales, ont pris les armes contre leur propre pays. Beaucoup sont morts lors des combats et des bombardements de la coalition. D’autres ont survécu et cherchent désormais à rentrer au pays. C’est le prochain défi sécuritaire qui nous attend. D’autres, encore, ont été arrêtés ou faits prisonniers ; ils seront déférés à la Justice.
Parmi ces derniers se trouvent quelques figures emblématiques de la « filière française ». Ainsi, l’Albigeois Thomas Barnouin, qui aurait été arrêté à la mi-décembre dans la région d’Hassaké, au nord-est de la Syrie, par les unités de protection du peuple kurde. Considéré comme l’un des cadres de l’État islamique en Syrie par les services de renseignement, c’est un vétéran de la nébuleuse djihadiste du Sud-Ouest, proche des frères Clain – ceux qui ont revendiqué les attentats du 13 novembre pour le compte de Daech -, qui vient ainsi d’être mis hors d’état de nuire. Deux autres Français auraient également été arrêtés, Romain Garnier et Thomas Collange. Le premier avait quitté la France avec sa compagne pour rejoindre l’État islamique, dont il était devenu l’un des principaux chroniqueurs radiophoniques francophones. Le second combattait dans les rangs de Daech depuis plusieurs années.
Parmi les questions qui se posent, celle de l’appartenance de plusieurs de ces djihadistes français à une même ville, un même quartier, voire à un même village est récurrente. Ainsi le développement de l’islamisme dans le département du Tarn n’est-il pas sans interroger certains observateurs. En effet, ce département, avec plus de 150 tenants d’un islam radical suivis par les services spécialisés dans la lutte antiterroriste, figure au « Top 10 » national en nombre de radicalisés par habitant.
Les raisons de ces concentrations inattendues sont multiples. Elles peuvent tenir, tout d’abord, à la présence d’imams ou de prêcheurs radicaux. La région de Toulouse et de ses environs vit justement sévir Olivier Corel, surnommé « l’émir blanc », lequel provoqua la radicalisation d’individus qui allaient, par la suite, défrayer la chronique. Parmi eux, Mohammed Merah et Thomas Barnouin. Le groupe est, ensuite, potentiellement facteur de propagation du radicalisme. Il en est ainsi du cercle familial – souvenons-nous des frères Kouachi – ou des fréquentations habituelles de la vie sociale ou cultuelle. C’est en leur sein que vont se créer des cellules actives souvent à l’origine d’attentats meurtriers. Là encore, les exemples ne sont que trop nombreux. Enfin, souvent issus du milieu de la délinquance, qui emprunte les mêmes modes d’organisation, et ayant fait des séjours répétés en prison, la radicalisation de ces individus passe également par des réseaux de circonstance. Si ce mode de fonctionnement collectif et concerté peut rendre ces personnages plus forts et plus dangereux, il les rend également, par sa visibilité, plus vulnérables. C’est notamment sur cette vulnérabilité que travaillent les services de renseignement.
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Ecosse [2000 ans d'histoire]
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Que faire pour hâter l’unité de la droite
Suite et fin de l'entretien avec Guillaume Bernard (lire la partie 1, la partie 2 et la partie 3), auteur de La Guerre des droites aura bien lieu. Le mouvement dextrogyre :
Est-il possible d’identifier les facteurs favorisant ou faisant obstacle à la recomposition de la droite ? Celle-ci ne confine-t-elle pas à un mythe ou un vœu pieux ?
Les deux principaux partis politiques classés à droite (LR et le FN) n’ont pas encore intégré ce qu’implique le mouvement dextrogyre. Ils essayent désespérément de maintenir leur unité et espèrent réussir à tuer l’autre lors des prochaines échéances électorales pour rester seul à la droite du parti macroniste dont la force procède tant de sa cohérence doctrinale (le libéralisme) que de sa position centrale sur le spectre politique (ses opposants étant dans l’incapacité de s’entendre). LR table sur la perte de crédibilité de Marine Le Pen pour récupérer son électorat, le FN sur la réduction de l’espace politique du premier en raison des ralliements explicites ou tacites à LREM. Leurs logiques sont purement partisanes ; elles sont mortifères ; leurs stratégies ne cherchent qu’à défendre des intérêts de boutique et tentent de paralyser les initiatives de décloisonnement comme celles initiées par Robert Ménard (Oz ta droite), par le collectif Vos Couleurs ou, plus récemment, par Nicolas Dupont-Aignan et Jean-Frédéric Poisson (Les amoureux de la France).
LR et le FN ne se préoccupent nullement de favoriser une indispensable et salutaire clarification doctrinale : Laurent Wauquiez tente personnellement un discours comparable à la « ligne Buisson » mais s’associe à des « progressistes » ; Marine Le Pen s’est débarrassée de Florian Philippot mais ne change fondamentalement rien à sa posture. Aucun d’eux ne cherche à mettre en œuvre une recomposition du spectre politique sur la base d’un programme commun que, pourtant, l’essentiel du peuple de droite souhaite.
Celui-ci peut se résumer ainsi :
- défense de l’identité (contre l’immigration de peuplement et le multiculturalisme) et du patrimoine hérité (contre l’impérialisme islamique et le constructivisme laïcard) ;
- restauration de l’autorité de l’État notamment en matière de sécurité (en opposition à la culture de l’excuse) et de contrôle des frontières (par opposition au mondialisme libre-échangiste) ;
- promotion de la souveraineté nationale (contre l’européisme béat) et de la puissance de la civilisation européenne dans le cadre d’une conception réaliste (et non idéaliste) des relations internationales ;
- affirmation des libertés, notamment économiques, des corps sociaux (contre l’étatisme bureaucratique et fiscaliste) par l’application du principe de subsidiarité ;
- maintien d’une conception traditionnelle (que d’aucuns qualifieraient de conservatrice) en matière de mœurs et de bioéthique (contre le progressisme sociétal et le matérialisme dans les relations humaines).
Alors, concrètement, « que faire » pour hâter l’union des droites ou plutôt, selon vous, l’unité de la droite ?
La guerre à droite dont j’ai parlé dans mon dernier livre, c’est donc bien la concurrence entre les organisations mais, surtout, l’opposition entre la base et les caciques, la première étant explicitement ou virtuellement classique, les seconds assurément modernes. La refondation de la droite semble donc nécessiter une prise en main de la question par le « pays réel ». Puisque l’offre politique est défaillante, le peuple de droite va sans doute devoir se résoudre à la remplacer. L’ouvrage apparaît sans aucun doute colossal, mais quelques principes élémentaires peuvent y aider :
- apprendre à travailler, en particulier au niveau local, d’une manière transpartisane (retrouver l’élan de LMPT), dans le cadre d’actions concrètes(institution scolaire, association de protection du patrimoine culturel et naturel, œuvre caritative, organisation de jeunesse, mouvement pro-vie, média alternatif, etc.) : d’une part, cela permettra de se connaître et de se reconnaitre dans ses divers talents, cela donnera l’habitude de dépasser les clivages électoraux et, d’autre part, cela rendra palpable pour tous, même ceux qui se désintéressent de la politique, le bien commun ; en un mot, il s’agît de reconstituer le tissus social ;
- faire confiance au principe de subsidiarité qui a fait et fera naturellement, par les œuvres accomplies, émerger des chefs locaux puis nationaux enracinés ; prétendre souhaiter et attendre un chef n’est qu’un prétexte à l’inaction car si Jeanne d’Arc a pu lever le siège d’Orléans, c’est parce qu’il y avait d’abord des résistants dans la ville ;
- se souvenir qu’il ne s’agit pas de promouvoir des idées rationalistes abstraites mais de dévoiler et de faire prendre conscience à nos concitoyens l’ordre cosmologique des choses que la modernité a cherché à étouffer mais qu’elle ne peut détruire.
Le mouvement dextrogyre met en exergue que, d’un côté, tout ce qui est « à » droite n’est pas forcément « de » droite et, de l’autre, que la pensée classique (la « vraie » droite) regagne du terrain. C’est donc moins à l’union des droites qu’à l’unité de la droite (actuellement éparpillée entre différents partis) qu’il semble nécessaire et possible d’œuvrer.
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STÉPHANE RAVIER : « JE NE ME FIE PAS AUX GRANDES DÉCLARATIONS D’EMMANUEL MACRON, JE REGARDE LES FAITS. »
Pour Stéphane Ravier, les déclarations d’Emmanuel Macron qui laissent croire qu’il durcit la politique d’immigration ne résistent pas à l’examen du budget, en hausse de 28 %, qui lui est alloué.
Européiste et mondialiste convaincu, le Président reste immigrationniste.Depuis quelques mois, Emmanuel Macron a fait plusieurs annonces semblant le positionner comme un Président qui durcit la politique d’immigration. S’agit-il d’une posture ?
Avant d’être président de la République, Emmanuel Macron était président d’une association de communication baptisée aujourd’hui La République en marche. Il reste un excellent communicant. Il fait croire qu’il durcit la politique en matière d’immigration par de grandes déclarations.
Quand on a la réalité des mesures sous les yeux, on constate qu’Emmanuel Macron reste fidèle à ce qu’il est, c’est-à-dire un européiste, un mondialiste, un immigrationniste. On sait qu’il est aux ordres de la Commission de Bruxelles qui fait savoir qu’elle ne cessera jamais sa politique d’immigration.
Les faits sont têtus. Le budget consacré à l’immigration/intégration pour 2018 qui, je le rappelle, est décidé par Emmanuel Macron est en augmentation de 28 %. Il s’élève à 1.300.000.000. Or, seulement 82 millions d’euros sont consacrés à l’immigration irrégulière et 83 millions à peine pour les expulsions : c’est une baisse de trois millions. En revanche, l’aide médicale d’État, celle qui est exclusivement attribuée aux clandestins, passe de sept cents millions à un milliard d’euros.
Emmanuel Macron s’apprête donc à accueillir toujours plus de clandestins, toujours plus d’immigration.
Il n’est nullement question de réduire l’immigration économique. Il s’y attaque en mettant l’accent sur les cours d’apprentissage de français. Je ne pense pas que ce soit une mesure dissuasive.
Les cinq millions de chômeurs, les neuf millions de pauvres n’arrivent manifestement pas à convaincre Emmanuel Macron que l’immigration, ça suffit.
Encore une fois, c’est un mondialiste qui applique la feuille de route de la Commission de Bruxelles.Le ministre de l’Intérieur semble se sentir assez seul. Gérard Collomb aurait déclaré à des proches qu’il en avait marre de passer pour le facho de service. Qu’en est-il réellement ?
Cela doit faire partie des jeux de rôle qu’Emmanuel Macron attribue aux uns et aux autres.
Il est vrai que Gérard Collomb, en tant que socialiste et immigrationniste, n’est pas très habitué à jouer ce rôle-là.
Il doit néanmoins présenter la réalité des mesures qu’il doit prendre, notamment le budget alloué aux réfugiés. Ces réfugiés touchent une allocation en attendant de savoir s’ils vont pouvoir bénéficier de l’asile. Ce budget est de l’ordre de 318 millions d’euros. 80.000 demandeurs d’asile perçoivent cette subvention pour un montant de 300 à 350 euros par mois. Nos agriculteurs aimeraient en percevoir autant.
Il lui suffit de montrer la réalité de la politique immigrationniste d’Emmanuel Macron qu’il soutient et les choses rentreront dans l’ordre.Si je comprends bien, peu de mesures annoncées par Emmanuel Macron sur l’immigration trouvent grâce à vos yeux.
Je ne me fie pas aux déclarations de la CIMADE ou de la Ligue des droits de l’homme, dont une certaine presse se fait le large écho. Ils font aussi partie de cette pièce de théâtre qui voudrait qu’Emmanuel Macron s’attaque à ce problème gravissime et dont les Français n’en peuvent plus.
Je regarde les faits. Ca sert à cela, d’être au Sénat : nous avons la réalité des chiffres et des budgets. Tout démontre, en réalité, qu’Emmanuel Macron est favorable à toujours plus d’immigration qu’elle soit clandestine ou non, et s’apprête à accueillir toujours plus de migrants qui, je le rappelle, sont tous des clandestins.http://www.bvoltaire.fr/ne-me-fie-aux-grandes-declarations-demmanuel-macron-regarde-faits/
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2017 : UN AN DE COMBAT AVEC SYNTHÈSE NATIONALE
Comme chaque fin décembre, nous dressons ici le bilan des activités, tant militantes qu'éditoriales, de Synthèse nationale au cours de l'année écoulée cliquez là. Celui de 2017 témoigne de la vitalité et de l'influence grandissante de notre organisation créée il y aura bientôt 12 ans.
JANVIER 2017 :
21/01 : esprit de Synthèse à Montpellier
Toutes les forces nationales réunies à Montpellier
Samedi 23 janvier, toutes les forces nationales du Midi étaient rassemblées à Palavas-les-Flots près de Montpellier autour de Jean-Marie Le Pen pour marquer l'alliance entre les Comités Jeanne, le Parti de la France et divers mouvements nationaux en vue des législatives cliquez ici. Cette réunion concrétisait les rapprochements amorcés en octobre 2016 lors de la Xe Journée de Synthèse nationale cliquez ici
28/01 : Confrontation n°2
Sortie du n°2 de la revue "Confrontation". Cette revue à été créée par Synthèse nationale et elle est particulièrement consacrée au problème de l'islamisation de l'Europe.
Le commander cliquez ici
30/01 : un nouveau Bouquin de Synthèse Le populisme ou la véritable démocratie
Notre chroniqueur apprécié Bernard Plouvier a écrit un livre consacré à l'histoire du Populisme, tant décriée et si méconnue cliquez ici. Publié par Les Bouquins de Synthèse nationale, ce livre a le mérite de remettre les idées en place cliquez là.
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COMMENT DÉVELOPPER SA VIRILITÉ SPIRITUELLE ? [Réponse à vos commentaires]
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Est-ce un crime de faire réfléchir sur l'avortement ?
Stéphane Mercier, philosophe, auteur de La Philosophie pour la vie, licencié par l'univesité catholique de Louvain pour avoir dispensé un cours poussant à la réflexion sur l'avortement, est interrogé dans L'Homme Nouveau. Extrait :
Les cadres de l’Université catholique de Louvain ont-ils pris connaissance du cours pour lequel ils vous condamnent ? Que vous ont-ils reproché exactement ?
Je ne sais pas s’ils ont lu mon cours, mais, puisque le texte que j’avais mis à disposition des étudiants a été diffusé par les médias, ils pouvaient y avoir accès sans problème. Je n’ai eu aucune indication claire sur ce qui posait problème, puisqu’à chaque question que je posais, on me répondait qu’il ne s’agissait pas de « discuter des détails ». Les cadres m’ont aussi reproché d’avoir fait un cours très polémique devant des étudiants qui n’y étaient pas prêts. Je trouve cela extrêmement désobligeant pour eux et je pense, au contraire, qu’il est tout à fait normal que de jeunes adultes puissent réfléchir à certains sujets de société et notamment l’avortement.... D’autant plus le Planning familial intervient dans les écoles pour diffuser la culture de mort auprès d’enfants qui n’ont que 12 ou 13 ans ! L’Université m’accuse également d’avoir développé un argumentaire trop unilatéral ; pourtant, développer une thèse dans une direction est une manière de travailler tout à fait légitime en philosophie ; et je ne pense pas que l’on m’aurait fait ce reproche si j’avais développé un argumentaire « unilatéral » contre le viol ou le génocide.
Si l’Université catholique de Louvain s’est rendue coupable d’un véritable scandale en s’opposant publiquement à la doctrine chrétienne sur le respect de la vie humaine, avez-vous au moins reçu le soutien de prêtres et d’évêques ?
J’ai reçu, à titre individuel et privé, le soutien de plusieurs prêtres, mais aussi de Mgr Léonard, archevêque émérite de Malines-Bruxelles, aujourd’hui à la retraite en France. L’évêque de Liège, en revanche, a prétendu à tort que je m’étais mis les étudiants à dos en traitant la question de l’avortement, alors qu’en réalité, ils ne sont qu’une infime minorité à avoir réagi de manière négative. Le cardinal De Kesel, pour sa part, m’a dit en privé que tout ce qui m’arrivait était bien triste, mais il en est resté là. Quant au porte-parole de l’épiscopat belge, il a estimé que ma condamnation de l’avortement était excessive et irrecevable... Peut-être oublie-t-il en quels termes l’Église parle de l’avortement, jusqu’au pape François, qui a qualifié l’avortement de « crime effroyable » ? Les évêques francophones belges ont un titre honorifique au sein de l’Université catholique de Louvain, mais on peut dire qu’ils n’ont rien fait... Ils portent là une lourde responsabilité. [...]"
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Géopôles : Les régimes communistes dans le monde actuel et leur stratégie