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  • La Marine Le Pen finlandaise

    Laura Huhtasaari, la candidate anti-immigration du parti des Vrais Finlandais pour les élections présidentielles de 2018.
    Laura Huhtasaari

    Sur les huit prétendants à la présidence de la Finlande, aucun ne se distingue tout à fait comme Laura Huhtasaari.

    Le candidat du parti d’extrême droite finlandais est une aberration tant sur le plan du style que sur le fond. Elle ne gagnera pas l’élection présidentielle de dimanche, mais elle utilise son temps sous les feux de la rampe pour faire passer le message anti-immigration et anti-establishment de son parti.

    Elle déteste l’Union européenne, a applaudi le Brexit et soutenu Donald Trump – et pense que la Finlande est plus que prête pour son populisme.

    Laura Huhtasaari, 38 ans, est dans son élément sur la piste de campagne. S’adressant au centre-ville d’Helsinki à une foule dévouée qui a bravé l’hiver pour l’entendre parler, elle a lancé les plus grands succès de son programme populiste: elle s’est déchaînée contre une Union européenne autoritaire qui a fait de la « Finlande sa province », une élite politique finlandaise hors du commun indifférente à la classe ouvrière, et contre les dangers de l’immigration à grande échelle – principalement musulmane.

    Elle a rompu son discours en sortant du scénario et en s’engageant avec la foule, serrant la main et compensant sa rhétorique enflammée par un sourire, avant de dire à ses supporters de « reprendre leur pays » et de terminer la réunion de 30 minutes avec son cri de ralliement de son choix: « La Finlande d’abord! »

    « Je suis ici pour rappeler aux gens que le Parti Finlandais est vraiment une alternative au courant dominant », a dit Laura Huhtasaari à POLITICO dans une interview. « Je veux changer la direction de la Finlande et reprendre notre indépendance. »

    Ses commentaires percutants sur les immigrants et l’homosexualité ont brisé le moule de la politique traditionnellement terne de la Finlande et ses cheveux blonds d’argent et ses discours à la mode ont valu à Huhtasaari le surnom de « la Marine Le Pen finlandaise » dans la presse locale.

    Mais contrairement à Le Pen, les chances de Huhtasaari de gagner la présidence sont très faibles. Le président Sauli Niinistö est extrêmement populaire et les sondages du radiodiffuseur d’Etat YLE montrent qu’il recuielle 63 % des voix. Huhtasaari est à 6% selon un sondage récent, la plaçant en quatrième position derrière le candidat de Green League Pekka Haavisto et à égalité avec l’indépendant Paavo Väyrynen. Et alors que la course est sur le point de se resserrer dans les jours précédant le vote, la principale tension a été de savoir si Niinistö gagnera au premier tour de scrutin le dimanche ou s’il devra aller au second tour le 11 février.

    Cependant, Laura Huhtasaari n’a pas perdu sa campagne. La femme politique inexpérimentée – elle n’est au parlement que depuis trois ans – a utilisé la plateforme nationale pour préparer la base du Parti finlandais en vue des élections législatives et européennes de 2019 et reprendre son élan après son retrait du gouvernement de coalition l’été dernier.

    La candidature présidentielle a également été une répétition générale pour affiner ses compétences politiques et introduire son message dans la politique finlandaise traditionnelle, ce qui, selon Laura Huhtasaari, est un terrain fertile pour ses idées populistes.

    « La Finlande est un peu en retard si on la compare à d’autres pays européens », a dit Huhtasaari. « Les partis anti-immigration gagnent et les gens se réveillent partout. Ils se réveillent ici aussi. »

    Rendre la Finlande encore plus grande

    Le style de Huhtasaari est un patchwork d’autres politiciens populistes anti-immigration, empruntant à Le Pen la fusion du nationalisme et du maternalisme durs, adoptant l’eurosepticisme de Nigel Farage, ancien dirigeant du parti de l’indépendance britannique, et remixant les slogans de Trump en versions locales – « Finland first! « Reprenons la Finlande! » Même la casquette de baseball emblématique du président américain a été réinterprétée comme un bonnet violet avec « Laura » écrit sur le côté.

    « Elle fait circuler la rhétorique de nombreux autres dirigeants populistes », a déclaré Tuija Saresma, spécialiste du populisme de droite à l’Université de Jyväskylä. « Peu importe si ce qu’elle dit est vrai ou non, ses partisans la soutiennent toujours. C’est un phénomène nouveau pour la Finlande. »

    Avant d’entrer au Parlement, Laua Huhtasaari était enseignante de religion et enseignait aux enfants ayant des besoins spéciaux, et elle a étendu cette touche personnelle à sa politique. Cela a permis à Huhtasaari, vice-présidente du parti finlandais, de se faire connaître publiquement, tandis que Jussi Halla-aho, le dirigeant du parti et membre du Parlement européen, reste à l’arrière-plan en tant que stratège.

    Halla-aho a la réputation d’être l’enfant terrible de la politique finlandaise, choquant l’établissement dans le passé en décrivant l’islam comme une religion de pédophiles, en disant que les Somaliens étaient génétiquement prédisposés au vol, et que les problèmes de la dette de la Grèce ne pouvaient être résolus qu’avec une junte militaire.

    « Avant l’ascension du Parti finlandais, nous étions habitués à une forme de politique très maîtrisée », a dit Saresma. « Mais cela change. La politique devient plus émotive. »

    « Ils ont réussi à pousser l’aiguille en avant », a dit Vuorelma. « Ils ont réussi, mais ils ont perdu des voix. »

    Pour aller de l’avant, selon Emilia Palonen, spécialiste du populisme à l’Université d’Helsinki, Huhtasaari doit trouver un moyen d’élargir l’attrait du parti au-delà de l’immigration.

    Ils ont doublé sur une plate-forme très étroite et ils se sont peut-être endormis dans un coin.

    Dans l’esprit de Huhtasaari, cependant, les jours les plus brillants de son parti sont encore à venir et elle a l’intention de « s’en tenir à ses valeurs ».

    Son inexpérience s’est parfois manifestée pendant la campagne électorale: elle s’est débattue avec des questions politiques dans des débats télévisés, a été critiquée parce qu’elle ne pouvait pas cesser de réciter des slogans lors d’une interview avec le radiodiffuseur public YLE, et a été accusée de plagier sa thèse. Malgré tout, elle a réussi à sortir de la mêlée en grande partie intacte et n’ a pas l’intention de changer sa marque en tant que principal insurgé populiste de Finlande.

    « Je regarde l’exemple de Nigel Farage. Cela a pris 17 ans, mais Brexit est venu », dit Huhtasaari. « Je n’ai pas l’intention d’attendre si longtemps. »

    Source : Politico

    http://grandfacho.com/marine-pen-finlandaise/

  • Trèbes à la « une » du Figaro d'aujourd'hui

    Non l'attentat terroriste de l'Aude ne ravive pas la menace terroriste : celle-ci  n'a jamais faibli. Elle ravive seulement la conscience affaiblie que nous en avons, qu'en ont les Français, qu'en ont jusqu'aux lecteurs de Lafautearousseau, nous tous, qui n'avons que trop tendance à l'assoupissement ou au divertissement dans les périodes de mortes eaux, quand le calme semble revenu et nous porte trompeusement à croire qu'il va durer quand le terroriste des jours sombres se prépare encore à frapper. Un excellent poète l'a dit : Oublieuse mémoire ! 

    Mais chaque nouvel attentat n'est que la répétition du même, repose les mêmes questions, agite les mêmes problèmes. Même si nous en savons les réponses, parce qu'ici nous en avons traité cent fois. Pourquoi avoir laissé s'installer chez nous tant d'étrangers ? Par millions ? Et pourquoi continuons-nous ? Des étrangers non seulement à notre nationalité mais bien pis à notre civilisation, notre religion, nos moeurs, nos traditions, et même, osons le mot dans son sens pur que ni Mistral ni Maurras n'eussent rejeté, à notre race, celle dont le sang coule dans nos veines. Des étrangers qui pour une part méprisent la France, Et prennent les armes contre elle. Contre nous. Pourquoi les naturalisons-nous si nombreux, si aveuglément, fussent-ils déjà délinquants, comme l'était l'assassin d'hier, justement abattu par les forces de l'ordre ? Pourquoi laisse-t-on en liberté chez nous des délinquants étrangers ou d'origine étrangère, pourquoi ne les enferme-t-on pas, ne les expulse-t-on pas, ne les envoie-t-on pas dans quelque bagne inaccessible et lointain ? Pourquoi autorise-t-on des associations à les soutenir, à les défendre, à les aider ; des journalistes à y prêter la main, à y faire écho complaisamment ? Et des magistrats à les relâcher, les relaxer, quand ils vont encore tuer. Pourquoi, même, arrive-t-il que ces associations d'aide aux migrants soient subventionnées ? A nos frais, sur nos deniers, en attendant d'être frappés à notre tour par quelque nouvel assassin. Assassin pour nous, envoyé d'Allah, glorieux martyr, pour lui et ses pareils. L'incompatibilité est complète. Pourquoi continue-t-on d'exposer de la sorte nos policiers, nos gendarmes, nos soldats et nos concitoyens ? Sans prendre les mesures à la hauteur de la menace. Il pourrait arriver un jour où faute de les avoir prises nos gouvernants seront accusés de non-assistance à personnes en danger de mort. A quand le jugement des juges et des élites complaisantes, complices ?

    Ces questions sont celles que les Français ordinaires se posent. Dont la colère grandit comme en Angleterre, en Allemagne, en Autriche, en Slovaquie, en République Tchèque, en Pologne, en Italie, Etc. Il n'est pas sûr que les actuels dirigeants français et européens puissent la canaliser, la contenir, indéfiniment.

    Lafautearousseau

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le héros de Trèbes, le Lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, est mort

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    "Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu'on aime".

    Le lieutenant-colonel du groupement local de gendarmerie de l'Aude, âgé de 45 ans, a succombé à ses blessures dans la nuit de vendredi à samedi. Il avait négocié avec le terroriste pour prendre la place des otages dans le Super U de Trèbes. 

    Alors que le terroriste venait d'abattre deux personnes, il a pris la place des otages au terme de négociations avec l'auteur des faits. L'assaillant a ensuite ouvert le feu à plusieurs reprises sur le gendarme, le blessant grièvement. Le gendarme avait laissé son téléphone ouvert sur la table et c'est lorsqu'ils ont entendu les coups de feu que le GIGN est intervenu et a abattu le terroriste, qui se réclamait du groupe djihadiste État islamique.

    Son sacrifice rappelle celui de saint Maximilien Kolbe, qui, à Auschwitz, s'est offert de mourir à la place d'un père de famille.

    Son père a été enterré récemment par un aumônier militaire avec lequel il préparait depuis son mariage religieux. Il a reçu hier soir des mains d'un prêtre les derniers sacrements de l'Eglise. Requiescat in pace.

    La mère d'Arnaud Beltrame se confie :

    "Il a toujours été comme ça. C'est quelqu'un qui, depuis qu'il est né, fait tout pour la patrie." "C'est sa raison de vivre, défendre la patrie". "Il me dirait : 'Je fais mon travail maman, c'est tout.'". "Cela fait partie de sa façon d'être."

    Le directeur général de la gendarmerie nationale, le général Richard Lizuret a souhaité «rendre solennellement hommage à l'héroïsme de notre camarade» et «s'incliner devant le courage, le sens du sacrifice et l'exemplarité de cet offficier qui a donné sa vie pour la liberté des otages». Les drapeaux et étendards de la gerndarmerie sont mis en berne ce samedi.

    Né à Etampes, dans l'Essonne, Arnaud Beltrame n'avait pas d'enfant. Après Saint-Cyr et l'École des officiers de la Gendarmerie nationale, il a été nommé dans un peloton de véhicules blindés à Satory (de 2002 à 2006), puis a rejoint le premier régiment d'infanterie (RI) de la Garde républicaine (chargé de la protection du président de la République), jusqu'en 2010. De 2010 à 2014, il a été chef de la compagnie d'Avranches dans la Manche, puis officier d'état major auprès du ministère de l'Écologie et du Développement durable à Paris de 2014 à 2017. Il a accédé au rang de lieutenant-colonel en 2016. Le 1er août 2017, il est devenu officier adjoint de commandement (OAC) au groupement de gendarmerie de l'Aude. Arnaud Beltrame est décoré de l'ordre national du Mérite. 

    Par son sacrifice, il nous rappelle que nous devons retrouver la cohésion d'une nation. C'est grâce à ce genre d'acte héroïque que nous retrouverons ce qui nous permettra de vaincre ce nouveau totalitarisme.

    Pour la patrie, l'honneur et le droit

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LA HAINE DU BLANC COMME MOTEUR DE L’HISTOIRE

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    Arnaud Malnuit

    Quel est le point commun entre les viols massifs de jeunes Anglaises par des immigrés à Telford en Grande-Bretagne, le 19 mars 1962, la profanation de la basilique de Saint-Denis par des clandestins appuyés par la France insoumise et l'expropriation sans indemnisation des fermiers blancs en Afrique du Sud, la lancinante, permanente et même de plus en plus affirmée haine du blanc.

    Haine du blanc qui va désormais chasser les Européens de leur propre continent, qui va jusqu'à effacer leurs cultures, leurs œuvres, leurs découvertes. Cette accusation permanente d'avoir commis les pires crimes tout en demandant de payer y compris le téléphone indispensable au clandestin « fuyant la misère ». 

    De nombreuses vierges effarouchés ne cessent de nous faire pleurer sur le sort des migrants, des clandestins et autres extra-Européens victimes tant du racisme des Européens présentés comme riches et surtout pillant les richesses de ces migrants, les exploitant pour des revenus de misère. Sans oublier un passé colonial honteux fait de pillage et de mort culturelle. Et ne parlons pas de l'appropriation culturelle, ce crime que des Blancs commettraient en se grimant en Noirs ou en Asiatiques...

    C'est avec ce genre de mythes, de fantasmes que ces mêmes vierges effarouchés justifient les agressions commis par des immigrés sur des Européens en niant le caractère raciste anti-Blancs, justifient les massacres commis au nom des luttes anti-coloniales, et pire participe à des actions de profanation de noter culture, de notre histoire et de notre foi ou du moins celle de nos aïeux... Ainsi les élus de La France insoumise, ceux avec qui on pourrait prendre un café, ont aidé des clandestins – donc des gens présent chez nous illégalement – à violé la basilique de Saint-Denis en hurlant « On est chez nous ! » (sic). Et ne revenons pas sur les propos abjects de Clémentine Autain quant à la sépulture des rois de France... Les mêmes aussi qui justifient les camps d'été décoloniaux interdits aux Blancs...

    On voit donc que cette gauche, que ces humanistes font la politique du PIR, ce Parti des Indigènes qui proclame sa haine des Blancs sans qu'il ne soit interdit en France, ce parti qui trouve des alliés de fait et de cœur chez les partisans de Mélenchon, ce parti qui trouve des relais médiatiques, ce parti qui montre bien que pour ces gens le moteur de l'histoire ce n'est pas la lute des classes, ni la lutte des opprimés contre les oppresseurs, mais bien la haine des Blancs. Blancs qui pour ces gens doivent disparaître, à commencer des pays et du continent dont ils sont originaires et créateurs.

    C'est pourquoi la lutte contre l'immigration et m^me pour la remigration est une lutte primordiale pour la survie des peuples européens. 

    Source Parti de la France cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/03/23/la-haine-du-blanc-comme-moteur-de-l-histoire-6037024.html

  • Scandale pédophile de Telford : pour L’Obs, c’est embêtant car cela fait « le miel » de la « fachosphère », par Charles Demassieux

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    Au lieu de compatir pour les victimes de ce durable réseau de pédophilie en Grande-Bretagne, L’Obs préfère pointer du doigt la « fachosphère ».

    Officine progressiste où se concoctent des mixtures idéologiques destinées au plaisir sadomasochiste des Blancs qui se sentent ontologiquement coupables, L’Obs vient encore de sévir en titrant « Le scandale de pédophilie de Telford fait le miel de la fachosphère ».

    Donc, au lieu de compatir pour les victimes de ce durable réseau de pédophilie en Grande-Bretagne, L’Obs préfère pointer du doigt la « fachosphère », qui s’en est légitimement émue quand le silence faussement pudique des médias relevait non seulement de la faute journalistique, mais encore d’une autocensure, les responsables de cette abomination étant sans doute immaculés par leur origine non blanche et ne pouvant être balancés parce qu’ils n’aiment pas le porc !

    L’hebdomadaire accuse ainsi le « tweet outré de Gilbert Collard, plusieurs billets caricaturaux sur plusieurs sites d’extrême droite, et une tribune dans le FigaroVox », à savoir celle de Gilles-William Goldnadel qui, fort justement, « évoque le racisme anti-blanc, dont très peu de médias ou d’associations osent parler ».

    L’Obs ne s’arrête pas en si bon chemin et pinaille sur le nombre de victimes du réseau pédophile, estimé à environ un millier par le Sunday Mirror – qui a révélé ces crimes après une longue enquête –, rapportant de son côté, comme caution morale, les doutes d’un officier de police – laquelle, police, n’a pas vraiment brillé dans cette affaire de plus de trente ans – qui a déclaré à la BBC : « J’ai des inquiétudes sur le nombre de 1.000 car je ne sais pas sur quoi il se base et surtout parce que nous travaillons avec un nombre de jeunes personnes qui ont été victimes d’abus sexuels depuis plusieurs années, et il n’est pas du tout proche de 1.000. »

    Et de retranscrire, avec des pincettes, les propos de Lucy Allan, députée conservatrice de Telford – « Ces jeunes filles étaient très souvent issues de la classe ouvrière blanche, souffrant de fragilités multiples et c’est pour cela que leurs agresseurs les ciblaient » –, et ceux du Sunday Mirror – désignant les responsables de ces crimes comme étant « majoritairement des hommes asiatiques », issus notamment « de la communauté pakistanaise », et affirmant que « les autorités locales n’auraient pas tenu de dossiers sur certains agresseurs, issus de la communauté pakistanaise, “par crainte de racisme” ». Autant de propos qui semblent destinés à horrifier le lectorat de L’Obs et décrédibiliser leurs auteurs.

    Enfin, L’Obs prétend avec force que les faits n’ont pas été passés sous silence, soulignant que Libé Désintox – autre décodeur de la bonne pensée – a joint la BBC, qui va dans son sens. Chacun jugera en constatant la couverture médiatique a minima d’un scandale à contre-courant du vivre ensemble.

    À l’instar d’une Clémentine Autain obsédée par le mâle blanc dominant, L’Obs ne saurait-il admettre qu’il existe bel et bien des prédateurs sexuels en dehors de chez les visages pâles ?

    Si la honte était une ivresse, nombre de journalistes auraient une cirrhose !

    Charles Demassieux

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/210126/scandale-pedophile-de-telford-pour-lobs-cest-embetant-car-cela-fait-le-miel-de-la-fachosphere-par-charles-demassieux/

  • L'audacieux journaliste Vincent Lapierre agressé par une bande de nervis gauchistes

    3432312964.jpgVincent Lapierre est un journaliste indépendant proche d’Egalité et Réconciliation. Alors qu’il réalisait ce matin un reportage sur la grève des cheminots il a été pris pour cible par des personnes qu’il identifie comme membre de la mouvance d’extrême gauche. Si les policiers ont réussi à l’exfiltrer, le jeune homme a pris plusieurs coups. Il s’est fait dérober son téléphone personnel et une partie de son matériel a été cassé.

    Source Paris Vox cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Arnaud Beltrame, le héros du jour

    6a00d83451619c69e201bb09fdd804970d-250wi.jpgL'héroïque gendarme grièvement blessé lors de la prise d'otages à Trèbes est le lieutenant-colonel de gendarmerie Arnaud Beltrame, lieutenant-colonel du groupement de gendarmerie de l'Aude.

    Il s'était proposé comme otage en échange de la libération d'une femme. L'officier est ensuite resté à l'intérieur du magasin jusqu'à l'assaut du GIGN, vers 14 h 30. "Il avait laissé son téléphone ouvert, et c'est lorsque nous avons entendu les coups de feu que le GIGN est intervenu" pour neutraliser le terroriste, a déclaré Gérard Collomb, Ministre de l'Intérieur, saluant au passage "le courage du lieutenant-colonel pour cet acte d'héroïsme".

    En décembre 2017, il avait organisé avec la Préfecture de l'Aude et les pompiers locaux un exercice simulant un attentat à Carcassonne. Le scénario était une tuerie de masse dans un supermarché.

    Les terroristes islamistes auront au moins permis qu'un héroïque français se manifeste.

    De son côté, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a évoqué Redouane Lakdim :

    « Nous l’avions suivi et nous pensions qu’il n’y avait pas de radicalisation mais il est passé à l’acte brusquement ».

    Selon Franceinfo, il était pourtant inscrit au Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT).

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • DAECH AU SUPERMARCHÉ : COLLOMB NOUS REJOUE LE SKETCH DU « ON NE POUVAIT PAS SAVOIR »

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    Il y eut Daech au Bataclan, Daech à Bruxelles, Daech à Londres, Daech à Berlin, Daech à Nice, Daech à Barcelone. Il y eut Daech contre Charlie et la liberté d’expression, Daech contre des militaires à Montauban, Daech contre le CRS Xavier Jugelé sur les Champs-Élysées, Daech dans une église, en pleine messe, contre le père Hamel. Et j’en oublie. Et je ne m’en tiens qu’aux attentats européens, de façon non exhaustive. Une série interminable. « Tragique de répétition », avait finement dit Alain Finkielkraut dès 2015. Que dire, aujourd’hui ? De la répétition, mais avec, à chaque fois, de menues variations qui montrent l’étendue du drame sécuritaire qui ne fait que commencer, depuis 2012 et Mohammed Merah, et qui se joue autour de nous, dans notre pays, au cœur de notre société, dans notre environnement le plus familier.

    L’identique : un Marocain de 26 ans connu pour sa radicalisation, mais laissé en liberté, le vol d’une voiture dont le passager est abattu, les tirs sur des forces de l’ordre, une prise d’otage. Versant lumineux, aussi : l’héroïsme d’un gendarme qui s’est échangé contre le dernier otage…

    Mais, cette fois-ci, Daech est entré dans ce lieu familier, reposant, qui fournit à chacun de nous une pause : le monde des courses, du supermarché, où nous avons nos petites habitudes. Tel rayon, telle caisse car la caissière nous connaît, et la promo du vendredi sur les huîtres, avec le producteur lui-même. Et puis les mêmes connaissances que l’on croise, tous les vendredis, à la même heure. Le supermarché est un lieu rassurant, il continue quoi qu’il arrive : élections, attentats, bonheurs ou malheurs personnels, il est toujours là. Il est même quasiment ouvert tout le temps : « Ouverture lundi de Pâques. » Eh oui, déjà tous les œufs et les lapins sont là. Et il faut être un très mauvais sociologue marxiste pour n’y voir que déshumanisation, asservissement à la publicité, etc.

    Mais en ce premier vendredi de printemps, Daech a débarqué au supermarché. Pas l’Hyper Cacher de Paris, pas le marché de Noël de Berlin, non, ça, c’est pas votre truc, c’est lointain, c’est connoté : les juifs, les chrétiens. Non, votre supermarché lambda, le Super U du quartier, avec ses rayons bio et halal, avec son drive, évidemment : un vrai supermarché du vivre ensemble. Propre et anonyme, invisible, périphérique à souhait. Fondu dans le paysage. Et Daech y a tué un employé et un client.

    Le privilège de l’historien, avec le recul, c’est de pouvoir dater un début, délimiter une période, indiquer une fin. 14-18. 39-45. C’est clair, c’est net. Une guerre bien encadrée. Là, nous ne connaissons que le début : Toulouse, mars 2012. Nous pouvons égrener les autres dates, les autres lieux. On pourrait même imaginer une carte d’état-major, avec des épingles fichées sur tous ces lieux de triste mémoire. Mais nos chefs ont décidé de faire la guerre différemment, en nous incitant à oublier vite ces crimes, à ne pas trop nous interroger sur les causes structurelles de la situation ni, entre autres, sur les conditions de liberté des islamistes plus ou moins radicalisés. Les historiens pourront un jour pointer les dénis, les « Faisons l’autruche et parlons d’autre chose ». Il y aura des thèses à écrire…

    Car c’est vrai qu’en France, tout recommençait bien comme avant, les choses se remettaient en ordre – en marche – depuis quelques mois : une nouvelle ère avec notre nouveau Président, Sarkozy qui assurait le spectacle avec ses mises en examen et même des manifestants SUD et CGT dans la rue contre l’héritier d’Alain Juppé à Matignon. La France semblait retrouver ses bases, ses spectacles favoris, ses figures rassurantes et redevenir ce supermarché du vivre ensemble.

    Sauf que, à Trèbes, ce vendredi 22 mars, près de Carcassonne, Daech a déboulé dans le supermarché et a encore frappé. Daech que l’on combat au Mali, qui serait en voie d’être vaincu en Irak et en Syrie ? Mais qui tue ici quand il veut.

    Au fait, Daech, chez nous, c’est qui ? Réponse du ministre de l’intérieur Gérard Collomb : Redouane Lakdim, Marocain de 26 ans, fiché S depuis 2014…

    « C’était un petit délinquant, il était connu pour deal de stupéfiants mais on ne pouvait pas dire qu’il allait être un radical qui allait passer à l’acte. »​‌”

    « Nous l’avions suivi et nous pensions qu’il n’y avait pas de radicalisation, mais il est passé à l’acte brusquement. »

    Daech, en France, c’est donc cela.

     

    http://www.bvoltaire.fr/daech-supermarche-collomb-rejoue-sketch-on-ne-pouvait-savoir/