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Grand remplacement européen : Un million de naturalisés par an !, par Caroline Parmentier
On ne vous en parlera pas trop et ce ne sera sûrement pas au menu de l’entretien d’évaluation de Macron à un an de son mandat. Mais l’Europe et la France naturalisent à tour de bras. Les Etats membres de l’UE ont octroyé la nationalité à près d’un million de personnes en 2016. En tête des heureux élus : les Marocains qui conservent aussi évidemment leur nationalité d’origine.
Selon les chiffres officiels d’Eurostat, « en 2016, quelque 995 000 personnes ont acquis la nationalité d’un Etat membre de l’Union européenne (UE), un chiffre en hausse par rapport à 2015 (où il s’établissait à 841 000) et à 2014 (889 000) ». Non seulement les chiffes de l’immigration s’accumulent d’une année sur l’autre (depuis 2010 ce sont des millions d’étrangers qui ont été nationalisés) mais avec la crise migratoire, ils se précipitent, donnant lieu à un progressif et constant changement de population. 12 % seulement de ceux qui sont devenus citoyens de l’un des Etats membres de l’UE en 2016 étaient auparavant citoyens d’un autre Etat membre de l’UE. La majorité sont des ressortissants de pays tiers ou des apatrides.
Les citoyens marocains forment le plus gros des troupes des nouveaux citoyens d’un pays de l’UE dont ils étaient résidents en 2016 (101 300 personnes, dont 89 % ont acquis la nationalité espagnole, italienne ou française), devant les citoyens de l’Albanie (67 500 personnes, dont 97 % ont acquis la nationalité italienne ou grecque), de l’Inde (41 700 personnes, dont près de 60 % ont acquis la nationalité britannique), du Pakistan (32 900 personnes, dont plus de la moitié a acquis la nationalité britannique), de la Turquie (32 800 personnes, dont près de la moitié a acquis la nationalité allemande).
De son côté la France a naturalisé 119 152 personnes en 2016 dont 15 % de Marocains et près de 15 % d’Algériens. La France arrive en tête de l’UE pour la nationalisation des Algériens et des Tunisiens et en deuxième position pour les Sénégalais et les Turcs. A savoir la population la plus dangereuse en matière de communautarisme et de terrorisme islamiste. Les Syriens arrivent bons derniers. Nous aurait-on menti ? C’est vrai que les vrais Syriens (grand mythe de la propagande d’accueil) se comptent proportionnellement sur les doigts d’une seule main.
La théorie du grand remplacement de Renaud Camus, qualifiée par les médias et les politiques de « fantasme complotiste », d’« idée raciste » d’« énormité véhiculée par l’extrême droite néonazie » est aujourd’hui validée par près de 50 % des Français qui ont des yeux pour voir et ne vivent pas tous retranchés dans les appartements ou les écoles des quartiers préservés. Selon une enquête de janvier dernier de la Fondation Jean-Jaurès et de Conspiracy Watch réalisée par l’Ifop, 72 % des Français sont « tout à fait d’accord » avec l’idée que « l’immigration est un processus inquiétant, qui cause des problèmes de coexistence entre des cultures très différentes et menace à terme leur mode de vie ». Tandis que près d’un Français sur deux (48 %) valide le « grand remplacement » qui suggère que « l’immigration est un projet politique de remplacement d’une civilisation par une autre organisée délibérément par nos élites politiques, intellectuelles et médiatiques et auquel il convient de mettre fin en renvoyant ces populations d’où elles viennent ».
Emmanuel Macron qui à Marseille avait salué son public en ces termes : « Je vois des Arméniens, des Comoriens, des Italiens, Algériens, Marocains, Tunisiens, Malais, Sénégalais… Mais je vois quoi ? Je vois des Marseillais, je vois des Français ! » ne fera rien contre ce processus légal de dilution de moins en moins lente.
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 12 avril 2018
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IL EST MINUIT, PRÉSIDENTS MACRON, TRUMP ET DRAGHI
La dette publique française s’élève à 2.218,4 milliards d’euros, soit 97 % du PIB ; les intérêts s’élèveront à 42,1 milliards d’euros en 2018. Mais le drame, c’est que la dette réelle, selon la Cour des comptes, est de l’ordre de 6.000 milliards d’euros, soit trois fois plus que le chiffre médiatisé.
Il convient d’ajouter, en effet, à la dette publique les engagements hors bilan de l’État français, c’est-à-dire l’ensemble des engagements futurs de l’État et toutes les garanties et cautions qui s’activeraient en cas de défaillances ou de krach. Les futures pensions et retraites des agents en exercice de l’État sont estimées à 2.150 milliards d’euros, ce qui fait déjà passer la dette française à 200 % du PIB. Quant aux garanties et cautions accordées par l’État français à, par exemple, la Grèce, Areva, EDF, Dexia et le Crédit lyonnais, elles s’élèvent à 1.920 milliards d’euros.
La dette réelle publique française est donc bien, en fait, de l’ordre de 6.000 milliards d’euros, soit 300 % du PIB. Si les taux augmentent ou s’il y a le moindre krach, l’État français, et pas seulement l’Italie, sera en faillite pure et simple.
En zone euro, Draghi n’a fait que pratiquer la politique de la fuite en avant, pour sauver les meubles de la France et de l’Europe du Sud, en gonflant, par sa politique d’assouplissement quantitatif, le bilan de la BCE à 42 % du PIB. Au-delà de l’arrêt, en septembre, de cette politique et de l’inéluctable prochaine augmentation des taux d’intérêt, on comprendra mieux la catastrophe à venir liée à l’interconnexion des banques européennes en prenant pour exemple les conséquences en chaîne d’une simple défaillance italienne.
De nombreuses banques européennes ont une exposition trop élevée à la dette italienne. La banque publique belge Dexia, déjà sauvée deux fois de la faillite, détient des obligations italiennes qui représentent 320 % de son capital. La banque publique française Société de financement local (SFIL), créée après le sauvetage de Dexia, détient, elle aussi, des obligations italiennes qui représentent 480 % de son capital. D’autres banques européennes sont dangereusement exposées à la dette italienne : la banque portugaise Caixa Central, de Crédito Agrícola Mútuo, détient des obligations italiennes à hauteur de 200 % de son capital ; la banque espagnole Banco Sabadell 102 % ; les banques allemandes Deutsche Pfandbriefbank AG et Commerzbank respectivement 82 % et 42% ; BNP Paribas, 25 %. Le risque de contagion est donc énorme en Europe et dans le monde.
Quant à la politique économique de Trump, avec ses colossales baisses d’impôt qui bénéficieront, pour 60 %, aux 1 % les plus riches, avec la folle augmentation des dépenses publiques de 400 milliards en 2018 et 2019 et le resserrement de la politique monétaire, il est fort possible qu’elle entraîne une envolée du loyer de l’argent et un krach obligataire. La Fed réduit la taille de son bilan de 20 milliards de dollars par mois et souhaite passer à un rythme de 50 milliards d’ici septembre, ce qui inquiète les monétaristes. Elle ne pourra plus augmenter impunément à nouveau la taille du bilan de la Fed, sous peine de perte de confiance. Scott Minerd, le directeur des investissements de Guggenheim Partners, vient de mettre en garde contre une chute de 40 % des marchés actions en 2019 avec une grave récession à la clé – doux euphémisme d’un financier plus sincère que la moyenne.
La vérité, c’est que les actifs cumulés de la BCE, de la Fed et de la Banque du Japon sont passés de 3.000 milliards, en 2007, à 15.000 milliards de dollars. Le comble de la folie contemporaine, c’est lorsqu’on apprend que le bilan de la BNS suisse comprend des dizaines de milliards de dollars d’actions technologiques américaines. La BNS est, en fait, devenue un fonds d’investissement spéculatif à long terme (« hedge fund »).
Cerise sur le gâteau : Pékin semble vouloir sortir l’artillerie lourde en surtaxant de 25 % 106 produits américains dont le soja et les automobiles, face à l’offensive protectionniste sur 1.300 produits chinois de Trump et son désir de faire respecter la propriété intellectuelle américaine.
http://www.bvoltaire.fr/minuit-presidents-macron-trump-draghi/
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Vers un retour de la guerre froide ? - Journal du Jeudi 12 Avril 2018
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De Pernaut à Orban : la revanche des pestiférés, par Ivan Rioufol
Les “populistes” seraient-ils vraiment d’affreux fachos ? Il a toujours été de bon ton, dans le petit monde médiatique, de mépriser Jean-Pierre Pernaut, trop franchouillard et provincial pour ne pas être suspecté d’être d’extrême droite. Quant à Viktor Orban, le premier ministre hongrois, il est d’usage dans les salles de rédaction de le considérer comme un autre pestiféré. Oui, mais voilà. Jeudi à midi, c’est le présentateur du journal de 13 h de TF1 qu’Emmanuel Macron a choisi pour l’interviewer durant une heure. L’entretien se déroulera dans une salle de l’école de Berd’huis, petit village de l’Orne.
Quant à Orban, il vient pour la troisième fois de remporter une victoire triomphale aux législatives qui se déroulaient hier (son parti, le Fidesz, a récolté près de 49% de voix). Ces deux faits ont en commun de mettre en scène deux acteurs, l’un médiatique l’autre politique, en prise directe avec leur société. C’est à la France périphérique des Oubliés, qui pâtit autant des grèves des cheminots que de la politique de l’Elysée, que le chef de l’Etat va tenter de s’adresser à travers le public de Pernaut. Avoir choisi ce “populiste” est un premier aveu de la fausse route prise jusqu’à présent par Macron, prisonnier de la France élitiste, mondialiste et urbaine qui lui ressemble trop. Pour sa part, Orban devient l’expression d’une résistance à la crise identitaire qui parcourt l’Europe et qui mine notamment la France. Ce qu’il dit aux Hongrois est de plus en plus audible aux Français.
Ceux qui croient défendre la France et son “modèle de société” en cherchant à maintenir coûte que coûte des services publics fonctionnarisés se trompent de priorités. Que cela plaise ou non, la préservation de la nation est mieux posée par Orban quand il assure : “Bruxelles ne défend pas l’Europe” et quand il désigne le multiculturalisme comme le danger. Voilà ce qu’il a déclaré, le 15 mars : “Ils veulent qu’en quelques décennies, de notre propre gré, nous donnions notre pays à d’autres : des étrangers venus d’autres coins du monde, qui ne parlent pas notre langue, ne respectent pas notre culture, nos lois et nos modes de vie, et qui veulent remplacer les nôtres par les leurs. Ceux qui n’arrêtent pas l’immigration à leurs frontières disparaissent (…) Nous avons renvoyé le sultan et ses janissaires, nous avons renvoyé l’Empereur Habsbourg et ses soldats, les Soviets et leurs camarades et maintenant nous allons renvoyer Georges Soros et ses réseaux.
Nous lui demandons de retourner en Amérique”. Ce lundi, le ministre allemand de l’Intérieur a invité l’Union européenne à cesser de se montrer “arrogante et condescendante” avec les “petits” pays membres comme la Hongrie. Ce conseil, Macron devrait aussi l’entendre s’agissant des Français du “monde ancien”, qu’il méprise tant. Non seulement ils n’ont pas disparu, mais il m’étonnerait qu’ils restent longtemps silencieux.
Ivan Rioufol
Texte daté du 9 avril 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol
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Éric Zemmour : « Macron a tendu un piège aux catholiques et les laïcards sont tombés dedans »
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Succès du colloque « Fiers d’être Européens ! » organisé par l’Institut ILIADE
Ce samedi 7 avril à la Maison de la Chimie à Paris, plus d’un millier de personnes ont participé au Ve colloque annuel de l’Institut Iliade (1). Un beau succès pour une réunion culturelle et politique majeure, complètement occultée par les médias dominants.
« Fiers d’être Européens ! »
« Fiers d’être Européens ! » Tel était le thème de cette journée, centrée autour d’une quinzaine d’interventions, rythmées par plusieurs respirations esthétiques et culturelles.
Plusieurs universitaires et intellectuels de renom se sont succédé sur la scène de la Maison de la Chimie, évoquant chacun à leur manière leur fierté d’appartenir à l’une des plus grandes civilisations du monde.
Les participants ont eu le plaisir d’assister aux interventions de Philippe Conrad, Bernard Lugan, François Bousquet, Olivier Dard, Gérard Dussouy, Rémi Soulié, Javier Portella, Paul-Marie Couteaux, Thibault Mercier, Jean-François Gautier, Ferenc Almssy et Jean-Yves Le Gallou.
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Marine Le Pen : «La France contribue à recréer une forme de guerre froide avec la Russie»
La députée du Front national Marine Le Pen, interrogée par RT France, a émis l’inquiétude d’une France qui «contribue aujourd’hui à créer ou à recréer une forme de guerre froide avec la Russie».
Elle met en garde contre l’atlantisme du gouvernement français : «[Cela] n’a aucun sens parce que ce n’est pas du tout l’intérêt ni de la France, ni de son économie, ni des relations internationales que d’être, en quelque sorte, le doigt sur la couture du pantalon face aux Etats-Unis, qui cherchent à souffler sur les braises d’un conflit avec la Russie.»
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Réinfo, magazine d'information du Parti de la France du 9 avril 2018
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Sur le passé des staliniens
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Nous abordons en ce lundi 9 avril un nouveau jour de grève politique à tactique révolutionnaire(1)⇓. Difficile d'esquiver dans un tel contexte le poids des nostalgies et, bien plus encore, des volontés de recommencement. On peut les qualifier de "communistes", s'agissant de la CGT, de "gauchistes", s'agissant de Sud-Rail, voire de "soixante-huitardes" etc. Toutes ces appellations ne doivent pas nous faire perdre de vue que, quand elles réussissent, ces entreprises qualifiées de façons diverses aboutissent aux mêmes résultats, à peu près identiques, de mort, de ruine, de misère, de crasse et d'oppression. Nous pouvons appeler cela "stalinisme", sachant que Staline n'était que le principal disciple de Lénine(2)⇓, lui-même un excellent élève de Marx(3)⇓. Marxisme, léninisme et stalinisme fonctionnent donc pratiquement, à cet égard, comme des synonymes.
Ceci ne vaut sans doute pas pour une partie des esprits, ceux qui disent, et parfois chantent, "du passé faisons table rase". Ceci, au contraire, s'impose largement si l'on prend au sérieux les enseignements de l'Histoire, si l'on pense, avec Boris Souvarine qu'il "faut connaître la sinistre histoire d'hier pour comprendre la tortueuse politique d'aujourd'hui et de demain."
C'est donc, si j'ai bien compris, dans cet esprit, qu'une équipe majoritairement composée d'anciens communistes, d'anciens maoïstes, etc., ayant complètement compris les méfaits du marxisme, du léninisme et du stalinisme, travaille, au sein de l'Institut d'Histoire sociale de Nanterre, sous la présidence d'Emmanuel Leroy-Ladurie et la direction de Pierre Rigoulot, à passer au crible le legs actif des totalitarismes, à l'œuvre dans le monde actuel, y compris dans le cadre de la menace islamo-terroriste. Et je considère que c'est pour moi, qui n'ai jamais été de près ou de loin communiste, un honneur de travailler avec eux.
Sur le site de cet Institut est régulièrement publiée une chronique reprenant des informations de provenance en général très sérieuse, mais qui malgré leur importance passent rapidement à la trappe des mécanismes de la désinformation.(4)⇓
En date du 5 avril, cette chronique ose s'interroger, sans affirmation péremptoire, sur le rôle d'une personnalité parisienne bien connue, Julia Kristeva épouse à la ville de Philippe Sollers.(5)⇓
Le Courrier des Balkans résumait ainsi l'état de la question en date du 29 mars : "La Commission pour la Déclassification des documents et l’Annonce de l’affiliation des citoyens bulgares à la Sécurité d’État et aux Services de renseignements de l’armée nationale a révélé mardi 27 mars que Julia Kristeva aurait été une espionne du régime communiste. La philologue, linguiste, psychanalyste et femme de lettres connue pour son engagement féministe était enregistrée en tant qu’agente et associée secrète du Premier département général du bureau de la Sécurité d’État [Dajarna Sigournost]"…
Un lecteur de cette chronique en date du 5 avril 2018, a donc adressé aux administrateurs du site le message suivant :
… "je souhaite apporter les commentaires ci-dessous -- avec la signature que vous trouverez au bas de mon texte: "Il n'est pas très élégant, ni honnête, ni citoyen, de relayer sans aucun esprit critique les manipulations des services spéciaux staliniens."
Personnellement, je répondrais volontiers à ce commentateur que, s'agissant du principe qu'il énonce, sur le papier, en s'en tenant formellement à ses trois lignes, il n'y aurait rien à redire.
Rien à redire si effectivement la mise en cause de Kristeva 1° venait des services staliniens, et 2° si elle était reprise sans réserve par la chronique ainsi incriminée.
Or, ce ne sont pas de vagues trolls staliniens ou post-soviétiques qui se trouvent à l'origine de l'information : c'est d'abord la Commission de lustration de Bulgarie. Dans son pays d'origine, on se préoccupe, comme dans d'autres pays de l'Est, de mettre au clair le passé des anciens agents de l'oppression communiste et de l'occupation soviétique. Et cette instance éprouve plus que des doutes quant au rôle de Julia Kristeva. C'est elle qui l'a fait savoir.
D'autre part, en France, le principal relais de cette information ne vient pas de L'Humanité ou de Mediapart, mais du Nouvel Observateur qui, dans ses pages réservées aux abonnés, diffuse des documents très suggestifs venant des archives de la Dajarna Sigournost [Sécurité d’État] du régime communiste imposé à la Bulgarie, qui comptait environ 1 000 communistes en 1944, par l'occupant soviétique.
Enfin je constate que le titre comporte un point d'interrogation : "Julia Kristeva a-t-elle été ?".
Non ce n'est pas "élégant", en effet, de mettre en cause d'innocentes brebis. En revanche, à l'heure où les tactiques révolutionnaires cherchent à repartir de plus belle dans notre pays, il est nécessaire, fécond et légitime de chercher à savoir la vérité.
JG Malliarakis
À lire en relation avec cette chronique
La Sociologie du communisme de Jules Monnerot à commander sur la page cataloguede l'éditeur ou par correspondance en adressant un chèque de 39 euros pour les trois volumes aux Éditions du Trident, 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris.
Apostilles
- cf. à ce sujet la chronique des Événements courants du 9 avril. ⇑
- cf. Stéphane Courtois "Lénine l'invention du Totalitarisme" publié en 2017 chez Perrin. ⇑
- on doit lire à ce sujet les deux livres d'André Senik "Marx, les Juifs et les droits de l'homme: À l'origine de la catastrophe communiste"" Denoël 2011 et "Le Manifeste du parti communiste aux yeux de l'Histoire" publié en 2015 aux éditions Pierre-Guillaume de Roux.⇑
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- (5) cf. chronique du 5 avril Julia Kristeva a-t-elle été une espionne communiste ?⇑