Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 22

  • 2018 : le Titanic macronien fonce vers l’iceberg

    titanic-macron-588x330.jpg

    Par Michel Geoffroy, essayiste, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦  L’affaire Benalla a gâché le bel été d’Emmanuel Macron. L’automne s’annonce encore plus meurtrier, avec son accumulation de petites phrases malheureuses, de photos polémiques et la démission de Nicolas Hulot puis du ministre de l’Intérieur. Et pour couronner le tout, l’étonnante lenteur avec laquelle l’exécutif a procédé à son remaniement.

    A l’évidence, la macronie est en crise et les photos officielles, pour une fois, ne trompent pas. Emmanuel Macron n’arbore plus le sourire du « gendre idéal » et du winner. Il apparaît désormais contracté et amaigri.  Manifestement, Jupiter est à cran. Et il paraît même que tout l’Elysée l’entend se quereller avec sa Junon.

    Pourtant cette crise était prévisible, conséquence fatale de l’ascension artificielle d’Emmanuel Macron.

    Car en ces heures décisives tant pour l’Europe que pour la France, on se rend compte qu’Emmanuel Macron n’est tout simplement pas à la hauteur de la situation.

    Une élection en trompe l’œil

    Emmanuel Macron a en effet accédé à la présidence de la République grâce à un complot médiatique et juidiciaire orchestré à son profit. Car la Davocratie voulait éviter à tout prix une contagion populiste en France, après le Brexit et la victoire de Donald Trump.

    Emmanuel Macron a donc été élu grâce à l’élimination médiatico-judiciaire de François Fillon et parce que Marine Le Pen n’était pas prête à gouverner. Et aussi parce qu’il a réussi à obtenir le soutien de politiciens, transfuges de la gauche comme de la droite et sortis de la naphtaline pour la circonstance.

    Mais cette victoire est en trompe l’œil. Car cette coalition de rencontre implique qu’Emmanuel Macron, président parachuté par la Davocratie, n’incarne en réalité aucune dynamique politique dans notre pays. Et c’est d’ailleurs ainsi que la Davocratie le tient.

    En Marche ! Rien qu’un slogan

    Le taux d’abstention au second tour de la présidentielle de 2017 s’élevait à 57 %. Et aux législatives qui ont suivi, seulement 38,4 % du corps électoral a voté pour les candidats qui se présentaient.

    Les élus de La République en Marche ne représentent donc qu’une minorité de Français et ne doivent qu’à la fiction du système électoral de se retrouver en position de « majorité » à l’Assemblée. Avec la circonstance aggravante que beaucoup sont dénués de toute expérience politique.

    De même, Emmanuel Macron ne s’appuie sur aucun parti réel. En Marche ! n’est en fait qu’une… fake news ou un slogan. Ce n’est qu’un site internet où il suffit de s’inscrire pour se retrouver adhérent !

    Ce n’est pas avec cela que l’on gagne l’opinion, dans un pays déchiré et en proie au doute.

    Un président dénué d’expérience politique

    Au surplus, Emmanuel Macron lui-même ne brille pas par son expérience politique personnelle.

    Ancien haut fonctionnaire passé par la banque d’affaires, il n’a jamais exercé de mandat électoral ni même syndical. Son expérience politique se limite à son soutien à la candidature de François Hollande pour l’élection présidentielle de 2012. Ce n’est en effet qu’un homme d’intrigues, de réseaux et de groupes de réflexion, qui ne connaît ni les électeurs ni les militants. Et encore moins les Français.

    Il n’a surtout aucune idée de ce que peut être le combat politique : la violence des adversaires, la trahison des proches, l’opposition des médias ou le harcèlement des juges et des administrations. Et surtout le heurt permanent avec la réalité.

    Un ministre de la parole

    Emmanuel Macron a certes été « ministre de l’économie, de l’industrie et du numérique » de 2014 à 2016.

    Mais dans un pays où l’économie et la finance sont dérégulées et où la monnaie ainsi que la politique commerciale sont de la compétence de l’Union Européenne, un ministre de l’Economie fait avant tout de la figuration et de la communication. Rien à voir avec un maroquin nettement plus risqué comme par exemple l’Education, l’Intérieur, la Justice voire le Budget. Un ministre de l’Economie parle, participe à des rencontres internationales mais il regarde surtout passer les trains de la conjoncture économique mondiale.

    Le bilan ministériel d’Emmanuel Macron n’est d’ailleurs guère probant, entre la cession calamiteuse d’Alstom, une « loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques » (sic) qui a surtout débouché sur… la libéralisation du marché des autocars, et l’accord donné à l’acquisition de SFR par le groupe Drahi.

    Et c’est finalement la ministre du travail de l’époque, Myriam El Khomri, qui a dû affronter les syndicats à sa place pour faire passer la réécriture du licenciement économique et le plafonnement des indemnités prud’homales qu’Emmanuel Macron préconisait, pour complaire une nouvelle fois au patronat.

    Macron, le bullocrate

    Enfant gâté du Système et comme tant de politiciens de sa génération, Emmanuel Macron n’a jamais goûté personnellement de l’adversité, ni de « l’âpre joie d’être responsable » comme écrivait De Gaulle dans Le Fil de l’Epée. Et ceci explique cela.

    En digne représentant de la Davocratie, Emmanuel Macron n’est qu’un « bullocrate » pour reprendre l’amusante expression utilisée autrefois par Jean-François Kahn.

    Car il n’a cessé de vivre dans une bulle protectrice qui l’isole du sort réservé au reste de la population. Et qui l’isole de la réalité. Une bulle où, pour trouver du travail, il suffit de « traverser la rue » . Où, pour se payer un « costard », il suffit de bosser. Et où il suffit de regarder les racailles dépoitraillées dans les yeux pour qu’elles se transforment en Bisounours.

    Mais en 2018 la bulle vient d’exploser.

    Le Titanic macronien ne sait plus où aller

    Devenu président de la République, Jupiter découvre avec stupeur que le monde ne correspond en rien à ce qu’on lui a appris à l’ENA où rue du Faubourg Saint Honoré. Et les Français découvrent, avec la même stupeur, l’attitude hautaine, autiste et inconvenante de leur président.

    Emmanuel Macron semble découvrir que la politique et notamment la politique étrangère sont du domaine des rapports de force : c’est pourquoi, président impopulaire d’une France amoindrie, il n’obtient rien de personne. Malheureusement cela se sait et se voit de plus en plus.

    Il ne comprend pas non plus pourquoi son logiciel libéral/libertaire /atlantiste et mondialiste, celui de la Davocratie, n’a plus prise sur la réalité, dans un monde de plus en plus multipolaire et en proie à la révolte des peuples. Mais malheureusement il n’en a pas d’autre et il ne sait que faire.

    Comme il ne comprend pas pourquoi les politiciens ne semblent plus avoir envie de monter à bord de son Titanic gouvernemental, alors que se profilent déjà les icebergs politiques de 2019. En Marche !Mais pour quel naufrage exactement ?

    A l’évidence les politiciens, comme les Français, n’ont plus confiance dans le capitaine. Alors que la navigation promet d’être dangereuse, ce n’est pas bon signe pour Emmanuel Macron.

    Michel Geoffroy 17/10/2018

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Domaine public, via PixaBay

    https://www.polemia.com/2018-titanic-macronien-iceberg/

  • Réchauffement climatique : le GIEC, le mensonge, la manip

    giec-climat.jpg

    Jean-François Touzé
    Secrétaire national du Parti de la France
    Selon le dernier rapport du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur les changements climatiques), approuvé par tous les pays (même les États Unis qui n'auraient fait que des remarques de détail), le réchauffement climatique s’accélérerait.
    Pour les pseudo-spécialistes du GIEC érigé en Département idéologique mondial, aux alentours de 2040, la température moyenne de la planète atteindrait ou dépasserait 1,5°C par rapport au début de l'ère industrielle, si les émissions de gaz à effet de serre devaient se poursuivre au rythme actuel, soit une hausse de 50 % par rapport au réchauffement enregistré jusqu'en 2017.
    Ce « résumé pour décideurs », qui a pour prétention de « guider les actions des gouvernements du monde entier », a été rédigé par environ 90 chercheurs internationaux. Le texte final a été peaufiné à l'aide des représentants des gouvernements et des représentants de l'Union européenne. « Les remarques et commentaires ont été conservés ou rejetés sur la base du compromis et des fondements scientifiques présentés dans le rapport », indique Henri Waisman, chercheur à l'Iddri et coordinateur de la partie consacrée au développement durable de ce rapport.
    Environ 6 000 articles scientifiques publiés avant mai 2018, ont été compilés pour établir les scénarios permettant d'arriver à 1,5°C et pour estimer les conséquences sur les populations, les écosystèmes, la biodiversité, les changements climatiques, le développement économique, les émissions des gaz à effet de serre et le fameux et très politiquement correct développement durable.
    Pour ces experts autoproclamés, avec une augmentation de seulement 1,5°C, la hausse du niveau de la mer d'ici 2100 serait moindre (dix centimètres) alors que certains pays en subiraient déjà les premiers effets ; près de dix millions de personnes ne seraient pas contraintes de déménager et la fonte des glaces en été, autour de l'Arctique, se produirait une fois par siècle au lieu d'une fois tous les 10 ans à 2°C.
    D'autres conséquences ont été estimées : sur 105 000 espèces étudiées, 6 % d'insectes perdraient leurs habitats, 8 % des plantes et 4 % des vertébrés, tandis qu'à 2 °C, cela concernerait 18 % d'insectes, 16 % des plantes et 8 % des vertébrés. Par ailleurs il en ira de même pour la durée des canicules dans les villes ou le nombre d'événements climatiques extrêmes (sécheresse, pluies diluviennes, baisse du rendement des cultures, etc.).
    On le voit, tout a été pensé, organisé et accompli pour que ce rapport soit paré des plus convaincantes nuances du raisonnable, de la compétence et du sérieux scientifiques afin de relancer, sous les apparences de la modération (1,5° oui, 2° non !) l’opération « Sauvons la planète en asservissant les hommes ».
    La thèse du réchauffement climatique dû aux activités humaines ne repose pourtant sur aucune base démontrée et ne se structure d’aucun élément avéré.
    On ne connaît, en effet, à peu près rien du rôle du CO2 d'origine humaine dans le réchauffement climatique (si ce dernier existe bien puisque de nombreux climatologues en doutent et que certains penchent même pour un possible refroidissement), alors que d'autres facteurs sont bien plus importants : vapeur d'eau, formation des nuages, nuages de poussières et activité volcanique. Le plus important facteur serait (cf. Claude Allègre), l'activité solaire, « mieux corrélée avec le réchauffement que les variations du CO2 ».
    Des milliers de scientifiques se sont ainsi élevés, en vain, contre les bobards répandus par le GIEC et ses manipulations relayées par la propagandastaffel médiatique.
    Nous sommes en vérité, dans le domaine du dogme révélé qui, comme l’était le dogme marxiste de l’explication du monde et de l’Histoire par la lutte des classes ne repose que sur du vent.
    Un vent évidemment très orienté afin d’atteindre trois objectifs.
    • Premier objectif : la mise en place d'une plateforme de décision mondiale, avant-garde du gouvernement planétaire unifié.
    • Second objectif : détourner le regard des peuples occidentaux d’une menace avérée, celle de la déferlante migratoire menant à une colonisation inversée, vers une menace fantasmagorique, celle du réchauffement conduisant au désastre planétaire.
    • Troisième objectif : la mise en œuvre d'une politique de décroissance provisoire et de malthusianisme économique destinée à achever la transition de l’ère industrielle vers l’ère purement financière.
    Et marchent les bobos et courent les gogos « pour la planète, le climat et la responsabilité citoyenne » comme autrefois à l'appel masqué du Parti communiste, se rassemblaient les idiots utiles au nom du « Mouvement de la paix ».
    L’écologie politique, c'est la continuité de l’internationalisme par la voie du mondialisme spéculatif. C'est le progressisme apatride opposé à la réalisation humaine. Emmanuel Macron ne s'y est pas trompé qui, fidèle à ceux qui l'ont fait élire, s'est précipité, à peine le rapport publié, pour réclamer la mise en place rapide d'un « One planet summit ». Tout est dit.
  • Meilleure performance de l’économie américaine depuis dix ans : la Davocratie approuve, sous réserve…

    trump-le-sacre-de-davos-845x475.jpg

    Hier, c’était la Suisse. Aujourd’hui, ce sont les États-Unis. Le pays détrône, en effet, la patrie de la démocratie directe dans le tout récent classement du World Economic Forum (WEF), célèbre matrice des rencontres de Davos. Si le Vatican du mondialisme le dit, c’est donc vrai. Un changement de méthodologie a ainsi fait descendre la Suisse au quatrième rang, tandis que les États-Unis sont passés du deuxième au premier rang, suivis par Singapour, l’Allemagne, la Suisse, le Japon, les Pays-Bas, Hong Kong, le Royaume-Uni, la Suède et le Danemark. La France est au dix-septième rang.

    Faute de contrôle anti-dopage, il faut donc se contenter du résultat. Le Figaro Économie du 17 octobre précise : « Les experts du Forum ont démenti que l’étude ait été remodelée pour être au goût du président américain Donald Trump, qui a fait le déplacement à Davos en janvier pour vendre son slogan “America First” à l’élite mondiale réunie par le WEF dans la station alpestre suisse. » Car les critères ont été modifiés, faisant la part belle à la nouvelle économie technétronique californienne et aux services financiers, tout en ne jugeant plus la dette elle-même, mais plutôt la « dynamique de la dette ».

    Et « dynamique » il y a depuis moins de deux ans. Avec une économie qui, selon la Banque centrale, devient « la meilleure de l’époque moderne américaine », à contre-courant de la doxa défaitiste de l’époque Obama, celle du « nouveau normal » : croissance à 1-2 % ad vitam, impôts élevés sur les créateurs de richesses « locaux » pris en otage parce que ne pouvant se délocaliser, profits et emplois à l’étranger des groupes transnationaux compensés à l’intérieur par de vastes programmes sociaux comprenant « du pain et des jeux » ou « un salaire pour tous », doublement de la dette par Obama après que Bush l’eut lui-même doublée, etc.

    Aujourd’hui, la croissance a atteint les 4 %, il y a plus d’emplois créés que de main-d’œuvre disponible (emplois qualifiés) et l’on assiste à une renaissance des emplois industriels traditionnels, avec un taux de chômage en baisse, y compris dans les catégories traditionnellement sinistrées (Latinos et Afro-Américains), avec une diminution « automatique » de l’utilisation des coupons alimentaires par une masse importante de la population. Et le World Economic Forum d’embrasser l’idée qu’avec son nouveau moteur, l’économie mondiale s’engage à son tour sur la voie des 4 % de croissance pour 2018 et 2019.

    Nul doute qu’en cette période d’élections législatives, ces nouvelles seront abondamment exploitées par le président américain, qui a lancé un trait des plus trumpiens : « Si vous votez démocrate, c’est que vous êtes fatigués de gagner ! » Certes, mais le WEF liste une série de points fondamentalement préoccupants, en matière de guerre tarifaire, propriété intellectuelle, de corruption, de santé publique, de sécurité et criminalité, sans oublier la persistante inégalité sociale (revenus et capital) en croissance exponentielle depuis les années 80. Autant de critères où les suivants du classement font mieux que l’Amérique.

    S’agirait-il donc, ici, du rapport facilitateur d’une transition en souplesse pour celui ou celle qui succéderait à Trump ? Le futur « leader du monde libre » serait ainsi sacré leader économique mondial. Charge à lui de relancer le mondialisme des frontières ouvertes par ce trotsko-capitalisme qui a marqué la fin du XXe siècle.

    À Davos, rien n’est gratuit.

    André Archimbaud

    http://www.bvoltaire.fr/meilleure-performance-de-leconomie-americaine-depuis-10-ans-la-davocratie-approuve-sous-reserve/

  • Radars, contrôle technique, carburant : trouvez-vous que le gouvernement abuse contre les automobilistes ?

    Radars, contrôle technique, carburant : trouvez-vous que le gouvernement abuse contre les automobilistes ?

    Ne vous inquiétez pas, il a encore de bonnes idées pour faire payer les automobilistes.

    L’avant-projet de loi d’orientation des mobilités, qui doit passer en conseil des ministres le mois prochain, prévoit la possibilité d’un péage urbain pour les agglomérations de plus de 100 000 habitants.

    Selon l’avant-projet de loi, le montant « est déterminé de manière forfaitaire pour chaque entrée dans la zone soumise au tarif. Pour les véhicules légers, ce montant est au plus égal à 2,50 euros. » Pour les autres véhicules, le tarif peut être jusqu’à quatre fois plus élevé. Ces montants peuvent être multipliés par 2 « dans des unités urbaines de plus de 500 000 habitants ». Soit un maximum de 5 euros pour une voiture et 20 euros pour un camion dans des villes comme Paris, Lyon ou encore Marseille.

    Le texte prévoit également la possibilité d’instaurer des tarifs réduits, voire la gratuité, pour certaines situations particulières, « notamment ceux dont le domicile ou le lieu de travail est situé dans la zone soumise à tarif de congestion ». La gratuité est d’ores et déjà prévue pour les véhicules « d’intérêt général », les ambulances, ceux du ministère de la Défense, ainsi que ceux assurant « un service public de transport », sans que le texte précise à ce stade si cela inclut les taxis et les VTC.

    https://www.lesalonbeige.fr/radars-controle-technique-carburant-trouvez-vous-que-le-gouvernement-abuse-contre-les-automobilistes/

  • Jean-Marie Le Pen aimerait voir Bruno Gollnisch tête de la liste RN aux européennes

    Jean-Marie Le Pen aimerait voir Bruno Gollnisch tête de la liste RN aux européennes

    Dans son journal de bord, Jean-Marie Le Pen estime que Bruno Gollnisch

    «paraît de loin le plus qualifié. Les élections européennes sont des élections capitales […] elles seront considérablement en faveur du Rassemblement national, surtout si la personnalité qui en est la tête de liste est capable de gouverner un groupe parlementaire de plus d’une centaine de membres.»

    Par ailleurs, il suggère de faire partie de la liste :

    «J’accepterai moi-même d’y figurer […] je serai le doyen des doyens, même si l’âge ne compte pas. Il faut que les anciens soient représentés»

    Sur ce dernier point, il a peu de chance d’être exaucé. Ce qui devrait lui laisser le temps de terminer le 2e tome de ses Mémoires. Le 1er tome a en effet laissé un goût de trop peu.

    https://www.lesalonbeige.fr/jean-marie-le-pen-aimerait-voir-bruno-gollnisch-tete-de-la-liste-rn-aux-europeennes/

  • Zoom – Charles Gave :”La fin de l’Euro enrichira la France”

  • Le migrant est l’avenir de Libération, par Francis Bergeron

    migrant_9219-p1-600x400.jpg

    Le manifeste lancé lundi par Libération : « Le migrant est l’avenir de l’homme » entend réinjecter dans l’air du temps un discours qui n’a plus guère la cote, celui selon lequel l’immigration serait « une chance pour la France », selon la formule de Bernard Stasi datée de 1984. A l’époque, ce slogan passait mieux. Mais c’est un discours de ce type que veut réhabiliter le quotidien du milliardaire israélien Patrick Drahi. Libération nous annonce donc que « le migrant est l’avenir du monde ».

    Remarquez que Libération ne parle pas d’« immigrés », de « sans-papiers », de « clandestins », ni même de « réfugiés ». Toutes ces appellations concernent a priori des hommes qui arrivent temporairement dans un pays, qui n’y étaient pas attendus, qui n’y sont pas forcément accueillis dans la joie et l’allégresse. Le mot « migrant », lui, recouvre une tout autre réalité. Il s’agit de populations que des phénomènes climatiques, économiques ou autres, transportent vers de nouvelles contrées, sans idée de retour.

    C’est un peu cette image que Libération veut imposer. L’Europe – la France tout particulièrement –, est une nouvelle « bonne frontière », pour des peuples en transhumance depuis l’Afrique et l’Asie.

    Parce que cet élan vers la vieille Europe a été souhaité, voulu, sans garde-fous, sans limites qualitatives ou quantitatives, il est possible de parler de grand remplacement. Le « pseudo-grand remplacement », comme écrivent parfois nos médias.

    Mais Libération, lui, ne truque pas son discours. Ce grand remplacement, il l’appelle de ses vœux. Pourquoi ? « Pour que la Méditerranée cesse d’être un cimetière. » Nous entrons alors dans le volet culpabilisateur du manifeste de Libération. Depuis 18 ans, 50 000 personnes auraient trouvé la mort en Méditerranée. Ces morts seraient donc, à en croire Libération, un nouveau crime commis par les hommes blancs d’une Europe égoïste. Comme l’écrit Hugues Moutouh dans une récente tribune du Figaro, il s’agit d’empêcher de « traiter du sujet comme il devrait l’être : uniquement sous l’angle politique et non à travers un prisme déformant, exclusivement humanitaire ».

    « Notre Europe vieillissante a besoin d’une population active renouvelée », écrit Libération. Si ce n’est pas du grand remplacement, cela y ressemble terriblement : renouveler la population active ; pousser les Français à ne plus avoir d’enfants… Faire ainsi de la place pour ces jeunes hommes venus de pays aux ressources plus limitées. « Nos budgets sociaux ont besoin de ces actifs cotisants dont le régime de la clandestinité les prive. »

    Une tendance anti-immigration de gauche

    Il s’agit clairement d’un appel à la régularisation générale des clandestins… au nom du renflouement des caisses sociales. Or nul n’ignore pourtant que la paupérisation actuelle et le taux de chômage qui ne se réduit pas ont notamment pour origine, en France, cette immigration non choisie, peu ou pas qualifiée. Régulariser les illégaux, ne pas viser à les renvoyer, serait, aujourd’hui, mettre en faillite l’ensemble de nos régimes de protection sociale.

    Libération se plaint également de l’apparition d’une tendance anti-immigration de gauche, en Europe : « La vieille droite y faisait son ordinaire, rejointe aujourd’hui par une ancienne gauche qui, en Allemagne, en France ou en Italie, espère ainsi sa part de gâteau électoral. »

    Le message de Libération s’adresse en fait à ce peuple de gauche qui met au premier rang de ses préoccupations la survie des systèmes sociaux, au risque de rejoindre « l’orthodoxie identitaire, l’archaïsme culturel, la crispation néo-nationaliste ». Que d’inquiétudes pour le bon vieux Libé !

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/212349/le-migrant-est-lavenir-de-liberation-par-francis-bergeron/

  • GB : Les visages du gang de violeurs d’adolescentes qu’avait voulu dévoiler Tommy Robinson enfin officiellement révélés

    (…) Nous pouvons révéler qu’un total de 20 hommes, principalement d’origine pakistanaise, ont été reconnus coupables de plus de 150 crimes contre 15 filles dans le cadre de trois procès distincts.

    Le gang de viol en réunion (grooming) que Tommy Robinson a voulu démasquer, ce pour quoi il a été emprisonné, a été condamné à une peine cumulée de 221 ans pour avoir violé, agressé et trafiqué des jeunes filles dont la plus jeune avait à peine 11 ans.

    Ce gang est l’auteur d’agissements ignobles entre 2004 et 2011, comprenant des dizaines de viols, des agressions sexuelles, du trafic de personnes, des enlèvements et de la prostitution d’enfants.

    Des images liées au gang ont été diffusées en direct par Tommy Robinson, qui a été emprisonné pour cela au motif d’outrage au tribunal car le juge avait imposé des restrictions strictes sur la divulgation.
    Ces affaires judiciaires stupéfiantes ne peuvent être rendues publiques que maintenant qu’un juge ait levé les restrictions imposées il y a près de 12 mois sur la diffusion d’informations à leur sujet.
    L’ignoble gang (de gauche à droite et de haut en bas) : Amere Singh Dhaliwal, Irfan Ahmed, Zahid Hassan, Mohammed Kammer, Raj Singh Barsran, Mohammed Rizwan Aslam, Abdul Rehman, Nahman Mohammed, Mansoor Akhtar, Mohammed Irfraz, Nasarat Hussain, Sajid Hussain, Faisal Nadeem, Mohammed Azeem, Wiqas Mahmud, Manzoor Hassan, Niaz Ahmed, Mohammed Imran Ibrar, Asif Bashir et Mohammed Akram

    Beaucoup de membres du gang étaient connus par leurs surnoms, comme Chiller, Dracula et Bully.
    D’autres procès sont prévus l’année prochaine, mais le juge a déclaré qu’il était temps que le public sache ce qui s’était passé et qui en était responsable.

    Le gang a été emprisonné au Leeds Crown Court.
    Les derniers actes ont eu lieu à Huddersfield, West Yorks, et font suite à des scandales similaires à Rotherham, Rochdale, Telford, Oxford et Newcastle.
    Le juge du Leeds Crown Courta déclaré que « la gravité (de l’infraction) dépassait de loin » tout ce qu’il avait vu auparavant.

    Nous pouvons maintenant révéler les grandes lignes :
    – Certaines victimes du gang ont été emportées à la sortie de l’école, dans leur uniforme.
    – D’autres ont été emportées de leurs familles de placement.
    – Elles ont été conduites dans des lieux éloignés et ont été maltraitées à maintes reprises par de multiples hommes.
    – Les familles des filles ont tiré la sonnette d’alarme après leur disparition.
    – Les travailleurs sociaux n’ont pas voulu garder un contact suffisant avec les familles ni prendre leurs demandes au sérieux.
    – Les policiers ont (parfois) rejeté la validité des demandes en considérant que ces filles étaient suffisamment expérimentées ou complices des sévices qu’elles subissaient.

    Ils ont été emprisonnés pour une période allant de cinq ans à la perpétuité, avec un minimum de 18 ans d’emprisonnement.

    Des preuves déchirantes ont révélé comment les victimes ont été délibérément ciblées par le gang de Huddersfield, qui a abusé d’elles à volonté.

    L’une des filles, qui n’avait que 12 ans à l’époque, a été retirée de force de sa famille de placement après que ses agresseurs eurent dit au personnel : « Je veux la baiser. »

    Une autre a tenté de se suicider alors qu’une autre avait avorté après avoir été rendue enceinte par un de ses prédateurs.
    Toutes les filles menaient une vie chaotique et dysfonctionnelle.

    L’ancien chef du groupe d’extrême droite English Defence League a été emprisonné pendant 13 mois parce qu’on craignait qu’il fasse dérailler les procès.
    Tommy Robinson, sur Facebook, a diffusé en continu une diatribe d’une heure dans laquelle il a nommé les accusés et toutes les accusations auxquelles ils faisaient face.
    Cette diffusion était en violation flagrante de la sentence d’outrage au tribunal (contempt of court) rendue contre lui par le juge de première instance, et risquait sérieusement de porter préjudice aux procès.
    Les images des défendeurs à leur arrivée au tribunal de Leeds en mai ont été visionnées 250 000 fois.
    Le juge de première instance Geoffrey Marson avait alors déclaré que l’ordonnance visait à assurer l’intégrité de l’affaire.
    Robinson (de son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon) a été arrêté et incarcéré, mais libéré en août en appel.
    Un juge de l’Old Bailey devait décider la semaine prochaine s’il doit être condamné une seconde fois.

    C’est vers la fin du second de ces procès, en mai, que Tommy Robinson, fondateur de l’English Defence League, a été arrêté alors qu’il rapportait l’affaire en direct sur Facebook depuis l’extérieur du tribunal.

    Certaines des filles suivaient le mouvement par besoin d’attention, alors que d’autres, beaucoup plus naïves, croyaient sincèrement être dans des relations amoureuses.
    Mais ce que toutes les filles avaient en commun, c’était leur âge, leur isolement social et leur grande vulnérabilité.
    Tragiquement, chacune d’entre elles a ensuite été rejetée à plusieurs reprises par le système.
    Le procureur Richard Wright a dit au jury à chacun des trois procès : « Vous vous demandez peut-être pourquoi personne ne s’occupait du bien-être de ces filles. qu’il s’agisse de leur famille ou des personnes responsables à l’école, dans les services sociaux ou dans les forces de police ? Nous vous prouverons que les amis et les familles de bon nombre de ces filles étaient très inquiets pour elles.

    (…) Le meneur a été reconnu coupable de 54 infractions contre 11 victimes, dont le viol d’un enfant de moins de 13 ans. Au total, il a été reconnu coupable de 22 viols, agressions sexuelles, incitation d’un enfant à se livrer à des activités sexuelles, prostitution, trafic, trafic de drogue et coups. Il les inondait d’attention, leur faisait absorber de l’alcool et de la drogue et les préparer à s’adonner régulièrement au sexe avant de les prostituer à d’autres hommes.

    Le juge Geoffrey Marson a condamné les dix hommes à un total de 123 ans de prison – et a révélé comment ils ont imposé un régime de terreur.
    Lors du deuxième procès, huit membres du gang de grooming ont été condamnés à une peine totale de 98 ans pour une série d’infractions similaires.
    L’une des membres du groupe, Nasarat Hussain, 30 ans, a violé une des filles en uniforme scolaire alors qu’elle n’avait que 15 ans. Les abus ont eu lieu dans tout Huddersfield « dans des voitures, des parkings, des maisons, un salles de billard, un établissement d’alimentation à emporter, un parc et d’autres endroits ».
    Lors du troisième procès, quatre hommes ont été reconnus coupables de viol, de traite, de préjudice corporel et d’agression sexuelle. Ils seront emprisonnés le 1er novembre.

    (…) The Sun

    http://www.fdesouche.com/1090625-les-visages-du-gang-de-violeurs-dadolescentes-quavait-voulu-devoiler-tommy-robinson-enfin-officiellement-reveles

  • Nerfs solides, cuir épais, endogamie et viol démocratique

    agora.jpgA la sortie de son audition hier à Nanterre où il a été auditionné dans la foulée des perquisitions qui ont eu lieu mardi, dans le cadre de l’enquête ouverte sur ses assistants parlementaires européens et ses comptes de campagne, Jean-Luc Mélenchon s’est voulu serein. Il a insisté sur sa probité et celle de son parti. Les médias mettent ce matin  plus spécifiquement en cause  la société Médiascop de Sophia Chikirou, laquelle aurait surfacturé  des prestations au candidat de  LFI lors de la présidentielle. M Mélenchon a réitéré ses propos sur la dimension politique, persécutoire de cette affaire,  pouvoir macronien en comparaison  duquel feu “l’Etat RPR” avec ses magouilles et ses méthodes peu reluisantes,   aurait été de la gnognotte a-t-il affirmé. La veille, interrogé par l’agence Reuters, le député RN Sébastien Chenu a  douté  de la solidité des nerfs de M. Mélenchon après avoir vu les images “dévastatrices” de ce dernier, empêché de pénétrer dans ses bureaux en cours de perquisition.  “ On ne donne pas les clefs d’un pays à quelqu’un qui force des portes”, “quand il prend ses premiers coups, qui sont rudes, il dérape”, “il n’est pas solide parce qu’il n’est habitué en réalité à prendre ces coups-là.” “Il est le miroir de ce qu’a été le Front(National)  il y a trente ans, selon Sébastien Chenu, qui a souligné les similitudes entre la scène de mardi et un déplacement houleux de Jean-Marie Le Pen (…)  à Mantes-la-Jolie en 1997.” Au-delà des similitudes que certains pourront trouver entre les deux tribuns précités, précisons cependant que dès son ascension électorale dans les années 80,   les dirigeants et militants du FN furent  soumis à des persécutions, à des pressions politiques,  psychologiques , physiques même, à des traquenards, des coups tordus (Carpentras, Mantes-la-Jolie en sont deux exemples emblématiques)  autrement  plus importants et violents  que ceux  subis par LFI et son dirigeant.

    Un climat  qui nécessitait en effet  d’avoir le cuir épais et du caractère pour ne  pas courber l”échine devant l’adversaire!  Climat qui  n’est guère plus serein aujourd’hui  pour  l’opposition nationale  au fur et à mesure que ce Système qui vacille sur ses bases,  montre les crocs  et tente désespérément, par tous les moyens,  de freiner la vague populiste… Autant dire que Marine  parle vrai quand elle dénonce  l’acharnement judiciaire contre le RN,  un  “gouvernement des juges. ”  Bruno Gollnisch tiendra d’ailleurs lundi prochain une conférence  de presse dans les locaux du Parlement  européen  à Paris,  au cours de laquelle il apportera de nouvelles révélations  dans l’affaire dite des assistants parlementaires du FN.

    Jean-Luc Mélenchon  est  une victime collatérale, par  symétrie en quelques sorte,  des tentatives desBruxellois de mater un peuple français qui rue de plus en plus fortement dans les brancards. Le dirigeant de LFI,  ont rapporté avec une certaine  gourmandise des médias qui lui font un peu payer son mépris pour la caste journalistique,  serait  désormais contesté en interne. Comme de juste,  ce serait   sa violence populiste, telle qu’elle s’est manifestée notamment  par son comportement lors des perquisitions évoquées plus haut,  qui gênerait un nombre croissant de ses sympathisants.

    La parole a été  ainsi donnée  ces dernières heures   à Clémentine Langlois, une ex-candidate LFI qui a créé un petit Collectif des insoumis démocrates (sic, les autres ne le sont pas?) qui s’insurge contre  le centralisme/dirigisme  des décisions  au sein de ce parti. Mais aussi contre les mauvaises manières de M Mélenchon au moment ou il tente de rassembler autour de lui  des figures de l’aile gauche du PS qui viennent d’en claquer la porte, comme  la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann et le  député européen Emmanuel Maurel.   Les médias font aussi état d’un ras-le-bol de députés comme  Clémentine Autain ou François  Ruffin (qui se positionnerait pour l’après-Mélenchon) mais qui n’oseraient pas encore sortir  du bois. A dire vrai, on peut ne pas aimer M. Mélenchon  mais Mme Autain, MM. Coquerel, Ruffin,  Corbière n’ont pas  son épaisseur…

    A ce tableau des critiques qui pleuvent sur LFI s’ajoutent les accusations d’homophobie et de complotisme  proférées par certains macronistes  contre  le jeune  Juan Branco.  Ex candidat LFI  dans le 93  lors des dernières législatives, par ailleurs avocat de M.  Mélenchon  (et de Julian Assange), M. Branco s’est fait connaître par le combat qu’il a également mené, à l’instar  notamment de Marine le Pen et de  Bruno Gollnisch au parlement européen,   contre la loi Hadopi . Il lui est reproché depuis mardi d’avoir analysé la nomination au poste de secrétaire d’Etat auprès de Jean-Michel Blanquer du socialiste strauss-kahnien Gabriel Attal,  élu en 2017 député sous les couleurs de LREM,  sous l’angle d’une “promotion-canapé.” M Branco en veut pour preuve le fait  que M. Attal  est pacsé   avec Stéphane Séjourné,  conseiller politique d’Emmanuel Macron et du  secrétaire d’État/porte-Parole Benjamin Griveaux. ” Tout Paris le sait, dit-il sur twitter,  mais il paraît que ces choses là ne se disent pas. Il ne faudrait pas brusquer notre si chère endogamie”

    M. Branco analyse aussi sous l’angle de “l’entre soi, du  népotisme, de l’ endogamie”,  la nomination au poste de secrétaire d ‘Etat à la transition  écologique de la très controversée  ex (?) lobbyste Emmanuelle Wargon,  fille de feu Lionel Stoléru,  qui fut  député et secrétaire d’Etat   de VGE  et de François Mitterrand.  Loin des “fantasmagories complotistes”, explique-t-il,  la jeune garde macroniste  consisterait  en  “un petit cercle d’ami(e)s plutôt incompétents qui par sociabilités successives ont pris le pouvoir de l’Etat. “

    Ce constat sur  l’existence de réseaux dont les happy few se cooptent  et se font la courte échelle n ‘est ni nouveau, ni très original, quand bien même émane-t-il d’un militant comme Juan Branco, lui aussi issu du sérail. Idem pour son analyse de ” la couardise des journalistes qui, le sachant, mais craignant le procès d’intention alors qu’ils ont pour rôle d’exposer les puissants, ont renoncé à leur mission, jouant d’inventions pour masquer au lecteur la réalité de ce qui devant leurs yeux se jouait. ” “L’élection de Macron écrit-il encore,  ne doit qu’à ça: une complaisance terrible face à un individu qui avait utilisé tous les leviers invisibles de la petite société parisienne pour se hisser à sa tête et s’imposer au pays. Le viol démocratique qui s’en est suivi aurait pu être évité. “

    Une réalité bien perçue  également  par un très grand nombre de nos compatriotes,  de tous bords politiques. Pour le reste, chacun aura compris que la volonté du RN  de rendre au peuple ses droits et  ses libertés, de redonner à notre pays sa respiration démocratique  n’ a pas grand chose à voir avec les vœux qui sont ceux de l’extrême gauche communiste ou socialo-trotskyste. Mais nous ne nous sentons pas obligés de dire que M Mélenchon et ses amis ont tort quand ils disent qu’il fait jour à midi. 

    https://gollnisch.com/2018/10/19/nerfs-solides-cuir-epais-endogamie-et-viol-democratique/