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Jamais depuis l’ affaire Charlie, les média n’auront fait autant de battage autour du rassemblement du 17 novembre. Permettez moi d’abord d’étayer mon analyse à l’aide de quelques observations.
1) Rappeler que ces mêmes média soutiennent Macron et ses complices est un euphémisme. En réalité ils sont simplement à sa botte. Depuis son élection, on est même plus dans la courtisanerie, on a plongé dans des abîmes de servilité. On est plus dans la complaisance on a sombré dans la bassesse.
Leur comportement habituel est abject !
2) Comme je l’évoque dans mon titre, ce revirement à 180 degrés dans leur attitude m’apparaît plus que suspect !!! Ces média serviles, baveux et larmoyants, se prendraient ils soudain de sympathie pour une population de jaune vêtue et très hostile à l’ imposteur de l’ Élysée ?
3) On y perdrait presque son latin … Sauf si l’on se souvient du cinéma médiatique de l’ affaire Charlie Hebdo, où en réalité tout fût minutieusement préparé, le slogan et les T Shirt « je suis Charlie » auraient même été imprimés avant l’ attentat.
4) L ‘ évidence est là, très simple. Grogne il y a, les français en on marre d’ être pressés comme des citrons et tondus comme des moutons. Le prix du carburant n’est qu’un prétexte. En réalité les Français ne supportent plus les atteintes à leur liberté, ils n’acceptent plus le « politiquement correct » ni la police de la pensée. Ils refusent de voir assassiner notre société sous leurs yeux. Ils refusent l’invasion barbare orchestrée pour notre disparition. Même s’ils ne se l’avouent pas, ils en sont conscients au fond d’eux même. Ils ressentent au plus profond de leur âme, l’immense mépris que leur voue la caste dirigeante.
5) Le fait est que le gouvernement est évidement particulièrement bien informé de l’ état d’esprit de la population. La DGSI ayant supplanté les bons vieux RG, la délation s’effectue maintenant avec des moyens modernes ! Sous Macron, le flicage est devenu universel. En plus, ce ne sont pas les collabos qui manquent en France.
6) Or, si l’état peut imposer pratiquement ce qu’il veut, l’immigration, les impôts, les taxes, les lois liberticides et mémorielles en revanche malgré les efforts de leurs complices des média, il ne peut pas empêcher les gens de penser par eux même… Du moins pas encore, Georges Orwell n’est plus très loin !
7) C’est pour contrer cette lassitude, ce mécontentement, qu‘ ils ont décidé de prendre le contrôle de ce mouvement du 17 novembre.Spécialistes de longue date de la manipulation d’opinion ils tentent à présent de le canaliser. En voici quelques preuves :
C’est abject : alors que l’antisémitisme se déploie impunément dans les banlieues de l’immigration musulmane, que fuient les personnes de confession ou d’origine juive, Le Monde illustre cette montée de l’antisémitisme par des symboles catholiques…
Le Premier ministre Edouard Philippe, qui a annoncé ces chiffres ce matin (+69%), a repris la chansonnette du président sur la montée du péril des années 30, alors même que la similitude avec cette époque vient de l’aveuglement de nos dirigeants face à la montée du péril islamiste :
« Chaque agression perpétrée contre un de nos concitoyens parce qu’il est juif résonne comme un nouveau bris de cristal ». « Pourquoi rappeler, en 2018, un aussi pénible souvenir ? Parce que nous sommes très loin d’en avoir fini avec l’antisémitisme ».
Et plutôt que de dénoncer l’islamisation, le gouvernement prépare pour 2019 une modification de la loi afin de renforcer la lutte contre la cyberhaine, en mettant la pression sur les opérateurs du Net.
https://www.lesalonbeige.fr/antisemitisme-bobard-par-limage-du-journal-le-monde/
Depuis l’ouverture des frontières par la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel en 2015, l’Allemagne est devenue un pays peu sûr pour la gent féminine.
Si la presse régionale relate ces actes parmi les faits divers, les médias nationaux considèrent quasiment à chaque fois qu’il s’agit d’un cas unique d’importance médiatique purement locale et évitent, par conséquent, de traiter le problème.
Ainsi, ce samedi 3 novembre 2018, un Ghanéen de 23 ans a violé, vers 17 h 30, une jeune femme de 17 ans à Stuttgart, dans les jardins du château.
Vers 8 h, à Fürth, une dame a été tirée dans un buisson, menacée avec un couteau et violée par un homme de type méditerranéen parlant l’allemand avec un accent étranger.
Toujours le même jour, un éleveur a trouvé, au matin, un individu d’environ 25 ans à la peau sombre et au visage mince, à Velden, près de Landshut, sodomisant un de ses moutons. L’animal a dû être abattu.
Dans la nuit du 2 au 3 novembre, à Essen, un homme de type méditerranéen a agressé une dame de 27 ans et l’a touchée aux parties intimes avant de s’enfuir. Voyant que la victime le suivait ensuite à distance, l’agresseur lui a jeté des pierres.
Le 2 novembre, un réfugié érythréen de 19 ans a comparu devant la Justice à Halle-sur-Saale pour le viol d’une dame, au sein d’un département psychiatrique, et pour le fait qu’il ait blessé au même endroit une autre femme.
Le 1er novembre, vers 19 h 30, une dame de 40 ans a été agressée sexuellement à Fürstenfeldbruck et a pu éviter le pire en se barricadant. L’agresseur mesure 1,60 m, a les cheveux sombres, de grosses lèvres et un nez large et court.
Le 31 octobre au soir, lors de la « Marche des zombies » à l’occasion de la fête d’Halloween à Essen, un migrant jordanien a touché sept femmes aux parties intimes.
Fin octobre, une sombre affaire de viol de masse, commis au mois de septembre à Munich par six Afghans demandeurs d’asile non reconnus, sur une adolescente de quinze ans, a émergé.
À Marsberg, le 30 octobre vers 1 h du matin, une dame de 19 ans a été agressée, tirée au sol et violée par un homme de type méditerranéen.
Le 28 octobre, à Waghäusel, au sein d’un centre pour demandeurs d’asile, un jeune garçon de 15 ans a été violé par deux hommes.
À Brême, lors d’une fête populaire, le 27 et le 28 octobre, de nombreuses agressions sexuelles ont été commises par des Afghans, Pakistanais, Syriens, Turcs et « Allemands » de papiers.
La police a arrêté, le 25 octobre, à Fribourg-en-Brisgau, un Érythréen de 28 ans. L’ADN de l’individu montre qu’il est impliqué dans plusieurs viols sur des femmes, mais aussi sur des moutons et des chèvres.
Le 19 octobre, lors du procès portant sur le viol, à Höhenkirchen-Siegertsbrunn, par deux Afghans, d’une fille de 16 ans sur un parking situé derrière un supermarché, les accusés se sont endormis à plusieurs reprises.
Un cas particulièrement sordide, qui s’est déroulé à Fribourg-en-Brisgau le 14 octobre, a cependant eu une répercussion au niveau national et même international. Majd H. a, dans une discothèque, vendu une tablette d’ecstasy à une étudiante de 18 ans qui ne le connaissait pas, puis lui a offert un verre. La jeune femme s’est retrouvée dans un état second. Elle a ensuite quitté, vers minuit, le lieu en compagnie de Majd H. Celui-ci l’a abusée sexuellement dans un buisson se trouvant à proximité. D’autres individus ont ensuite violé la jeune femme inconsciente. La police a arrêté huit auteurs, parmi lesquels figurent sept Syriens. Majd H. était connu de la police pour des faits de mœurs.
Interrogée en septembre 2017 par une citoyenne lors d’une émission de télévision sur la chaîne publique ZDF sur l’augmentation des viols et agressions sexuelles due à l’arrivée de nombreux hommes migrants, Angela Merkel avait répondu que des délits sexuels horribles existaient déjà avant la migration, que les auteurs de ces faits doivent quitter le pays, mais qu’elle ne voyait pas de problème global en la matière.
Jean-François Touzé
Délégué national du
Parti de la France
Le déficit budgétaire français s'est creusé de 10,8 milliards d'euros en septembre par rapport au même mois de 2017, pour atteindre 87,1 milliards. Les dépenses du budget général de l'État ont augmenté de 4,1 milliards d'euros en un an, atteignant 246,5 milliards d'euros, contre 242,4 milliards d'euros en août 2017. On le voit, les promesses d'Emmanuel Macron et Édouard Philippe d'un déficit à 2,3 % en 2018 sont désormais inatteignables (Il sera sans doute de 2,6 % ou 2,7 % et la perspective d'un nouveau franchissement de la barre des 3 % en 2019 est de plus en plus plausible, même si le gouvernement usera de tous les maquillages cosmétiques pour éviter de contrevenir officiellement aux critères imposés par la Commission européenne).
Malgré la hausse incessante des taxes, et en dépit des transferts de l’État vers les collectivités locales, le gouffre budgétaire n'est donc pas près d’être comblé. En cause, les dépenses publiques qui ne cessent d'augmenter (1 291,9 milliards d'euros en 2017). La France connaît un niveau de dépenses publiques particulièrement élevé : 56,4 % du PIB, un record, puisque la moyenne des pays de l'UE se situe à 47 % et celle de la zone euro à 48,0 %. L'Allemagne en est à 43,6 %, et les États Unis à 37,0 % seulement. Un niveau de dépenses qui oblige l'État à exercer sur l'économie du pays une pression fiscale extrêmement forte, en sorte que notre pays est devenu champion en Europe des prélèvements obligatoires et que le recours aux taxes (celles, emblématiques, sur le carburant sous prétexte d’écologie, n’étant qu’un exemple parmi tant d'autres, l'imagination et la « créativité » gouvernementale ne connaissant, à cet égard, aucune limite. Prochaine taxe à venir déjà votée par le Parlement : une taxe « vacances ».) est devenu un automatisme.
Certains objecteront que les déficits n’interdisent nullement le dynamisme économique en citant pour exemple les États-Unis qui, tout en pratiquant l'arme budgétaire avec un déficit ayant frisé les 10 % de PIB, enregistrent une croissance de 3 % et taux de chômage de 4 %. Ce serait oublier que l’économie américaine est basée sur la force du dollar, ce qui permet la nôtre aux autres pays, et que Donald Trump, lui, a véritablement relancé la consommation par une baisse réelle de la fiscalité : la Tax Cuts and Jobs instaurée en 2017 ayant réduit les impôts sur les ménages de 86 milliards de dollars en 2018 et de 82 milliards pour 2019, les entreprises quant à elles voyant leurs charges baisser de 58 milliards.
En France, les rentrées fiscales ne suffisant pas, l'État recourt, chaque année, à l'endettement pour boucler son budget : (72,3 milliards en 2016 et de 69,3 milliards en 2017). Avec pour conséquence la dépendance de la France, voire sa soumission aux marchés : qui paye commande.
Pour le Parti de la France, seule une baisse significative de la fiscalité qui étrangle les classes moyennes et des charges qui asphyxient nos petites et moyennes entreprises permettra aux familles de retrouver un pouvoir d'achat suffisant pour que soit relancée la consommation, stimulée la compétitivité économique et libérée l'énergie entrepreneuriale.
La réduction drastique des dépenses de l’État et du nombre de fonctionnaires hors domaine régalien et de santé publique en est la condition.
Un enfant sur deux victime du harcèlement scolaire. C’est le terrible bilan dressé par l’UNICEF. Face au danger, les parents et les établissements tentent de riposter, sans véritable succès.
Lien serveur TVL :
Lien DailyMotion :
Depuis qu’il s’est fait taper sur les doigts pour avoir voulu associer le nom du vainqueur de Verdun à ceux des autres maréchaux lors des commémorations de la victoire de la Grande Guerre, Emmanuel Macron est en séance de rétropédalage. Pour tenter de sauver la face, M. Macron déclarait hier soir qu’il ne «(croyait) pas à la police de l’Histoire. » Vraiment? De la police de l’Histoire à la police de la pensée il n’y a qu’un pas et celle-ci règne en maître au sein de LREM. Dernier exemple en date, les attaques menées contre la députée en marche de l’Oise, Agnès Thill, qui a eu l’audace d’émettre des réserves sur les bienfaits de l’extension de la PMA aux paires homosexuelles féminines; une mesure défendue par le candidat Macron. Mme Thill a récidivé dans le mauvais goût réactionnaire en dénonçant hier sur twitter l’existence d’un « lobby LGBT à l’Assemblée nationale. » Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux en a frémi d’horreur qualifiant ce jugement de Mme Thill « d’absolument inacceptable. » Pas en reste, le patron (provisoire) du parti macroniste Philippe Grangeon, et celui du groupe des députés LREM Gilles Le Gendre, ont déclaré que les propos d’Agnès Thill « contreviennent aux valeurs » (sic) du parti. Ils ont estimé que « les termes de lobby LGBT relèvent d’une sémantique homophobe » (sic). Faut-il en conclure que ce lobby n’existe pas ou qu’il s’agit de lui trouver une appellation plus politiquement correcte? Attendons les éclaircissements de MM. Grangeon et Le Gendre.
Les méchants, les vilains petits canards, sont nombreux aux yeux des progressistes macronistes. Appartiennent à cette catégorie tous ceux qui comme le disait au mois d’octobre Philippe de Villiers dans Valeurs actuelles, attendaient du président qu’il s’attelle à « une mission vitale : sauver la civilisation française.» Or, « quand j’ai vu la fête de la Musique à l’Élysée, avec les transsexuels en résille, et le doigt d’honneur des Antilles , j’ai compris qu’il n’avait pas compris. » « Il a installé sur les marches de l’Elysée des gens qui ont insulté la fonction. Il a donc perdu sa sacralité ce soir-là » expliquait déjà mois de juin dans Marianne M. de Villiers. Notons au passage pour nous en réjouir que son très enraciné parc d’attraction du Puy-du-Fou vient de battre un nouveau record de fréquentation cette année avec 2,3 millions de visiteurs!
« J’ai entendu notre président dénoncer la lèpre populiste » notait encore M. De Villiers dans VA. Mais « être progressiste, aujourd’hui, c’est être pour l’enfant sans père, pour l’abolition de toute frontière, de tout État, de toute souveraineté, pour le glyphosate, le multiculturalisme qui conduit à des sociétés multidécolorés. »
Sociétés sans âme menacées dans leur pérennité même par leur vieillissement puisque à l’explosion démographique africaine, répond de manière toute aussi préoccupante l’ implosion démographique d’une Europe qui elle, ne fait pas assez d’enfants. Euractiv rapportait le questionnaire sur la «Défense de la famille », les valeurs familiales envoyé dans tous les foyers par le gouvernement hongrois. Et ce n’est pas une question secondaire dans un des pays de l’UE connaissant un des taux de naissance les plus bas (1,34 enfant par femme). « La secrétaire d’État Katalin Novak a déclaré que la Hongrie souhaitait compter sur ses propres ressources internes et ne pas remplacer sa population par des immigrés»…comme le veulent pour l’Europesans le dire ou l’affirment tranquillement un certain nombre de politiciens, de technocrates, de structures euromondialistes.
« Notre avenir, ce sont les enfants hongrois, a déclaré la secrétaire d’État. L’Europe est le continent des berceaux vides, il n’y a pas assez d’enfants. » Le questionnaire demande également aux sondés «si la maternité doit être reconnue comme un emploi à plein temps, si le droit de l’enfant à un père et à une mère doit être inscrit dans la Constitution ou si le développement intellectuel et physique des enfants est une valeur que l’État doit défendre. »
Un questionnaire eurosceptique dénoncé par Jean-Claude Juncker, président de la commission européenne, même si le Fidesz, le parti de Viktor Orban, n’a pas non plus que des amis au sein du Parti Populaire Européen (PPE) auquel sont affiliés ses élus éuropéens. Euractiv indiquait le 8 novembre que «lors de son congrès annuel, le PPE a enjoint le Fidesz à respecter certaines valeurs démocratiques sous peine de risquer l’exclusion. Le Parlement européen a demandé en septembre au Conseil européen d’ouvrir une procédure de sanctions contre la Hongrie en raison des menaces qu’elle fait peser sur les valeurs fondamentales de l’Union. Il s’agit d’une première dans l’histoire des institutions européennes. »
La résolution du PPE, reprenant mot pour moi les éléments de langage de la gauche et de l’extrême gauche, souligne que «l’extrémisme populiste et nationaliste, la désinformation, la discrimination et les menaces contre l’État de droit représentent la plus grande menace visant la liberté et la démocratie en Europe depuis la chute du Rideau de fer. » « Nous soulignons que l’Union européenne est fondée sur les valeurs du respect de la dignité humaine, de la liberté, de la démocratie, de l’égalité, de l’État de droit (…). Nous appelons tous les membres et associations du PPE à respecter, protéger et promouvoir ces principes (…). Le texte insiste aussi sur la « liberté de l’université , référence au refus du gouvernement hongrois de signer un accord avec l’Université d’Europe centrale fondée par le milliardaire américain d’origine hongroise George Soros(…).»
Cette mention indirecte dans ce texte du PPE à l‘université Soros, enjoignant le gouvernement hongrois au laisser-faire laisser-passer, à accepter sur son sol les agissements de ce trouble personnage, est très révélatrice. Elle en dit long au mieux sur la lâcheté, au pire sur l’idéologie antipatriotique qui minent le PPE. Si nous voulions fâcher MM. Le Gendre et Grangeon cités plus haut, nous pourrions même dire qu’il existe certainement un lobby antinational au sein de ce groupe.
Nous l’avions dit , M. Soros n’est pas le « philanthrope » qu’il prétend être. C’est un idéologue planétarien qui poursuit des objectifs politiques proprement détestables qui ne vont pas dans le sens de la paix, du bien être en Europe et plus largement encore de la concorde entre les peuples. M. Soros défend l’avènement de sociétés post nationales en finançant tout ce qui contribue à affaiblir et détruire l’identité européenne, tout enracinement civilisationnel. Espérons avec Bruno Gollnisch que les élections de mai prochain verront un entrée massive d’élus nationaux, populistes, souverainistes. Ce qui devrait dissiper les ambiguïtés entretenues par certains groupes, séparer le bon grain de l’ivraie, rebattre les cartes dans un sens plus favorable à l’Europe des patries et aux peuples européens.
https://gollnisch.com/2018/11/09/police-de-lhistoire-police-de-la-pensee-police-europeiste/
Voila à quoi sert la hausse du carburant : les Français vont financer les soins des “étrangers en situation irrégulière” pour 943 millions d’euros.
Et pour rappel, le mois dernier, 3 maternités ont été fermées faute de moyens.
Le budget de l’aide médicale d’État (AME) augmentera de 53 millions d’euros en 2019 pour atteindre près de 943 millions d’euros. Le dispositif soutenu par le gouvernement a été adopté dans le cadre du projet de loi de finances, avec le soutien des élus de gauche. Le Rassemblement national a fortement contesté ce dispositif. Il a défendu trois amendements visant à « la suppression de 95 % de sa ligne budgétaire » pour ne conserver que « les 5 % dédiés aux soins urgents ». « L’AME fait partie des pompes aspirantes de l’immigration. Son budget augmente d’année en année. On voit bien qu’il y a une volonté de laisser les robinets totalement ouverts », a accusé Marine Le Pen.
Le député RN Bruno Bilde a déposé un amendement pour supprimer l’AME, expliquant :
L’aide médicale d’État représentera, cette année, près de 1 milliard d’euros de dépenses. Ce montant, qui est en constante augmentation, couvre l’ensemble des soins prodigués aux immigrés clandestins. Cet amendement vise à mettre fin à ce dispositif, tout en maintenant le remboursement, pour les clandestins, des soins urgents, c’est-à-dire ceux mettant en jeu le pronostic vital. Il représente une économie de près de 1 milliard d’euros par an pour la branche maladie sans pour autant mettre quiconque en danger.
Voici le résultat du scrutin :
Seuls 2 députés LR étaient présents et ils ont voté contre (Thibault Bazin et Geneviève Levy)
https://www.lesalonbeige.fr/nouvelle-hausse-du-budget-de-laide-medicale-detat-2/