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  • La baisse de la natalité : conséquence du matraquage fiscal et social des familles

    La baisse de la natalité  : conséquence du matraquage fiscal et social des familles

    Selon Virginie Pradel, fiscaliste, membre de l’Institut fiscal Vauban, sur le Figarovox :

    […] Le principal coup de rabot fiscal a porté sur le quotient familial: le plafond de l’avantage fiscal en résultant, qui s’élevait encore en 2012 à 2 336 euros, a été abaissé successivement à 2 000 euros puis à 1 500 euros en 2014. Cette dernière baisse s’est traduite par une hausse moyenne annuelle d’impôt sur le revenu de 768 euros pour plus d’un million de familles. Et pour certaines d’entre elles, la note a même été beaucoup plus salée (+ 2 000 euros pour un couple avec trois enfants et 86 000 euros de revenus).

    Au rabotage du quotient familial s’ajoutent bien entendu toutes les hausses d’impôts survenues depuis plusieurs années; en particulier celles de l’impôt sur le revenu, de la taxe d’habitation, de la taxe foncière, de la TVA et de la taxe carbone.

    S’agissant ensuite des coups de rabot sociaux, le premier a touché la prestation d’accueil du jeune enfant (PAJE), laquelle regroupe plusieurs aides dont la prime de naissance et l’allocation de base. Pour mémoire, le montant de ces aides a tout d’abord été «gelé» en 2014 par le précédent gouvernement. Celui-ci a, ensuite, instauré une modulation des montants de l’allocation de base en fonction des revenus des millions de familles bénéficiaires, ce qui a divisé son montant par deux (l’aide mensuelle passant de 184 à 92 euros) pour celles dont les revenus dépassaient un certain plafond (environ 38 000 euros pour un couple avec deux salaires et un enfant).

    Et notre gouvernement actuel n’a pas manqué d’accélérer le rabotage de de cette prestation sociale depuis le 1er avril 2018. D’une part, en diminuant le montant de l’allocation de base à taux «plein» et à taux «partiel», ce qui représente une perte annuelle de 168 euros ou 84 euros pour plus d’un million de familles bénéficiaires. D’autre part, en diminuant les plafonds de ressources pour en bénéficier ; si bien que 6 % des parents d’enfants nés depuis avril 2018 ne peuvent plus du tout en bénéficier (de même que la prime de naissance) et que de nombreux autres ne peuvent plus bénéficier que de l’allocation à taux «partiel».

    Pour mieux comprendre l’impact de cette réforme, prenons l’exemple de Julie et Mathieu, qui perçoivent chacun un salaire net imposable de 1 700 euros par mois et qui ont accueilli leur premier enfant, Hugo, en mai 2018. Ils perçoivent chaque mois l’allocation de base à taux «partiel» s’élevant dorénavant à 85 euros. Or, si Hugo était né avant avril 2018, ils auraient bénéficié de l’allocation au taux plein s’élevant à 184 euros ; ce qui représente pour cette famille une perte mensuelle d’environ 100 euros et globale de près de 3 500 euros, l’allocation étant versée pendant 35 mois.

    À cette baisse sensible de la PAJE s’ajoute, au demeurant, une modulation depuis 2015 du montant des allocations familiales en fonction des revenus des familles. Pour celles percevant des revenus supérieurs à un certain plafond, elles ont été divisées respectivement par deux et par quatre. […]

  • Gilets jaunes : un acte X en dépit du “grand débat” – Journal du vendredi 18 janvier 2019

     

    Social : Gilets jaunes : un acte X en dépit du “grand débat”

    Et de 10 ! Les Gilets Jaunes sortent dans la rue pour un dixième samedi consécutif. Des rassemblements sous le signe de l’hommage aux victimes du mouvement… qui se déroulent alors que le “grand débat” voulu par l’exécutif a tout juste démarrer.

    Société / Démographie: Le paradoxe français

    La France compte toujours plus d’habitants. Mardi, l’INSEE a dévoilé son rapport démographique pour l’année 2018. Le constat est simple : nous sommes plus nombreux mais les naissances diminuent pour la quatrième année consécutive.

    International / Algérie : Bouteflika gardera-t-il son fauteuil ?

    Dans trois mois les algériens seront appelés aux urnes pour élire leur président. Un scrutin important pour l’Algérie mais aussi pour la France. Le fondateur du Cercle Aristote Pierre-Yves Rougeyron analyse cette élection pour TV Libertés.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-un-acte-x-en-depit-du-grand-debat-journal-du-vendredi-18-janvier-2019

  • L’indicible cruauté des Aztèques

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    Par Jean Ansar, journaliste ♦ Jean Ansar est un spécialistes des questions culturelles, qu’il traitait sur l’excellent site Metamag, hélas en sommeil faute de moyens. Avec lui, voyagez loin dans le temps en découvrant l’effroyable réalité des cultes aztèques.

    Bien avant la dictature de la repentance coloniale, les conquérants espagnols du Nouveau Monde avaient mauvaise presse. On a dénoncé, à juste titre, une avidité se servant de la foi catholique. On ne peut que regretter la perte par destruction fanatique de témoignages et de mémoires de civilisations fascinantes. Cela étant, on parle peu de la cruauté des civilisations précolombiennes, notamment sur le territoire de l’actuel Mexique. C’est tout juste si, quand Mel Gibson les met en scène dans « Apocalypto », il n’est pas l’objet d’un procès pour racisme. Et, pourtant, si on ne prend pas en compte les horreurs découvertes par les conquistadores et les missionnaires, on ne peut pas comprendre d’une part le ralliement immédiat aux premiers des ethnies asservies aux Aztèques et martyrisées par eux et, d’autre part la violence d’une évangélisation voulant faire table rase d’un passé sanguinaire.

    Hernan Cortez et ses compagnons sont arrivés non seulement dans un nouveau monde, mais sur une autre planète. Ils ne pouvaient ni comprendre ni admettre, en raison de leurs convictions, la réalité qu’ils ont rencontrée.

    Les découvertes récentes, comme celle du temple dédié à Xipe Totec (une importante divinité de la mythologie aztèque célébrée par des sacrifices humains) annoncée le 3 janvier par l’Institut national d’Anthropologie et d’Histoire (INAH), ne font en effet que confirmer que les civilisations du «  serpent à plumes » étaient aussi raffinées que cruelles. Xipe Totec, «Notre seigneur l’écorché », était un des dieux les plus importants à l’époque préhispanique. Son influence a été reconnue par de nombreuses civilisations de l’ouest, du centre et du golfe du Mexique. « Toutefois, aucun temple associé directement à son culte n’avait jamais été découvert » a indiqué l’INAH.

    Ce temple de 12 mètres de long et 3,5 m de hauteur est composé de deux autels de sacrifice, de trois sculptures en pierre volcanique et de divers éléments architecturaux situés dans un sous-sol pyramidal de la Zone archéologique de Ndachjian-Tehuacán, dans l’Etat mexicain de Puebla. Les sculptures du temple, qui aurait été utilisé  entre 1.000 et 1.260 après J.C., représentent deux crânes d’environ 70 centimètres, pesant environ 200 kg, et un buste couvert de peau de sacrifice qui personnifient Xipe Totec, dieu associé à la fertilité, à la régénération des cycles agricoles et à la guerre.

    Une des fêtes les plus importantes à l’époque était le « Tlacaxipehualiztli », ce qui en langue náhuatl signifie « mettre la peau de l’écorché », communément célébré sur deux autels circulaires : l’un pour sacrifier les captifs à travers des combats de gladiateurs ou de flèches, et l’autre pour le dépeçage à la gloire de Xipe Totec.

    Les prêtres étaient vêtus de la peau des sacrifiés, qui était ensuite déposée dans de petites cavités. Cela « montre l’importance de la découverte des deux autels sacrificiels dans le sous-sol pyramidal, et de deux trous dans le sol (devant les autels) qui étaient remplis de terre (…) et se trouvaient sous les crânes de pierre », signale l’INAH.

    Le dieu dépeceur des vaincus et le rite des écorchés est bien sûr incompatible avec le culte du Crucifié ressuscité. Le choc des deux cultures ne pouvait qu’entrainer la disparition quasi totale de l’une d’elle… même si perdure l’attachement des descendants des Aztèques au « bon dieu » Xipe Totec, comme en témoigne chaque année le festival, très haut en couleurs et rythmé par des tambours, tenu en son honneur.

    On peut déplorer cette incompatibilité radicale mais on peut aussi la comprendre.  Cette découverte sanglante nous apporte en tout cas une nouvelle fois la preuve que les choses ne sont jamais aussi simples que certains le souhaiteraient et qu’entre la glorification et la diabolisation, il est très vaste, le champ de progression pour le devoir d’histoire.

    Jean Ansar 14/01/2019

    Crédit photo : Gwendal Uguen, via FlickR

    https://www.polemia.com/indicible-cruaute-azteques-conquistadores/

  • Les idées à l’endroit – Transhumanisme : l’homme du futur sera-t-il augmenté ?

    Alain de Benoist reçoit le mathématicien et philosophe Olivier Rey, l’historien Olivier Dard et l’animatrice de l’Association française contre l’intelligence artificielle, Marie David. Est-ce que l’homme du futur sera un homme augmenté, capable de voir la nuit, de transférer son cerveau dans une machine ? Est-ce que les progrès de la technologie parviendront à la suppression des maladies, des handicapes, du vieillissement ou de la mort ? C’est à toutes ces questions qu’ils tenteront de répondre. Eclairant !

    https://www.tvlibertes.com/transhumanisme-lhomme-du-futur-sera-t-il-augmente

  • Ces Gilets jaunes que Macron veut faire taire, par Ivan Rioufol

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    Merci qui ? Merci les Gilets jaunes ! Ceux qui s’enchantent du grand débat national, ouvert mardi, en ont déjà oublié la cause. Hier, à Grand Bourgtheroulde (Eure), les Gilets jaunes étaient indésirables. Porter un gilet était même susceptible d’une amende de 135 euros. Les forces de l’ordre ont été plus intraitables pour cette tenue que, en d’autres lieux, pour le port de la burqa. Passons sur cette absurdité. La consigne était de ne pas perturber la prestation d’Emmanuel Macron, venu là pour lancer son initiative face à 653 maires normands. Même lui ne se résout d’ailleurs pas à nommer les Gilets jaunes, c’est-à-dire à les faire exister. Ils n’ont été évoqués qu’une fois par le chef de l’Etat.

    Alors qu’ils se sont imposés, en deux mois, comme l’expression politique de la France invisible, les voici relégués à nouveau par le pouvoir dans l’anonymat de leur marginalisation et de leur beaufitude. Il n’est pas certain que cette stratégie présidentielle, qui vise à s’approprier un exercice démocratique dont Macron se serait passé sans cette révolte des Oubliés, soit bien comprise par la France d’en bas, plus souvent insultée que soutenue. Hier, la prestation du président fut certes impressionnante : durant près de 7 heures, il a écouté et répondu aux questions et doléances des maires. Il est vrai qu’il aurait pu avoir ce même dialogue en novembre, s’il avait tenu sa promesse d’assister au congrès des maires de France. Toutefois, le chef d l’Etat se tromperait s’il pensait effacer si facilement les Gilets jaunes de sa vue. C’est eux qu’il doit affronter prioritairement.

    La macronie s’agace d’avoir à répondre aux injonctions du peuple en colère. En Marche ne comprend rien à ce réveil d’une France immobile. Or une post-modernité émerge de cette société civile enracinée. Elle porte une vision plus humaine des relations sociales et économiques. La fraternité, la proximité, l’accessibilité, le respect des gens sont des tendances qui dépassent la seule quête égalitariste et revancharde avancée par ceux qui réclament le retour à l’ISF. Si Macron va au bout de sa démarche, elle ne peut que déboucher sur une remise en question de sa politique mondialiste et relativiste. Car c’est bien son “progressisme” post-national qui est contesté. Son nouveau monde est déjà obsolète.

    La post-modernité s’annonce réactionnaire, en ce sens qu’elle s’inscrit dès à présent en réaction aux visions déracinées et mercantiles de l’homme augmenté. Hier, le président est convenu que la généralisation des 80km/h sur les routes aurait mérité plus de souplesse. Mais il a fait savoir également sa méfiance pour le référendum d’initiative citoyenne, qu’il voit comme une menace pour la démocratie représentative. Pourtant, il est tout aussi loisible de faire de cette procédure, intelligemment encadrée, un partenaire du législateur. Hier, parlant des Français en situation difficile, il a dit : “Il y en a qui font bien, et il y en a qui déconnent“. En macronie, le déconomètre s’est emballé. Et ce sont les Gilets jaunes qui ont donné l’alerte. Merci qui ?

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 16 janvier 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/213290/ces-gilets-jaunes-que-macron-veut-faire-taire-par-ivan-rioufol/

  • Le Parti de la France soutient la Marche pour la Vie de dimanche prochain à Paris

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    Un communiqué du Parti de la France :

    Comme chaque année, le Parti de la France appelle ses militants et sympathisants à participer à la grande Marche pour la Vie qui se déroulera dimanche 20 janvier à Paris (13h30 - porte Dauphine).

    Face aux tenants de la Culture de mort qui veulent tout à la fois banaliser l'interruption volontaire de grossesse et légaliser l'euthanasie, le Parti de la France et Carl Lang proposent l'inscription dans la Constitution du principe du respect de la Vie, de la conception jusqu'à la mort naturelle, ainsi que le remplacement des lois Veil, Roudy et Aubry par une grande politique familiale favorisant l'accueil de la Vie.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/01/17/le-parti-de-la-france-soutien-la-marche-pour-la-vie-de-diman-6121620.html

  • Marine Le Pen veut que le Référendum d’Initiative Citoyenne soit valable sur «absolument tous les sujets», y compris la loi Taubira et l’avortement

    Marine Le Pen veut que le Référendum d’Initiative Citoyenne soit valable sur «absolument tous les sujets», y compris la loi Taubira et l’avortement

    Au moins nous pourrions en débattre, ce qui est préférable à la censure ambiante :

  • Quand les technocrates appellent à la réforme

    6a00d8341c715453ef022ad3b1ea27200d-320wi.jpgPour faire avancer son fameux grand débat, le gouvernement n'a pas seulement ouvert un site internet destiné à éclairer nos compatriotes. Il a fait rédiger par les services des ministères de l'Économie et des Finances, que l'on est convenu de nommer par son charmant petit nom de Bercy, un récapitulatif globalisant de la dépense publique. Le but de la manœuvre semble d'expliquer un certain nombre de réalités chiffrées. Celles-ci demeurent hélas oubliées des démagogies de toutes tendances. On peut de la sorte polluer impunément les raisonnements des commentateurs agréés. Et les mêmes mensonges donnent le ton dans les médias comme du grand public.

    Le quotidien L'Opinion, que les partisans des libertés économiques lisent habituellement avec plaisir, salue avec enthousiasme[1] une telle publication.

    Entrons quelques instants, sinon dans l'éloge, sans doute un peu trop dithyrambique, du moins dans la logique de cette présentation.

    Elle se propose de décomposer, à partir d'un panier de 1 000 euros les différents postes de subsides affectés par les budgets respectifs de l'État, proprement dit, de la loi de financement de la sécurité sociale, inventée par la réforme constitutionnelle de 1996, et de l'addition des collectivités locales.

    Or, une telle démarche agrège par là même, sans état d'âme, les différentes sortes de dépenses dites publiques. On ne peut en aucun cas qualifier cela de comptabilité. Un Proudhon saluait cette dernèrediscipline, de façon sans doute excessive, comme la seule véritable analyse économique. Or, elle ne saurait s'appuyer que sur du droit. À l'inverse, les impôts, locaux comme nationaux, d'une part et les charges sociales, d'autre part, ne relèvent pas des mêmes principes juridiques. Quant à l'hybride CSG, elle s'est toujours révélée, dès son invention par le technocrate Rocard et son amplification par Juppé, comme un monstre juridique contre-nature.

    On se rapproche par là même un peu plus des catégories de pensée de la défunte Union soviétique. Les gestionnaires en planifiaient et recensaient la production dans le cadre des ministères, en fonction d'une étatisation supposée totale. On rappellera à cet égard, dans l'appréciation des incertitudes statistiques, que la part réelle de l'économie administrée y occupait proportionnellement à peine plus de place que dans le malheureux dernier pays de l'Est, le nôtre. On doit en effet se souvenir qu'en dehors de l'activité contrôlée par le Plan, les insuffisances de l'économie de marché laissaient la place au développement de l'activité souterraine, ce que les régimes dictatoriaux prétendent fustiger sous le nom de corruption.

    Aujourd'hui hélas, l'État central parisien semble ainsi opérer, mais à l'envers, la fameuse réforme d'Evsei Liberman. Lancée jadis à Moscou, quelques années après le rapport Krouchtchev de 1956, par un article daté de septembre 1962, publié par Pravda, celui-ci osait le titre "la prime, le profit et le plan." Considérée comme pro-capitaliste, elle représentait une tentative de nouvelle impulsion donnée à un régime économiquement moribond. Elle était, à l'époque, dénoncée par les maoïstes et la plupart des gauchistes de l'époque comme trahissant le marxisme-léninisme, nom d'emprunt des méthodes de Staline. Elle ne pouvait aboutir qu'à un échec.

    On peut remarquer, ici et maintenant, que notre régime politique s'implique de plus en plus dans l'administration des prix. Ceci constitue l'exact contraire de ce que nos néomarxistes et leurs suiveurs, dénoncent tous, selon les jours, comme de l'ultralibéralisme ou du néolibéralisme mondialisé.

    On doit donc se satisfaire, à défaut d'une pensée claire dans la description comptable, de la fourniture par la citadelle de notre actuelle technocratie, d'une série d'ordres de grandeur qui pourraient permettre de tirer certaines leçons si l'on acceptait de les recevoir.

    Première réalité en effet : les dépenses publiques dites sociales accaparent désormais 55 % des prélèvements obligatoires, eux-mêmes les pplus élevés d'Europe.

    Deuxième réalité en revanche, les 3 vraies missions régaliennes, la justice, la sécurité, la défense sont dotées, toutes ensemble, de ressources dix fois moindres de l'ordre de 6 %.

    Les pistes considérables de libération progressive de l'économie se situent donc dans la différence entre 100 et 6 = 94% des actuelles dépenses gérées par l'État d'une manière généralement chaotique et calamiteuse.

    Troisième réalité : chaque année 5 % de ces dépenses sont financées par l’émissions d’emprunts. On parle du rétablissement de l'équilibre des comptes. Mais en dépit de ce discours trompeur, nos gouvernements successifs aggravent un peu plus, d'année en année, l'endettement du pays, imposé aux générations futures.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] cf. article "Mais qu’est-ce que vous faites du pognon?: l’incroyable note de Bercy sur l’état des finances publiques"

    https://www.insolent.fr/