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Un policier assomme d’un coup de matraque derrière la tête un manifestant déjà arrêté et n’opposant pas de résistance :
On rappellera qu’il y a quelques jours le sinistre Christophe Castaner affirmait n’avoir « jamais vu un policier ou un gendarme attaquer un manifestant (…) ou un journaliste », alors que tout le monde constate (policiers compris) que certains policiers excités par les incitations haineuses et la protection du gouvernement s’en donnent à cœur joie.
D’autres videos qui avaient déjà circulé sur internet ont été rediffusées par des internautes suite aux propos honteux de ce truand, chef de la police ; en voici certaines :
Lire et voir les videos sur Contreinfo
La France que l’on croyait résignée, condamnée à se taire et à payer toujours plus, dont les revenus et les salaires vont au fil des ans en se détériorant – « ce sont quarante années de malaise qui resurgissent » a reconnu, faussement contrit, Emmanuel Macron le 10 décembre 2018 – cette France que d’aucuns disaient bovinisée, s’est finalement réveillée ! Ceci au grand dam des nantis et des bobos, héritiers et profiteurs de la Révolution sociétale de 1968, qui porta une coalition socialo-communiste au pouvoir en mai 1981. S’ensuivirent 40 années d’endettement, de désindustrialisation, de chômage, de mondialisation et de paupérisation rampante.
Or le fleuve de la colère populaire a débordé. Il commence à s’étendre hors de nos frontières et ne semble pas prêt de regagner son lit. Ceci malgré les injonctions anxieuses d’un pouvoir qui noie son désarroi dans des torrents de paroles vaines… sans pour autant parvenir à restaurer l’ombre d’une esquisse de consensus national. Le régime, semble-t-il, s’est en effet définitivement bel et bien fracassé sur le mur de la confiance perdue.
Parce que le Grand débat – un grand déballage de platitudes et d’enfumages – lancé à coup de grosses caisses médiatiques, peut-il ressouder une fracture sociétale aujourd’hui béante ? Un débat d’ailleurs honteusement encadré, canalisé, orienté. Dans lequel sont interdites les questions qui fâchent. Celles qui, a priori, feraient sens mais qui partout font l’objet d’une stupéfiante omerta ! Comme si l’immigration sauvage dont la France et l’Europe subissent les assauts répétés était hors-sujet ? C’est oublier un peu vite les dizaines de milliards ponctionnés sur les revenus des classes moyennes (celles dont le travail est imposé), ou l’effondrement du niveau scolaire et la case prison débordante de brillants startupers. Ajoutons l’effondrement démographique et moral, en raisons de ces avancées sociétales inscrites dans le marbre de la Loi et réputées irréversibles jusqu’à la fin des temps.
Mais de quelles lois s’agit-il ? Les textes votés par des minorités dérisoires à l’issue de processus électoraux dont la légitimité démocratique et l’honnêteté resteraient à démontrer ? Cette démocratie là a été mise en place par les Enragés de 68, ceux qui, hier, récusaient la société de consommation pour mieux, à l’arrivée, prospérer sur le dos des classes laborieuses, dont l’activité est l’unique source des richesses tangibles. Classes in fine exploitées jusqu’à l’os – entre autres par le biais de la fiscalité – au profit de gens qui, effectivement, sont parvenus – mais eux seuls – à jouir sans entrave ni temps mort au sommet d’une société dure et intransigeante aux « gens qui ne sont rien » ainsi désignés par le sieur Macron ou aux « sans dents » de M. Hollande. Parce qu’à gauche, pour l’internationalisme cosmopolitiste, le mépris de classe, d’une présidence à l’autre, demeure radicalement inchangé.
Ces questions lancinantes, au-delà des fins de mois aux patates, sont à n’en pas douter le terreau, le non-dit majeur, le signifiant-maître de l’actuelle révolte de la France périphérique et enracinée. Une France qui décidément ne supporte plus l’État jacobin hyper centralisé, surtout depuis ses délocalisations à Bruxelles et à New York, siège des Nations Unies où s’édifie l’architecture d’une très anxiogène Gouvernance mondiale. Les forces vives de la Nation ont été ainsi épuisées par quarante ans de libéral-socialisme parasitaire.
Aussi la rébellion antisystème des Gilets jaunes est-elle à la fois prise de conscience et sursaut vital… La manifestation d’un instinct de conservation encore présent dans un peuple, qui renâcle à périr sous le poids d’une bureaucratie de moins européenne et de plus mondialiste, sous la férule d’une idéologie aussi politiquement correcte que mortifère.
http://www.bvoltaire.fr/1968-2018-les-gilets-jaunes-linsurrection-citoyenne/
Laurent Russier maire de Saint-Denis a annoncé avant-hier, dans un entretien avec France Bleu, que 400 clandestins vont être mis à l’abri à la fin de la semaine.
Ils occupent l’avenue Wilson dans sa ville. Il estime qu’il ne faut pas faire de différence entre clandestins ou non.
Il dénonce l’absence « d’une politique digne d’accueil des migrants ».
Rappelons que le nombre de SDF morts dans la rue se situe entre 400 et 500 tous les ans depuis 2013.
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Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, lobby, magouille et compagnie 0 commentaire13e Marche pour la vie – Fin du direct
SOS Tout-petits termine la marche :
La Marche pour la vie annonce 50 000 participants !
2010-2017 : les entreprises du CAC 40 ont fait plus de bénéfices mais ont payé moins d’impôts
Dans un rapport diffusé ce dimanche et qui analyse les chiffres des entreprises cotées au CAC 40, Attac (l’Association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne) ainsi que l’Observatoire des multinationales dressent un sombre bilan de la période 2010-2017.
Durant ces années, en prenant en compte la totalité de ces entreprises, les bénéfices sont en hausse de 9,3 %. Les sommes versées aux actionnaires ont augmenté de 44 % alors que le montant des impôts payés a reculé de 6,4 %. Les emplois en France ont, eux, reculé de 20 %. Attac juge « désastreux pour la société et la planète » l’impact des sociétés du CAC 40.
Dans ces entreprises qui représentent 1 300 milliards d’euros de chiffre d’affaires, soit environ la moitié du produit intérieur brut de la France, 2018 a été une année record pour les actionnaires. Ils ont perçu un total de 57,4 milliards d’euros. Plus de 60 % des profits des entreprises du CAC 40 leur reviennent donc. […]
ÉRIC DROUET ET MAXIME NICOLLE : DES ENNEMIS PUBLICS ?
Technip, Alstom, Alcatel: les crashs des «Airbus de...», façon Macron
Après un mariage annoncé «entre égaux», soutenu par Emmanuel Macron, l'américain FMC finalise son absorption du français Technip. Deux fois plus petite, la firme texane a imposé les siens à tous les postes de direction. Retour sur ces opérations soutenues par l'actuel Président qui se sont soldées par de cuisants échecs pour l'industrie française.
Un an après l'officialisation de la fusion entre le français Technip et l'américain FMC Technologies, l'heure est au bilan et autant dire qu'il n'est pas bon pour la partie française. Comme le souligne le Journal du Dimanche, en mai prochain, la totalité des postes de direction du nouveau groupe sera occupée par des Américains. Même le principal artisan de ce rapprochement et PDG de Technip, le Français Thierry Pilenko, est aujourd'hui poussé vers la sortie par son ancien collègue de Schlumberger, son homologue américain Douglas Pferdehirt, qui prendra bientôt les rênes de l'ensemble TechnipFMC.
«La fusion a offert sur un plateau une pépite française avec soixante ans de technologie et plus de 2.500 brevets à son nom à un fabricant à la chaîne de connecteurs pour lequel seul compte le profit immédiat», se désole auprès du JDD un ancien cadre de Technip.
Annoncée en mai 2016, cette fusion «entre égaux» était destinée à proposer des projets intégrés entre deux entreprises parapétrolières aux activités complémentaires aux compagnies d'un secteur alors considéré en crise. Résultat, l'union entre Technip et FMC Technologies s'est soldée deux ans plus tard par une absorption de la première par la seconde.
En effet, si leurs centres de décision sont partagés entre Paris et Houston (Texas) «les décisions sont désormais prises à Houston», comme le relatait aux Échos un salarié du siège parisien. Sept mois avant cette confirmation du JDD, le quotidien économique et financier relevait cette tendancede FMC à remplacer- ou mettre au ban- les anciens de Technip aux différents postes à responsabilités.
La fusion de Technip et FMC Technologies, un projet qu'avait «soutenu avec force» Emmanuel Macron afin de créer un «Airbus du parapétrolier», relataient alors nos confrères de Marianne. Ces derniers soulignèrent au passage que «la belle opération» fut «ficelée par le ministre Emmanuel Macron et son ancien employeur, la banque Rothschild, conseil de Technip (avec Goldman Sachs)…»
Du côté de la communication, rien à redire. Comme pour chaque mariage «entre égaux», visant à créer un «Airbus» de quelque chose, le couplet des garanties pour l'emploi et d'un centre décisionnel à Paris fut entonné aux grands médias pour être resservi aux plus crédules. Car, dans la pratique- et en dehors de tout contrôle public —, de telles «unions entre égaux» n'existent pas. On l'observe d'ailleurs également du côté du projet de fusion entre Alstom et son ancien concurrent d'outre-Rhin, Siemens Mobility annoncé en septembre 2017.
Fruit d'une «idée» d'Emmanuel Macron Président devant mener à la création d'un «Airbus du rail» pour «faire face à la concurrence» du Chinois CRRC (China Railway Rolling Stock Corp), cette «fusion entre égaux» a rapidement déraillé pour prendre la forme d'un énorme cadeauau conglomérat allemand. Malgré un siège à Paris, l'Allemand pourra devenir l'actionnaire majoritaire sous quatre ans. Ironie du sort, si Macron est connu pour son tropisme européiste, c'est pourtant Bruxelles qui pourrait porter un coup fatal à ce projet.
Comme dans le cas de Technip, Alstom était pourtant l'entreprise qui offrait de meilleures perspectives que leurs partenaires respectifs. Mais dans le monde des affaires, comme dans le monde naturel, il n'est pas rare que la petite bête mange la grosse. Bien sûr, le cas d'Alstom diffère de celui de Technip dans le sens où le groupe a été au préalable fragilisé par la vente de sa branche énergie à l'américain General Electric. Une vente qui, là encore, doit beaucoup à Emmanuel Macron, alors Secrétaire général adjoint de l'Élysée puis ministre de l'Économie.
Également soutenue par Bercy en 2015, l'OPA lancée par le finlandais Nokia sur Alcatel-Lucent. Une opération boursière —sous couvert de la nécessité de contrer les ambitions chinoises en Europe- qu'Emmanuel Macron défendit. Une «bonne opération» pour le groupe franco-américain affirmait celui qui était alors ministre de l'Économie de François Hollande devant les caméras, n'hésitant pas à railler les détracteurs de ce énième rachat d'un leader industriel mondial tricolore.
Une réaction d'un chef d'État en devenir singulière au moment où les autres puissances économiques multiplient les mesures de préservation de leurs actifs «stratégiques». Des actifs tels que les aéroports que, en France, Emmanuel Macron a décidé de vendre.Le ministre de l'Économie d'alors avança des «garanties pour l'emploi» (pour deux ans) et du côté de son ministère on se prit à rêver d'un «EADS ou un Airbus des télécoms».
Deux ans plus tard, Nokia taille dans les effectifs et souhaite même revendre la filiale «câbles sous-marins» de l'ancien champion français, une activité pourtant liée à la souveraineté des États.
Au même moment, c'est le cimentier Lafarge —n° 1 mondial de son secteur- était racheté par son concurrent helvète Holcim et disparaissait du paysage économique français, avec son siège transféré en Suisse. Une autre fusion «entre égaux» à laquelle ne s'opposa pas Emmanuel Macron tant que la R et D restait en France, celui-ci déclarant aux journalistes du Financial Times qu'il voulait faire de la France «le hub européen pour la R et D».L'argument-clef de la perspective de créer un «Airbus de…» sur le dos d'un leader industriel français a beaucoup servi. Les Allemands, les Finlandais ou les Américains ne sont pas les seuls à avoir compris son intérêt, les Italiens aussi. Le patron de Fincantieri, Giuseppe Bono fut ainsi le premier à évoquer la création «Airbus des mers» lors de son rachat de STX. Si l'État français était largement majoritaire au capital de STX (66%), il laissa pourtant la barre aux Italiens en échange de «garanties» sur l'emploi.
Difficile d'imaginer que, pour les Français, ces opérations ne rappellent pas les cas de Pechiney ou encore d'Arcelor, d'autant plus que la disparition médiatisée de ces fleurons industriels français cache celle de nombreuses entreprises de taille moyenne.
Face à cette hémorragie de fleurons de l'économie française, Les Échos évoquaient un rapport du Conseil d'analyse économique. Dans celui-ci, les analystes soulignent le déclassement de la France au sein de l'UE au titre de pays abritant le plus de fonctions stratégiques.
Alors que la France était la première du continent au début des années 80, elle était reléguée à la quatrième place, derrière l'Allemagne et la Belgique.
Un rapport qui date… d'avril 2016, le même mois où Emmanuel Macron quittait la tête de Bercy pour prendre celle d'En Marche pour viser celle de la République.À terme, ne faut-il pas s'attendre à ce que l'impact de telles décisions se fasse ressentir, au-delà du statut du pays, sur l'ensemble du tissu économique et sur les contribuables?
La liberté selon Macron ? Une imposture
Par Camille Galic, journaliste, essayiste ♦ En hors-d’œuvre à son déplacement du 15 janvier dans l’Eure pour y lancer le « grand débat national participatif », le chef de l’Etat avait deux jours plus tôt posté sur internet sa « Lettre aux Français ». Une épître dont il semble si satisfait qu’il a décidé de la faire distribuer par La Poste à tous ses chers compatriotes. Dans cette lettre et dans ses propos récents, Emmanuel Macron n’hésite pas à brandir l’étendard de la liberté. Des déclarations osées quand on analyse froidement l’état des libertés en France…
Lieux communs, vœux pieux et mensonge
Car la fameuse lettre élyséenne fourmille de lieux communs que n’aurait pas désavoués M. Homais (« La France n’est pas un pays comme les autres »… « La citoyenneté, c’est aussi le fait de vivre ensemble »), de phrases creuses (« Comment ne pas éprouver la fierté d’être Français ? »… « Plus nous tardons à nous remettre en cause, plus les transformations seront douloureuses ») et de vœux pieux (« Il faut mieux protéger les Français et réduire les inégalités à la racine »… « La laïcité est la valeur primordiale […] Elle est synonyme de liberté parce qu’elle permet à chacun de vivre selon ses choix », etc.)
Mais la missive contient aussi un certain nombre de mensonges éhontés, tel celui-ci : « […] la France est, de toutes les nations, une des plus fraternelles et des plus égalitaires. C’est aussi une des plus libres, puisque chacun est protégé dans ses droits et dans sa liberté d’opinion, de conscience, de croyance ou de philosophie. »
Censure à tous les étages
L’une des plus libres alors que, pour obéir aux lobbies, ses gouvernants l’ont ligotée au cours du dernier demi-siècle dans un lacis de textes plus coercitifs les uns que les autres ? Si la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 affirme dans ses articles 10 et 11 que « nul ne doit être inquiété pour ses opinions » et que « la libre communication des pensées et des opinions [étant] un des droits les plus précieux de l’homme, tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement », plus de quatre cents lois et articles des Codes pénal et civil grignotent ces beaux principes, ainsi d’ailleurs que la loi sur la Liberté de la presse (1881), dont le franc-parler s’est réduit comme peau de chagrin au nom de la lutte contre un racisme plus fantasmé que réel (loi Pleven 1972 du 1er janvier 1972, loi Lellouche du 24 février 2003 aggravant les peines prévues par la loi précédente et loi Perben II accroissant les prérogatives du Parquet). A ces textes déjà si répressifs s’ajoutent les lois mémorielles (lois Gayssot du 13 juillet 1990 contre toute contestation ou banalisation de l’Holocauste, loi Taubira du 21 mai 2001 reconnaissant la traite et l’esclavage en tant que crime contre l’humanité et donc interdisant de fait toute recherche historique). En outre, la loi contre l’homophobie du 27 mai 2008 prohibe toute injure réputée homophobe et toute discrimination dans l’emploi, le logement, l’éducation, le service public ou l’accès aux biens et aux services.
Faut-il rappeler les sanctions auxquels s’exposent ceux qui outrepasseraient ces lois draconiennes ? Trois ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende, ou cinq ans d’emprisonnement et 75 000 € quand le délit est « commis dans un lieu accueillant du public ou par une personne dépositaire de l’autorité publique ». Les magistrats, si souvent de gauche, sondant en outre les reins et les cœurs pour alléguer, selon la personnalité et l’appartenance politique du coupable, que s’il n’y a pas eu délit dans l’expression, le délit d’intention était avéré. Ainsi, Jean-Marie Le Pen fut très lourdement condamné pour avoir déclaré qu’en France, « l’occupation allemande ne fut pas particulièrement inhumaine » (Rivarol du 7 janvier 2005) alors que personne ne tint rigueur à l’icône des bien-pensants, Stéphane Hessel d’avoir soutenu en janvier 2011 dans la Frankfurter Allgemeine Zeitung que « la politique d’occupation allemande […] était une politique relativement inoffensive ». Cherchez l’erreur.
La France bâillonnée : la preuve par LIBERTEX
Lors du 4e Forum de la dissidence organisé le 17 novembre dernier par Polémia, cette fois « Face à la censure » bâillonnant tous ceux qui veulent réagir à la décadence et à la submersion de notre pays et où Eric Zemmour et Jean-Yves Le Gallou se rejoignirent pour estimer que « la priorité, c’est d’abolir les lois liberticides », fut rendu public l’indice LIBERTEX 2018.
Un état des lieux élaboré avec rigueur à partir de multiples sources d’information en France et à l’étranger et la prise en compte de différents facteurs (indépendance de la justice, accès à l’information, pressions politiques sur les contenus médiatiques et sur les applications de discussions instantanées, censure sur Twitter et sur Facebook, lois contre les propos réputés haineux et, tout récemment, contre les prétendues fausses nouvelles en période électorale). Comme on le voit, si les Etats-Unis, le Danemark et le Royaume-Uni occupent le podium en matière de liberté d’expression, le pays des Droits de l’homme doit se contenter d’une très modeste 7ème place, derrière la Hongrie et la Russie « illibérales » auxquelles notre président ose pourtant donner des leçons de démocratie. N’aurait-on jamais entendu parler de LIBERTEX à l’Elysée ?
Apparemment non puisque le 15 janvier, à Grand Bourgtheroulde où avait choisi de s’adresser aux maires de l’Eure, les Gilets jaunes furent pris en photo par les gendarmes aux fins de fichage et sommés d’enlever leur emblématique signe de ralliement « sous peine de 135 euros d’amende ». Ce qui n’empêcha d’ailleurs pas l’illustre visiteur de proclamer : « Pour moi, il n’y a pas de questions interdites, pas de tabous. Nous ne serons pas d’accord sur tout, c’est normal, c’est la démocratie. Mais au moins montrerons-nous que nous sommes un peuple qui n’a pas peur de parler, d’échanger, de débattre. »
Certes, mais au prix de quelles amendes, de quelle privation de liberté ? Et quel avenir professionnel pour la chanteuse Marguerite aussitôt taxée d’antisémitisme, et bien sûr vouée aux gémonies, pour avoir simplement évoqué dans une chanson dédiée aux Gilets jaunes un fait avéré, le passage d’Emmanuel Macron à la banque Rothschild ?
Camille Galic 17/01/2019
Crédit photo : Estonian Presidency [CC BY 2.0], via Wikimedia Commons
https://www.polemia.com/la-liberte-selon-macron-une-imposture/