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  • Expulsion d’un violeur Kosovar : la Suisse épinglée par la Cour européenne des droits de l’Homme

     INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Une constante désormais : selon un arrêt du 9 avril de la Cour européenne des droits de l’homme, la Suisse aurait à nouveau violé l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) en ordonnant le renvoi d’un Kosovar condamné pour un viol commis en 2003. En cause ?

    L’intervention de cette condamnation douze ans après les faits. Les juges du Tribunal administratif fédéral auraient négligé de tenir compte de l’évolution du condamné, ainsi que des liens sociaux et familiaux qu’il entretenaient en Suisse et au Kosovo.

    Le présent arrêt de chambre peut encore faire l’objet d’un renvoi dans les trois mois devant la grande chambre de la Cour européenne des droits de l’homme.

    https://fr.novopress.info/214242/expulsion-dun-violeur-kosovar-la-suisse-epinglee-par-la-cour-europeenne-des-droits-de-lhomme/

  • L'arrière-petit-fils du Duce candidat aux élections européennes en Italie

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    Il est dirigeant d'entreprise et il a 50 ans, c'est sur les listes de Fratelli d'Italia qu'il se présente aux élections européennes de mai prochain en Italie. Caio Giulio Cesare Mussolini, arrière-petit-fils de Benito Mussolini, l'a annoncé dans un entretien avec le journal Il Messaggero publié ce mardi. 

    "Tout le monde veut mettre Mussolini sur le bulletin de vote", déclare cet ancien officier sous-marinier. Il reconnait n'avoir jamais fait de politique, mais il assure avoir "respiré" la politique toute sa vie. 

    Déjà une Mussolini eurodéputée

    Ce n'est pas la première fois que le patronyme Mussolini fait campagne en Italie. Caio Giulio Cesare est le petit-cousin d'Alessandra Mussolini, petite-fille du Duce, eurodéputée depuis 2014 après avoir été sénatrice et députée nationale.

  • Assimilation : Malika Sorel, ancien membre du HCI, donne à nos dirigeants une leçon de patriotisme

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    Malika Sorel, qui fut membre du Haut Conseil à l’intégration de 2009 à 2012, jusqu’à sa dissolution par François Hollande, a récemment dénoncé, dans Le Figaro, les propos de Nicole Belloubet, qui répondait en ces termes à la question d’un député sur la laïcité : « La France s’est toujours constituée, agrégée, autour d’un multiculturalisme séculaire, le nier ce n’est pas comprendre notre histoire. » Contrairement au garde des Sceaux, elle y fait un plaidoyer pour l’assimilation que gagneraient à lire nos dirigeants, si la France représente encore pour eux quelque chose.

    Nicole Belloubet semble ignorer que les précédents mouvements migratoires étaient principalement européens, que les Italiens et les Polonais se sont intégrés, quand ils ne sont pas spontanément rentrés chez eux, et que les Vietnamiens fuyant le régime communiste n’ont posé aucun problème. Ils trouvaient naturel, même s’ils éprouvaient une certaine nostalgie de leur pays natal, d’adopter les règles et les usages de la France, qui les accueillait. Ils lui en étaient reconnaissants. Mais quand les flux persistent à un haut niveau, conjugués à une résurgence du fondamentalisme islamique contraire aux principes de notre devise républicaine, l’assimilation est rendue très difficile.

    Si Malika Sorel estime qu’Emmanuel Macron « ne maîtrise pas ces problématiques » – ce qui n’est pas un compliment –, elle considère que bien des politiques « campent sur leurs erreurs et s’enfoncent dans leur ignorance ». Tout projet de société est, en effet, le « reflet de l’identité d’un peuple » et « la non-intégration culturelle ou non-assimilation aboutira tôt ou tard à la mise en minorité sur le sol français des idéaux politiques portés par l’identité française ». Belle lucidité ! « J’ai toujours dit et écrit », rappelle-t-elle, « que la laïcité était la digue qui protégeait la France ». Mais avec une culture où la religion dicte des lois contraires à nos valeurs, cette digue ne peut en rien empêcher la submersion.

    Née en France de parents algériens, Malika Sorel tient un discours bien plus patriote que celui de certains Français de souche, oublieux de ce qu’ils doivent à la France. Elle souligne la responsabilité de nos prétendues élites dans la crise identitaire que connaît notre pays. Non seulement elles se sont couchées, mais elles ont renoncé à défendre l’assimilation. Au nom de la tolérance, elles soutiennent un multiculturalisme qui est une négation de notre identité et un obstacle à la cohésion nationale. Comment des populations d’une culture incompatible avec nos valeurs seraient-elles incitées à s’assimiler quand les dirigeants eux-mêmes ne croient plus à ces valeurs ou les relativisent en les mettant sur le même plan que les autres ?

    Non contents de se coucher et de ne pas résister, ils n’hésitent pas à dénigrer la France, à prôner la repentance, à encourager les ressentiments victimaires en qualifiant, comme Macron, la colonisation française de « crime contre l’humanité ». Ils collaborent, consciemment ou non, avec des adversaires déclarés de nos valeurs. Tout se passe comme s’ils estimaient que ce n’est pas aux immigrés de s’adapter à notre culture mais aux Français de s’adapter à la leur.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/assimilation-malika-sorel-ancien-membre-du-hci-donne-a-nos-dirigeants-une-lecon-de-patriotisme/

  • La dissolution de Génération identitaire s’annonce compliquée : « Cela ferait peser un risque sur d’autres ONG ayant recours à des procédés similaires comme Greenpeace »

    Dissoudre Génération identitaire ? Selon des sources officielles consultées par Libération, le projet envisagé par le gouvernement est encore loin d’aboutir. Cette hypothèse a été évoquée la semaine dernière par la secrétaire d’Etat Christelle Dubos, après une intrusion de militants du mouvement d’extrême droite dans la caisse d’allocations familiales de Seine-Saint-Denis, à Bobigny. Ils avaient alors gagné le toit du bâtiment pour y déployer une banderole sur laquelle était écrit : «De l’argent pour les Français. Pas pour les étrangers !» Les militants avaient été délogés par la police après plusieurs heures d’occupation. La secrétaire d’Etat avait annoncé dans la foulée un rendez-vous avec ses collègues, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, et la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, «pour voir comment on peut dissoudre ce groupe».

    Créé en 2012, le mouvementdont le porte-parole Romain Espino sera auditionné jeudi à l’Assemblée par la commission d’enquête parlementaire sur la lutte contre les groupuscules d’extrême droite, milite contre «l’islamisation»«l’immigration massive», la «fracture ethnique» et le «métissage imposé». Ses actions – occupations de lieux publics, «sécurisation» du métro, patrouille anti-migrants dans les Alpes, à la frontière entre la France et l’Italie – visent à maximiser l’impact médiatique tout en minimisant le risque légal. Le groupe veut éviter le sort du groupuscule Unité radicale, dont il est un descendant indirect, dissous en 2002 après la tentative d’assassinat sur Jacques Chirac commise par l’un de ses sympathisants, le jeune Maxime Brunerie.

    «On pourrait quand même imaginer une dissolution pour de telles actions, mais on ferait alors peser un risque sur d’autres ONG ayant recours à des procédés similaires, comme Greenpeace», poursuit notre source. Une organisation écologiste dont Génération identitaire se flatte régulièrement d’avoir repris les méthodes pour les mettre au service de sa propre cause. Contacté par Libération, l’Intérieur confirme que le mouvement fait partie des groupes dont le ministère «analyse» la situation, mais ne se prononce pas sur la complexité juridique de son éventuelle dissolution.  (…)

    http://www.fdesouche.com/1190067-la-dissolution-de-generation-identitaire-sannonce-compliquee

  • Retour en vidéo sur le déplacement de Marine Le Pen et Jordan Bardella en Bretagne !

  • Les vrais responsables des morts en Méditerranée, ce sont bien les passeurs, mais avec eux les ONG et certains gouvernements européens

    Les vrais responsables des morts en Méditerranée, ce sont bien les passeurs, mais avec eux les ONG et certains gouvernements européens

    Lu dans Les 4 Vérités :

  • Les complotistes bruxellois dans tous leurs états

    La_Verite_sortant_du_puits.jpgEuractiv rapportait ce début de semaine que  « plus de 80 représentants des gouvernements européens, ainsi que des observateurs du Parlement, de la Commission et de l’Agence européenne pour la cybersécurité, l’ENISA, ont participé à (un) exercice cybersécuritaire(le) 5 avril. Premier test de ce type, il visait à analyser les moyens de prévenir, détecter et atténuer rapidement les incidents liés à la cybersécurité. Rainer Wieland, vice-président du Parlement européen et eurodéputé allemand du PPE (s’est inquiété) de la fiabilité des prochaines élections si la cybersécurité était compromise.  Une cyberattaque contre les élections pourrait saper de façon dramatique la légitimité de nos institutions », a-t-il dit. « La légitimité des élections repose sur l’idée que nous pouvons avoir confiance en leurs résultats. » Pour autant, est-il rappelé,  « Les systèmes de vote par Internet ne seront utilisés qu’en Estonie pour ce scrutin. » « L’Irlande a  abandonné un projet visant à introduire le vote électronique »,  « les Pays-Bas ont abandonné le vote électronique en 2007, après un battage médiatique sur les questions de sécurité, suivis deux ans plus tard par l’Allemagne, suite à un jugement de la Cour constitutionnelle fédérale prononçant inconstitutionnel le vote électronique, citant notamment des niveaux élevés de méfiance du public. » Pour ce qui est des électeurs français, l’« élan  (vers le vote électronique) a été freiné en 2017, après que le piratage des réseaux du Comité national démocrate pendant la campagne présidentielle d’Hilary Clinton aux États-Unis a suscité des craintes similaires en France… ».

    A ce vœu (bien légitime en soi) d’instaurer une cybersécurité respectant le choix des électeurs, s’ajoute l’appel  réitéré  à la sacro-sainte croisade  contre les infox, fake news et autre fausses nouvelles parano-complotistes, qui menaceraient de fausser le jugement des Européens. Et comme à chaque fois les fourbes, les odieux qui manœuvreraient   pour corrompre  les (faibles d’) esprits  agiraient dans l’ombre et l’orbite de la Russie poutinienne. C’est ce que rapporte en tout cas  un article de Ouest-France,  publié en lien avec Euractiv, convoquant à l’appui  de  ce scénario d’impeccables témoins de moralité… «  Les « fake news » est-il écrit,  « vont-elles troubler la campagne des élections européennes comme elles l’ont fait avec celle du référendum du Brexit ou de l’élection de Donald Trump ? C’est la grande angoisse des autorités européennes, convaincues que Moscou se cache derrière ce  fléau ».

    « Il y a des forces extérieures anti-européennes, qui cherchent à influencer les choix démocratiques des Européens  a mis en garde le président du Conseil européen  Donald Tusk (…) ». « Certains responsables identifient sans détour Moscou comme le chef d’orchestre de tentatives de manipulation de l’opinion à coups d’infox :  Il y a des preuves désignant la Russie comme la source principale de ces campagnes , a affirmé l’un des vice-présidents de la Commission Andrus Ansip.  (…) Dans le domaine des infox,  les nouvelles technologies avancent extrêmement rapidement, s’est inquiétée la commissaire au numérique,  Mariya Gabriel, qui appelle donc l’UE à  redoubler d’efforts ».  Redoubler d’efforts  pour accréditer l’idée, que l’on pourrait juger elle-même très complotiste,  que toute remise en cause du progressisme bruxellois relève du mensonge. En effet,  insiste cet article, « de  l’immigration à la corruption des élites, en passant par des complots de toutes sortes, les infox ont des thèmes de prédilection souvent en phase avec ceux des mouvements dits populistes ou d’extrême droite. Elles surfent sur la viralité sur internet des contenus à sensation comme sur la défiance ambiante à l’égard des institutions et des médias. »

    Dans ce climat de parano hargneuse qui gagne le camp  des adversaires de l‘Europe des  souverainetés et des identités nationales, certains crient encore plus fort que d’autres : « L’Europe est en feu, et les plateformes de médias sociaux apportent des pistolets à eau pour combattre les flammes , accuse l’ONG Avaaz, qui appelle Bruxelles à des mesures contraignantes. Facebook, ébranlé par l’affaire Cambridge Analytica et critiqué pour son rôle dans la propagation des infox, y semble disposé.  Je suis convaincu que les gouvernements et les régulateurs doivent jouer un rôle plus actif , a écrit son patron Mark Zuckerberg dans une tribune publiée fin mars dans des journaux du monde entier. »

    « Tandis que certains pays, comme la France, ont décidé de légiférer, la Commission privilégie pour l’heure le dialogue avec les géants d’internet. Avec notamment son  Code de bonnes pratiques signé à l’automne 2018 par Facebook, Google et Twitter. » Ouvrons ici une parenthèse pour rappeler que dans sa lutte contre le « complotisme »,  Emmanuel Macron, constate Bruno Gollnisch,  s’est appliqué une nouvelle fois à mettre ses pas dans ceux de François Hollande. C’est ce dernier qui commanda à Rudy Reichstadt en 2015, créateur d’un ubuesque Observatoire du complotisme , et aujourd’hui membre de la Fondation Jean Jaurès, un rapport sur les complotistes. A la lecture de celui-ci on pouvait comprendre qu’être eurosceptique ou contester le bien fondé de  la  loi dite Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973  qui a placé l’Etat français sous l’emprise financière directe des banques privées, faisait de vous un parano à tendance antisémite  ou un antisémite à tendance complotiste, au choix !

    « À Bruxelles, indique encore Ouest-France, une institution liée à la Commission européenne, le Service européen pour l’action extérieure (SEAE), s’est lancée elle-même dans la bataille (…). Leur site EU vs desinformation affirme avoir déjà démonté plus de 5 000 fausses informations, principalement liées à la Russie. Mais les moyens de cette cellule restent modestes, et sa démarche suscite des doutes. » « Pour que les pays de l’UE fassent bloc, la Commission a tracé des lignes directrices, les appelant notamment à soutenir le journalisme de qualité ou encore à collaborer avec des fact-checkers  (vérificateurs de faits) indépendants. » Concrètement, dix-neuf médias  venant  de treize pays européens participent au projet collaboratif  eurobruxellois de lutte contre les fake news , baptise Fact Check EU. Ils ont signé la charte  de l’International Fact-Checking Network (IFCN) ou Réseau international de fact-checking.

    Ce projet rapporte Le Monde, a été lancé « à l’initiative de l’IFCN en toute indépendance des institutions européennes et de toute autre entité gouvernementale. La plateforme en elle-même a été financée par l’IFCN et développée par Libération et l’agence Datagif. Elle a également reçu des financements de la Google News Initiative et de l’Open Society for Initiative for Europe »… une des structures  appartenant au  trouble milliardaire  mondialiste George Soros. Au nombre des médias français collaborant à ce projet, figurent des parangons d’impartialité, d’objectivité et de rigueur que sont Fake Off de 20 minutesAFP FactuelCheck News de Libération,  Les Observateurs de France 24,Les Décodeurs du Monde…

    Les Décodeursnous l’avions écrit,  sont la matérialisation du Decodex financé par le « Fonds Google » à hauteur de plusieurs dizaines de milliers d’euros. Un outil qui distribue bons et mauvais points aux sites d’informations, selon des  critères souvent extrêmement partiaux et biaisés, faisant la part belle au respect ou non, du catéchisme progressiste, de la doxa officielle et de sa propagande. Comme  le soulignait  alors Laurent Berruyer sur son blogue Les Crises, le « service de vérification des faits (du Monde) ne pouvait qu’aboutir à sa transformation insidieuse en une sorte de Ministère de la Vérité qui prétend dire le Vrai.»  Dans les faits,  «une Police de la pensée, car toute autorité prétendant dire le Vrai ne peut accepter de voir son autorité remise en question, dans le cas où des personnes persistent volontairement dans l’erreur. Un tel Pouvoir constitué est donc toujours tenté d’abuser de ses prérogatives.» Un constat qu’il est loisible d’étendre plus largement aux agissements de la technostructure eurobruxelloise.

    https://gollnisch.com/2019/04/10/les-complotistes-bruxellois-dans-tous-leurs-etats/

  • ONU, UE et médias de gauche accusés « d’organiser un changement de population » en Europe

    Le ministre des Affaires étrangères du gouvernement hongrois, Péter Szijjártó, a accusé vendredi dernier, lors du lancement officiel du programme électoral du Fidesz pour les élections européennes, les institutions mondialistes, ONU et UE, d’organiser, avec la complicité des médias du système, « un changement de population » en Europe selon un « plan mondial » favorisant l’arrivée de clandestins sur le Vieux Continent.

    Il a par ailleurs félicité son pays, la Hongrie, d’avoir refuser de signer le Pacte Mondial sur les migration, moyen mis en place par l’ONU pour légaliser l’immigration illégale.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/onu-ue-et-medias-de-gauche-accuses-dorganiser-un-changement-de-population-en-europe/107177/

  • Gilets jaunes : la vie d’après des éborgnés

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    Ces gilets jaunes ont perdu l’usage d’un oeil en manifestation, des blessures qui se sont retrouvées au coeur des accusations de violences policières depuis novembre.

    Alors que le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner recensait le 4 avril 209 enquêtes portant sur des soupçons de violences commises par les forces de l’ordre, cinq manifestants racontent la blessure et ses séquelles.

    https://fr.novopress.info/

  • Privatisation d’ADP : le mirage démocratique ? – Journal du mercredi 10 avril 2019

    Privatisation d’ADP : le mirage démocratique ?

    Un RIP pour ADP. Mardi, des députés issus des rangs de droite et de gauche ont annoncé avoir réuni le nombre de parlementaires requis pour lancer une proposition de referendum d’initiative partagée pour contrer la privatisation des Aéroports de Paris. Coup’ de com’ ou coup de maître ? Réponse dans cette édition.

    Brexit : Le “perp walk” de Theresa May

    C’était un peu la marche de la honte pour le premier ministre britannique. Mardi, après un passage à Berlin, Theresa May a rencontré Emmanuel Macron pour supplier un nouveau report du Brexit… Une éventualité qui devra être accompagnée de garanties alors même que les Lords ne parviennent à se mettre d’accord sur RIEN.

    Libye : le maréchal Haftar frappe à la porte du pouvoir

    Les troupes du maréchal Haftar aux portes de Tripoli ! Alors que la Libye s’enfonce encore un peu plus dans la crise, l’ONU va réunir son conseil de sécurité.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/privatisation-dadp-le-mirage-democratique-journal-du-mercredi-10-avril-2019