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  • L’institut national d’étude démographiques publie une nouvelle analyse autour d’une enquête ethnique de 2008

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     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Il y a près de dix ans paraissait l’étude « Trajectoires et Origines », une des très rares enquêtes française tournant autour de statistiques dites ethniques. Sans aborder les questions de religion ou de race, elle s’appuyait sur des données telles que l’origine géographique et la nationalité initiale, ce pour étudier des questions de discrimination et de ressenti d’appartenance des immigrés.

    À défaut de données plus récentes, celles de cette étude continuent d’être utilisées

    Deux sociologues les ont reprises récemment, afin de s’intéresser aux prénoms donnés par les immigrés à leurs enfants, dans un rapport publié ce mercredi. Il en ressort deux groupes d’immigration distincts à l’intégration différente. D’un côté les européens du sud et les populations asiatiques, qui abandonnent en majorité leur prénoms spécifiques dès la première génération pour passer à des prénoms français, et de l’autre les immigrés originaires du Maghreb, de Turquie ou d’Afrique sahélienne, qui gardent des prénoms associés à leur culture au moins jusqu’à la deuxième génération. Ce rapport contient également une statistique notable : même pour les nouveaux nés de Français non issus de l’immigration on passe de 100% de prénoms français en 1945 à à peine au dessus de 50% en 2005, et probablement moins encore à présent.
    Ces résultats ont inspiré les bien pensants auteurs de la publication

    Ils en tirent en effet une conclusion qui réjouirait tout partisan du mondialisme. Ils relèvent ainsi uniquement le fait que la population dite majoritaire comme les descendants d’immigrés convergent vers un modèle unique de prénoms dits « internationaux », auxquels tout le monde pourrait s’identifier. On peut retrouver dans cette conclusion comme dans tout le rapport un certain parti pris, venant probablement du fait qu’un des deux auteurs est par ailleurs ouvertement engagé pour l’antiracisme et le décolonialisme. Cela permet de s’apercevoir des limites de la sociologie dans son application actuelle, où à partir des mêmes données il est possible de tirer plusieurs conclusions radicalement opposées.

    https://fr.novopress.info/

  • Migrants en Méditerranée : Castaner reconnait à son tour la complicité de certaines ONG avec les passeurs (MàJ)

    08/04/19

    (…) Le ministre français reprend une critique apparue en 2017 dans le sillage d’un rapport de Frontex. «Depuis juin 2016, un nombre important de bateaux ont été interceptés ou secourus par des navires des ONG sans appel de détresse préalable et sans informations sur le lieu de sauvetage», s’étonnait l’agence européenne de contrôle des frontières. Dans ce même document, Frontex déclarait que les passeurs équipaient désormais les migrants de téléphones satellitaires pour alerter les secours une fois en mer, mais il n’était pas question de contacts téléphoniques entre passeurs et ONG. «Toutes les parties impliquées dans les opérations de recherche et de sauvetage en Méditerranée centrale aident involontairement les criminels à atteindre leurs objectifs à un coût minimum», reconnaissaient plus largement les auteurs du rapport.

    (…) Le Figaro

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  • En marche vers le meilleur des mondes

    caspar-david-friedrich.jpgNous rappelions le 5 avril dernier le sort  indigne réservé à Julian Assange et les risques pesant sur lui,  amplifiés depuis par  les ennuis judiciaires  et le départ de la présidence de  l’Equateur de Rafael Correa  (dans le viseur de Washington). Le fondateur de  Wikileaks a été arrêté hier à Londres où il avait trouvé asile depuis 2012 au sein de l’ambassade d’Equateur.  Il doit désormais tenter d’échapper à son extradition vers les Etats-Unis. L‘Europe libre, courageuse,  souveraine et respectueuse des droits de l’homme dans toute sa splendeur… De lâcheté, de soumission, il était encore question fin mars  avec les manœuvres contre la représentation d’une pièce d’Eschyle,  Les suppliantes,  à la Sorbonne. Pierre Jourde, écrivain, universitaire et homme de gauche (mais un homme qui aime Julien Gracq, Borges et Tolkien ne peut pas être foncièrement mauvais!) a bien résumé dans une tribune publiée sur son blogue et reprise par l‘Obs,  le malaise des progressistes devant la montée en puissance des communautarismes qu’ils soient  religieux ou comme ici ethniques et raciaux.

    «Un petit groupe de nervis écrivait M. Jourde,  fait irruption dans une université et, par la force, fait interdire la représentation d’une pièce de l’antiquité grecque. Berlin 1934 ? Pékin 1966 ? Pas du tout, Paris, 2019. On en est là (…). L’UNEF et le CRAN (Conseil représentatif des institutions noires de France de Louis Georges Tin, NDLR),  ont réussi à empêcher, par la force, la représentation d’une pièce d’Eschyle à la Sorbonne, au prétexte que les acteurs se mettaient du noir sur le visage. Et donc, c’est, forcément, du racisme et du blackface. On voit l’intelligence du raisonnement. Mais ne nous y trompons pas : nous entrons dans une ère où ces groupuscules de fanatiques et d’imbéciles incultes feront sans cesse pression sur l’art et la culture, au nom d’un antiracisme qui est devenu le slogan creux de toutes les pressions et de toutes les interdictions, et surtout le prétexte à des organisations ultra-minoritaires pour faire leur publicité et imposer leur petit pouvoir. Honte à une organisation d’étudiants comme l’UNEF, qui se déconsidère en s’opposant à la littérature et à la culture.»

    Le CRAN  affirme Pierre Jourde, « ridiculise et déconsidère le combat antiraciste», «s’est plusieurs fois signalé par son opposition à la culture. En militant par exemple contre une épreuve de culture générale aux concours administratifs, au motif que cela défavoriserait les Noirs». «Le CRAN, c’est moins la lutte pour les Noirs que la lutte pour l’obscurantisme.» «J’attends de gens comme Michel Wievorka ou Pap Ndiaye, censés être des intellectuels, et qui siègent ou ont siégé dans les instances du CRAN, qu’ils se désolidarisent publiquement de ce groupe spécialisé dans le terrorisme intellectuel. Mais je crains de devoir attendre longtemps» ajoute-t-il,  avant  de régler leur compte au passage aux harceleurs et Tartufe  Tariq Ramadan  et Yacine Belattar, aux  Rokhaya Diallo et autres  Indigènes  de la république , aux cultureux de gauche qui soutiennent encore le  criminel de droit commun Battisti

    Ce CRAN, dont nous avons déjà pointé ici les délirantes exigences mémorielles et culpabilisatrices , officine financée notamment par les philantropes yankees de la banque JP Morgan, n’en rate effectivement pas une. Leur bêtise prêterait même à rire si  celle-ci n’était pas en fait  si dangereuse.   Une nouvelle illustration en a été apportée par un communiqué  en date du 5 avril  dans lequel il est rapporté que  «dans le couloir qui mène à l’hémicycle (de  l’Assemblée nationale)  il y a bel et bien une fresque reprenant l’imagerie coloniale et le style de Tintin au Congo. » Une découverte stupéfiante  qui a été faite  par Mame-Fatou Diang,  «une lanceuse d’alerte» , à l’origine d’ une pétition pour que l’objet du délit   soit éradiqué. Cette représentation dépeint « l’Histoire de l’Assemblée Nationale  sur plus de 40 mètres, et une partie de l’œuvre représente l’abolition de l’esclavage sur près de 10 mètres. Deux visages noirs apparaissent, yeux écarquillés, lèvres énormes, dans la  grande  tradition de  Ya Bon Banania ».« L’œuvre a été peinte en 1991, par Hervé di Rosa», certes progressiste et antiraciste  mais  «  que répondre aux nombreux élèves confrontées à l’imaginaire colonial quand ils visitent ce lieu ? (…) du point de vue de la réception, l’effet est calamiteux. Des noirs esclaves libérés, présentés avec les codes ordinairement utilisés par l’imaginaire colonial ne sauraient trouver leur place à l’Assemblée Nationale.»

    Une question ethnique qui hante aussi , de manière différente, « le premier député issu de l’immigration comorienne », Saïd Ahamada, élus des quartiers Nord de Marseille,  militant anti FN, ancien  d’EELV, du Modem, qui a rejoint le parti macroniste (il est porte-parole de LREM à l’Assemblée)  pour se faire élire. Dans le cadre de la «synthèse du Grand débat national​ organisé dans les quartiers prioritaires»  rapportait 20 minutes, M. Ahmada  a expliqué que malgré les sommes astronomiques ponctionnées  aux Français ces dernières décennies, les quartiers pluriels  du vivre-ensemble manquaient  de tout.  Leurs habitants ont   la sensation d’être des « Français de seconde classe », il faudrait donc  encore intensifier les efforts financiers. .«Dans un territoire sans service public,  dit-il, il y a une forme d’entre soi, et c’est eux-mêmes (les résidents de ces quartiers, NDLR)  qui se créent leurs propres règles. Ces territoires ont besoin de l’Etat, de services publics, pour être insérés dans la société. C’est aussi pour cela que des mères de famille demandent des têtes blondes dans les écoles. »

    C’est surtout  parce que ces quartiers sont de moins en moins Français,  que   les têtes blondes, quand elles en ont les moyens et la possibilité, fuient vers des endroits  où les  familles françaises sont encore majoritaires.  Toutes choses que ce député LREM ne peut ignorerIl devrait savoir aussi que c’est la poursuite des flux migratoires à haut débit, le maintien des pompes aspirantes de l’immigration,  qui rendent  le problème insoluble. Entre 1989 et 2012, 90 milliards d’euros ont été engloutis pour le seul volet de la  politique immigrationniste,  dite de la ville,  avec des résultats désastreux: une hausse constante de l’insécurité, du chômage, des trafics ,de l’idéologie salafiste et/ou de son hybridation islamo-racailleuse anti-française. Xavier Raufer le notait déjà en 2010: «la politique de la ville telle qu’elle est conçue aujourd’hui (association de l’idéologie et de la bureaucratie), ne peut qu’échouer du fait même qu’elle constitue le désolant fantôme, l’affreux remake de l’agriculture soviétique (…) Nul, droite ou gauche, n’a jamais fait qu’ajouter couche sur couche à ce ruineux millefeuille bureaucratique, nuisible à l’objet même de ladite politique : paix sociale, tranquillité des habitants, retour des emplois. »

    Lâcheté, démission et soumission, encore et toujours, de nos dirigeants, illustrées  dans le dernier livre de Christian Chesnot et Georges MalbrunotQatar Papers. Une  nouvelle enquête  révélant des documents confidentiels  sur les menées prosélytes  du Qatar en France et en  Europe pour enraciner, via Qatar Charity, la plus puissante ONG de l’émirat (très introduite au sein des institutions  des Nations unies) ,  le mouvement des Frères musulmans, notamment dans les quartiers prioritaires décrits plus haut.

    Si l’organisation des  Frères musulmans  est classée depuis 2003 en Russie comme organisation terroriste, le livre de MM. Chesnot et Malbrunot,  dévoile implicitement l’angélisme, le clientélisme ou le choix délibéré  de la classe politicienne de fermer les yeux  devant cette offensive idéologique. Celle-ci prend entre autre   la forme du financement de 140 projets de constructions de madrasas (écoles coraniques), mosquées et autres centres culturels et  éducatifs, d’aides à des associations  mahométanes…

    Est-ce  en s’appuyant sur ses autres philantropes là que les partis du Système entendent maintenir la paix civileUne colonisation des esprits et des âmes, répétons-le, rendue possible par la colonisation démographique, laquelle permet aussi, hélas, dans un autre registre, les délires  communautaristes-racialistes contre l’autochtone gaulois sommé de se soumettre, de baisser la tête…et de faire de la place. Voilà le résultat de cinquante  ans de masochisme européen, d’effondrement spirituel, culturel.  Voilà le résultat de quarante ans d’immigration massive au nom du    progressisme droite-gauche,  du vivre-ensemble, de la tolérance,  de l’apologie des sociétés ouvertes. Comment Emmanuel Macron, Angela Merkel, Theresa May ou Jean-Claude Juncker expliqueront-ils demain cette situation à leurs enfants et petits-enfants? Ah oui, c’est vrai, ils n’en ont pas…

    https://gollnisch.com/2019/04/12/en-marche-vers-le-meilleur-des-mondes/

  • Vandalisme contre l’ISSEP de Marion Maréchal, où sont les médias ?

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    La France médiatique trouve souvent à redire quand il s’agit de régimes qu’elle n’apprécie pas, ou encore de démocraties dites illibérales au sujet de la liberté de la presse. Par contre quand on vandalise un Institut d’études supérieures à Lyon il n’y a plus grand-monde.
    Les faits

    Dans la nuit du 26 au 27 mars 2019, des agitateurs d’ultra gauche se revendiquant des black-blocs ont vandalisé un Institut d’Études supérieures reconnu par l’État, l’ISSEP, dans le quartier confluence de Lyon. Cet acte nocturne a été revendiqué sur les réseaux sociaux par un « groupe antifasciste » qui y tient librement page sans être inquiété, comme tous les groupes black-blocs de France et de Navarre, près de deux semaines après les faits, et sans qu’une quelconque Commission de lutte contre les violences d’ultra gauche ait vu le jour, contrairement à celles d’ultra droite, à l’Assemblée nationale. Ces individus se sont d’ailleurs filmés en train de perpétrer leur attentat.

    L’ISSEP, ou Institut de Sciences Sociales Économiques et Politiques est réputé pour être « l’école de Marion Maréchal » dans les médias. Ceci explique-t-il la façon dont ils ont traité cet acte de violence mené par un groupuscule d’ultra gauche à l’encontre d’un lieu d’enseignement et de savoir, sur le territoire de la République ? Cela ne paraît guère douteux. Que l’on en juge : les rares médias qui ont évoqué les faits se sont contentés de reprendre les termes d’une information d’abord publiée sur le site du Figaro, et ont veillé à demeurer dans le pur factuel, sans condamner l’acte,ce qui est une façon déguisée de ne rien dire. Une réaction très éloignée de ce qui aurait eu lieu si un institut d’enseignement, reconnu officiellement par l’État, insistons sur ce point, avait été ainsi attaqué par un groupuscule appartenant à d’autres courants extrémistes de la vie politique française. Difficile de ne pas voir un deux poids deux mesures dans le silence assourdissant de l’immense majorité des chaînes de télévision et stations de radios d’État.

    Qui en a parlé et comment ?

    Le Figaro, Franceinfo, avec un article qui est exemplaire de la façon dont un média officiel peut ne pas parler du sujet dont… il parle.

    L’AFP en fin de journée de 27 mars, une agence informée par… Le Figaro (le monde de la presse à l’envers), Le Parisien, Libération, L’express Cnews, quelques médias locaux.

    En apparence, cela peut ressembler à une bonne couverture médiatique. Ce n’est en réalité par le cas. La question n’étant pas seulement qui en a parlé, quoique (où sont Le Monde, France Inter…), mais plutôt comment : reprendre de façon aussi discrète une telle information, la plupart du temps en dans une rubrique faits divers, sans interpeller plus avant sur la gravité des faits peut laisser pantois tout observateur soucieux de la pluralité d’opinions comme d’information . Les médias qui se fendent d’une brève recopient l’AFP qui… recopie Le Figaro.

    Notons que Valeurs Actuelles, TV Libertés et le quotidien Présent ont réagi à la violence perpétrée contre l’ISSEP en la condamnant.

    Délit d’opinion et délit de voies de fait sont traités différemment

    Pour qui douterait que les conceptions politiques ne sont pas traitées de la même façon en France, il est intéressant de remarquer la réaction médiatique massive, et gouvernementale rapide quant à l’action menée par Génération identitaire sur le toit de la CAF de Seine Saint-Denis, département où la population est majoritairement issue de l’immigration et où 14 % des femmes qui accouchent sont excisées. Dans ce cas, le premier ministre a indiqué qu’il étudiait les possibilités de dissoudre Génération identitaire. Notons que cette organisation n’a mené aucun acte de violence, ni aucune dégradation, ce qui est du reste la marque de fabrique de ses actions politiques. Il s’agit donc de la mise en œuvre d’un délit d’opinion au sein de la République, le seul fait qui peut leur être reproché, sauf mauvaise foi, est d’avoir demandé de l’argent pour les Français et non pour les étrangers, ainsi que l’indiquait leur banderole. La majorité des personnes touchant de l’argent de la CAF dans ce département où la majorité de la population est issue de l’immigration, cette revendication tient de l’opinion, une opinion dont l’illégalité demeure à démontrer. Reste que 19 militants de Génération identitaire, délogés par la police, seront jugés pour entrave à la liberté du travail, encourant des peines de 3 ans de prison et 45 000 euros d’amende.

    En France, en 2019, la liberté d’expression a donc un coût. Ce qui n’est pas le cas de la violence politique. Tout dépend du bord politique auquel les uns et les autres sont censés appartenir.

    Médias et politiques du politiquement corrects se plaignent souvent d’être mis dans la même case, voire d’être accusés de collusion. Que dire dans ce cas ? Non seulement la majorité des médias taisent un acte d’une extrême gravité, contre l’ISSEP, aucun n’appelant par exemple à la dissolution de ce genre d’organisation gauchiste paramilitaire et violente, mais le silence règne de même dans la classe politique. Dans le même temps, tout le monde se précipite contre Génération identitaire. Qu’un institut d’enseignement supérieur soit attaqué et, dans toute démocratie digne de ce nom, un membre du gouvernement ou le premier ministre serait monté au créneau pour défendre la liberté d’enseigner et d’apprendre. Ou alors les médias se seraient indignés d’un tel silence.

    Article paru le site de l’OJIM daté du 9 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • I-Média n°245 – ONG/Passeurs : les médias en eaux troubles

     

    ONG/Passeurs : les médias en eaux troubles

    Christophe Castaner a créé des remous en affirmant que les ONG étaient complices des passeurs dans la crise migratoire méditerranéenne. Les médias sont obligés de ramer pour défendre leur vision du monde.

    Zapping

    Grand moment de déni du réel sur le plateau de Les Terriens du Dimanche animé par Thierry Ardisson. Lors d’un débat sur le Grand Remplacement, Juliette Méadel n’a pas hésité à verser dans le reductio ad hitlerum face à Natacha Polony et Gilles-William Goldnadel.

    Italie : un père, une mère, émoi, émoi, émoi…

    Matteo Salvini continue à faire hurler les médias français ! Pour Le Figaro et L’Express, le retour des mentions « père » et « mère » dans les formulaires administratifs en lieu et place de parent 1 et parent 2 aurait créé l’émoi !

    Tweets

    Le phénomène Greta Thunberg – largement traité par I-Média – est de plus en plus critiqué par les médias qui enquêtent sur la question.

    Marion Maréchal à l’Iliade : les gros sabots de Lucie Soullier

    Lucie Soullier est journaliste au Monde. Nous verrons ensemble que son article sur la présence de Marion Maréchal au dernier colloque de l’Institut Iliade est un modèle de propagande et de diabolisation.

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n245-ong-passeurs-les-medias-en-eaux-troubles

  • La persécution politique de Génération Identitaire continue !

  • Jean-Luc Mélenchon va désormais avoir du mal à critiquer la famille Le Pen

    Jean-Luc Mélenchon va désormais avoir du mal à critiquer la famille Le Pen

    Quatre parents ou proches de Mélenchon et Aubry figurent bien sur la liste de LFI, et le site du parti n’indique pas ces liens :

    Le gendre de Jean-Luc Mélenchon, Gabriel Amard, est bien présent sur la liste, en huitième position. Benoît Schneckenburger, qui a été garde du corps de Jean-Luc Mélenchon, se trouve en douzième position. Pascale Le Néouannic, l’ex-compagne du député LFI, est en treizième position. A la 59e position, une position non éligible, se trouve Catherine Poggi Aubry, la mère de Manon Aubry. Mais les portraits des quatre militants sur le site du parti ne mentionnent pas ces liens.

    Déjà en 2017 dans Capital, il lui avait été reproché d’avoir fait embaucher sa fille au Conseil général de l’Essone en 2009 :

    Pour son vieil ennemi Christian Schoettl, élu de l’Essonne, le candidat de «La France insoumise» est pourtant loin d’être irréprochable en la matière (…)

    Capital : Vous ne partagez donc pas la conviction de Jean-Luc Mélenchon, selon qui la droite mériterait d’avoir un candidat «plus présentable» que François Fillon ?

    Quand je l’ai entendu, le 1er mars, déclarer depuis Concarneau, dans le Finistère, que les électeurs de droite «auraient le droit d’avoir un candidat qui puisse être présentable», j’ai pensé qu’il avait perdu la mémoire ou qu’il avait un sacré culot. Alors, on va lui faire une piqûre de rappel, et lui parler de sa propre désinvolture. Parce qu’en décembre 2009, c’est sa fille Maryline qu’il a fait embaucher par le conseil général de l’Essonne (…)

    Capital : Et pourquoi n’aurait-il eu pas le droit de le faire ?

    Mais parce qu’elle n’a pas été embauchée comme collaboratrice du groupe socialiste au conseil général. Là, le recrutement aurait été à la discrétion du politique, comme pour les attachés parlementaires d’un député. Mais en 2009, c’est en tant qu’agent administratif que Maryline Mélenchon a été engagée. Pour réaliser ce recrutement, la collectivité territoriale devait respecter les règles, notamment d’impartialité, qui s’appliquent à toute la fonction publique. Quand une administration a un poste vacant, elle doit publier une offre d’emploi, recevoir les candidats et recruter le plus compétent, sans bien sûr se préoccuper de savoir quelle est son appartenance politique. Or, à l’issue de cette procédure de recrutement, qui voit-on arriver à un poste de «chargée de coopération» ? La fille d’un ancien vice-président du conseil général, par ailleurs toujours sénateur de l’Essonne. La fille de l’ami des présidents socialistes successifs du conseil général – à l’époque, c’est Michel Berson qui est à sa tête. Vous avouerez que c’est quand même une étrange coïncidence. D’autant plus étrange, que ce n’est pas la première.

    Capital : Vous voulez dire que ce n’est pas la première fois que Maryline est embauchée grâce à son père ?

    Son premier job, elle le décroche comme agent administratif à la mairie de Viry-Châtillon, toujours dans l’Essonne. On est en 1998 et elle a 24 ans. Son père est déjà vice-président du Conseil général. C’est, avec Julien Dray, l’un des leaders de la Gauche socialiste, un courant du PS qui entraine dans son sillage pas mal d’élus de l’Essonne. Justement, le lieutenant de Jean-Luc Mélenchon s’appelle Gabriel Amard, et c’est le maire de Viry-Châtillon. Mieux : on le surnomme «monsieur gendre», parce qu’il est le compagnon de Maryline. Si ce n’est pas du favoritisme, je voudrais qu’on me dise ce que c’est.

    https://www.lesalonbeige.fr/jean-luc-melenchon-va-desormais-avoir-du-mal-a-critiquer-la-famille-le-pen/

  • Forte progression de l’UKIP lors d’une élection législative partielle au Royaume-Uni

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    Le jeudi 4 avril 2019, s’est tenue une élection législative partielle dans la circonscription de Newport-West (Pays de Galles), élection particulièrement suivie au moment où de très nombreux rebondissements dans la recherche d’un accord pour le Brexit ont lieu.

    Rappelons ici que les législatives se déroulent au Royaume-Uni au scrutin uninominal majoritaire à un seul tour, ce qui signifie qu’il y a un seul élu par circonscription et que c’est le candidat qui arrive en tête qui est élu, même s’il n’atteint pas les 50%.

    Cette élection fait suite au décès de Paul FLYNN (travailliste) le 17 février 2019. Le vainqueur de cette partielle (Ruth JONES) est du même parti, mais elle subit un fort recul de 12,7 points (39,6% des suffrages exprimés contre 52,3% en 2017). Ce n’est guère mieux pour Matthew EVANS (parti conservateur) qui, avec 31,3%, perd 8 points par rapport à la candidate du même parti (Angela-Jones EVANS) en 2017 (39,3%).

    Le candidat arrivé 3e, Neil HAMILTON (UKIP, parti dont l’objectif est le Brexit) a obtenu 8,6% contre 2,5% seulement pour Stan Edwards, du même parti, en 2017.

    Le candidat du Plaid Cymru (parti autonomiste gallois) obtient 5,0% (+2,5), le libéral-démocrate (très hostile au Brexit) 4,6% (+2,4) et le candidat du parti écologiste 3,9% (+2,8).

    A noter le faible résultat obtenu par la candidate de Renew (3,7%), hostile au Brexit. Les 4 autres candidats obtiennent moins de 1% des exprimés.

    En résumé, l’UKIP est le seul parti à avoir fortement progressé, les deux grands partis (conservateur et travailliste) reculent fortement. La petite progression du parti libéral-démocrate et le faible résultat de Renew ne compensent pas totalement la progression de l’UKIP. Ces résultats, même s’ils sont à analyser avec précaution (le taux de participation est autour de 36,5% des inscrits contre 67,5% en 2017) semble indiquer une certaine stabilité des rapports de force entre Brexiters et anti-brexiters, voire une légère progression des Brexiters.

    La suite du feuilleton du Brexit dès samedi (même Hitchkock n’est peut-être jamais arrivé à un tel suspense!). Et pendant ce temps, le taux de chômage au Royaume-Uni est au plus bas niveau depuis 1975. L’incertitude n’est en général pas favorable à la bonne santé de l’économie. Mais les Britanniques, c’est bien connu, ne font presque jamais rien comme les autres.

    Mais suivons leur exemple (pour une fois): vivement le Frexit!

    G. Paume

  • Le Rucher Patriote, premier site d’annonces entre patriotes

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    Le Rucher Patriote (https://rucher-patriote.fr). C’est sous ce nom qu’une jeune équipe s’attèle à la création du premier site internet d’annonces « entre patriotes, par des patriotes, pour des patriotes ». Avec un principe simple : « et si nous échangions prioritairement entre personnes de mêmes valeurs enracinées, plutôt qu’avec des inconnus ou des entreprises mondialistes ? »
    Entretien avec son initiateur, Thomas Whyte.

    Polémia : Vous proposez de lancer un site d’annonces entre patriotes. Tout d’abord, comment définissez-vous un patriote ?

    Thomas Whyte : Pour nous, un patriote est tout simplement celui qui est animé de l’amour sincère de nos terres, de notre pays, de notre histoire, de notre culture, de notre civilisation… et du peuple que nous sommes depuis des siècles, sinon des millénaires. Sont patriotes tous ceux de notre peuple qui veulent continuer à vivre selon nos valeurs communes forgées en plus de 1500 ans d’histoire de France, et plus de 3000 ans d’histoire de notre grande civilisation européenne, aux profondes racines gréco-romaines, chrétiennes, celtiques, germaniques, nordiques, slaves.

    Cette définition est davantage détaillée sur le site du Rucher Patriote, à travers deux textes : notre Charte des valeurs, et notre Manifeste.

    La Charte expose les valeurs que nous estimons consubstantielles à notre pays et à notre civilisation. Le Manifeste expose pourquoi ces valeurs, que nos ancêtres ont pour la plupart portées en eux sans même avoir à y songer, sont aujourd’hui menacées ; pourquoi il faut les défendre, par-delà toutes querelles secondaires ; et comment le Rucher Patriote peut, à sa modeste échelle, contribuer à ce combat de sauvegarde et de restauration de notre patrie.

    Polémia : Pouvez-vous nous présenter le concept du Rucher Patriote ?

    Thomas Whyte : Celui d’une sorte de « Le Bon Coin », mais spécifiquement pour patriotes : « Je cherche un plombier… une garde d’enfants… un locataire… une location… la bonne recrue pour mon entreprise… un stage de fin d’études… un meuble… j’ai des vêtements à donner… les produits de mon artisanat à vendre… ma boutique enracinée à faire mieux connaître… » Tous ces échanges de notre vie courante, il nous arrive de devoir les faire, à regret, avec des personnes ou avec de grandes sociétés qui bafouent nos valeurs. Alors qu’il existe des patriotes, ou leurs entreprises, avec lesquels réaliser ces mêmes échanges sans desservir notre patrie – mais au contraire en nous rendant mutuellement plus forts.

    Beaucoup de patriotes se sentent isolés aujourd’hui, à cause d’une propagande mondialiste hégémonique. Mais nous sommes nombreux ! Nous serions étonnés de découvrir combien de personnes très proches géographiquement partagent nos valeurs. Encore faut-il se trouver : voilà l’utilité première du Rucher Patriote.

    Pour garantir la confiance entre les membres, tous les inscrits au site d’annonces devront cocher des cases garantissant adhérer à notre Charte et à notre Manifeste ; et, passée la phase de lancement, l’inscription sur le site impliquera d’être parrainé par au moins deux patriotes déjà membres.

    Je précise que le Rucher Patriote est administré par une association à but non lucratif (loi 1901), dénommée Propolis, qui est strictement indépendante de tout parti politique. Nous sommes de simples citoyens patriotes, soucieux du bien commun de notre peuple.

    Polémia : Justement, pouvez-vous nous en dire plus sur vous-même, et votre équipe ?

    Thomas Whyte : J’ai été avocat pendant une décennie, et travaille depuis 2018 à des projets entrepreneuriaux dans les domaines informatiques et patriotes. Un retour à un engagement de jeunesse, puisque entre mes 15 et 25 ans j’ai beaucoup milité au service de convictions patriotes, principalement dans le secteur associatif. Une fois mon activité professionnelle engagée, j’ai « levé le pied », mais au fil des ans il me taraudait de plus en plus d’y revenir, c’est-à-dire de consacrer à nouveau une part significative de mon temps et de mon énergie à la cause de notre peuple.

    rucher-equipe-308x450.pngL’équipe du Rucher est jeune (vingtenaires ou trentenaires essentiellement), et animée du même désir d’aider notre peuple face aux immenses défis historiques que nous traversons. La page « Notre équipe » du site la présente plus en détail.

    Polémia : Sur votre site, vous indiquez viser l’émergence d’une économie patriote, de quoi s’agit-il ?

    Thomas Whyte : De la force du nombre !

    En 2017, près de 11 millions d’électeurs ont rejeté le candidat cosmopolite, malgré 40 ans de propagande diabolisante. Et le mouvement des Gilets Jaunes (surtout dans ses débuts, avant les tentatives d’extrême gauche de pourrissement par la violence, et de récupération) montre que l’amour de notre pays reste une valeur cardinale dans le cœur de notre peuple : la grande majorité ne sont pas des casseurs, mais chantent spontanément la Marseillaise, soutenus par 60 à 80 % des Français selon les études.

    Si, par le Rucher Patriote, nous parvenons à relier ne serait-ce que 1 % de ces personnes, ce seront des centaines de milliers de patriotes qui échangeront entre eux. Et sans dépenser davantage, mais simplement en réorientant chaque fois que possible nos dépenses ordinaires vers d’autres patriotes, plutôt que vers des mondialistes, créant une véritable économie patriote !

    Mobiliser cette énorme puissance économique et sociale des patriotes, c’est un autre grand enjeu du Rucher Patriote.

    Polémia : Quand le site d’annonces sera-t-il opérationnel ?

    Thomas Whyte : Le financement de l’important codage d’un tel site (sans compter les divers autres frais) reste le point vital : le fameux nerf de la guerre ! C’est pourquoi nous avons lancé une campagne de financement participatif, accessible via la page « Faire un don » de notre site actuel.

    Si suffisamment de patriotes nous apportent dès aujourd’hui leur soutien, le site d’annonces devrait être opérationnel en septembre 2019, ou dans le courant de l’automne 2019.

    Le Rucher Patriote, premier site d’annonces entre patriotes

    Le Rucher Patriote, premier site d’annonces entre patriotes

    Polémia : Quels sont les premiers retours que vous avez sur votre initiative ?

    Très bons : nous recevons beaucoup de messages enthousiastes ! Tous expriment également une forme de soulagement, un cri du cœur que l’on pourrait verbaliser ainsi : « Je ne suis donc pas le seul à vouloir continuer à vivre en France en Français, et non en apatride mondialisé interchangeable ! Hâte d’échanger avec les autres patriotes ! »

    Thomas Whyte : Comment vous soutenir ?

    De trois manières :

    1) La plus simple, la plus efficace – et de surcroît gratuite ! – est de vous inscrire à notre lettre d’info, via le bouton orange « Échanger entre Patriotes » sur le site du Rucher : https://rucher-patriote.fr

    Cela ne prend que deux minutes, ne demande qu’une adresse électronique, mais nous aide réellement : car un site d’annonces n’a d’intérêt que si, le jour de son lancement, suffisamment de patriotes y sont très vite présents. C’est notamment pour cela que nous communiquons à ce stade, et que nous invitons toutes les personnes intéressées à ne pas attendre la réalisation du site d’annonces final pour se manifester, mais à le faire maintenant, via l’inscription à notre lettre d’infos.

    Le site d’annonces ne pourra voir le jour que si suffisamment de patriotes ont fait cette démarche de nous témoigner leur intérêt.

    2) Vous pouvez aussi nous aider en parlant du Rucher Patriote autour de vous. À votre famille, à vos amis, à toutes vos connaissances susceptibles d’adhérer aux valeurs patriotes que nous partageons. Notamment en relayant notre site à tous vos contacts patriotes en ligne.

    3) Enfin, vous pouvez nous aider en nous adressant un don. La réduction fiscale de 66 % est applicable (un don par exemple de 100 € ne vous coûtera ainsi que 34 €).

    Par souci d’indépendance, nous refusons toute subvention publique. Seul les dons des patriotes rendront donc possible le site d’annonces qui nous rendra collectivement plus forts.

    Merci à tous ceux dont le soutien, sous l’une ou plusieurs de ces trois formes, permettra d’édifier le Rucher Patriote !

    Entretien avec Thomas Whyte 07/04/2019

    https://www.polemia.com/le-rucher-patriote-premier-site-annonces-patriotes/

  • Commission parlementaire « extrême droite » : auditions publiques pour les accusateurs, huis clos pour les accusés !

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    Depuis le 23 janvier 2019, et jusqu'au 16 mai prochain, se tient une curieuse commission d'enquête contre de supposées violences des groupes d'extrême droite, à la demande de Jean-Luc Mélenchon. Cette commission est présidée par Mademoiselle Muriel Ressiguier, député des Insoumis de l'Hérault. Elle devait conclure ses travaux le 16 mai, et rendre son rapport le 11 juin.

    Communiqué commun de la Ligue du Midi, de Vigilance Halal, de Riposte laïque et de Résistance républicaine :

    Nous avons appris, par une fuite du Figaro, qui n'a pas été démentie, que nos responsables devaient faire partie des personnalités auditionnées. Pourtant, nous ne nous reconnaissons absolument pas dans cette définition donnée par les députés : « Tous ces groupes ont en commun la violence, l’incitation à la haine raciale, homophobe et sexiste. Ils agressent des couples, des cyclistes, des passant-e-s, des étudiant-e-s pour leurs opinions, leur orientation sexuelle ou leur origine. Ils agressent, insultent, intimident, menacent de simples citoyen-ne-s mais aussi des élu-e-s de la Nation ».

    Nous y verrions plutôt les pratiques des groupes d'extrême gauche, antifas ou Black Blocs, qui ont multiplié, à l'occasion du mouvement des Gilets jaunes, les actes de vandalisme contre des symboles qui leur déplaisent, des agressions contre des journalistes, des librairies ou des opposants politiques, ainsi que des violences graves contre les forces de l'ordre, ce qui ne paraît pas émouvoir le chef des Insoumis, ni Mademoiselle Ressiguier.

    À quelques jours de leur éventuelle audition par la Commission d’enquête, les personnalités et leaders des groupes visés, n’ont toujours reçu aucune notification. Par conséquent, en fonction de leur éloignement ou de leur emploi du temps déjà engagé, certains d’entre eux pourraient avoir à demander des reports d’audience.

    Par ailleurs, si aucun texte ne précise les conditions permettant de décréter le huis clos en commission, il semble pourtant que les règles constantes du droit commun, ainsi que l’usage, commandent d’en justifier l’emploi.

    Les parlementaires voudront bien se demander pourquoi Madame HERVOUËT, présidente d’une association immigrationniste - dont les curieuses pratiques ont été épinglées par le conseil départemental socialiste de l’Hérault - a été auditionnée à huis clos alors qu’elle était là en infraction totale avec le principe de séparation des pouvoirs ; pourtant, dans le même temps cette disposition a été refusée à Monsieur BATTESTI, président de Facebook, qui la demandait, terrorisé par les menaces induites par la Présidente.

    Pareillement, on se demandera ce qui justifie le huis clos pour les auditions de Messieurs Fabrice ROBERT et Romain ESPINO, animateurs de mouvances identitaires, convoqués ce jeudi 11 avril. Ce refus du principe du « contradictoire » n’est pas sans rappeler les pratiques d’autres pays, d’autres époques et d’autres mœurs.

    De notre point de vue, aucune raison réelle et sérieuse ne justifie le huis clos pour les personnalités et leaders des groupes visés ; sinon celle de leur fermer la tribune qui leur est due et d’occulter aux yeux du public les éléments qu’ils pourraient faire valoir en défense ; alors que tous les éléments à charge les concernant ont été largement rendus publics et de manière tendancieuse et très exagérée ; parfois même en infraction avec le principe de séparation des pouvoirs.

    Les parlementaires devraient s’interroger sur le sens de ces manœuvres arbitraires qui n’ont d’autre but que de nous bâillonner et de présenter au public un seul son de cloche : démarche publique résolument à charge d’un côté, interdiction de publicité de notre défense de l’autre. Ce déséquilibre est inadmissible dans un état de Droit, surtout émanant du pouvoir législatif.

    En conclusion de tout ce qui précède, les signataires entendent, si leur convocation était confirmée, se présenter à un débat public, équilibré et contradictoire.

    Par conséquent, ils demandent la levée du huis clos en ce qui les concerne, et à défaut, qu’en soient publiquement justifiées les raisons dès avant leur audition.

    Montpellier, le 9 avril 2019