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  • Enseignement : où sont les profs ? – Journal du mercredi 15 janvier 2020

     

    Le nombre de candidat pour devenir enseignant en net recul en 2019 ! Une tendance lourde qui témoigne du malaise généralisé dans l’enseignement et l’incapacité politique à réformer l’Education Nationale.

    Anne Hidalgo repart pour un tour

    Après avoir laissé planer le suspens, Anne Hidalgo a annoncé sa candidature pour un second mandat à la tête de Paris. A deux mois du premier tour des élections municipales, la campagne s’annonce mouvementée et les opposants ont d’ores et déjà attaqué le bilan de l’actuel maire de Paris.

    Echange restaurant contre place à la RATP

    Un restaurateur boulonnais propose sur le Boncoin d’échanger son restaurant “la Salle à manger” contre un poste à la RATP. Excédé par les grèves engendrant une perte considérable sur son chiffre d’affaires, ce restaurateur joue de l’ironie pour exprimer sa colère face aux cheminots. En cause, l’argument de la pénibilité trop souvent réservé à des secteurs bien particuliers.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/enseignement-ou-sont-les-profs-journal-du-mercredi-15-janvier-2020

  • Grand débat national : un an après, le contenu introuvable des cahiers de doléances

    https://www.tvlibertes.com/actus/grand-debat-national-un-an-apres-le-contenu-introuvable-des-cahiers-de-doleances

  • L'Indochine française sous La botte nippone

    L'Indochine française sous la botte nippone.jpeg

    Les Kempeïtaï, police auxiliaire japonaise, similaire à la Gestapo, furent responsables de nombres d'atrocités.

    Le coup de force japonais du 9 mars 1945 en Indochine est une page méconnue. Elle éclaire pourtant notre Histoire à plus d'un titre. Témoin du martyre vécu par notre peuple en Extrême-Orient, sous le joug japonais, cet épisode permet de mieux comprendre le passage éclair à un autre conflit la guerre d'Indochine.

    Les Invalides sont le temple de la mémoire française. Sur le flanc ouest de l'église des soldats, la discrète chapelle de la Vierge est ornée d'une plaque blanche. Elle rappelle depuis 2015 un martyre trop souvent oublié :

    « Guerre du Pacifique

    Seconde Guerre mondiale

    À la mémoire des combattants des Forces armées françaises et de la Résistance d'Indochine morts pour la France de 1940 à 1945.

    Aux milliers de civils français et amis indochinois morts ou disparus suite à l'attaque nippone du 9 mars 1945.

    Aux 2650 combattants morts le 9 mars 1945.

    Ils apportèrent aux Alliés jusqu'à la capitulation japonaise le 15 août 1945 leur part de sacrifice et de gloire »

    On croit parfois que la guerre s'est terminée en mai 45. Mais ce conflit a continué sous d'autres latitudes. Entre la délivrance de la Métropole et le 2 septembre 45, des Français ont subi une barbarie aussi inouïe que passée sous silence. Guillaume Zeller n'est pas homme à se satisfaire des trous de mémoire. Il a publié de beaux livres chez Tallandier, retraçant le destin tragique d'écorchés vifs de l'Histoire : Oran, 5 juillet 1962. Un massacre oublié (2012), ou encore La baraque des prêtres Dachau, 1938-1945 (2015). Il publie cette année Les cages de la Kempeitaï les Français sous la terreur japonaise. Cette tragédie qu'il raconte est aussi un drame familial ses grands-parents ont été détenus par les Japonais à Phnom-Penh.

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  • Ultra-gauche terroriste

    Ultra-gauche terroriste

    Depuis 2 ans, une dizaine d’incendies criminels ont eu lieu à Grenoble. Notamment l’incendie de l’église Saint-Jacques qui a été détruite.

    Mais, comme les auteurs font partie d’un groupe d’ultra-gauche, le procureur n’avait rien fait jusqu’à présent.

    Depuis deux ans une dizaine de bâtiments, publics et privés, ont été victimes de départs de feux, tous d’origines criminelles.

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  • Rendez-nous la France

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    Le billet de Patrick Parment

     La France, comparée à d’autres pays, pourrait faire figure de pays de cocagne dans la mesure où les travailleurs, si chers au cœur du regretté (enfin pas vraiment !) Georges Marchais, y sont plutôt bien traités. Situation que nous envient d’ailleurs nombre de pays européens. Raison pour laquelle aussi de nombreux migrants cherchent à s’y installer. Et ce, avouons-le, malgré une administration qu’on ne peut que comparer à celle de l’ex-Union soviétique. L’Etat-nation que les Français ont bâti est un Etat centralisateur qui entend tout régenter de la vie de ses concitoyens. Cet apparent bien-être a un coût : une fiscalité lourde et qu’entretient jalousement un ministère des finances quel que soit le bord auquel il obéit. Revers de la médaille, et non des moindres, un Etat  figé dans ses pesanteurs et qui n’a pas su procéder à la modernisation de ses modes de fonctionnement et régénérer  ses outils industriels. Et ce au point qu’une classe politique, détachée des réalités et embringuée dans la spirale infernale d’un libéralisme fou a continué d’appliquer les bonnes vieilles recettes qui font que c’est toujours le peuple qui règle les additions et non ceux qui en sont responsables. Les riches s’en foutent, les pauvres le restent, et la classe moyenne trinque.

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  • Retraites : Macron nous promettait la révolution et on a eu la calculette

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    La dernière palinodie gouvernementale sur le retrait provisoire de l’« âge pivot » de 64 ans pour bénéficier à plein de sa retraite révèle que cette « révolution » à la suédoise d’une retraite par points n’était, une fois de plus, qu’un expédient comptable pour retrouver un équilibre budgétaire entre les cotisations et les prestations.

    En grande partie déplumé par les mesures annoncées en faveur de certaines catégories et de leur régime spécial actuel, le volatile législatif poursuit sa course vers le Conseil des ministres puis l’Assemblée, avec un dialogue social en partie renoué en vue d’une conférence de financement. Ce qui était structurel dans l’intérêt supérieur du pays devient très conjoncturel avec l’horizon des présidentielles 2022, pour lesquelles il faut que la loi passe, quel qu’en soit le prix, et la difficulté pour les partenaires de l’État de trouver d’autres solutions à l’existence d’un « âge d’équilibre », le nouveau nom de l’« âge pivot », garantissant l’équilibre budgétaire en 2027.

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  • Prise en charge des mineurs isolés : « c’est 2 milliards d’euros en 2019 alors que c’était 50 millions en 2012. »

    Réforme fiscalité locale : "Les mineurs isolés, c'est 2 milliards d'euros en 2019 alors que c'était 50 millions en 2012. Ce sont les départements qui sont en première ligne" @chavrier2023

    Les mineurs isolés sur Fdesouche

    Complément :

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  • Édouard Philippe ne veut pas dévoiler les frais de ses ministres

    Au fallacieux prétexte que les chiffres seraient trop compliqués à extraire des logiciels de comptabilité, l’homme fort de l’État-Macron n’entend pas révéler le détail des frais qui s’élèvent à 150 000 € chaque année et par ministre.

    De quoi donner à l’ami Islamator, qui en a fait le 13e traître à la France de sa série hebdomadaire.

    Après que le Conseil d’État-Macron a décidé que le contribuable n’a pas droit de regard dans les poches des députés, le premier de tous les ministres s’oppose vivement à rendre compte des frais de réception, d’organisation de points presse, de réception d’élus ou d’associations, de remise de prix ou de décorations, de déplacements et autres agréments de la vie ministérielle. En plus évidemment des confortables indemnités, cumuls et retraites spécialement dorées de la Gueuse, qui d’ailleurs ne font nullement tousser les défenseurs des pauvres et des opprimés, Mélenchon et Martinez.

    Malgré les demandes réitérées de l’association NexInpact, via la Cada (Commission d’accès aux documents administratifs), il est impossible de savoir précisément pour quoi et pour qui sont évaporés chaque an les quelque 150 000 euros annuels pour un ministre, 120 000 euros pour un ministre placé auprès d’un autre ministre, et 100 000 euros pour un secrétaire d’État. Faites le compte sous le quinquennat du pléthorique appareil d’État-Macron : https://www.gouvernement.fr/composition-du-gouvernement (trombinoscope en prime).

    À noter que NexInpact n’a pas formulé de vagues interrogations dans sa quête de l’utilisation de l’argent public, puisque l’Observatoire de l’éthique publique dispose d’une mine de renseignements sur le train de vie du gouvernement et de vœux (pieux ?) pour en exiger la transparence : http://www.observatoireethiquepublique.com/note-rendre-plus-transparent-le-train-de-vie-du-gouvernement/ source https://www.nextinpact.com/news/108585-le-gouvernement-incapable-detailler-frais-representation-ministres.htm

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  • L'imagination au pouvoir ? Partie 2 : Créer des produits du travail durables et transmissibles ?

    Les dernières semaines et les événements qui ont émaillé l’actualité sociale mettent notre société française à rude épreuve, et la discussion est parfois fort difficile dès que l’on aborde ce qui, aujourd’hui, divise les Français en camps qui paraissent parfois (peut-être de façon exagérée, ce qu’il faudrait souhaiter, en fait) inconciliables, voire irréconciliables

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