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  • Pas de démocratie sans alternance !, par Christian Vanneste.

    L’alternance est le propre de la démocratie libérale, le signe indiscutable de son bon fonctionnement. Les Anglo-saxons, qui ont inventé ce système politique, le pratiquent depuis maintenant longtemps. Satisfaits de leurs gouvernants et de leurs élus, ils les reconduisent. Déçus, ils les virent, et les opposants arrivent au gouvernement avec de nouvelles propositions. Parfois, la continuité est plus forte que le changement

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  • Allemagne : 18 enfants parmi les 52 personnes blessées par une voiture dans un carnaval

    «Il y a 18 enfants parmi les victimes (…) 35 personnes se trouvent en traitement hospitalier et 17 autres ont été traités de manière ambulatoire et ont déjà pu quitter l’hôpital», a précisé la police locale sur son compte Twitter.
    […]
    Le parquet fédéral antiterroriste ne s’est pas saisi, signe que les autorités privilégient pour l’heure la piste d’un acte volontaire mais pas d’un attentat. Le suspect n’était pas connu des autorités comme un extrémiste, a indiqué mardi l’agence DPA, se basant sur les services de sécurité. L’homme s’était toutefois fait remarquer dans le passé par des insultes et actes d’intrusion, selon les mêmes sources.

    Le Figaro

    https://www.tvlibertes.com/actus/allemagne-18-enfants-parmi-les-52-personnes-blessees-par-une-voiture-dans-un-carnaval

  • Marine Le Pen envisagerait abandonner la tête du RN "en vue de la Présidentielle"

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    L'avis de Jean-François Touzé

    En envisageant d'abandonner la présidence du Rassemblement National dans la perspective de la Présidentielle de 2022, Marine Le Pen ne sacrifie pas seulement au mythe gaullien du candidat au dessus des partis face au peuple, illusion fondatrice d'une Ve République bâtie sur l'arnaque et l'illusion, à laquelle elle a, depuis, longtemps fait acte de soumission.

    Cette décision à laquelle réfléchit Marine Le Pen relève, en fait, du subterfuge, le but étant avant tout de laisser derrière elle les dettes abyssales de son parti, conséquences d'une gestion aussi héliogabalesque qu'incompétente, de fuir ses responsabilités et de pouvoir, grâce à un comité de soutien, se donner les moyens nouveaux de sa candidature. À l'évidence, l'annonce très prématurée de cette dernière en janvier, s'inscrivait également dans ce scénario.

    Miné par son trou financier, proche du dépôt de bilan, ayant échoué dans toutes ses tentatives de rassemblement, exsangue sur le plan militant, incapable de constituer des listes municipales dans de nombreuses villes qui semblaient pourtant favorables, le RN est devenu un fardeau pour celle qui en est encore la Présidente.

    Ceux qui, derrière Jean-Marie Le Pen, ont, par leur travail, leur peine, leur sueur, leur abnégation, parfois leur sang, construit le Front National dont elle hérita avant de le renier, apprécieront.

    Marine Le Pen aime les jeux de miroirs. Surtout quand ils reflètent sa propre image. Mais le réalité est têtue. Ce qui se dessine, ce n'est pas une sortie par le haut. C'est un sauve-qui-peut.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/02/24/marine-le-pen-reflechirait-a-abandonner-la-tete-du-rn-en-vue-6214962.html

  • « L’Idée française » de Luc-Olivier d’Algange.

    Dominique-de-Roux-lécriture-de-Charles-de-Gaulle.gif« Parmi les siens, le Général de Gaulle est encore plus seul que Lénine au milieu des analphabètes de son temps » (Sébastien d’Altavilla)

    Il est bon quelquefois de préciser le sens des mots dont on use. Les idéologies sommaires d’utilité électorale et la communication « de masse » (qui nous assomme) nous ont désaccoutumés de l’exactitude. La rigueur puritaine, par exemple, est le contraire de l’exactitude. Celle-ci n’est vivante que dans la profondeur du regard. Si la rigueur tend à normaliser, à rationaliser, l’exactitude, elle, est le miroir des nuances. La rigueur simplifie, abstraction brutale et barbare ; elle applique la règle dans l’oubli de l’exception et préfère la commune mesure aux royaumes du détail incommensurable dont Ernst Jünger, après Novalis, nous entretient dans ses Chasses subtiles, et Paul Morand dans son Europe galante.

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  • Emmanuel Macron éliminé dès le premier tour de 2022 : les macronistes ne parlent que de ça !

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    Les analyses publiées sur Boulevard Voltaire sont-elles lues jusqu’à l’Élysée ? Comme la passionnante interview d’Alain de Benoist sur le destin politique d’, tellement impopulaire et détesté qu’il ne pourrait pas se représenter. Une analyse qui traduit, avec une longueur d’avance, ce qui se dit au Palais, et dans Le Monde. Dans son rôle de gentil concierge indiscret de la Macronie, le quotidien est contraint à la lucidité : “La présidentielle de  commence à inquiéter Emmanuel Macron et ses proches- Les stratèges n’hésitent pas à envisager une élimination dès le premier tour du chef de l’État, qui cristallise les mécontentements.” Titre et sous-titre parfaitement synthétiques.

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  • Un Prix Nobel dans l'oubli : Knut Hamsun, du pays des aigles et des loups

    Knut Hamsun, du pays des aigles et des loups.jpegEn 1890, un livre obtient dans toute l'Europe un succès fulgurant. Il s'appelle Faim ; Il est signé : Knut Hamsun. Trente ans plus tard l'écrivain norvégien, né Knut Pedersen, obtient le Prix Nobel de littérature. La publication en traduction française de son dernier roman, Le cercle s'est refermé, le rappelle à notre mémoire. Et permet d'aborder les rapports entre l'engagement politique et l'œuvre littéraire.

    On sait que le Prix Nobel se lança dans l'aventure, en croyant dur comme fer à cette histoire d'une grande communauté des peuples germaniques de la Norvège de Vidkun Quisling à la « Bourgogne » de Léon Degrelle. Sous hégémonie allemande, lui dira-t-on. Dialogue de sourds. De toute façon, vieillard obstiné, il n'était pas homme à faire les choses à moitié.

    Alors que son fils Arhild s'engageait dans les Waffen SS et combattait devant Leningrad, où il ramassait une Croix de fer que les correspondants du magazine Signal trouvèrent très photogénique, son vieux père écrivait en juin 1943 qu'Adolf Hitler était « un croisé et un réformateur » et qu'il voulait « créer une nouvelle époque et une nouvelle vie pour tous les pays, une unité durable entre les peuples pour le bien de chacun ».

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  • Paris : Hidalgo, les Verts et les Marcheurs sont très divisés. La droite unie peut l’emporter

    Paris : Hidalgo, les Verts et les Marcheurs sont très divisés. La droite unie peut l’emporter

    Nouvelles de France a rencontré Serge Federbusch, candidat de l’union des droites à Paris (soutenu notamment par le RN et le PCD) :

    Vous êtes candidat aux municipales à paris. Pourquoi ?

    Paris, la ville qui possède le patrimoine historique, artistique, architectural et urbain le plus divers au monde est pourtant menacé. Une politique démagogique s’en prend à la beauté de ses avenues, encombre ses rues d’édicules disgracieux et inutiles, l’endette, désorganise ses services publics les plus essentiels comme celui de la propreté, fait monter artificiellement les prix immobiliers ce qui en chasse sa population d’origine au bénéfice de clientèles subventionnées. Et l’éventuelle réélection d’Anne Hidalgo pousserait cette évolution délétère à un paroxysme.

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  • Georges Sorel, théoricien de la régénération sociale par la violence

    Georges Sorel, théoricien de la régénération sociale par la violence.jpegRevendiqué par Michel Charzat et Mussolini

    Georges Sorel, théoricien de la régénération sociale par la violence

    La réédition, aux éditions du Seuil, des Réflexions sur la violence (1), l'ouvrage le plus célèbre de Georges Sorel, fournira sûrement à quelques commentateurs l'occasion de revenir sur ce personnage peu banal, et qui a suscité des Jugements totalement opposés. Tandis que Jean-Paul Sartre, en effet, le traitait de « fasciste » et Henri Guillemin de « très petit monsieur », il était, pour Benedetto Croce, celui qui avait donné au rêve marxiste une forme nouvelle. Alors, où est le vrai, où est le faux ? Nous n'avons pas, quant à nous, la prétention d'apporter une solution à un problème aussi difficile. Et les éléments que nous versons au dossier posent plus d'interrogations qu'ils n'en résolvent.

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