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Facebook : standards de la communauté ou censure déguisée ?
Selon un article publié sur le Journal du Net (JDN), Facebook aurait compté 37 millions d’utilisateurs mensuels actifs chaque mois en France fin 2019, se plaçant au premier rang des réseaux sociaux de notre pays. Cofondé en 2004 par l’informaticien et chef d’entreprise américain Mark Zuckerberg, ce réseau social en ligne a connu un développement et un succès reposant sur la possibilité offerte aux utilisateurs de publier des textes, des images, des vidéos, mais aussi d’échanger des messages, de participer à des groupes et d’utiliser une grande variété d’applications.
Les personnes engagées dans la vie publique étant soucieuses de faire connaître leur action, nombre d’entre elles utilisent le réseau Facebook comme un moyen de communication facile d’utilisation, peu coûteux et permettant que leurs messages soient relayés par des contacts baptisés « amis ». A ce titre, on pourrait affirmer que Facebook participe sinon à la diffusion de la conception occidentale de la démocratie, du moins à la liberté d’expression consacrée par de nombreux textes fondamentaux. On songe évidemment en France à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui dispose que « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »
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Affaire Griveaux et rejet des élites : la faute à qui ?
Parce qu’un homme politique de premier plan qui fut porte-parole du pouvoir et dont l’ambition était d’être maire de Paris a eu un comportement d’adolescent boutonneux un rien pervers et a poussé l’irresponsabilité jusqu’à en fournir la preuve à une correspondante d’occasion, certains exigent de resserrer un peu plus l’espace de liberté que constituent les réseaux sociaux.
Porte-parole de plus en plus allumé de la macronie méprisante, Barbier s’inquiète du rejet des élites et réclame une répression dans les réseaux sociaux de “l’anomie” des citoyens lambda.
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Jean-Yves Le Gallou : « Libre-échange, tourisme, immigration mondiale font qu’il y a tous les risques pour qu’une épidémie apparue en Chine se répande dans le monde entier »
Après l’Italie, des cas suspects de coronavirus ont été signalés dans les Alpes-Maritimes. Analyse de la situation de Jean-Yves Le Gallou au micro de Boulevard Voltaire.
Après des cas de coronavirus identifiés en Italie, voilà que les Alpes-Maritimes sont touchées. Les autorités européennes réagissent. On se rappelle l’intérêt de la frontière…
La frontière est une membrane protectrice qui doit laisser passer ce qu’il faut laisser passer et ce qui peut être bon. Elle doit aussi bloquer ce qui est mauvais ou ce qui peut être mauvais. Il faut éviter de laisser rentrer à l’intérieur d’un territoire donné tout ce qui est porteur de maladies ou est susceptible de l’être. Cela éviterait une contamination générale. Le libre-échange mondial, le tourisme mondial et l’immigration mondiale sont malheureusement des facteurs pour que l’épidémie apparue en Chine se répande ensuite dans le monde entier.
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« Lorsqu’il faut prendre ses responsabilités, je le fais sans hésiter » : Edouard Philippe ouvre la porte au 49.3 pour adopter la réforme des retraites
Le recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution, qui nécessite un feu vert du Conseil des ministres, permet au Premier ministre d’engager sa responsabilité sur un texte de loi, et de le faire ainsi adopter sans vote du Parlement.
« Une seule question se pose aujourd’hui : allez-vous, en matière de retraites, utiliser le 49.3 ? Oui ou non ? » En plein débat sur le projet de réforme des retraites, le député Damien Abad (LR) a interpellé sans détour Edouard Philippe, mardi 25 février, lors de le séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. Le Premier ministre a ouvert pour la première fois publiquement la porte à un tel recours. « Si au bout de très nombreuses heures de débats, nous constatons que ça n’est possible [que le débat remplisse sa fonction de faire la loi], a-t-il déclaré, alors la Constitution autorise, le cas échéant, le Premier ministre à utiliser un article, le 49.3. Ça s’est déjà vu dans le passé. »
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Suède : les 32 chefs de gangs criminels les plus recherchés du pays sont tous des immigrés ou des enfants d’immigrés
Avec la criminalité croissante des gangs violents en Suède, la police a lancé l’opération Rimfrost pour s’attaquer à ce problème.
La liste des chefs de gangs criminels les plus recherchés par la police de Stockholm compte 32 hommes qui, selon la police, ont une importance stratégique dans les réseaux du crime organisé.
Ces gangs criminels terrorisent la Suède par des fusillades, des attaques à la bombe et d’autres crimes. L’année dernière, la Suède a enregistré un nombre record de 257 explosions, ce qui est unique pour un pays qui n’est pas en guerre.
En 2018, un homme de 63 ans a été blessé par l’explosion d’une grenade à main dans une banlieue de Stockholm.
Qui sont ces 32 individus recherchés par la police ?
15 de ces hommes sont nés en Suède et sont des immigrés de deuxième génération. L’un d’eux a un parent suédois.
Les 17 chefs de gang restants ont émigré en Suède dans leur enfance.
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Zoom – A.S. Nogaret / S. Biasoni : La guerre des races est déclarée
Racialistes, décolonialistes, indigénistes… ils sont ceux qui veulent déconstruire la France. Dans leur ouvrage « Français malgré eux », Anne-Sophie Nogaret et Sami Biasoni remontent aux origines de l’idéologie racialiste derrière laquelle affleure de plus en plus nettement la rancœur et même la haine. Pour les Houria Bouteldja et autre Rokhaya Diallo, la France est irréductiblement colonialiste, l’Etat français structurellement raciste et sa dette envers les descendants d’esclaves ou de colonisés, inextinguible. L’immigration africaine est donc devenue la facture à payer et quiconque s’oppose à la fin de cette « France blanche » peut la quitter.
https://www.tvlibertes.com/zoom-a-s-nogaret-s-biasoni-la-guerre-des-races-est-declaree
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Immigration : un défi redoutable
Pierre Brochand n’est pas plus gauchiste que fasciste. C’est un haut fonctionnaire, longtemps en poste à l’étranger au titre du Quai d’Orsay, ancien ambassadeur et nommé en fin de carrière patron de la Direction générale de la sécurité extérieure, la fameuse DGSE. Il livre à Eugénie Bastié ses réflexions sur l’immigration et l’urgence qu’il y a d’aborder ce sujet avec lucidité et détermination.
« J’estime, en premier lieu, qu’une véritable politique de l’immigration exige une déchirante révision, c’est-à-dire ne plus se résigner au traitement «ex-post» d’une prétendue fatalité, mais reprendre impérativement le contrôle «ex-ante» de flux, maîtrisables pour peu qu’on le veuille. Et, en second lieu, je pense que cette politique devrait constituer une priorité: à quoi bon engager de vastes programmes sociaux et environnementaux, si une partie significative de ces dépenses est préemptée par un afflux incessant de bénéficiaires sans contrepartie immédiate ( «free riders» ), et, surtout, si la décomposition conflictuelle du pays en ruine les bénéfices attendus. »
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La « politique nataliste » n’est pas un gros mot
Le député RN Nicolas Meizonnet, successeur de Gilbert Collard, élu député européen, a effectué ses premiers pas au sein de l’Assemblée, après plusieurs mois de blocages suite à un recours des animalistes (!). Vendredi dernier, il est intervenu dans le débat sur la réforme des retraites pour défendre un amendement rappelant l’importance de la démographie pour l’équilibre du système par répartition. Que n’a-t-il pas osé déclarer :
Permettez-moi, en préambule, de vous dire l’honneur que j’éprouve à m’exprimer pour la première fois dans cet hémicycle, après sept mois d’attente, à un moment que je crois fondamental pour l’avenir des Français et de notre modèle social.
Cet amendement est l’occasion de rappeler le fonctionnement de notre système de retraite par répartition, auquel nous sommes particulièrement attachés, vous le savez, et auquel votre réforme promet de faire énormément de mal. Le système par répartition repose sur le fait que les travailleurs actuels – les cotisants – paient les pensions des retraités actuels. Cela suppose deux conditions : d’une part, les actifs doivent être assez nombreux et d’autre part, ils doivent avoir du travail – cela n’a échappé à personne.
C’est pourquoi nous proposons de rappeler ces deux piliers – natalité et emploi – dans l’article 1er, qui décrit les principes généraux du système de retraite universel. On ne peut pas dire que l’un ou l’autre de ces deux points constitue une priorité des politiques gouvernementales.
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De 1945 à 1968 Le prix de l’abdication de la droite
On a peine à croire aujourd'hui, au vu de ce que le « quotidien de référence » est devenu, que l'article ci-dessous a pu paraître dans Le Monde. C'est pourtant le cas. Il y fut publié le 4 juillet 1968 sous le titre : « La droite et les événements »(1). Gilbert Comte, qui y fut journaliste durant vingt ans, nous a permis de publier à nouveau(2) ce texte, écrit « à chaud », extraordinaire de lucidité.
Par Gilbert Comte
Par son désarroi moral devant la crise universitaire et une abdication politique peut-être sans exemple dans sa récente histoire, la droite française n'aura pas médiocrement contribué à rendre les troubles de mai fort périlleux pour la nation. Pendant trois semaines, l’anarchie estudiantine put battre l'Etat, tituber entre l'incohérence et le vandalisme, tomber certains soirs en Sorbonne dans d'inquiétantes névroses, sans produire autre chose parmi nos conservateurs qu'une courtisanerie apeurée, ou des lamentations inefficaces.