L’alternance est le propre de la démocratie libérale, le signe indiscutable de son bon fonctionnement. Les Anglo-Saxons, qui ont inventé ce système politique, le pratiquent depuis maintenant longtemps. Satisfaits de leurs gouvernants et de leurs élus, ils les reconduisent. Déçus, ils les virent, et les opposants arrivent au gouvernement avec de nouvelles propositions.
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La République ou la France ?
Analyse de Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique, du discours de Mulhouse prononcé par Emmanuel Macron :
Le général De Gaulle en son temps avait fustigé le mantra que constituait à ses yeux la référence incessante à l’Europe. « Bien entendu, on peut sauter sur sa chaise comme un cabri en disant “l’Europe !”, “l’Europe !”, “l’Europe !”, mais cela n’aboutit à rien et cela ne signifie rien. » expliquait-il à Michel Droit lors d’un entretien le 14 décembre 1965. Sans doute n’est-il pas incongru de penser que le défunt guide eut été passablement contrarié de voir son successeur marteler, ad nauseam, d’un air martial, sans sauter comme un cabri, concédons-le, toutes les trois phrases : la République, la République, la République…Plus que de l’analyse, le discours du président de la République à Mulhouse, sur « le séparatisme musulman » le 18 février dernier a semblé relever de l’exorcisme et de l’incantation.
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Un auteur et son oeuvre : Julius Evola (1898-1974)
par Michel Malle
De l’orient tantrique au club des seigneurs, en passant par l’hermétisme et le spiritualisme masqué, nombreux sont les sujets de réflexion de Julius Evola. Mais il est des caractéristiques que l’on retrouve dans chacun de ses écrits, donnant à l’ensemble de son œuvre une certaine unité : une compréhension particulière de la magie, l’aspiration à des altitudes inconnues …
« L’homme dont nous allons tracer le portrait tenta de suivre la voie d’un karma yogi, c’est-à–dire qu’il choisit l’action comme voie de réintégration spirituelle : l’action conforme au Dharma (la Norme Universelle). Il a toujours dit: « René Guenon fut mon maître », c’est pourquoi nous envisagerons son oeuvre en rapport avec celle de Guénon, et cela d’autant que, dans son testament, fondant l’association qu’il a laissé, Evola précise ainsi le but visé : « Défendre les valeurs traditionnelles au sens où l’entendait René Guénon, Julius Evola et d’autres auteurs de même doctrine ». Même si nous devrons nous opposer à lui, ce sera donc dans cette sienne optique. « Je ne me suis pas borné à exposer les doctrines traditionnelles, j’ai cherché quels pouvaient être leurs aboutissements dans la réalité » dit-il, en entendant par là « dans l’action « . « J’ai donc cherché les conséquences à tirer des doctrines traditionnelles dans le sens d’une organisation sociale et politique de l’État », et aussi, avec plus de succès selon nous, dans le sens d’une éthique et d’une pratique pour l’homme traditionnel contemporain. Cette volonté d’engagement a conduit Evola à travailler de concert avec les divers mouvements fascistes de ce siècle. Cet aspect de sa vie, indissociable de son oeuvre, est problématique et, pour cette raison, nombre de « spiritualistes » n’osent pas l’aborder ou la déforment. Cette couardise ne sera pas nôtre : l’oeuvre mérite d’être connue, les questions qu’elle pose doivent l’être, et si les réponses ne nous satisfont pas toujours, il nous faudra en trouver de meilleures.
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Griveaux, attentat, FN et coronavirus...
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Des fouilles auraient mis au jour le tombeau de Romulus, fondateur de Rome
Une «découverte exceptionnelle», selon les mots d’Alfonsina Russo, directrice du Parc archéologique du Colisée. Lors de fouilles dans le secteur de l’ancien Forum romain, les archéologues ont découvert un sarcophage dans une chambre sous l’ancien Capitole. Un sarcophage qui, selon des textes antiques, pourrait être celui de Romulus, le fondateur mythologique de Rome.
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Tous ces indices ont conduit à une nouvelle fouille et à la (re)découverte d’une chambre souterraine, sous la colline du Capitole, le centre religieux de la ville antique. Les archéologues y ont trouvé un sarcophage d’un mètre 40 de longueur et une pierre circulaire, «probablement un autel». Tous deux taillé dans la même roche volcanique que celle de la colline du Capitole. Le sarcophage daterait du VIe siècle avant notre ère.
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Paris et la politique, au-delà des municipales, par Jean- Philippe Chauvin.
La campagne des élections municipales a pris un tour national fort peu ragoûtant et souvent inappropriée aux souhaits des électeurs comme aux nécessités communales et civiques. Il est vrai que l’affaire des images de M. Griveaux a mobilisé les grands médias plus que la raison et la simple décence n’auraient dû le permettre, et ce péché d’orgueil de l’ancien porte-parole élyséen lui a coûté une élection qui, de toute façon, semblait ne pas lui être vraiment promise. Mais, au-delà du grivois et de la fin d’une carrière politique, cette histoire révèle aussi quelques uns des travers de notre système politique particulier hérité des bouleversements principiels de la Révolution française.
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11e cérémonie des Bobards d’or Et le vainqueur est...
La cérémonie des Bobards d’or aura lieu lundi 24 février, à 19 h 30, au théâtre du Gymnase, à Paris. Qui sont les candidats en course ?
Ils sont 25 sur la ligne de départ. Regroupés en cinq catégories : le Bobard du vivre ensemble, le Bobarc-en-ciel, le Bobard sans frontières, Les décodeurs décodés et le Bobard du stagiaire. De quoi faire le tour de la propagande médiatique : immigrationniste, féministe, homosexualiste et surtout négatrice du réel. Car le rôle des « décodeurs » est de recrypter les faits selon les normes du politiquement correct.
Les meilleurs bobardeurs ?
Les grands reporters. Deux sont à l’honneur. Christophe Ayad, reporter de guerre au Monde, titulaire d’un prix Albert-Londres en 2004 (excusez du peu !). Après l’Irak, il a couvert la… Marche pour la vie du 6 octobre 2019 en multipliant les désinformations. Et Claas Relotius, reporter vedette du Spiegel, le grand hebdomadaire allemand. Couronné meilleur journaliste de l’année par CNN, il a reçu, ensuite, l’équivalent du prix Pulitzer allemand. Une pointure, un cador, on vous dit. Renommé pour « l’excellence » de ses reportages. D’autant plus appréciés qu’ils étaient totalement bidonnés… dans le bon sens, évidemment.
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Faut-il supprimer le Salon de l’agriculture ?
Par Jarente de Senac
Faut-il le louer ou le maudire ce Salon de l’agriculture où chaque année nos braves paysans viennent s’immoler sur l’autel des urbains d’une capitale que le peuple déserte. Faut-il le maintenir pour voir la mascarade de nos politiques défiler à la queue leu leu afin de s’apitoyer sur un monde qu’ils ignorent et dont la souffrance leur saute à la gueule chaque matin à l’heure du croissant-beurre. Et voici des décennies que cette mascarade perdure, voici des décennies qu’on s’emploie à appauvrir nos agriculteurs et des décennies que des maires irresponsables implantent des supermarchés dans leurs communes pour en tirer de dérisoires bénéfices et assassiner nos paysans. Car le paradoxe est proprement indigne d’une nation d’essence agricole dont elle tire de nombreux bénéfices et le désarroi de ses acteurs. La France, qui comme le disait Maurras est faite de pêcheurs et de paysans, est en train de perdre les deux par le laxisme habituel du pouvoir. L’escroc en chef s’appelait Jacques Chirac, sa caricature Sarkozy, son bouffon François Hollande, son clone Emmanuel Macron.
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Illustration de l’activisme gauchiste de la CEDH
Alors que le scandale sur l’infiltration des hommes de Soros au sein de la Cour européenne des droits de l’homme commence à se diffuser dans la classe politique française, nous découvrons cette magnifique illustration: la CEDH a imposé à la Belgique de payer 10 000 euros à un criminel tunisien qu’elle avait expulsé (et qui avait reconnu un enfant en Belgique, ce qui fait que, selon la Cour, la Belgique n’avait pas respecté son droit à la vie privée et familiale). Dans son immense bonté, la CEDH a toutefois ajouté que la Belgique n’était pas tenu de redonner un titre de séjour au criminel. Alors stop ou encore?
Via fdesouche.
https://www.lesalonbeige.fr/illustration-de-lactivisme-gauchiste-de-la-cedh/
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La Courneuve : les huit mineurs ultra-violents passaient leurs victimes à tabac ou les poignardaient
Huit mineurs originaires de la cité des 4 000 ont été déférés ce jeudi devant le juge des enfants. Ils sont accusés d’avoir commis 28 vols avec violences entre les mois d’octobre et de février. Ils ont été interpellés mercredi et placés en garde à vue.
« Ils s’attaquaient à des jeunes, des femmes et personnes âgées pour leur voler leurs sacs ou téléphones, indique une source policière. Au fur et à mesure, les violences montaient en intensité. Au début, c’était des coups de pied, de poing, puis de barre de fer. »