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SACR TV, la chaine vidéo de nos amis du GAR sur Dailymotion et YouTube.
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Retraites : le faux problème du financement - Osons Comprendre
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Emmanuel Macron ou super-gourou en Pologne
Pour tout ce qui ne relève pas de l’économie et de l’extension du domaine du marché (révision de la loi de bioéthique), Emmanuel Macron prend ses discours pour de l’action ; et d’ailleurs il a raison, car le menteur est un homme d’action (Hannah Arendt). Mais en fait, ses discours ne sont pas des discours, ce sont des sermons. Le domaine favori d’Emmanuel Macron, c’est la prédication.
Cet aspect super-gourou a parfaitement été illustré à nouveau à l’occasion du déplacement du Président de la République en Pologne, les 3 et 4 février 2020.
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Ces mouvements fascistes qui ont choisi la résistance au nazisme
Décidément, où s'arrêtera le révisionnisme ? En 1984, un livre du Club de l'Horloge posait la question. Socialisme et fascisme une même famille ? (Albin Michel) et y répondait par l'affirmative. Tout récemment, ce sont deux universitaires, MM. Handourtzel et Buffet, qui démontrent dans un essai au titre évocateur que La collaboration... à gauche aussi (Perrin, 1989). Autant de mythes soigneusement entretenus depuis plus de 40 ans sur la prétendue non compromission de la gauche avec le fascisme qui s'effondrent. Ceci acquis, c'est à un autre montage qu'il s'agit de s'attaquer, celui de l'équation fascisme = collaboration. Des mouvements - et non seulement des individualités - classés comme fascistes ou « d'extrême droite » ayant, en Europe, durant la dernière guerre, choisi la Résistance, il n'en manque pas. Place aux faits.
Philippe Vilgier
Qui furent les premiers résistants français ? La réponse d'Alain Griotteray dans son livre 1940 : La droite était au rendez-vous (Laffont, 1985) ne laisse planer aucun doute. Ce furent des nationalistes.
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Télévision : pour une fois qu’on rigole aux infos…
Week-end tragique à la télé : le monde médiatique ébranlé ! Suite à la divulgation de son one-man-show à caractère pornographique, l’auteur-interprète Griveaux montait à la tribune et annonçait le retrait de sa candidature.
Entre tragédie classique, vaudeville et conte cruel à la Maupassant, les télévisions ne pensaient plus qu’à ça ! Et, certes, ce n’était pas la mort tragi-comique du Président Félix Faure, victime lui aussi de sa concupiscence effrénée, et dont Clemenceau, dans une splendide oraison funèbre, avait dit : « Il a voulu vivre César, il est mort Pompée ! » Mais quand même, cette mort politique d’un candidat à la mairie de Paris en avait toute la résonance.
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Le Parti de la France soutient la liste de Stéphane Ravier à Marseille
Jean-François Touzé Délégué général du PdF
Le Parti de la France annonçait, début février, son soutien plein et entier à la candidature de Stéphane Ravier, militant de toujours, sénateur courageux et patriote exemplaire.
La dynamique existe. Elle est forte. Un sondage place Stéphane Ravier en tête. Tout, oui tout doit être fait pour assurer le succès de la droite nationale et son arrivée aux responsabilités municipales. Plus de 45 ans de combats militants, tant de grandes figures de notre camp engagés pour Marseille ville française, doivent aboutir à la libération de la cité phocéenne.
Pas une voix nationale ne doit manquer à Stéphane Ravier. Dès le premier tour !
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Entre le marteau islamiste et l’enclume gendériste
Georges Feltin-Tracol
L’« affaire Mila » démontre une nouvelle fois que la soi-disant « Droite nationale » aime se fourvoyer avec ses pires ennemis au risque d’en perdre sa singularité dès qu’elle entend le couplet éculé de l’« unité nationale ».
Mila est cette lycéenne de 16 ans vivant à Villefontaine en Isère. Le 18 janvier dernier, elle insulte l’islam sur le réseau social Instagram. Habituée à étaler sa vie privée sur cette place publique virtuelle, elle repousse ce jour-là les lourdes avances d’un pitoyable dragueur probablement de confession musulmane. Touché dans sa fierté, celui-ci la tance vertement. Mila réplique en vilipendant la religion musulmane. Elle suscite en réaction une vague de commentaires haineux, de menaces de mort et d’appels au viol. Déscolarisée quelques semaines, Mila et ses proches vivent maintenant sous protection policière. Si la police cherche à identifier les auteurs des menaces, le Parquet a finalement décidé un non-lieu concernant une supposée incitation à la haine raciale. On ignorait que les mahométans appartinssent à une race…
Des politiciens (et surtout des politiciennes !) se distinguent par leur condamnation explicite des propos de l’adolescente. Les viragos du féminisme, si promptes d’habitude à dénoncer le premier Gabriel Matzneff venu, se font pour l’occasion bien discrètes. D’autres, en particulier ceux du Rassemblement ex-national, lui apportent un soutien médiatique et s’alignent sur la « gauche Charlie ». Ainsi l’avocat de l’hebdomadaire satirique, Richard Malka, la défend-il. Marine – Malka, même combat ? Un cauchemar…
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Immigration : le terrible constat de l’ancien directeur-général de la DGSE
Dans un entretien accordé au Figaro, Pierre Brochand aspire à une véritable politique de l’immigration tout en insistant sur le fait que ce sujet devrait être la priorité des États.
« L’immigration, telle qu’on l’a laissée se développer depuis un demi-siècle, n’est évidemment pas le seul défi auquel est confronté notre pays. Mais, si je le considère comme le plus redoutable… » Les mots sont forts.
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Adieu, mon vieux ‟Minute”, par Francis Bergeron
Une décision du tribunal de commerce en date du 29 janvier 2020 nous apprend, sans autres explications, que l’hebdomadaire Minute a été mis en liquidation. Ce journal satirique et d’investigation, sorte de Canard enchaîné de droite, a joué un rôle capital, exceptionnel même, dans l’histoire des droites françaises, et dans l’histoire à l’époque gaulliste, et ceci pendant près de 60 ans. Quand un confrère de cette importance disparaît, on ne peut s’empêcher de se demander : pourquoi cette disparition ? Et aussi : qu’aurait-il fallu faire pour l’éviter ?
Malgré sa longue existence, malgré le prestige lié à son nom, marque d’une véritable indépendance d’esprit, Minute a connu des hauts et des bas : d’abord de fabuleux tirages, ceci dès son lancement, en 1962, de Gaulle régnant (mais il faut dire que nous étions encore dans l’âge d’or de la presse papier), jusqu’aux années 1980 (250 000 ventes hebdomadaires, essentiellement en kiosque). Minute, c’était le vaisseau amiral d’une imposante flotte de journaux de droite. Mais à partir de la fin des années 1980, commencèrent les difficultés. Des difficultés internes, mais aussi celles liées à une montée de l’ostracisme et du sectarisme à son égard.