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  • Michel Thooris : « On n’expulse plus personne… La situation n’est plus gérable »

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    À La Courneuve, un homme d'origine afghane a été abattu après avoir menacé des policiers…

    Ce mercredi 15 avril, à La Courneuve, un homme d’origine afghane a été abattu après avoir menacé des policiers avec un long couteau…

    Réaction de Michel Thooris au micro de Boulevard Voltaire, qui s’interroge sur le maintien, sur le territoire national, de personnes auxquelles le droit d’asile a pourtant été refusé.

    À La Courneuve, vraisemblablement un ressortissant Afghan armé d’un long couteau, voire une machette s’est rué sur des policiers. Il a été abattu par vos collègues. C’est un énième épisode et un énième déséquilibré…

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  • Faut-il interdire le salafisme en France ?

    Faut-il interdire le salafisme en France?

    Un nouveau sondage – à remplir et à diffuser largement autour de vous.

    Pour voter, c’est ici.

    https://www.lesalonbeige.fr/faut-il-interdire-le-salafisme-en-france/

  • Notre système de santé est défaillant

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    « L’austérité se paye aujourd’hui en morts, dans nos hôpitaux », affirmait doctement Arnaud Montebourg il y a quelques jours dans Libération. Pourtant, la France est l’un des pays qui dépense le plus pour la santé. En 2018, la consommation de soins et de biens médicaux (CSBM) a atteint 203,5 milliards d’euros, soit 3 037 euros par habitant, représentant 8,6 % du PIB, selon la Drees. La facture s’alourdit à 260 milliards d’euros si l’on ajoute les soins de longue durée, les indemnités journalières, le fonctionnement de la recherche... Bref, tout ce qui constitue la dépense courante de santé (DCS), agrégat plus large, utilisé pour les comparaisons internationales.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/04/17/notre-systeme-de-sante-est-defaillant-6230697.html

  • La doctrine Delfraissy

    6a00d8341c715453ef025d9b46ced9200c-320wiDepuis que la personnalité du Professeur Raoult, directeur de l'Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée de Marseille est apparue sur la scène du débat public, elle est clairement devenue un objet de passions contradictoires. Ne me sentant aucune compétence dans sa discipline, qui est la biologie, n'ayant reçu de formation fondamentale que celles des mathématiques puis de l'économie politique, il m'est devenu difficilement supportable, dois-je l'avouer, d'entendre le ton des polémiques autour de ses déclarations.

    J'avertis donc mes amis lecteurs : la question que j'envisage de survoler n'est pas de savoir si le traitement qu'il préconise, et qu'il applique au beau pays de Provence, est, ou n'est pas, pertinent, efficace, recommandable, compassionnel, etc.

    Le problème qui me préoccupe vient de la prétention de ses adversaires à parler, généralement en meute, au nom de ce qu'ils appellent la Science, avec un grand S, puisque notre république laïque s'inscrit dans l'ère du vide.

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  • Islam : les mots changent, la politique est la même

    Le discours était bien ficelé, il a suffi d’une image pour le ruiner. Alors que Macron s’exprimait le 18 février contre « séparatisme islamique », il s’est fait photographier en compagnie d’une jeune jeune femme pourtant le voile intégral. Symbole parfait de son impuissance.

    Le verbe était haut, la voix ferme. Macron a étalé son courage, le 18 février dernier au « Quartier de Reconquête Républicaine » de Bourtzwiller, à Mulhouse. Le Président a osé nommer le « séparatisme islamiste » ! Oh, le joli mot, « séparatisme » ! Plus précis que la « radicalisation » (qui n'était jamais islamiste), plus fort que le « communautarisme », les précédentes marottes présidentielles sur le thème de l'islamisme conquérant.

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  • Annulation de la dette : le Zambèze avant la Corrèze

    9598-20200418.jpgMacron et le pape François ont une solution miracle pour combattre le coronavirus : opérer une annulation massive de la dette des pays pauvres. Vous voyez le rapport ? Pas vraiment. Mais le pape François pousse à cette annulation. Il l’a dit dans son message pascal. Lundi, le président Macron a évoqué lui aussi une « annulation massive » de cette dette.

    Montant de la dette : 365,5 milliards d’euros. Ce n’est pas une bagatelle. Mais après tout, au point où l’on en est… 25 pays seraient les heureux bénéficiaires de ce transfert de richesses. Parmi ces pays, figurent plusieurs pays francophones, d’anciennes colonies françaises avec lesquelles nos liens restent évidemment très forts, comme la Centrafrique (ex-Oubangui-Chari), Madagascar, le Mali (ex-Soudan français), la Guinée, etc. Pays pauvres ? Si l’on veut. Mais, dans ce groupe de 25 pays pauvres, on trouve des pays potentiellement riches comme, par exemple, la République démocratique du Congo (ex-Congo belge), pays immense, eldorado victime de guerres internes à répétition.

    Sur CNews, Eric Zemmour a souligné l’aberration ou du moins le caractère très inapproprié de cette proposition présidentielle, au moment précis où l’on nous prépare à une catastrophe économique sans précédent, dans un contexte de récession mondiale : « Les Français qui ont entendu cela auraient préféré qu’on annule leurs dettes à eux. » Mais l’éditorialiste a aussi émis quelques hypothèses sur cette soudaine générosité en pleine crise sanitaire : « Je pense qu’ils annulent la dette pour empêcher une nouvelle vague migratoire vers l’Europe. »

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  • Les Français face à la pandémie – LA PAROLE AU PEUPLE, ÉPISODE 2

  • Un plan européen qui confirme la domination germanique

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    Un plan de lutte contre la crise du coronavirus a été validé par les ministres des Finances de la zone euro : 540 milliards d’euros pourront être injectés pour soutenir l’économie. Trois moyens de financement sont mis en œuvre. Le Mécanisme européen de stabilité (MES) est activé pour un montant de 240 milliards d’euros. Ensuite, la Banque européenne d’investissement (BEI) prévoit d’accorder 200 milliards d’euros de prêts aux entreprises. Enfin, la Commission européenne prévoit 100 milliards d’euros pour le financement du chômage partiel, comme le rappelle Capital.

    Les divergences ont été surmontées. Les Pays-Bas souhaitaient, en contrepartie de l’aide du MES, que les pays bénéficiaires réalisent des réformes. Cette exigence n’a pas été maintenue. Par ailleurs, les corona bonds n’ont pas été acceptés malgré les demandes de la France, de l’Italie et de l’Espagne. Ces obligations mutualisées entre pays européens ont été refusées par les Pays-Bas, l’Allemagne et des pays scandinaves.

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  • « Seul un Français sur 4 se sent bien représenté par Emmanuel Macron », selon un sondage

    Une enquête Ipsos réalisée pour l’association « Lire la société » sur la perception des élites par les Français révèle que « Seul un Français sur 4 se sent bien représenté par Emmanuel Macron ». L’étude dévoile la fracture béante entre la population et la classe politique et met en lumière la fracture peuple-élites et la défiance grandissante des Français à l’égard de la sphère économique mais aussi des dirigeants.

    « Le rejet ne cesse de s’amplifier », alerte Brice Teinturier, directeur général délégué d’Ipsos France dans un entretien accordé à l’Express (article payant).

    https://www.tvlibertes.com/actus/seul-un-francais-sur-4-se-sent-bien-represente-par-emmanuel-macron-selon-un-sondage