Cette crise permet de mettre en lumière l’escroquerie écologique qui associe le taux de particules fines et la voiture à Paris.
Trouvé sur Transitions & Energies : « Logiquement donc, avec le confinement, l’arrêt d’une bonne partie de l’activité économique et la baisse spectaculaire de la circulation automobile, illustrée, entre autres, par l’effondrement historique de la consommation de carburants, la qualité de l’air aurait dû considérablement s’améliorer. Il n’en est rien… Et pourtant, les ventes d’essence et de gazole sont en baisse en France de 70 à 85% par rapport à avant le confinement.
Mais si on compare les graphiques d’Airparif, qu’on ne peut soupçonner de partialité, en février, en mars et pour le début du mois d’avril, on ne peut parler ni d’améliorations, ni même de différences. La région parisienne a même connu un pic de pollution atmosphérique le 28 mars… Un comble. Il suffit de regarder, ci-dessous, les captures d’écran des tableaux d’Airparif.
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