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Mercredi matin, le professeur Perronne intervenait sur CNews chez Morandini. Selon lui, le traitement du professeur Raoult est pleinement valable, la preuve : la mortalité très faible à Marseille. Et le nombre de victimes d’effets secondaires est infinitésimal. Si on attend encore pour valider le protocole à la chloroquine, c’est tout simplement parce qu’en France, on n’en a pas ! Elle est fabriquée au Maroc et en Hongrie, et Mohammed VI a déjà réquisitionné tout ce qui sort de l’usine implantée chez lui. Trump a, de son côté, fait le forcing pour en racheter massivement partout où il le pouvait, à n’importe quel prix…
Un lecteur, qui travaille sur les chiffres de l’INSEE depuis plusieurs années, a établi un tableau récapitulatif des décès sur le 1er trimestre des 5 dernières années :
Nota 1: Il s’agit des chiffres bruts téléchargeables sur le site de l’INSEE sans contrôle des éventuels doublons.
A l’antenne de Sud Radio ce jeudi, le Professeur émérite Michel Maffesoli, sociologue, membre de l’Institut Universitaire de France et auteur du livre “La Faillite des élites”, partageait ses observations concernant la crise du coronavirus.
Son analyse est intéressante. Selon ce sociologie, la gestion du coronavirus par les autorités témoigne de la décadence du système actuel et présage l’effondrement du mythe du progressisme et de la modernité.
Le Professeur Maffesoli en est persuadé : cela débouchera sur le retour des soulèvements populaires contre les élites abstraites.
Le président Macron appelle à effacer la dette africaine, étape selon lui « indispensable pour aider le continent africain à travers la crise du coronavirus ». Les PME, les TPE, les professions libérales et les commerçants français qui vont, eux, devoir rembourser les emprunts qu’ils vont être contraints de faire pour tenter de survivre, apprécieront !!!
Trois remarques :
1) Si une telle mesure était réellement prise pour aider l’Afrique à lutter contre la pandémie, l’on pourrait la juger comme légitime. Mais, au moment où cette unilatérale proposition présidentielle était faite, et fort heureusement, le continent africain était quasiment épargné par le coronavirus.
2) Depuis des décennies, les pays “riches” ne cessent de consentir à l’Afrique des allègements et des suppressions de dette. Au début des années 2000, les PPTE (Pays pauvres très endettés) ont ainsi bénéficié de considérables remises par les créanciers bilatéraux. Or, à peine sauvés du gouffre de l’endettement, ils y ont replongé…
Cette proposition de loi interdisant l’avortement en cas de « malformation du fœtus », est la conséquence d’une initiative citoyenne qui avait été signée par 830.000 personnes fin 2017. Or le Parlement doit prendre position si une initiative citoyenne récolte plus de 100.000 signatures. D’atermoiements en procédures parlementaires, on arrivait à la date butoir : le Parlement devait se saisir de la question avant le mois de mai.
Un récent sondage a montré que les Polonais n’avaient pas changé d’avis : 75% pensent que l’avortement n’est jamais justifié, contre… 7%.
Et le président Andrzej Duda a déclaré :
« Je crois que tuer des enfants handicapés est tout simplement un meurtre. Si un projet qui va contre cela se retrouve sur mon bureau, certainement je le signerai. »
Partie de Wuhan, en Chine, la pandémie qui menace gravement l’état sanitaire du monde risque de produire une récession sans précédent en parallèle du fléau qui blesse considérablement notre pays.
Il n’est pas inutile de rappeler que tout a démarré le 17 novembre 2019, il y a cinq mois. La contagion s’est étendue à la périphérie de la mégapole avant de déborder les frontières du pays et de se répandre, par étapes, sur tous les continents. En Europe, certains pays ont été durement touchés : l’Italie, l’Espagne, la France. D’autres ont eu à moins souffrir de l’ampleur de l’épidémie : l’Allemagne, le Danemark ou la Suède.
Après les annonces d’Emmanuel Macron, lundi 13 avril, les ministres interrogés dans les médias n’ont pas montré la même conviction que leur supérieur. Sera-t-on vraiment déconfiné le 11 mai prochain ? Pas si sûr…
Pour la première fois et contre toute attente depuis le début du confinement, Emmanuel Macron a abordé la fin de ce processus et fixé une date : le lundi 11 mai. Un soulagement pour les Français, pour qui même s’il reste quatre semaines, entrevoient déjà une porte de sortie. Mais la joie est de courte durée et le réveil ressemble à un lendemain de cuite… Le gouvernement incapable de gérer cette crise, ramène à la réalité…
Un ministre de l’Intérieur qui fait presque marche arrière